Pourquoi il est vain de « soutenir les musulmans modérés »
Beaucoup de politiciens ou intellectuels nous poussent à « soutenir les musulmans modérés ».
Pour parler de cette question, il faut d’abord savoir ce que l’on entend par ces mots.
Si l’on veut définir un « musulman modéré » par le fait d’adhérer à un « islam modéré », on a une grande difficulté puisque l’islam modéré n’existe pas. Par contre on peut définir comme « musulman modéré » des gens qui pensent adhérer à un « islam modéré », lui même défini selon eux comme un islam qui serait compatible avec la démocratie.
En Angleterre comme 40% des musulmans sont pour l’instauration de la charia, ils seraient au plus 60%. En France sans doute plus, car nous avons moins valorisé le multiculturalisme et son éclatement normatif.
On peut distinguer deux catégories de personnes supposées à la musulmanes et modérées : les intellectuels et les gens ordinaires.
Le plus important est ce que nous faisons vis à vis de la masse des gens ordinaires.
La meilleure façon qui existe aujourd’hui de « soutenir » les gens ordinaires qui pensent pouvoir être à la fois musulmans et démocrates : c’est de les détromper.
Autrement, ce sont les « anti-islam », tous ceux qui disent que l’islam n’est pas compatible avec la démocratie, qui font réellement le plus pour soutenir les gens ordinaires « musulmans ».
Il est en effet primordial de faire comprendre à ces gens ordinaires, nos concitoyens, que s’ils pensent pouvoir conserver à la fois une identité musulmane, et les libertés de nos démocraties, ils se trompent lourdement. Il faut qu’ils prennent conscience que s’ils ne s’opposent pas aux projets de développement d’enseignement de l’islam à leurs enfants, de multiplication des mosquées, ou des dérogations au droit commun en faveur d’élements de la loi islamique, ils finiront par perdre les libertés dont ils jouissent, eux et encore plus leurs enfants.
Prenons un exemple pratique. A la radio une musulmane réputée « modérée », expliquait à l’attention de parents musulmans, ce qu’il fallait faire selon elle pour éviter que leurs enfants ne tombent dans le fanatisme. Selon elle, la tentation mise en avant par les « islamistes » à l’attention des jeunes, serait celle d’avoir du pouvoir, d’avoir le droit d’utiliser la violence. Selon elle aussi l’islamisme serait un phènomène analogue à celui des sectes, et il faudrait que les parents surveillent les réactions de leurs enfants pour déceler des signes d’une attirance de leurs enfants pour les tentations de cette secte.
Ces recommandations sont totalement ineptes. La tentation que cette femme musulmane décrit, c’est celle de l’islam lui-même, et ce qui risque de pousser des jeunes esprits, à qui on aurait inculqué qu’ils « sont » musulmans, vers la tentation du pouvoir et de la violence, c’est tout simplement l’enseignement du coran et du « beau modèle » de Mahomet.
Le vrai conseil à donner à des parents serait de se renseigner par eux-même sur l’islam, et d’en présenter un enseignement critique à leurs enfants, en les délivrant surtout de cette obligation (par respect pour leurs parents, leur famille..) de s’identifier à l’islam.
L’exemple de cette intellectuelle montre bien la vanité d’un « soutien aux musulmans modérés » : si cette femme est honnête, et n’est pas dans le « pieu mensonge » islamique, elle est dans l’erreur. Les intellectuels musulmans qui se disent modérés, sont au mieux dans l’erreur : il est donc parfaitement vain de chercher une solution dans le soutien à des gens dont les analyses sont fausses.
En réalité, le seul effet des démarches consistant à « attendre » une solution de ces intellectuels là, est de faire perdre du temps à la défense de la démocratie, et d’en faire gagner à ceux des musulmans militants qui pendant ce temps-là, continuent à endoctriner les jeunes, surtout, mais aussi les autres « musulmans », à les réislamiser.
« La vérité seule vous sauvera » : nul besoin d’être « chrétien » pour comprendre cette évidence.
Dire la vérité sur l’islam est le seul moyen d’aider et de soutenir tout le monde, les non-musulmans qui doivent se réveiller, comme les musulmans de bonne foi.
Elisseievna
Why it is vain « to support the moderate Moslems »
Many politicians or intellectuals urge us « to support the moderate Moslems ».
To speak about this question, it is necessary to know at first what we understand by these words.
If we want to define a " moderate Moslem " by the fact of adhering to a " moderate Islam ", we have a big difficulty because the moderate Islam does not exist. On the other hand we can define as " moderate Moslem ", people who think of adhering to a " moderate Islam ", him even defined according to them as an Islam which would be compatible with the democracy.
In England as 40 % of the Moslems are for the institution of the sharia, they would be at most 60 %. In France doubtless more, because we less valued the multiculturalism and its normative explosion.
We can distinguish two categories of persons supposed muslim and moderated: the intellectuals and common people.
The most important is what we make face to face of the mass of common people.
The best way which exists today "to support" common people who think they can be Moslem and democratic at the same moment: it is to disabuse them.
Otherwise, it is the "anti-Islam", all those who say that the Islam is not compatible with the democracy, who really make most to support the “moslem” common people.
It is indeed essential to make understand to these common people, our fellow citizen, that if they think they can keep at the same time a Moslem identity, and the liberties of our democracies, they make a heavy mistake. They have to become aware that if they do not oppose to the projects of development of education of the Islam to their children, the reproduction of mosques, or the infringements in the common law in favour of elements of the Islamic law, they will eventually lose the liberties which they enjoy, them and even more their children.
Let us take a practical example. On the radio a "moderate" renowned Moslem, explained for the attention of Moslem parents, what it was necessary to do according to her to avoid that their children fall in the fanaticism. According to her, the temptation advanced by the "Islamists" for the attention of the young people, would be that of the power, that to have the right to use the violence. According to her too the Islamism would be a phenomenon similar to that of sects, and the parents would have to watch the reactions of their children to reveal signs of an attraction of their children for the temptations of this sect.
These recommendations are totally inept. The temptation which this Moslem woman describes, it is that of the very Islam, and what risks to push young spirits, in whom one would have inculcated that they "are" Moslem, towards the temptation of the power and the violence, it is simply the education of the coran and the " beautiful model " of Mahomet.
The true advice to be given to the parents would be to inquire by them-selves about the Islam, and to present a critical education to their children, by freeing them especially from this obligation (by respect for their relatives, their family) to become identified with the Islam.
The example of this intellectual shows well the vanity of a " support for the moderate Moslems »: if this woman is honest, and is not in the " pious islamic lie » she is in the error. The Moslem intellectuals who say themselves moderated, are in best in the error: it is thus perfectly vain to look for a solution in the support of people whose analyses are false.
Really, the only effect of the method consisting in "waiting" for a solution of these intellectuals, is to make waste time in the defence of the democracy, and to let the militant Moslems win all this time, to continue to indoctrinate the young people, especially, but also the other "Moslems", to re-Islamize them.
« Only the truth will save you »: no need to be "Christian" to understand this evidence.
To say the truth on the Islam is the only mean to help and to support everybody, the non-Moslems who have to wake up, as the honest Moslems.
Elisseievna
Beaucoup de politiciens ou intellectuels nous poussent à « soutenir les musulmans modérés ».
Pour parler de cette question, il faut d’abord savoir ce que l’on entend par ces mots.
Si l’on veut définir un « musulman modéré » par le fait d’adhérer à un « islam modéré », on a une grande difficulté puisque l’islam modéré n’existe pas. Par contre on peut définir comme « musulman modéré » des gens qui pensent adhérer à un « islam modéré », lui même défini selon eux comme un islam qui serait compatible avec la démocratie.
En Angleterre comme 40% des musulmans sont pour l’instauration de la charia, ils seraient au plus 60%. En France sans doute plus, car nous avons moins valorisé le multiculturalisme et son éclatement normatif.
On peut distinguer deux catégories de personnes supposées à la musulmanes et modérées : les intellectuels et les gens ordinaires.
Le plus important est ce que nous faisons vis à vis de la masse des gens ordinaires.
La meilleure façon qui existe aujourd’hui de « soutenir » les gens ordinaires qui pensent pouvoir être à la fois musulmans et démocrates : c’est de les détromper.
Autrement, ce sont les « anti-islam », tous ceux qui disent que l’islam n’est pas compatible avec la démocratie, qui font réellement le plus pour soutenir les gens ordinaires « musulmans ».
Il est en effet primordial de faire comprendre à ces gens ordinaires, nos concitoyens, que s’ils pensent pouvoir conserver à la fois une identité musulmane, et les libertés de nos démocraties, ils se trompent lourdement. Il faut qu’ils prennent conscience que s’ils ne s’opposent pas aux projets de développement d’enseignement de l’islam à leurs enfants, de multiplication des mosquées, ou des dérogations au droit commun en faveur d’élements de la loi islamique, ils finiront par perdre les libertés dont ils jouissent, eux et encore plus leurs enfants.
Prenons un exemple pratique. A la radio une musulmane réputée « modérée », expliquait à l’attention de parents musulmans, ce qu’il fallait faire selon elle pour éviter que leurs enfants ne tombent dans le fanatisme. Selon elle, la tentation mise en avant par les « islamistes » à l’attention des jeunes, serait celle d’avoir du pouvoir, d’avoir le droit d’utiliser la violence. Selon elle aussi l’islamisme serait un phènomène analogue à celui des sectes, et il faudrait que les parents surveillent les réactions de leurs enfants pour déceler des signes d’une attirance de leurs enfants pour les tentations de cette secte.
Ces recommandations sont totalement ineptes. La tentation que cette femme musulmane décrit, c’est celle de l’islam lui-même, et ce qui risque de pousser des jeunes esprits, à qui on aurait inculqué qu’ils « sont » musulmans, vers la tentation du pouvoir et de la violence, c’est tout simplement l’enseignement du coran et du « beau modèle » de Mahomet.
Le vrai conseil à donner à des parents serait de se renseigner par eux-même sur l’islam, et d’en présenter un enseignement critique à leurs enfants, en les délivrant surtout de cette obligation (par respect pour leurs parents, leur famille..) de s’identifier à l’islam.
L’exemple de cette intellectuelle montre bien la vanité d’un « soutien aux musulmans modérés » : si cette femme est honnête, et n’est pas dans le « pieu mensonge » islamique, elle est dans l’erreur. Les intellectuels musulmans qui se disent modérés, sont au mieux dans l’erreur : il est donc parfaitement vain de chercher une solution dans le soutien à des gens dont les analyses sont fausses.
En réalité, le seul effet des démarches consistant à « attendre » une solution de ces intellectuels là, est de faire perdre du temps à la défense de la démocratie, et d’en faire gagner à ceux des musulmans militants qui pendant ce temps-là, continuent à endoctriner les jeunes, surtout, mais aussi les autres « musulmans », à les réislamiser.
« La vérité seule vous sauvera » : nul besoin d’être « chrétien » pour comprendre cette évidence.
Dire la vérité sur l’islam est le seul moyen d’aider et de soutenir tout le monde, les non-musulmans qui doivent se réveiller, comme les musulmans de bonne foi.
Elisseievna
Why it is vain « to support the moderate Moslems »
Many politicians or intellectuals urge us « to support the moderate Moslems ».
To speak about this question, it is necessary to know at first what we understand by these words.
If we want to define a " moderate Moslem " by the fact of adhering to a " moderate Islam ", we have a big difficulty because the moderate Islam does not exist. On the other hand we can define as " moderate Moslem ", people who think of adhering to a " moderate Islam ", him even defined according to them as an Islam which would be compatible with the democracy.
In England as 40 % of the Moslems are for the institution of the sharia, they would be at most 60 %. In France doubtless more, because we less valued the multiculturalism and its normative explosion.
We can distinguish two categories of persons supposed muslim and moderated: the intellectuals and common people.
The most important is what we make face to face of the mass of common people.
The best way which exists today "to support" common people who think they can be Moslem and democratic at the same moment: it is to disabuse them.
Otherwise, it is the "anti-Islam", all those who say that the Islam is not compatible with the democracy, who really make most to support the “moslem” common people.
It is indeed essential to make understand to these common people, our fellow citizen, that if they think they can keep at the same time a Moslem identity, and the liberties of our democracies, they make a heavy mistake. They have to become aware that if they do not oppose to the projects of development of education of the Islam to their children, the reproduction of mosques, or the infringements in the common law in favour of elements of the Islamic law, they will eventually lose the liberties which they enjoy, them and even more their children.
Let us take a practical example. On the radio a "moderate" renowned Moslem, explained for the attention of Moslem parents, what it was necessary to do according to her to avoid that their children fall in the fanaticism. According to her, the temptation advanced by the "Islamists" for the attention of the young people, would be that of the power, that to have the right to use the violence. According to her too the Islamism would be a phenomenon similar to that of sects, and the parents would have to watch the reactions of their children to reveal signs of an attraction of their children for the temptations of this sect.
These recommendations are totally inept. The temptation which this Moslem woman describes, it is that of the very Islam, and what risks to push young spirits, in whom one would have inculcated that they "are" Moslem, towards the temptation of the power and the violence, it is simply the education of the coran and the " beautiful model " of Mahomet.
The true advice to be given to the parents would be to inquire by them-selves about the Islam, and to present a critical education to their children, by freeing them especially from this obligation (by respect for their relatives, their family) to become identified with the Islam.
The example of this intellectual shows well the vanity of a " support for the moderate Moslems »: if this woman is honest, and is not in the " pious islamic lie » she is in the error. The Moslem intellectuals who say themselves moderated, are in best in the error: it is thus perfectly vain to look for a solution in the support of people whose analyses are false.
Really, the only effect of the method consisting in "waiting" for a solution of these intellectuals, is to make waste time in the defence of the democracy, and to let the militant Moslems win all this time, to continue to indoctrinate the young people, especially, but also the other "Moslems", to re-Islamize them.
« Only the truth will save you »: no need to be "Christian" to understand this evidence.
To say the truth on the Islam is the only mean to help and to support everybody, the non-Moslems who have to wake up, as the honest Moslems.
Elisseievna