Le père Hamel victime du refus d’aider les musulmans contre le mensonge.




Le père Hamel  victime du refus d’aider les musulmans contre le mensonge.
Il faut en finir avec l’impression que ceux qui accusent des musulmans de mensonge, de « taqqya » seraient des gens qui préfèrent haïr les musulmans que connaitre réellement leur pensée.

Vérifier les dires d’une personne, est-ce la soupçonner de mensonge, ou est-ce prendre en compte l’hypothèse qu’elle peut être contrainte au mensonge ? Eliminer à priori cette hypothèse n’est pas du respect, c’est de la négligence.

Si l’on envisage la cas de la contrainte, il ne suffit pas de demander à la personne ce qu’elle pense pour le savoir, il faut, chercher des éléments extérieurs corroborant ses dires, et examiner leur cohérence.

Il ne suffit pas de demander aux musulmans le contenu de leur doctrine sur la violence, il faut vérifier soi-même leurs affirmations, dans l’histoire de la pensée islamique.

L’islam n’est pas qu’une vague foi subjectiviste, il a des éléments essentiels, dont sa nature de droit. L’islam est une des trois religions qui est en même temps un système juridique. La plus dangereuse car à vocation universelle.

Juridique, signifie application de la force, usage du pouvoir temporel et non pas seulement spirituel.
De l’exercice du pouvoir temporel découle l’application des impératifs de ce pouvoir :  le combat contre les mécréants, y compris par la guerre, le mensonge et la corruption (sexe, argent),  mensonge aux autres pour parvenir à ses fins, et à soi même pour se dissimuler l’ignominie des moyens employés.

Le mensonge est ainsi consubstantiel à un des traits essentiels de l’islam : sa vision de la manière de servir dieu, son inclusion du temporel dans le spirituel.

Il n’existe pas d’islam qui serait non juridique, non universel, et aurait un minimum de cohérence avec le corpus de textes reconnus par les savants. Il n’existe que des phases dans l’histoire des pays musulmans, quelques sectes comme les druzes, où leur application est écartée de fait.

Mentir aux autres, nier la guerre, pour gagner la guerre.

Mahomet a dit dans un hadith reconnu comme authentique que la guerre est ruse et tromperie, ce qui est une évidence, mais devient un ordre lorsque l’ordre donné aux soumis est de combattre la mécréance y compris par la force.

Un des exemples les plus reconnus par les oulemas de l’application de cette technique est l’assassinat du juif Kab Ibn al-Ashraf, dont le tort était de critiquer Mahomet pour une des batailles qu’il avait mené contre les juifs.
Cet épisode est rapporté par les sources les plus sures : hadith authentiques de Boukhari et de Moslem, Sira écrite 55 ans après l’égire par Ibn Ishaq …

Mahomet demande qui le débarrassera de Kab, des hommes se proposent et lui demandent s’ils peuvent mentir à Kab en se faisant passer pour des ennemis de Mahomet. Mahomet répond oui. Grâce à ce mensonge, les assassins parviennent à approcher Kab et à le tuer. Mahomet les félicite.

L’assassin du père Jacques Hamel, Adel Kermiche, comme Mohammed Merah et d’autres, ont menti aux juges et policiers pour approcher leurs cibles.

Se mentir à soi-même.

Beaucoup de musulmans affirment que les attentats divers ne sont pas commis par les musulmans mais sont en réalité manigancés par les juifs pour provoquer de l’islamophobie, tout en célébrant ces actes comme des victoires.
Leur conviction est une protection mentale, pour échapper à la culpabilité : les textes de l’islam présentent des cruautés qui révulsent tout être humain comme étant l’exemple du prophète : il s’agit d’une injonction paradoxale, à laquelle seule la négation de la réalité, permet d’échapper.

Le père Hamel est une victime de plus du mensonge et du refus de le voir là où il est, dans toute sa toxicité pour tout le monde. 


.... et des commentaires les plus répugnants : 



L'auteure de cette pourriture : Julie Le Goic, ici avec Daniel Cohn Bendit



INFORMATIONS SUR SAINT ETIENNE DU ROUVRAY : 


 La mosquée de Saint-Étienne-du-Rouvray a été inaugurée en 2 000 sur une parcelle de terrain offerte par la paroisse catholique de la ville.


Un « foyer de dérive radicale » en Normandie

Ils sont quatre jeunes convertis à l'islam radical. Tous se connaissaient, et tous fréquentaient les mêmes mosquées d'Elbeuf et de Saint-Etienne-du-Rouvray, selon nos informations. 

Un micro-réseau de filière jihadiste vers la Syrie a été mis au jour en Normandie depuis qu'un des leurs, Maxime H. a été identifié sur une vidéo de Daech la semaine dernière. Un « foyer de dérive radicale », selon le parquet de Rouen, qui a évoqué « des liens établis » entre eux. (...)

Maxime H. 22 ans, originaire du village du Bosc-Roger-en-Roumois (Eure), identifié comme l'un des bourreaux de 18 otages syriens égorgés sur la vidéo diffusée la semaine dernière, (...) a choisi de rejoindre les rangs de Daech le 17 août 2013. 
Maxime n'était pas un homme seul. Il connaissait notamment un autre converti du même village, fils d'un couple d'exploitants agricoles, âgé de 26 ans, Jean*. (* Le prénom a été changé.)  A l'inverse de Maxime, lui était un très brillant étudiant, qui avait eu son baccalauréat scientifique avec mention bien. Il avait intégré une classe préparatoire au lycée Faidherbe de Lille (Nord) pour réussir dès la première tentative le concours ultra-sélectif de l'Institut national des sciences appliquées (Insa), une très prestigieuse école d'ingénieurs. Jean a choisi, après sa conversion il y a six ans, de rejoindre Médine (Arabie saoudite) en 2012, où il avait assuré « étudier la théologie », selon les proches qui ont gardé contact avec lui. Au dernier moment, il a renoncé à valider son diplôme. « Il était en contact avec Maxime car ils se connaissaient depuis toujours », détaille sa mère. Les deux garçons travaillaient notamment dans la même pizzeria halal de Bourg-Achard à deux pas du Bosc-Roger, où ils étaient livreurs pour se faire un peu d'argent.

Un autre jeune, Frantz, 23 ans, a été arrêté début novembre à Saint-Pierre-lès-Elbeuf, avec sa compagne Laëtitia ainsi que sa belle-sœur, par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Des convertis prêts à partir en Syrie.

Quant à Jordan, 22 ans, originaire de Vernon (Eure), il figure bien parmi ceux qui ont déjà rejoint les rangs du groupe Etat islamique. 
Leur point d'ancrage commun était une mosquée de tendance salafiste de Saint-Etienne-du-Rouvray.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire