Père Maximilien Kolbe



" Ainsi donc cette troisème étape de la vie est celle de la souffrance ... et probablement qu'elle m'attends pour bientôt ... De qui viendra-t-elle ? quand ? et comment ? L'immaculée le sait. Ainsi, souffrir, travailler et mourir en chevaliers non d'une mort ordinaire, mais par exemple, d'une balle dans la nuque pour sceller notre amour envers l'Immaculée, en versant en vrai chevalier notre sang jusqu'à la dernière goutte, afin de hâter la conquête du monde entier à elle. C'est cela que je souhaite, pour vous comme pour moi. en effet mes chers enfants, que pourrais-je souhaiter de plus sublime, pour vous et pour moi ? Je ne connais rien de plus sublime. Et si j'en connaissais, je vous en aurais parlé, mais je n'en connais pas !.. Et le Seigneur Jésus lui-même a dit : " Il n'y a pas de plus grand aluor que de donner sa vie pour ses amis" (Jean 15,13)" Maximilien Kolbe, Niepokalanow, lundi 28 août 1939.



 


Rajmund Kolbe, en religion Maximilien Marie Kolbe, né le 7 janvier 1894 à Zduńska Wola en Pologne, mort au camp de concentration d'Auschwitz le 14 août 1941 était un frère franciscain conventuel polonais

En juillet 1941, un homme disparaît dans le bloc 14, où se trouve le père Kolbe. Aussitôt, les nazis sélectionnent dix hommes de la même baraque et les condamnent à mourir de faim et de soif, afin de décourager les tentatives d'évasion.
Kolbe se porte volontaire pour remplacer Franciszek Gajowniczek, père de famille. Les nazis consentent à la substitution ; les dix prisonniers sont enfermés dans un bunker souterrain du camp à peine éclairé par des ouvertures étroites. Bien que la faim et la soif poussent les condamnés à la folie de s'entretuer après quelques jours seulement, le prêtre Maximilien réussit à faire régner le calme et la piété entre ses compagnons de cette tragédie au moyen de prières et d'oraisons. Après deux semaines de famine1, seul le père Kolbe qui a soutenu et vu mourir tous ses compagnons, est encore miraculeusement en vie. La place venant à manquer, il est exécuté d'une injection de phénol dans le bras. ( Patricia Treece, Maximilien Kolbe, éditions Flammarion, 2003, page 278.)
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Fiammetta Venner me reproche d'être une drôle de laïque qui ne critique pas assez le christianisme : c'est vrai, je n'ai grand chose à dire contre le christianisme.
Je la laisse inventer ce qu'elle veut, du genre " le préservatif est un produit miraculeux, le seul qui ait zéro défaut, 100% de fiabilité et si le pape dit le contraire c'est un affreux assassin intégriste", elle ira expliquer cela aux parents des enfants chrétiens crucifiés par des musulmans. http://pointdebasculecanada.ca/actualites/1000626.html

D'ailleurs ces crétineries, Caroline les dit ici :

( pour ceux et celles qui n'ont pas suivi le débat :  le préservatif n'étant pas fiable à cent pour cent, il réduit la probabilité d'être contaminé, mais pas la nature du risque en cas de contamination : risque qui est la mort ... inciter au vadrouillage sexuel sous préservatif, c'est donc bien inciter au risque de s'exposer ou d'exposer autrui à la mort, en accroissant la probabilité de l'être à proportion du nombre de partenaires : sachant cela, qui est l'assassin potentiel  : celui qui prêche " l'éclate" sous latex ou celui qui prêche l'abstinence ou la fidélité ? Qui est le valet du capitalisme sauvage : celui qui demande une conduite qui ne nécessite aucun accessoire commercialisé, ou ceux qui se font les commerciaux des marchands de condoms, dont le chiffre d'affaire dépend du nombre de risques de contamination pris ?...)

 L'égalité consistant à traiter également ce qui est égal et différemment ce qui est différent, je ne mets pas sur le même plan ni au même niveau, une religion qui ordonne à ses adeptes de mourir son dieu et une religion qui demande d'imiter un dieu qui meurt supplicié pour les humains.
Une religion qui prône la vie ou le sacrifice pour autrui est d'une valeur supérieure ( et plus conforme aux droits humains - évidemment, ils sont dans leur noyau central issus de la bible ...) à une religion qui prône de tuer et de mourir en tuant.

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