UN JUGEMENT MONSTRUEUX






UN ARRET MONSTRUEUX

Le 25 octobre 2018,

la CEDH a l'UNANIMITE,
estime que l'autriche n'a pas violé le droit à la liberté d'expression en condamnant pénalement une femme qui accusait Mahomet de pédophilie,
au motif que 
- elle parle de pédophilie au sens du langage commun pour un homme de 56 ans violant une fille de 9 ans, et ne prouve pas que Mahomet était pédophile au sens medical du terme,
- elle heurte les sentiments religieux
- elle ne peut que susciter de l'indignation pour la dévotion à Mahomet 
- elle n'apporte rien au débat.

Donc pour la CEDH, poser la probleme de la vénération de Mahomet comme beau modele alors qu'il viole une fille de 9 ans à 18 ans, outrepasse les bornes du débat, et les petites filles qui meurent ou sont torturées par des viols quotidiens pèsent moins dans la balance des droits que les "sentiments religieux" ...



A MONSTRUOUS SENTENCE
25 october 2018,
The ECHR, UNANIMOUSLY,
believes that Austria did not violate the right to freedom of expression by criminalizing a woman who accused Muhammad of pedophilia,
on the grounds that :
- she speaks of pedophilia in the sense of common language for a 56-year-old man who rapes a 9-year-old girl, and does not prove that Muhammad was pedophile in the medical sense of the term,
- it hurts religious feelings
- it can only arouse indignation for devotion to Muhammad
- it adds nothing to the debate.

So, for the ECHR, to pose the problem of the veneration of Muhammad as a beautiful model, while he rapes a girl from 9 years to 18 years, exceeds the limits of the debate, and the girls who die or are tortured by daily rapes, weigh less in the balance of rights than "religious feelings" …





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