Homo sovieticus de retour

 


« Zinoviev démontre ‘comment’ l’Occident est en train de se laisser posséder, non pas de l’extérieur par la conquête, ni de l’intérieur, par le procédé dit de la ‘cinquième colonne’, mais par la corruption de son être même. »

V. Volkoff (Le Point)

j avais oublié Zinoviev,

il avait oublié que homo sovieticus n'a rien de specifiquement russe, 

il se répand aujourd'hui mondialement, du moins chez les pays solvables,

prêt à injecter son poison aux enfants,

... chose que l'URSS n'avait quand même pas commise 



Hela Ouardi : Les Califes maudits - Recension par Winston Belmonte

 




Universitaire tunisienne, docteure en littérature française et spécialiste de Raymond Queneau, Hela OUARDI a récemment intégré le cercle, assez restreint, des chercheurs sérieux (et accessibles au grand public) qui enquêtent sur les origines de l’islam, en sortant – avec courage – des sentiers battus.

Cette auteure originale s’est fait connaître en 2016 avec Les derniers jours de Muhammad, ouvrage dans lequel elle s’interroge sur la fin mystérieuse du Prophète. Compilant sans relâche, mais toujours animée par la volonté de comprendre et d’expliquer ce qui peut l’être, Madame OUARDI a analysé les sources historiques et traditionnelles qui fondent les deux branches majoritaires et irréductiblement opposées de l’islam : Sunnisme et Chiisme. De cette confrontation raisonnée des textes, l’écrivaine a dégagé un récit passionnant où le fondateur du troisième monothéisme nous apparaît au soir de sa vie, dans toute sa complexité.

Avec La Déchirure, premier tome consacré à l’histoire des quatre premiers successeurs de Mahomet, l’universitaire maghrébine reprend la même méthode d’investigation. Il faut l’en féliciter car, une fois encore, le résultat est brillant.

Dans l’imaginaire collectif de l’islam, ces premiers califes sont appelés littéralement « les lieutenants (sous-entendus de l’Envoyé de Dieu) bien dirigés » (ar. الراشدون الخلفاء). En effet, après l’indépassable modèle de la cité islamique instaurée à Médine par le Prophète, ses quatre successeurs sont censés être des parangons du monarque terrestre idéal, régnant constamment sous la direction éclairée d’Allah.

De « bien dirigés », Hela OUARDI, avant tout soucieuse de vérité historique, rebaptise ces hommes d’État Les Califes maudits. Le sobriquet scandalisera les dévots, il n’est demeure pas moins rigoureusement exact et c’est ce que démontre l’ouvrage.

Ce premier tome intitulé La Déchirure nous raconte comment, alors que le corps de Muhammad n’est même pas encore enterré, deux des dix (plus proches) Compagnons du Prophète vont manigancer, comploter et conspirer en tous sens pour s’arroger un pouvoir que d’aucuns jugeront bien mal acquis.

Esprit subtil autant qu’érudit cette Tunisienne nous conte une tragédie. Car en effet, c’en est une. Pensez-donc que Fatima (ar. فاطمة) la fille chérie du Prophète âgée seulement de 29 ans mourra de chagrin quelques semaines après Mahomet non sans avoir été auparavant dépossédée de l’héritage de son père par Abû Bakr As-Siddîq (ar. الصديق بكر أبو) ! Ce premier successeur de l’Envoyé d’Allah, qui fut parmi les premiers à le rallier, se révèle sentimental mais hypocrite et faible quoique donnant parfois l’illusion de la fermeté. Il tombe presque immédiatement sous l’emprise de ‘Umar Ibn Al-Khattâb (ar. الخطاب بن عمر), homme à poigne et vrai politique qui remplacera Abû Bakr à son décès.

Dès le début de son travail, Hela OUARDI nous avertit qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais de la réalité, même si la forme adoptée est celle d’une tragédie en trois actes comprenant respectivement 7, 3 et 5 scènes (toute une symbolique !). L’écrivaine déroule le fil d’une intrigue et nous instruit opportunément (p. 13) :

« Raconter l’histoire des premières années de l’islam est une manière pour moi de ranimer une mémoire collective fossilisée par une amnésie générale et confisquée par des forces obscures qui, sous couvert de glorification du passé de l’islam, l’ont transformé en machine de guerre. »

À défaut d’être sérieusement étudiée dans les pays du Croissant, espérons que l’œuvre de Madame Hela OUARDI sera très largement diffusée auprès des musulmans de France afin qu’ils puissent porter un regard plus objectif sur l’islam – et souhaitons-le ardemment – adhérer avec beaucoup d’enthousiasme aux valeurs d’un civilisation occidentale judéo-chrétienne qui accepte la critique et le débat contradictoire.

Hela OUARDI est une authentique fille des Lumières. Lisons-la, suivons-la !

Winston BELMONTE (le 17 juillet 2021)


LES CALIFES MAUDITS

La Déchirure

Hela OUARDI

Albin Michel, mars 2019, 234 pages, 19 €

 

Coronavirus : au nom du principe de précaution

 


C'est au nom du principe de precaution et du droit à l'integrité physique qu'il faut s'opposer au port prolongé de masque et a la vaccination systematique contre un coronavirus.

C’est au nom du droit à l’integrité qu’il faut enqueter sur les escroqueries sources des entraves aux soins : negation de l’existence des traitements precoces, persecution des medecins qui les procurent.

It is in the name of the precautionary principle and the right to physical integrity that we must oppose the prolonged wearing of masks and systematic vaccination against a coronavirus.

It is in the name of the right to integrity that we must investigate the scams that are sources of impediments to care: denial of the existence of early treatments, persecution of the doctors who provide them.

 

Во имя принципа предосторожности и права на физическую неприкосновенность мы должны противодействовать длительному ношению масок и систематической вакцинации против коронавируса.

Именно во имя права на неприкосновенность мы должны расследовать мошенничества, которые являются источниками препятствий для оказания помощи: отрицание существования раннего лечения, преследование врачей, которые их предоставляют.

Complotisme, l'autre cri de guerre du "laisser faire laisser passer"

Complotisme, l'autre  cri de guerre du "laisser faire laisser passer"

Complotiste est comme fasciste un mot detourne de son usage par la campagne "d'elements de langage" des ultracapitalistes pour defendre le "laisser faire laisser passer en toute impunité".

Pr Christian Perronne : nouveau livre et nouvelle interview

 



 video en ligne :  pour regarder la video sur le site : 

https://odysee.com/

copier l'adresse de la video : 

@Re-information2.0:2/Pr-Perronne---M-4-4-2:d



Au delà de l'écoeurement

 


La France pays de chiens, des "antisionistes" de base aux juifs de cour, aux petits minables camés paralysés du bulbe à l'idée de déplaire

innocente un homme dont les actes prouvent qu'il a prémédité l'assassinat sous la torture du Dr Sarah Halimi.

Kaddish.

"Sa Majesté des Chats" présentation du livre de Bernard Werber par William Belmonte

 




SA MAJESTÉ DES CHATS

Bernard WERBER

Albin Michel, octobre 2019, 457 pages, 21,90 €

 

Que voici un ouvrage étonnant, et à plus d’un titre. L’auteur n’est pas le premier venu. C’est, convenons-en, un original ; une sorte d’OVNI dans la littérature contemporaine. Bernard WERBER joint à des récits de science-fiction une approche philosophique enrichissante, un humour décalé. Il rassemble des êtres humains et des animaux dans une action qui rebondit sans cesse.

Ce roman, comme tous ceux qui l’ont précédé, doit se lire à plusieurs niveaux. Le premier, immédiatement accessible, est naturellement celui d’une histoire très amusante qui plaira autant à l’adolescent qu’au lecteur traditionnel d’uchronies ou de fantasy (les deux sont habilement mêlés ici).

L’histoire nous plonge dans une France d’un très proche futur en proie à un événement singulier, baptisé « l’Effondrement ». Celui-ci résulte de la concomitance de plusieurs catastrophes. Ainsi, le pays tombe littéralement sous le déferlement de barbus meurtriers déchaînant une guerre civile et l’apparition simultanée d’une épidémie dévastatrice. À ce double cataclysme s’en ajoute un troisième avec l’insurrection des rats. Celle-ci est dirigée par un ancien surmulot de laboratoire aux yeux rouges et au pelage blanc qui entend fédérer la gent trotte-menu pour se venger de tout ce que l’espèce humaine lui a fait subir, des expériences scientifiques les plus cruelles aux raticides. À mesure que l’homme s’éteint, les animaux s’éveillent et choisissent leur camp. Les chats, sous la conduite éclairée de la première d’entre eux, Bastet du nom éponyme d’une déesse égyptienne, décident de sauver l’humanité des rongeurs. Il ne s’agit pas, cependant, de rétablir le monde d’avant mais de bâtir une nouvelle civilisation, celle des chats pour laquelle Bastet n’envisage rien moins que la « félicité », concept de culture supérieure des félins construit sur le mot « felis » (chat en latin). Pour réaliser son destin exceptionnel la chatte recrute comme premier conseiller, son amant Pythagore aussi érudit que timoré dans l’action.

Une première lecture, d’abord linéaire, permet d’apprécier un roman d’aventures au rythme trépidant. On est envoûté par l’imagination exubérante de l’auteur qui réussit un tour de force : susciter l’éclat de rire presque permanent du lecteur dans un univers post-apocalyptique éminemment stressant. Les observations de l’héroïne sur les humains, en particulier sur leurs pratiques sexuelles, sont désopilantes et pourtant frappées au coin du bon sens de la « félicité » ! Néanmoins, arrêter son opinion à ce stade, celui de la pure récréation, serait négliger l’essentiel. La substance profonde du récit, naturellement, est ailleurs.

Le lecteur, selon son érudition propre, s’efforcera d’extraire la substantifique moelle d’une histoire haute en couleur qui mélange avec brio un monde dystopique et l’atmosphère burlesque d’une fable.

Bastet, personnage principal, est « une chatte de trois ans à longs poils, à la fourrure blanche harmonieusement constellée de taches noires… » (p. 16). Très intelligente, c’est une séductrice née à qui on ne peut résister. C’est un peu l’éternel féminin, une maîtresse femme ayant une très haute opinion d’elle-même. L’humilité n’est pas son fort même si elle sait parfois reconnaître ses manques, mais in petto s’entend ! Imaginative à souhait, elle sait autant charmer qu’affirmer son autorité sans faire mystère du peu de considération qu’elle a pour autrui. Raisonnant en féline sur la société humaine, ses réflexions souvent effrontées emportent l’enthousiasme du lecteur. C’est ce qui permet à WERBER de rejoindre LA FONTAINE, pour défendre très adroitement une morale. Celle-ci n’est pas assenée abruptement mais suggérée, avec beaucoup d’élégance, tout au long du récit. Il faut se battre pour acquérir la Connaissance ce qui a pour corollaire une lutte constante contre le fanatisme.

C’est, en quelque sorte, la leçon de la marche vers la civilisation, le combat du savoir opposé à l’ignorance. Pour ce faire, il faut reconnaître à Bastet, une envergure dans la pensée qui dépasse de beaucoup celle des hommes puisque son projet, qu’elle qualifie – toujours modeste – de grandiose se résume à « FAIRE COMMUNIQUER ENTRE ELLES TOUTES LES ESPÈCES. »

Après le divertissement et l’apologue, il faut nécessairement envisager la portée politique du roman. L’auteur, sans jamais les nommer, décrit, sans aucune ambiguïté possible, les criminels barbus qui sont la cause première de « l’Effondrement ». Ces enragés assassinent des enfants dans les rues et massacrent en meute des « imberbes (le plus souvent moins nombreux et moins déterminés) » (p. 23). Ils portent une barbe noire et attaquent en scandant toujours une même phrase. Nous sommes là en pleine actualité, et nul besoin d’être grand clerc pour deviner de qui il s’agit…

Toutefois, l’étude symbolique des noms des principaux personnages est riche d’enseignements et accentue, quoique subtilement, la dénonciation du fanatisme religieux. Si on ignore le nom du chef des barbus, on connaît, en revanche, celui des humains qui leur résiste – avec Bastet – : Philippe Sarfati, scientifique reconnu, dont le patronyme signifie « France » en hébreu. Signalons aussi le « gardien de la mémoire » – entendons le savoir de l’Humanité – qui s’appelle Roman Wells, allusion plaisante au romancier de science-fiction Herbert George Wells.

On peut associer Bastet l’Égyptienne, Pythagore le Grec et Sarfati l’Hébreu à un triangle qui pourrait être celui de la Connaissance, celle de la tradition initiatique. D’aucun y verront naturellement un delta lumineux… À cette lumière, on opposera l’obscurité des hommes à la barbe noire qui tentent de détruire ce qui reste de savoir avec un slogan qui devient idiot dans leur bouche : « Dieu est plus fort que la science ».

Ennemie acharnée de l’espèce Homo sapiens, la masse brune des rats s’avère moins bêtes que les barbus ! Fanatique mais disciplinée, elle s’est rassemblée sous l’étendard d’un rattus albinos au regard incandescent. Il se nomme Tamerlan et constitue l’avatar achevé de son éponyme humain. Authentique suppôt de Satan, l’émir des surmulots a bien compris que pour triompher il lui fallait obtenir toute l’érudition humaine. Celle-ci est entièrement rassemblée dans un tout petit objet (clin d’œil très probable au film Lucy de Luc Besson avec Scarlett Johansson) mis au point par Sarfati et que Bastet porte à son cou. Ce précieux pendentif est l’ESRA qui signifie Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Il faudrait d’ailleurs non pas cabaler mais « kabbaler » sur les différentes explications ésotériques de cet acronyme qu’on retrouve tout au long des pages et parfois sous les formes ESRAC (C pour « chats ») ou ESRAE (E pour « étendue »). Il faut ici laisser le lecteur se prendre au jeu des conjectures…

Roman à clefs, Sa majesté des chats peut se prêter à d’infinies spéculations. Interrogeons-nous, par exemple, sur les rôles joués par les autres espèces animales dans cette saga échevelée. L’attitude des porcs et des oiseaux n’est pas précisément celle à laquelle on pouvait s’attendre.

Bien entendu, nous pourrions encore prolonger la réflexion sur le rôle discret, mais important, des nombres dans le récit. Le chiffre « 3 » y tient naturellement une place particulière. Relevons, par exemple, que le roman comprend trois grandes parties. Ce sont respectivement : Une belle utopie, Troisième Œil et L’humour, l’art l’amour. Bref tout un programme ! Signalons enfin le numéro de Tamerlan lorsqu’il n’était encore qu’un rat de laboratoire, « 366 ». C’est, à un chiffre près, le nombre de la bête (« 666 »). Quod erat demonstrandum ne manqueront pas de conclure certains exégètes…

N’en doutons point, cet auteur talentueux est à la fois un initié et un cabaliste, fin connaisseur de l’Arbre de vie. Mais il y a encore plus dans cette anticipation publiée en 2019 ; il y a la pandémie ! Aussi osons nous interroger sur la véritable nature de Bernard WERBER. Est-il voyant, est-il prophète ?

Winston BELMONTE (le 28 mars 2021)

Un grand merci à Alexandre et Simon, deux Fils de la lumière sans tablier.

 






Présentation de la saga par l'éditeur audio : 

Sa majesté des chats :

Un jour, vous les humains, vous comprendrez que nous les chats devons prendre votre place. Alors moi, Bastet, je serai votre rein

La planète des chats :

Réfugiée à New York, la petite communauté dirigée par la chatte Bastet est recueillie par les derniers Américains repliés dans des buildings. Dehors, les rats grouillent, plus forts et organisés que jamais. Bastet doit rallier derrière elle des hommes qui ont beaucoup de mal à se mettre d'accord pour combattre ensemble.

Demain les chats :

Pythagore, chat de laboratoire appareillé pour se connecter avec les ordinateurs enseigne à Bastet, jeune chatte Montmartroise, à communiquer avec les humains pour tenter de leur faire prendre conscience de la violence de leur société.

Corinne Masiero en Botticelli

 Pour demander la liberté de l'art et parler des violences contre les enfants au César, Masiero en Botticelli ....








Corinne Masiero en Peau d'Ane

 Bravo a Corinne Masiero pour avoir parlé de l'inceste par le costume de Peau d'Ane, dommage de n'arriver à capter l'attention sur la menace d'etre a la rue qu'en se dénudant #CorinneMasiero

Merci à Corinne Masiero de dire et rappeler que les violences mènent là où celles qu'elle a subi l'ont mener, et de montrer que l'on peut aller mieux, malgré les blessures et les diverses formes de mutilations définitives qui en sont la conséquence.



Masiero Corinne Interview

 

https://youtu.be/RpkgSP8H00A

 Passage à écouter dans la video,

ci dessous transcription partielle (mauvaise transcription) :

 

 


pourquoi vous aviez on de ce que vous

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étiez c'est pour des raisons qui

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n'intéresseront pas beaucoup de gens ici

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me bats parce que la vie fait que on

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rencontre des gens pas forcément bien

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intentionnés défauts qui font mal sans

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même s'en rendre compte train s'en

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rendre compte c'est voilà on entend des

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choses et puis on subit des choses pas

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je veux dire on est nombreux ici je suis

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sûre que sur chaque rangée toutes les

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trois personnes c'est que quelqu'un qui

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a vécu un truc pas cool dans l'enfance

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quoi bah c'est ce qui m'est arrivé donc

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tout ça fait que à un moment donné je me

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suis dit effectivement j'ai qu'une merde

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je suis je suis bonne came faire fourrer

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j bone qui associe cas cela je vous dis

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ça avec les mots de maintenant quand on

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est môme évidemment réfléchis pas comme

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ça et je pense que tout ça fait que sas

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mais chut pop si je vais pas expliquer

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de machin mais il se trouve qu'à un

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moment donné ben voilà ça donne

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j'ai honte de ce que je suis et je sais

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peut-être pas bien de donner à voir au

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jour où jean ça n'importe rien mais

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quand vous dites que vous êtes libérés

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sur le plateau que la danse vous avez

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découvert la liberté du corps c'était

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une éducation très c'était très violent

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très sévère très violent c'était chez

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moi

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ouais ah non pas du tout non non non moi

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je viens d'une famille de coco des deux

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côtés où c'était non non non c'était au

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contraire

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en plus on était à ath et anticlérical

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potes sont chez nous comme on disait

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machin d'ailleurs mon quand j'étais

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petit dans le bled où j'étais on était

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la seule famille pour aller à la messe

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The infectious hypocrisy of the ultra-majority Feminist Movement

The infectious hypocrisy of the ultra-majority Feminist Movement Anyone who does not seek the causes leading people to criminal acts, while claiming to fight such acts, is complicit in it. By refusing to investigate all the causes of the crimes committed by people claiming them in the name of their "religion", by refusing to study the content of the ideology of Islam on standards of conduct, by asserting without having done this study, that there would be no link between this ideology and these standards, we are complicit in the dissemination of this ideology and therefore of the crimes likely to be committed as a result of this dissemination. The filthy hypocrisy of the ultra-majority Feminist Movement is to refuse to study the norms, legal and moral, ordering or permitting crimes against children and sexists crimes, included in Islamic law, while claiming to lament these crimes. In reality, the current majority Feminist Movement has nothing to do with the fate of the victims of these crimes, and prefers to ensure the comfort and advantages associated with the apology of Islam, word being understood in its proper sense, that of the Islamic religion and not of all of its followers or supposed followers. The leaden cover that this conduct of the Feminist Movement places on the victims, by denying one of the major causes of the violence against them, is an additional violence against them, a vile betrayal. The filthy prostitution of militant conformism, which allows all the glory and other advantages of activism to be had, at the expense of the vulnerable people who are precisely claimed to be defending. To make things clear, I will precise the following points: 1 - in no case should there be any confusion between the judgment made on a doctrine and the judgment made of people supposed to have a link with it, and who are each only responsible for their own actions 2 - it is advisable to distinguish in what is called "religion": faith / belief and norms, concerning faith, applies the (French) Declaration of 1789 "no one can be worried about his opinions", (one cannot reproach someone for believing in something, it is first absurd before being unjust) concerning norms, there is the duty of moral judgment to bear on the norms contained in all doctrines, religions included, therefore the duty to study them closely.

Anyone who does not seek the causes leading people to criminal acts, while claiming to fight such acts, is complicit in it. By refusing to investigate all the causes of the crimes committed by people claiming them in the name of their "religion", by refusing to study the content of the ideology of Islam on standards of conduct, by asserting without having done this study, that there would be no link between this ideology and these standards, we are complicit in the dissemination of this ideology and therefore of the crimes likely to be committed as a result of this dissemination. The filthy hypocrisy of the ultra-majority Feminist Movement is to refuse to study the norms, legal and moral, ordering or permitting crimes against children and sexists crimes, included in Islamic law, while claiming to lament these crimes. In reality, the current majority Feminist Movement has nothing to do with the fate of the victims of these crimes, and prefers to ensure the comfort and advantages associated with the apology of Islam, word being understood in its proper sense, that of the Islamic religion and not of all of its followers or supposed followers. The leaden cover that this conduct of the Feminist Movement places on the victims, by denying one of the major causes of the violence against them, is an additional violence against them, a vile betrayal. The filthy prostitution of militant conformism, which allows all the glory and other advantages of activism to be had, at the expense of the vulnerable people who are precisely claimed to be defending. To make things clear, I will precise the following points: 1 - in no case should there be any confusion between the judgment made on a doctrine and the judgment made of people supposed to have a link with it, and who are each only responsible for their own actions 2 - it is advisable to distinguish in what is called "religion": faith / belief and norms, concerning faith, applies the (French) Declaration of 1789 "no one can be worried about his opinions", (one cannot reproach someone for believing in something, it is first absurd before being unjust) concerning norms, there is the duty of moral judgment to bear on the norms contained in all doctrines, religions included, therefore the duty to study them closely.

L’infecte hypocrisie du Mouvement Féministe ultramajoritaire 8 mars 2021

 

L’infecte hypocrisie du Mouvement Féministe ultramajoritaire


Toute personne qui ne cherche pas les causes poussant des personnes à des actes criminels, alors qu’elle prétend combattre ces actes, s’en rend complice.

En refusant de rechercher toutes les causes des crimes commis par des personnes les revendiquant au nom de leur « religion », en refusant d’étudier le contenu de l’idéologie de l’islam sur les normes de conduite, en affirmant sans avoir fait cette étude, qu’il n’y aurait pas de lien entre cette idéologie et ces normes, on se rend complice de la diffusion de cette idéologie et donc des crimes susceptibles d’être commis en raison de cette diffusion.

L’infecte hypocrisie du Mouvement Féministe ultramajoritaire est de refuser d’étudier les normes, juridiques et morales, ordonnant ou permettant des crimes contre les enfants et des crimes sexistes, incluses dans la loi islamique, tout en prétendant se lamenter de ces crimes.

En réalité, le Mouvement Féministe majoritaire actuel n’a rien à faire du sort des victimes de ces crimes, et préfère s’assurer du confort et des avantages liés à l’apologie de l’islam, mot étant entendu dans son sens propre, celui de la religion islamique et non de l’ensemble de ses adeptes ou supposés adeptes.

La chape de plomb que fait peser sur les victimes cette conduite du Mouvement Féministe, en niant une des causes majeures des violences contre elles,  est une violence supplémentaire contre elles, une infecte trahison.

L’immonde prostitution du conformisme de militants, qui permet d’avoir tous les avantages de la gloire et autres du militantisme, au dépens des personnes vulnérables que l’on prétend justement défendre.

Pour que les choses soient bien claires, je précise encore les points suivants :

1 – en aucun cas il n’y a à confondre le jugement porté sur une doctrine et le jugement porté sur des personnes supposées avoir un lien avec elle, et qui ne sont responsables chacune que de leurs propres actes

2 – il convient de distinguer dans ce qui est appelé « religion » : la foi/croyance et les normes,

concernant la foi, s’applique la Déclaration de 1789 : « Nul ne peut être inquiété pour ses opinions », (on ne peut pas reprocher à quelqu’un de croire à quelque chose, c’est d’abord absurde avant d’être injuste)

concernant les normes, existe le devoir de jugement moral à porter sur les normes contenues dans toutes les doctrines, religions comprises, donc le devoir de les étudier de près.


elisseievna

Loi sur le séparatisme : la vraie mesure devrait être tout autre !

Loi sur le séparatisme : la vraie mesure devrait être tout autre !



Aujourd'hui, le gouvernement défend une loi sur le séparatisme religieux.

Emplâtre sur une jambe de bois. 

L'islam est une doctrine de guerre, conçu à partir de razzias, élaborée durant des siècles de guerre, une guerre ayant commencé sous les ordres du fondateur de cette religion. 

Pour moi, les mesures à prendre dans cette situation doivent tenir compte à la fois :

- de la conception universaliste de l'être humain qui est que toute personne est intrinsèquement libre, non déterminée, que chaque personne a sa propre histoire, personnalité, situation, opinions et que ses opinions et jugements pourront varier au cours de sa vie au fur et à mesure de ses réflexions, et que par conséquent, aucun jugement collectif ne peut être porté sur des groupes de personnes, 

- et des phénomènes de groupes, qui font que des rapports de force existent tant entre les groupes humains qu'à l'intérieur de chaque groupe. 

Aujourd'hui, les pauvres des pays non musulmans et musulmans sont victimes des profits des plus puissants, qui utilisent l'islam pour exercer leur pouvoir, et il existe une inégalité au détriment des relativement plus pauvres des pays non musulmans, qui sont victimes des agressions des musulmans fanatisés ou ayant une mentalité de colons (c'est a dire de ceux parmi les musulmans qui ont cette mentalité et cette volonté ): les musulmans peuvent vivre dans les deux types de pays et échapper aux conséquences de leurs agressions en s'abritant en pays musulmans, les non musulmans n'ont rien d'autre que leur propre pays, et sont réduits à en fuir de plus en plus de territoires pour échapper aux violences.

Dans quelques décennies, si les mouvements sociaux et démographiques se poursuivent, les générations d'Europe ayant organisé et profité de la politique d'immigration, c'est a dire à la fois des immigrés et des générations futures en créant notamment en France une dette publique largement créée par des prestations, seront morts et leurs descendants, les plus jeunes européens seront devenus des minorités ou des majorités réprimées  sous la loi imposée par leurs ainés, lorsqu'elles usent de leurs forces pour se défendre, et seront persécutés comme les chrétiens d'orient et d'afrique le sont dans la plupart des pays musulmans, sans aucun pays pour se réfugier. 

La situation actuelle est déjà et sera de plus en plus une situation d'inégalité au détriment des européens de vieille souche, sauf ceux convertis à l'islam, une situation de non réciprocité sur le plan international, au détriment des mêmes. En effet le droit en vigueur dans les deux catégories d'Etats souverains ne respectent en aucune façon la réciprocité des droits, puisque le droit basé sur le Coran décide que le non musulman est inférieur au musulman et doit être abaissé et combattu. 

L'autre hypothèse, heureuse, serait un vaste mouvement d'émancipation par rapport à l'islam dans le monde actuellement musulman, à commencer par les jeunes français et européens dont les ancêtres viennent de pays musulmans, mouvement parfaitement possible, auquel rien ne s'oppose, et qui s'est produit d'ailleurs partiellement, mais trop partiellement. 

C'est pourquoi, les vraies mesures de base doivent être - tant que l'islam est la référence constitutionnelle et la religion majoritaires dans nombre d'Etats du monde - en vue de mettre fin à ces inégalité et non réciprocité  :

- l'interdiction de toute expression publique d'adhésion à cette religion, tout en préservant la liberté de foi et de conduite privée, et tout en refusant toute discrimination sur la seule base de la foi des personnes, 

car la doctrine de l'islam a le même contenu essentiel que le nazisme, il doit être interdit d'expression non contradictoire, non critique, ainsi que ses signes d'appartenance, à raison de l'article 17 de la convention de sauvegarde des droits humains, comme l'a été le nazisme 

sur le fondement du principe de réciprocité en usage dans le droit international,  l'interdiction de toute immigration de personnes issues de pays musulmans et de familles non persécutées là bas à raison de leur religion autre que musulmane, ainsi que le refus de donner la nationalité française à leurs descendants, lesquels n'auront de droit de séjour conservés qu'en cas d'absence d'infractions pénales, 

car d'une part en raison du droit islamique, les personnes censées être musulmanes selon ce droit, soit les descendants d'un père musulmans et les convertis à l'islam, ont le devoir de combattre pour imposer l'islam dès lors qu'elles sont dans un rapport de force favorable, ( loi coranique rappelée par le livre " le Manifeste islamique" du président bosniaque Izetbegovic, traduit en français), et par conséquent, l'effet de notre politique d'immigration est qu'une pression sociale s'exerce de plus en plus dans le groupe social des personnes issus de pays sous loi musulmanes pour qu'elles combattent dans le chemin d'allah, et donc commettent des infractions pénales diverses dans ce but,

et car d'autre part, la responsabilité des français en âge de voter est engagée par la politique d'immigration suivie jusqu'à présent par leurs dirigeants politiques, politique dont le résultat évident a été de créer cette évolution du rapport de forces physiques, matérielles, financières, plaçant le groupe social de plus en plus nombreux des personnes dont la loi islamique indique qu'elles sont musulmanes, dans la situation d'être rappelées à leur devoir de guerre sainte contre les non musulmans, 

aucune personne respectueuse des lois française ne peut se voir reprocher individuellement la situation actuelle en France, ou en Europe, il n'y a eu aucune invasion par des forces armées d'un pays musulman au cours de ce siècle, où par contre l'inverse s'est plusieurs fois produit contre des pays musulmans, par conséquent les personnes qui vivent paisiblement en France après avoir perdu nombre de chance de pouvoir subsister dans leur pays d'origine sur la foi des promesses contenues dans notre politique d'immigration et de naturalisation, ne devraient pas se voir menacées par des politiques de "remigration" oublieuses des engagements résultant des décisions antérieures des électeurs français,

 mais elles doivent par contre contribuer comme les autres personnes vivant en France à la résolution de l'inégalité de fait et de droit résultant du choix des Etats musulmans de se référer à la loi coranique,qui donne un privilège à leurs enfants sur les enfants d'origine européenne chrétienne ou d'autre orgine non musulmane, inégalité qui empiète également de plus en plus sur leurs propres libertés dès lors qu'elles souhaitent vivre hors du joug de la loi islamique,

sur le fondement du principe de réciprocité en usage dans le droit international,  par ailleurs, étant donné que le droit musulman ordonne de considérer comme frères membre d'une même nation les autres musulmans ( "le musulman est le frere du musulman"), les français de vieille ascendance europeenne qui se seraient convertis à l'islam, étant par là membre des diverses patries des Etats dont la constitution reconnait l'islam comme norme supreme, et qui auraient commis des crimes ou delits contre des français ou résidents en France, pourraient être déchus de leur nationalité et interdits de territoire, sans bafouer l'interdit de rendre apatride une personne, puisqu'elles ont acquis le titre de membre de la oumma, de la nation islamique en ses différents Etats.

Par ailleurs, je republie un des articles que j'avais écrit en 2011, toujours d'actualité, sur l'islam et les personnes vivant sous son joug

elisseievna

4 fevrier 2021



J’écris encore, malgré les menaces, en pensant aux musulmans qui veulent se débarrasser de l’islam

Publié le 26 décembre 2011 - par Elisseievna -

«  Si quelqu’un te dit qu’il veut te tuer : crois le ! »

Si je continue à écrire, malgré le chantage qui est exercé sur moi actuellement par des salopards vicieux, avec mise en danger de mort ( Ah si les islamistes pouvaient nous débarrasser d’elle …, ah quel plaisir de faire durer la menace), des tueurs de juifs par acte de complicité, qui osent s’intituler antifascistes et anti-antisémitisme (!), pour que je me taise et pour que je cesse de dire la vérité sur les textes fondamentaux de l’islam, c’est parce que je pense, non seulement à l’avenir de mon peuple, menacé aujourd’hui à nouveau de génocide (Voir entre autres : https://ripostelaique.com/un-livre-digne-de-mein-kampf-soutenu-par-la-france-et-l%E2%80%99algerie.html, voir les menaces de Téhéran contre Israel, entre autres signes d’alerte …) , mais aussi à tous ( je dis “tous”, je suis certaine qu’ils sont nombreux et nombreuses !), ces ex-musulmans, seuls, terrés, croyants ou pas, risquant leur vie dès qu’ils envoient la moindre bouteille à la mer : il faut qu’ils puissent entendre notre voix, il faut qu’ils puisse nous lire et garder l’espoir. Je veux aussi que les musulmans qui en sont au point de « chercher » réellement soit une réforme qu’ils croient possible, soit ce qu’ils doivent eux personnellement croire et penser de l’islam, sachent que nous sommes « avec eux » dans leur effort d’honnêteté intellectuelle, de lucidité, même si moi ou d’autres, pensons connaitre la conclusion à laquelle cette recherche les mènera et qui peut-être les « choque » aujourd’hui.

Aux esprits mesquins qui osent dire que les juifs critiqueraient l’islam à cause d’Israël ou, selon une nième théorie du complot, dans le but de dresser les peuples les uns contre les autres pour dominer le monde, je répondrai trois choses.

1 – la biographie de Mahomet n’est qu’une série d’assassinats et de guerres contre les juifs qui, à l’époque, habitaient une Arabie tolérante : la haine islamique des juifs n’a donc rien à voir avec l’Etat ressuscité d’Israel,

2 – les juifs n’ont jamais répondu à la guerre par la guerre, et quantité d’entre eux, dont moi, ont toujours lutté contre le racisme envers les peuples soumis à l’islam et contre les agressions réelles contre les musulmans, contre les discriminations réelles « anti-musulmans »

3- lire la traduction ci-dessous de l’interview de Nonie Darwish, égyptienne et fils d’un général qui organisait des attentats anti-juifs dans les années 50.

 « Je crois qu’il n’y a qu’un seul pays au Moyen- Orient qui veut la paix : c’est Israël. Le sujet de la pauvreté est très important pour moi. Les Palestiniens sont arabes oui ou non ? Est-ce que les Arabes ont de l’argent oui ou non ? C’est Israël qui a de l’argent ou les arabes ? Qu’est-ce que les arabes font de leur argent ? Beaucoup de pays arabes sont riches. Honte sur eux de ne pas utiliser leur argent pour donner du travail aux Palestiniens, de ne pas construire des entreprises, des Universités en Judée-Samarie et à Gaza. Tout l’argent des Arabes sert à propager la terreur et à financer le terrorisme. L’argent arabe devrait servir à soutenir les Arabes en judée-Samarie et à Gaza, cela ne relève pas de la responsabilité d’Israël, c’est une responsabilité qui échoit aux Arabes, la pauvreté n’est qu’une excuse. Honte soit sur l’argent des Arabes qui sert uniquement  à entretenir le Jihad. »

« Que Dieu bénisse Israël car Israël est un si petit pays. Si vous regardez  la carte, vous pouvez difficilement voir Israël, parce que Israël est si petit. Et si vous regardez cet immense territoire occupé par les Arabes, qui comprend tant de terre, vous vous dites que  les Arabes n’ont pas besoin de terre. Ils ont besoin de compassion, de liberté, pour profiter de leur terre. »

Quant à ceux  qui multiplient les procès abusifs en « incitation à la haine raciale » contre les critiques des textes de l’islam, voici ce qu’en pense un palestinien chrétien, plus critique d’Israël pour sa part :  ce sont des « auxilliaires de la justice islamique », plus précisément : « Les pays musulmans veulent que l’Occident ait une bonne idée d’eux pour différentes raisons. Ils peuvent acheter les dirigeants politiques en Occident et tentent aussi d’acheter le silence des intellectuels. (…)Ceux qui n’ont pas peur de l’islam ou fustigent les sceptiques face à l’islam sont des ignorants, des lâches, des téméraires, des idiots utiles, des vendus ou des auxiliaires de la justice islamique qui veut la condamnation pénale des critiques de l’islam. Je vous laisse l’embarras du choix. ».

 

Voici donc ce qu’essaie de vous dire un Pakistanais :

http://liberatednow.blogspot.com/2011/12/this-is-what-islam-does-to-you.html

Saturday, Décembre 24, 2011

Ce que l’Islam vous fait

Je suis né dans une famille sunnite très typique musulman, pas très conservatrices comme les Arabes, mais néanmoins assez religieux. Je suis né à Karachi, au Pakistan dans une famille très respectable Mohajjir (mohajjirs sont des immigrants de l’Inde de l’époque de la partition en 1947). J’ai déménagé dans un autre pays musulman avec mes parents quand j’avais tout juste 10 ans et j’y vit toujours.

Je souhaite vraiment pouvoir d’une manière ou d’une autre vivre librement dans une société libre où j’ai puisse la religion que je veux sans aucune contrainte. Jusqu’ici, je ne suis pas vraiment sûr de ce que je suis. Je sais juste que je ne suis pas athée, parce que je crois en un Dieu, mais que Dieu ne peut pas être l’Allah de Mahomet. Dieu est clément et miséricordieux, pas mal, cruel, sadique et dire, comme l’est Allah.

Avez-vous jamais lu le Coran en anglais? Je ne l’avais jamais fait, je veux dire toute ma vie j’avais récité le Coran en arabe sans comprendre un seul mot jusqu’au mois d’août de cette année, quand j’ai acheté un exemplaire du Coran en anglais et lu la traduction pour la première fois. Auparavant j’avais lu certaines parties de celui-ci en anglais, mais jamais tout entier. Mais cette année, au mois d’août je l’ai lu d’un bout à m’autre, puis aussi d’autres références sur l’Internet. Puis je suis finalement arrivé à la conclusion que ce livre est la chose la plus mauvaise de cette terre. Il n’enseigne rien d’autre que la haine et la violence. Je ne peux plus faire partie d’un culte qui subjugue ses adeptes, les rendant de simples marionnettes aveugles avec aucun esprit propre.

Au cours des quatre derniers mois, je n’ai rien fait d’autre que lire, lire et lire. Je passe des heures par jour à lire Ali Sina et à regarder des vidéos de David Wood et d’autres qui essaient de leur mieux d’expliquer l’Islam au monde. J’ai lu « 23 ans » par Ali Dashti. Les meilleurs d’entre tous sont « Comprendre Muhammad » d’Ali Sina et bien sûr Robert « Truth About Muhammad ». Ce genre de livres sont interdits ici, mais j’ai réussi à trouver le livre de Robert sur iBook, donc je l’ai acheté et juste fini de le lire hier.

Je ne sais pas comment m’y prendre. Je veux dire : je veux rester anonyme, mais en même temps, j’ai besoin d’aide. Je ne veux pas être tué simplement parce que je suis assez courageux pour dire la vérité. Je suis vraiment dans le pétrin terrible. Je ne veux pas perdre ma vie juste parce que je ne crois plus en cette religion mauvaise.

Dimanche dernier je suis allé à l’église ici et j’ai assisté à la messe. Puis je suis allé voir le curé et lui a demandé de l’aide. Il a dit que ses mains étaient liées et qu’il ne pouvait vraiment rien faire pour m’aider, parce que quand ils avaient d’abord obtenu la permission de construire une église dans ce pays, ils ont dû accepter de quelques termes et conditions avec le gouvernement ici. L’un d’eux était de ne pas convertir quiconque de l’islam. Il a dit si quelqu’un le découvre, l’église serait fermée et qu’il allait probablement finir en prison.

Le prêtre a dit qu’il ne pouvait pas m’aider personnellement, mais que j’étais plus que bienvenu pour assister à la messe et de m’asseoir tranquillement à l’arrière. Il a dit: «Ne pas parler à n’importe qui ou ne pas révéler qui vous êtes.” C’est une bonne idée, mais franchement, je ne suis pas sûr si je veux le faire chaque semaine, parce que dimanche dernier, j’ai vu pas mal de voitures de police encerclant le locaux de l’église, et je suis vraiment effrayé. Que faire si quelqu’un vérifie mon identité ou de quelque chose? Ils seraient probablement fermer l’église et me mettre en prison, et peut-être même m’exécuter. Ma vie sera en danger si quelqu’un découvre que j’ai quitté l’islam.

J’ai une amie, une jolie jeune fille du Maroc qui vit aussi ici et travaille avec moi. Elle aussi a renoncé à l’Islam récemment, mais elle est aussi très peur de sa vie. C’est ce que l’islam fait de vous. Lorsque vous êtes dans l’islam, votre vie n’est rien que la crainte de l’enfer, et une fois que vous le quitter, elle n’est pas moins l’enfer parce que vous avez constamment peur de perdre votre vie. »

Elisseievna