Pr Luc Montagnier et A. Henrion-Caude : 1er janvier 2022

 Interview a écouter ici :

https://odysee.com/@Flash:3/Doctothon-04:d

Lors du Doctothon du 1er janvier 2022

Luc Montagnier

1^er janvier 2022

Minute 24 a 35

 

Je me rejouis d’abord de cette réunion qui montre qu’il y a au moins une partie de la France qui se réveille. On peut dire : qui ne marche pas sur la tête. C’est ce qu’on a constaté depuis des mois, presque maintenant deux ans, en France, on marche sur la tête. Alors la France se réveille. Elle essaie de redresser les choses. Donc je me réjouis de cette réunion, qui a accueilli beaucoup de médecins et aussi de non médecins, et qui va peut-être réussir à remettre les choses en place, en France et dans le monde après, mais surtout en France.

Alors ce que je voudrais dire c’est que la voie choisie par les autorités du gouvernement et une partie de l’opinion, c’est une voie sans issue. C’est une voie qui fait appel à des vaccins, à des vaccins entre guillemets parce que ce ne sont pas de vrais vaccins, mais ces vaccins ne protègent pas de la transmission du virus,  ces vaccins ne protègent pas des effets secondaires importants, ils ont au contraire des effets secondaires très dangereux, et il faut choisir une autre voie. Donc moi je fais appel à l’intelligence.

Alors il faut savoir que l’intelligence c’est nous qui l’avons mais aussi notre ennemi, le virus, les virus, ces virus sont intelligents, et ils montrent actuellement qu’ils gagnent en intelligence, sur l’intelligence des gens qui nous gouvernent.

Alors en ce qui concerne les vaccins. Les vaccins sont faits pour induire une immunité, une mémoire contre le virus. Mais il y a déjà quelque chose qui manque au départ, c’est le fait que ce virus est aidé par des bactéries, par des bactéries du microbiote, de l’intestin notamment, pas seulement des bactéries pulmonaires. Et ces bactéries, c’est un laboratoire italien qui l’a récemment montré, peuvent augmenter considérablement la multiplication du virus, produire davantage de particules virales. Donc si on n’agit pas sur ce facteur, on agit très peu sur la maladie.

Et c’est pour ça d’ailleurs, que l’équipe du Professeur Raoult à Marseille, a si bien réussi : parce qu’ils ont adopté justement une méthodologie déjà utilisée en Chine et peu connue : utiliser au départ, dès le départ, dès les premiers signes de l’infection un antibiotique puissant, un macrolythe, tel que l’azitromycine. Et tout ceci change. Si vous êtes traités par l’azitromycine, et bien vous avez peu de chance d’évoluer vers des formes graves et des répétitions. D’ailleurs je peux expliquer cela et pourquoi après.

Mais en tout cas donc, la première des choses, c’est de traiter les gens infectés, de les traiter par des antibiotiques et maintenant avec aussi l’ivermectine.

Voilà, alors cela c’est une première chose qui est complètement oubliée. Et tant que l’élite entre guillemets médico bureaucratique va rester au vaccin, et bien les choses iront de plus en plus mal.

Alors pourquoi les vaccins font ils des choses si mauvaises ?

Non seulement donc ils ne protègent pas, mais ils causent des effets secondaires très graves. Pourquoi ? Alors parce qu’il y a là une faute d’intelligence, une naïveté terrible. C’est que les ingénieurs moléculaires des grandes compagnies pharmaceutiques ont cru bon d’utiliser l’ARN messager codant pour la protéine principale de fixation du virus, ce qu’on appelle la spike protéine. Donc en faisant des messages de l’ARN, enrobés de lipide, de telle façon qu’ils vont partout dans le corps. Ils ne vont pas rester au point d’injection, ils vont partout être retransformés, repris par des macrophages, des cellules et finalement arriver dans des centres absolument vitaux du corps, notamment le cœur, mais aussi le cerveau, et là ils font des dégâts.

Et on voit aujourd’hui ces dégâts apparaître, même seulement deux semaines après la deuxième injection d’ ARN messager. Ce qui montre qu’une maladie qui normalement pourrait prendre des mois, peuvent être grâce a l’excès qui est donné, peuvent apparaitre à quelques semaines après l’injection.

Et donc nous faisons face par exemple à une maladie extrêmement grave qui correspond a ce que nous appelions il y a quelques années la vache folle, c’est la maladie de Creutzfeld Jacob, et il y a maintenant, nous comptons huit cas autour de nous, donc il y a probablement beaucoup plus à l’échelle nationale, mais ceci est sous déclaré et caché, car normalement cette maladie prend des mois pour se déclarer et là elle se déclare au bout de deux semaines. Alors on dit «  O mais non c’est pas la même maladie ». Si c’est la même maladie qui est liée à un excès de produit toxique, et quel est le produit toxique :  c’est la protéine du virus elle-même.

C’est cela la naïveté, la naïveté des gens, c’est croire que si on fait beaucoup de protéine dans le corps, on va faire beaucoup d’anticorps etc etc. On va faire surtout beaucoup de dégâts. Car cette protéine va se balader dans certains organes, notamment la rate, et aussi remonter au cœur et surtout aussi encore plus, au cerveau.

Et là il y a aussi dans cette protéine, cette fameuse protéine du virus, une petite région, qui est capable de former des prions. Alors les prions c’est quoi ? Ce sont des protéines, des molécules, qui ont changé de conformation, qui au lieu d’avoir des structures en hélice font des structures en couches, qui s’accumulent les unes sur les autres, qui se collent les unes sur les autres, formant des agrégats insolubles. Et ces agrégats tuent les neurones, tuent les cellules. Et c’est ce qui arrive maintenant dans cette maladie de Creutzfeld Jacob.

Non seulement ce sont des protéines injectées, du virus, mais les protéines nouvellement formées par l’ARN messager dans le corps, et ces protéines vont de proche en proche, changer de conformation, de telle façon que le cœur va souffrir beaucoup, et c’est la mort malheureusement …

Alors il est possible aussi que ces protéines puissent être diffusées dans d’autres personnes qui n’ont pas été injectées. Donc voilà un danger majeur, que je signale. Que nous signalons, quelques-uns, nous sommes en nous.

Et c’est un devoir d’arrêter des inoculations, c’est un devoir sinon nous sommes des complices de meurtres, de meurtres de personnes jeunes, d’enfants bientôt aussi.

Voilà, c’est vraiment quelque chose qu’il faut faire arrêter immédiatement, immédiatement.

Alors je voudrais dire aussi, puisque nous sommes en période électorale, que la population humaine, la populations française doit se diviser en deux. Ceux qui croient au vaccin et ceux qui ne croient pas au vaccin. Et moi je suis parmi ceux qui ne croient pas au vaccin. Il y a des solutions médicales, ordinaires, que les médecins connaissent bien, qui permettent d’empêcher, pas empêcher tous les effets secondaires des inoculations, mais en tout cas de les réduire.

Voila, alors donc c’est un appel que je fais aux électeurs, à mes confrères, à mes amis citoyens, c’est de ne pas voter pour les personnes, pour les candidats qui veulent penser à la vaccination obligatoire.

Je répète : ces vaccins ne sont pas vraiment des vaccins, ils ont des produits toxiques. La protéine de surface en grande quantité est toxique. Donc il ne faut pas se vacciner. Il faut arrêter. Donc vous pouvez voter pour les candidats qui n’accepteront pas la vaccination obligatoire, qui accepterons le refus de la vaccination obligatoire.