Simon Leys, contre le totalitarisme maoiste


Les années de plomb furent celles où il était interdit de critiquer le communisme. Cela arrangeait l'affairisme français qui ne voulait pas la guerre, et dans ce temps, tant mieux. Mais cela a été CRIMINEL envers les victimes de la répression communiste en Chine et en Russie etc.
Les "dindes" qui prétendent aujourd'hui donner des leçons aux ex-musulmans en en donnant rétropectivements aux dissidents soviétiques, tout en agissant exactement aujourd'hui contre les critiques de l'islam comme les commissaires politiques de l'époque agissaient contre les dissidents, avec le même venin, les mêmes procédés d'inquisiteurs, de persécuteurs, et de mauvaise foi mensongère et calominiatrice (faisant dire à leurs victimes, ce qu'elles n'ont jamais dit), ne peuvent dire de telles âneries que devant des ânes ... et beaucoup de ces anciens criminels là.

1958 Etiemble sur la Chine, l'autre mensonge de nos intellos en cour


Etiemble fait l'éloge, lors de sa parution, de l'ouvrage, fortement critique à l'égard de Mao, de Simon Leys, Les Habits neufs du président Mao3. Après la parution de Quarante ans de mon maoïsme en 1976, « examen de conscience d'un de ces imbéciles qui, en 1934, fondèrent à Paris une association de soutien à Mao Tsö-tong4 », Simon Leys écrit que « deux hommes seulement — Étiemble tout récemment et maintenant Claude Roy — peuvent fièrement remettre aujourd'hui sous les yeux du public ce qu'ils écrivaient hier sur ce sujet [la Chine]5 ».(  Simon Leys, Essais sur la Chine, Robert Laffont, collection « Bouquin », 1998, p. 685 )
C'était un athée convaincu, membre de plusieurs sociétés laïques.
Déjà, il alerte sur l'islam en Chine ...

Etiemble à propos de son livre "Le nouveau singe pélerin"  - Lectures pour tous - 04/06/1958 - 14min48s