Liberté et sagesse africaine : Claude Njiké-Bergeret




 

La liberté selon Claude Njiké-Bergeret

 

" D’une façon générale on empêche tout bébé de trop s’attacher à sa mère.

Dans un milieu où la mort est encore naturelle, il faut aimer mais pas de façon possessive.

Cette façon de prendre le bébé ou de vous en coller un autre dans les bras, est une façon de faire comprendre au bébé : elle doit savoir que tout le monde peut remplacer sa mère immédiatement."

 

" L’être aimé, l’est gratuitement, en lui laissant toute sa liberté.

Tout être qu’on aime.

« Ngoni » signifie en Banganté : amour et amitié, il n’y a pas deux mots mais un seulc’est le même mot. Les relations physiques, c’est autre chose.

Tout amour ne doit pas être possessif. Pour que chaque être ait la liberté d’être ce qu’il est et qu’il puisse réaliser le programme qu’il a en lui.

« Personne n’est le dieu de quelqu’un d’autre » : Sanmenkeu ouazen si mencheun.

On n’a pas le droit de transformer la personne qu’on aime sous prétexte qu’on l’aime." 

 

 










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