Je fais donc partie des personnes "condamnées" par ce communiqué, puisque j'affirme que l'islam est une religion INCLUANT une doctrine politique totalitaire.
La loi islamique constitue un mécanisme totalitaire, comportent des règles qui aboutissent ( plus ou moins selon les autres éléments historiques) à cette dictature de tous sur tous.
La loi islamique constitue un mécanisme totalitaire, comportent des règles qui aboutissent ( plus ou moins selon les autres éléments historiques) à cette dictature de tous sur tous.
Ce texte est aussi sot et confus et christianocentré que ceux des autres personnes défendant cette théorie fumeuse d'un islam " religion " au sens chrétien du terme c'est à dire n'incluant pas de droit, mais seulement des normes morales sanctionnées sur le plan spirituel.
Il confus personnes et doctrine, idées et mouvements.
Il ignore les bases de la doctrine de l'islam, qui est dogme et législation, selon ses textes, selon les savants d'Al-Azhar et toute la tradition islamique.
BERTRAND DUTHEIL DE LA ROCHÈRE
Conseiller République-Laïcité de Marine Le Pen
Conseiller République-Laïcité de Marine Le Pen
L’islam ne se confond
pas avec l’islamisme
Communiqué de presse de Bertrand Dutheil
de La Rochère, Conseiller République et laïcité de Marine Le Pen
Dans l’islam sunnite, il n’existe pas de
clergé. Chaque croyant peut s’ériger en autorité religieuse légitimée par les
croyants qui lui reconnaissent cette qualité. Les autorités politiques des
différents pays se déclarant musulmans investissent donc des autorités
religieuses et enjoignent à leurs administrés de les reconnaître comme telles.
Les musulmans des pays qui ne sont pas musulmans ont tendance soit à se
constituer en communautés politico-religieuses, soit à se rattacher à une
autorité d’un pays musulman. Aujourd’hui, en Europe occidentale, cette dernière
option est d’autant plus la règle que les musulmans d’immigration récente ont
conservé de nombreux liens avec leurs pays d’origine.
Cette situation ne répond pas à la culture
de la nation française. Pays gallican, elle a toujours institué une césure
entre religion et politique. La France monarchique s’est opposée au Pape,
parfois avec violence. La laïcité républicaine s’inscrit dans cette continuité.
Depuis bientôt trente ans, pour permettre un islam de France, les différents
gouvernements ont voulu créer une instance représentative du culte musulman.
Implicitement, ils avaient en modèle l’organisation du judaïsme par Napoléon. À
deux siècles d’intervalle, la situation des deux religions est bien différente
sur le sol national comme dans le monde. Le Conseil français du culte musulman
(CFCM) n’a que l’audience que chaque musulman en France veut bien lui accorder.
En conséquence, s’il est nécessaire que ce Conseil et les autres autorités
musulmanes condamnent le terrorisme pratiqué au nom de l’islam, chaque musulman
doit aussi veiller à ne pas faciliter des amalgames en suivant des imams aux
positions pour le moins ambiguës
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