La police de Macron tire pour blesser et mutile

Je copie ici deux articles, sur les blessés par tir, dont des personnes mutilées au visage :







Gilets jaunes, bilan provisoire des morts et blessés

DES VIOLENCES POLICIÈRES STRUCTURELLES ORDONNÉES D’EN HAUT, BASTA !
par Camille Pierrette.
Mis à jour le mardi 25 décembre 2018

“Jamais je n’aurais pensé, surtout à Biarritz, que ça tirerait au flash-ball” - Lola Villabriga, 18 ans, a été blessée par un tir de flash-ball lors de la manifestation à Biarritz mardi 18 décembre, en marge de la visite du ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. - Lola a subi une triple fracture de la mâchoire et a perdu deux dents.

Des photos de « l’ordre républicain », des photos des « compatriotes » que la police « protège »
Il est temps que ça finisse non ? Combien de mains coupées ? Combien d’yeux crevés ? Combien de tabassés, matraqués, gazés ? Un jeune toulousain est toujours dans le coma. Une femme de 80 ans a été tuée à Marseille, etc. Et si, aux yeux de Macron, cela importe peu car il ne s’agit que de victimes parmi « ceux qui ne sont rien », toutes les personnes sensées, décentes, devraient crier Basta ! Un gouvernement aussi barbare, aussi autoritaire, ce n’est pas tolérable.

Bilan provisoire (établi jusqu’au 8 décembre...)

Voici les morts et blessés dus à la répression violente des forces de police aux ordres du régime. Le gouvernement avait demande aux policiers d’y aller fort, ils ont obéis pour la plupart (CRS et BAC surtout) avec zèle.
A cette liste, il faut aussi ajouter les 10 morts sur les routes et ronds points, et là aussi sans doute des blessés.

ZINEB REDOUANE, 80 ans, a été tuée par une grenade lacrymogène reçue en plein visage à Marseille le 1er décembre 2018.
JEROME H. a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 à Paris le 24 novembre 2018.
PATRICK, a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 à Paris le 24 novembre 2018.
ANTONIO, 40 ans, vivant à Pimprez, a été gravement blessé au pied par une grenade GLI F4 à Paris le 24 novembre 2018.
GABRIEL, 21 ans, apprenti chaudronnier vivant dans la Sarthe, a eu la main arrachée par une grenade GLI F4 à Paris le 24 novembre 2018.
SIEGFRIED, 33 ans, vivant près d’Epernay, a été gravement blessé à la main par une grenade GLI F4 à Paris le 24 novembre 2018.
MAXIME W., a été brûlé à la main et a perdu définitivement l’audition à cause d’une grenade GLI F4 à Paris le 24 novembre 2018.
CEDRIC P., apprenti carreleur vivant à la Possession (Réunion), a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 à la Possession le 27 novembre 2018.
GUY B., 60 ans, a eu la mâchoire fracturée par un tir de LBD 40 à Bordeaux le 1er décembre 2018.
AYHAN, 50 ans, technicien Sanofi vivant à Joué-les-Tours, a eu la main arrachée par une grenade GLI F4 à Tours le 1er décembre 2018.
BENOIT, 29 ans, a été gravement blessé à la tempe par un tir de LBD 40 à Toulouse le 1er décembre 2018. Il a été placé dans le coma pour 15 jours, sa vie est en danger.
MEHDI, 21 ans, a été gravement blessé lors d’un passage à tabac à Paris le 1er décembre 2018.
MAXIME I., 40 ans, a eu une double fracture de la mâchoire à cause d’un tir de LBD 40 à Avignon le 1er décembre 2018.
FREDERIC R., 35 ans, a eu la main arrachée par une grenade GLI F4 le 1er décembre 2018 à Bordeaux.
DORIANA, 16 ans, lycéenne vivant à Grenoble, a eu le menton fracturé et deux dents cassées par un tir de LBD 40 à Grenoble le 3 décembre 2018.
ISSAM, 17 ans, lycéen vivant à Garges les Gonesse, a eu la mâchoire fracturée par un tir de LBD 40 à Garges-les-Gonesse le 5 décembre 2018.
OUMAR, 16 ans, lycéen vivant à Saint Jean de Braye, a eu le front fracturé par un tir de LBD 40 à Saint Jean de Braye le 5 décembre 2018.
JEAN-PHILIPPE L., 16 ans, a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 le 6 décembre 2018 à Bézier.
RAMY, 15 ans vivant à Vénissieux, a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 ou une grenade de désencerclement à Lyon le 6 décembre 2018.
ANTONIN, 15 ans, a eu la mâchoire et la mandibule fracturées par un tir de LBD 40 à Dijon le 8 décembre 2018.
THOMAS, 20 ans, étudiant vivant à Nîmes, a eu le sinus fracturé par un tir de LBD 40 à Paris le 8 décembre 2018.
DAVID, tailleur de pierre vivant en région parisienne, a eu la maxillaire fracturée et la lèvre arrachée par un tir de LBD 40 à Paris le 8 décembre 2018.
FIORINA L., 20 ans, étudiante vivant à Amiens, a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD à Paris le 8 décembre 2018.
ANTOINE B., 26 ans, a eu la main arrachée par une grenade GLI F4 à Bordeaux le 8 décembre 2018.
JEAN-MARC M., 41 ans, horticulteur vivant à Saint-Georges d’Oléron, a perdu son œil droit à cause d’un tir de LBD 40 à Bordeaux le 8 décembre 2018.
ANTOINE C., 25 ans, graphiste freelance vivant à Paris, a perdu son œil gauche à cause d’un tir de LBD 40 à Paris le 8 décembre 2018.
CONSTANT, 43 ans, technico-commercial au chômage vivant à Bayeux, a eu le nez fracturé par un tir de LBD 40 à Mondeville le 8 décembre 2018.
CLEMENT F., 17 ans, a été blessé à la joue par un tir de LBD 40 à Bordeaux le 8 décembre 2018.
NICOLAS C., 38 ans, a eu la main gauche fracturée par un tir de LBD 40 à Paris le 8 décembre 2018.
YANN, a eu le tibia fracturé par un tir de LBD 40 à Toulouse le 8 décembre 2018.
PHILIPPE, a été gravement blessé aux côtes, avec hémorragie interne et fracture de la rate par un tir de LBD à Nantes le 8 décembre 2018
ALEXANDRE F., 37 ans, a perdu son œil droit à cause d’un tir de LBD 40 le 8 décembre 2018 à Paris.
MARIEN, 27 ans, a eu une double fracture de la main droite à cause d’un tir de LBD 40 le 8 décembre 2018 à Bordeaux.
FABIEN, a eu la pommette fendue et le nez fracturé par un tir de LBD 40 le 8 décembre 2018 à Paris.
- Voir aussi les chiffres (incomplets) sur cette carte
- Voir aussi « Face aux “gilets jaunes”, l’action répressive est d’une ampleur considérable » - Le sociologue Fabien Jobard note que le bilan, en termes de blessés, de ce mouvement social est sans précédent depuis Mai 68.



J’ai vu s’effondrer Fiorina, 20 ans, touchée par un tir de Flash-ball : elle a perdu un oeil

Publié le 12 décembre 2018 - par Maxime Jacob - 99 commentaires - 4 425 vues

Sur les Champs-Élysées, suite à un tir de Flash-Ball des CRS. Nous avons rencontré son ami, Maxime Jacob, qui était présent à ses côtés lors du drame…
Riposte Laïque : Pouvez-vous d’abord vous présenter aux lecteurs de Riposte Laïque ?
Maxime Jacob : Né en 1998 dans la région grenobloise, proche de la nature, passionné d’Histoire et de pêche, j’éprouve beaucoup d’intérêt pour l’actualité et la politique, je suis étudiant à Amiens. J’ai vécu jusqu’à mes 18 ans dans un petit village et je me reconnais très bien dans les revendications des Gilets jaunes.
Riposte Laïque : Vous paraissez actif dans le mouvement des Gilets jaunes, depuis le début. Quelles sont vos motivations ?
Maxime Jacob : Mes motivations pour le mouvement des Gilets jaunes sont multiples. Je pense que la France est un pays où les taxes et autres impôts sont trop nombreux, les gens doivent pouvoir vivre dignement de leur travail. Je rajouterai à cela la transition écologique qui est nécessaire, mon opposition au pacte de Marrakech, le manque de représentativité des citoyens dans la vie politique, l’impossibilité d’agir en politique hors des élections, le mépris du président Macron à l’encontre de la France dite périphérique, rurale, un monde qu’il ne connaît pas et que l’on entendait peu jusqu’au 17 novembre.
Riposte Laïque : Quel a été votre investissement, depuis le 17 novembre, première journée de mobilisation ?
Maxime Jacob : Depuis le 17 novembre je suis en réalité peu actif, je suis allé une fois sur un point de blocage et après sur les réseaux sociaux, j’ai soutenu à mon échelle le mouvement, mais samedi 8 décembre, nous sommes allés à Paris.
Riposte Laïque : Samedi, vous êtes donc venu, depuis la Picardie, avec votre amie Fiorina. Le drame s’est produit aux alentours de 14 heures, et votre compagne a été gravement blessée, perdant définitivement un œil. Pouvez-vous nous expliquer dans quelles circonstances cela s’est produit ?
Maxime Jacob : Nous arrivons vers 9 h 30 sur les Champs-Élysées ; à midi nous voulons quitter l’avenue mais les gendarmes mobiles ont ordre de ne laisser sortir personne. Vers 13 h 50 des casseurs s’en prennent à un magasin (le drugstore Publicis) protégé par des panneaux en bois. Ils sont retirés puis incendiés. Nous assistons à la scène de l’autre côté des Champs-Élysées, nous ne pouvons pas nous éloigner plus, il y a d’un côté le cordon de gendarmes mobiles et de l’autre nous sommes acculés contre un mur (au pied de l’hôtel des Maréchaux, l’ambassade du Qatar).
Vers 14 heures, face à nous, il y a une charge de policiers en civil (pour permettre aux pompiers d’intervenir), les casseurs se situent sur leur droite, mais ils tirent des grenades ainsi que des balles de défense (avec les « Flash-Ball ») aussi droit devant eux et à gauche (où nous nous trouvons). Les policiers font délibérément usage de leurs armes contre des manifestants pacifiques, qui ne peuvent pas fuir, qui ne faisaient que regarder la scène et qui ne représentaient aucun danger pour eux.
Fiorina s’effondre, touchée en plein visage, juste sous l’œil. Présent à ses côtés, je me précipite à son chevet, elle perd beaucoup de sang, des manifestants appellent à l’aide et lui prodiguent les premiers secours, pendant que d’autres s’interposent entre les policiers et elle qui gît au sol, en criant aux policiers d’arrêter de tirer au « Flash-Ball » dans notre direction. Les premiers soins lui sont prodigués, puis des Gilets jaunes vont la porter derrière le cordon de gendarmes mobiles. Ensuite, je vais courir chercher un pompier qui préviendra le Samu.
Riposte Laïque : Quel est votre état d’esprit ? Selon vous, pourquoi les policiers vous ont-ils visés, alors que vous étiez éloignés des casseurs ? Considérez-vous que le ministre de l’Intérieur a une part de responsabilité dans ce drame ?
Maxime Jacob : Pour le moment, je suis dépité, je cherche des réponses et j’en veux à plusieurs personnes. Tout d’abord, la personne qui a donné l’ordre de ne laisser sortir personne des Champs-Élysées, puis ensuite aux policiers qui ont délibérément utilisé leurs armes contre des manifestants pacifiques. Rien ne peut justifier cela.
Le ministre de l’Intérieur, voire le président de la République, ont une responsabilité dans ce drame (et dans d’autres de ce samedi 8 décembre) car ils ont demandé explicitement aux forces de l’ordre d’être beaucoup plus répressives que les semaines précédentes envers les manifestants.
Riposte Laïque : Une cagnotte a été ouverte pour venir en aide à Fiorina. Comment nos lecteurs peuvent-ils y participer ?
Maxime Jacob : Ceux qui veulent participer à la cagnotte mise en ligne peuvent le faire en suivant ce lien: https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/45423381/b4fa826f?fbclid=IwAR3BK-LEtiffBFFAKlrD8ncVXab2x9KaNMhF4MdlhD44YOo4ZzmCszgc1lI
Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont déjà participé. Ce grand élan de solidarité nous laisse sans voix, c’est difficile à réaliser qu’une telle somme ait déjà pu être collectée. Fiorina ne peut pas vous remercier pour le moment mais elle le fera quand elle ira mieux. La mobilisation sur les réseaux sociaux pour son soutien est incroyable.
Riposte Laïque : Qu’avez-vous pensé du discours d’Emmanuel Macron, ce lundi ?
Maxime Jacob : Les annonces du président Macron ne sont pas à la hauteur des revendications des Gilets jaunes, il a trop tardé. Je salue la défiscalisation des heures supplémentaires ainsi que la suppression de la hausse de la CSG pour les retraités qui ont une pension inférieure à 2 000 €. Cependant, il doit aller plus loin. La hausse de 100 € du Smic était prévue sur tout le quinquennat ce n’est donc pas une avancée. Il nous a parlé d’immigration sans rien annoncer de concret alors qu’il envoyait signer, en douce, à sa place, un secrétaire d’État, le pacte de Marrakech. Les sujets tels que l’écologie, la remise à plat de la fiscalité, la représentation des citoyens à l’échelle nationale, la participation des citoyens à la vie politique, l’Europe… n’ont pas été traités alors que nous voulons que des mesures soient prises dans ces domaines.
La politique d’Emmanuel Macron favorise les urbains des grandes métropoles, ceux à l’aise dans une France qui change de visage, cosmopolite et tournée vers l’international, mais il oublie complètement ce monde inconnu pour lui et son gouvernement, la France des campagnes. Cette France blanche, populaire, de la classe moyenne, qui travaille dur chaque jour mais qui est écrasée par la fiscalité. Il doit permettre aux Français de pouvoir vivre dignement de leur travail, arrêter de favoriser dans sa politique les grands groupes internationaux et la finance qui ont pour seul objectif de faire des profits et fermer les portes de l’Élysée aux lobbies. Il faut qu’il montre aux Gilets jaunes que, certes, il ne connaît pas leur monde et qu’il ne les comprend pas, mais qu’il est prêt à les écouter et à proposer des mesures concrètes.
Riposte Laïque : Manifesterez-vous de nouveau, samedi prochain ?
Maxime Jacob : Samedi, je serai comme tous les jours au chevet de Fiorina, mais j’appelle les Gilets jaunes à continuer de se mobiliser massivement.
Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, Maxime ?
Maxime Jacob : Je remercie tous ceux qui ont souhaité un bon rétablissement à Fiorina ou qui prennent de ses nouvelles. Elle reste fatiguée pour le moment, mais elle est très touchée par toutes les marques de soutien qui lui sont témoignées.
Propos recueillis par Pierre Cassen

Manifestation antisémite en France


Manifestation antisémite en France, sous Hollande

après un slogan basé sur le geste inventé par Dieudonné ou Soral, sensé représenter le "ras le bol" du rappel du génocide des juifs par les nazis, un autre basé sur l'idée que les juifs veulent dominer la France etc ...

" la quenelle "
" juif, la France n'est pas à toi " ...






Potemkine




M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Qui chante au fond de moi au bruit de l'océan 
M'en voudrez-vous beaucoup si la révolte gronde
Dans ce nom que je dis au vent des quatre vents

Ma mémoire chante en sourdine
Potemkine

Ils étaient des marins durs à la discipline
Ils étaient des marins, ils étaient des guerriers
Et le cœur d'un marin au grand vent se burine
Ils étaient des marins sur un grand cuirassé

Sur les flots je t'imagine
Potemkine

M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où celui qui a faim va être fusillé 
Le crime se prépare et la mer est profonde
Que face aux révoltés montent les fusiliers

C'est mon frère qu'on assassine
Potemkine

Mon frère, mon ami, mon fils, mon camarade
Tu ne tireras pas sur qui souffre et se plaint
Mon frère, mon ami, je te fais notre alcade
Marin ne tire pas sur un autre marin

Ils tournèrent leurs carabines
Potemkine

M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où l'on punit ainsi qui veut donner la mort
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un monde
Où l'on n'est pas toujours du côté du plus fort

Ce soir j'aime la marine
Potemkine.

L'islam, doctrine salope, doctrine nazie, assassine en plein Strasbourg !


Deux morts, une personne en mort cérébrale, des blessés ...

L'islam, doctrine salope, doctrine nazie, assassine en plein Strasbourg !


Un homme massacre place Kleber, par le Pont du Corbeau, au marché de Noël.

Cet homme né à Strasbourg même, et qui tue, ce musulman, est le produit de l'endoctrinement favorisé par tous  les salopards  collaborateurs de l'islam, tous les avocats de l'islam, toutes les putains de l'islam : ils sont encore plus coupables, tous ces profiteurs directs ou indirects, que ce taré endoctriné qui finalement lui perdra probablement la vie .

Salauds, assassins.

Que l'Etat abatte les mosquées, que l'Etat interdise la diffusion des livres de l'islam dans les grandes surfaces comme des petits pains, que l'Etat interdise l'apologie de l'islam sans réponse.
Plus aucune personne en provenance de pays soumis à l'islam ne doit entrer en France.
Les musulmans pacifiques, ceux qui ne commettent pas de violences, ne doivent nullement être inquiétés, ni pour leurs opinions ou croyances, ni pour leurs réunion en famille ou chez eux.
Mais tous les délinquants coupables de violence et  descendants de parents de pays musulmans et de famille musulmanes ou convertis à l'islam, agissent en réalité conformément à la loi islamique et remettent en cause la paix civile, en s'en prenant à des non musulmans, ou à des musulmans pacifiques : ils doivent être déchus de la nationalité et expulsés vers leur nation réelle : la oumma islamique formée par les pays de l'OCI, qui accueilleront leurs frères musulmans.

Sanctuarisons l'Europe.


Gilets jaunes protégeant la flamme du soldat inconnu

https://dai.ly/x6y5y53

Paralyser Bordeaux et l'économie de la France


MAIN BASSE SUR L'ENERGIE

https://www.mainbassesurlenergie.com/

le film à voir absolument  (  voir interview du réalisateur ici :  https://elisseievna.blogspot.com/2018/12/energies-renouvelables-le-casse-du.html )



Depuis 2007, le secteur de l'énergie est entièrement ouvert à la concurrence.
Mais il faut remonter encore dans le temps, à la fin des années 90, pour
connaître une série de lois libérales qui va démembrer pierre après pierre
le service public incarné par EDF et GDF.


Faute d'information, le citoyen lambda mesure mal
les conséquences de cette dérégulation.


La hausse exponentielle des factures, l'accroissement de la précarité énergétique,
sont la partie visible de l'iceberg. La partie immergée, la plus importante, est
peu perceptible. Les médias une fois de plus ne se donnent la peine de l'éclairer.
Et pourtant nos concitoyens seraient en droit d'être un minimum informés sur ce
qu'on peut nommer « un vaste hold-up », qui se déroule sous nos yeux mais en
dehors de notre compréhension.


Peu d'entre nous savent au fond que nous nous sommes mis à remplir
les poches d'une infime minorité et que l'électricité, est devenu en
grande partie un polar de série B.


« Main basse sur l'énergie » se propose de visiter en six épisodes,
à partir du feuilleton culte des années 60, les Incorruptibles,
les années passées où a prospéré en quelque sorte une maffia de l'énergie
avec ses nouveaux gangsters, ses politiciens plus ou moins véreux et ses résistants,
les nouveaux Eliot Ness, garants d'un service public de l'énergie plus que jamais
indispensable.



La ministre et le physicien : L'art de se moquer du monde en direct ... climat et voitures






 The 1973 Nobel Prize co-winner in physics Dr. Ivar Giaever discusses and exposes the "pseudoscience" of global warming (now marketed as "climate change"),

specifically the fraud that carbon dioxide is a driver of climate, the laughable hype comparison of "little frogs versus big humans," and on and on.

His Nobel Prize bio page is here : http://www.nobelprize.org/nobel_prize... For an excellent review of the POSITIVE effects of INCREASED atmospheric carbon dioxide please review three YouTube videos
P2qVNK6zFgE
and
q3Oyl97foy8
and
LPNiBVU2QIA.

  https://www.nobelprize.org/prizes/physics/1973/giaever/biographical/

Vers l’autonomie alimentaire en systèmes herbager et fourrager

Vers l’autonomie alimentaire en systèmes herbager et fourrager

 

Paris 1er décembre 2018

" 11 vaccins = poison "

 " loi Schiappa : pédophilie "




 


Le Média

Gilets jaunes pacifiques appellent au boycott, protestent contre les taxes

Comment on achete une voiture neuve avec un smic ?!! https://nousvoulonsvivre.com/

Taranis News : reportage et RT reportage et Brest Buzz : infiltrations et provocations





Brest Buzz
AXEL AU MICRO DE RT FRANCE J'AI VU DES BANDES DE POLICIERS DÉGUISÉS UNE ANALYSE LUCIDE, ÉCLAIRÉE ET COURAGEUSE DU MOUVEMENT DES GILETS JAUNES -- Mouvement des Gilets Jaunes ► Grève de la faim de 30 jours avec Gepy https://www.youtube.com/watch?v=-A8nw... ► Maxime Nicolle de Dinan et Priscilla Lukosky sur CNEWS Mardi 27 novembre 2018 https://www.youtube.com/watch?v=3PoZs... ► Eric Drouet et Priscillia Ludosky, qui ont rencontré le ministre de la Transition écologique et solidaire mardi soir, appellent les Gilets jaunes à désigner un représentant pour chaque région. https://www.youtube.com/watch?v=RiBub... ► Ingrid LEVAVASSEUR, Eure, Aide-Soignante https://www.youtube.com/watch?v=h_J42... ► Je voudrais connaître votre salaire Madame La Ministre (Maxime NICOLLE à Emmanuelle VARGON) https://www.youtube.com/watch?v=UyGaD... ► Gilets Jaunes - La grande Explication - Le point Goldwin avec Romain GOUPIL et Claire O'PETIT https://www.youtube.com/watch?v=x-1HL... ► Structuration du mouvement Gilets Jaunes avec Maxime NICOLLE et Eric DROUET https://www.youtube.com/watch?v=97iiI... ► Axel sur RT France - Video infiltrations de police dans les manifestations de Gilets Jaunes https://www.youtube.com/watch?v=7jYFa... --


Chateau de Vizille



 château de Vizille, près de Grenoble, où commença la révolution française lors de la "journée des tuiles".

Indécence de hauts fonctionnaires ...

... et on ose parler de la corruption en Russie ...

La préfecture en flamme au Puy en Velay

Sans approuver les violences, on constate le désespoir face à un Etat sourd, face à un président qui se fiche du monde, et prépare la privation de voiture, la privation de chauffage pour les plus pauvres

Pendant que l'on nous montre les pillages de magazins parfaitement protégeables à Paris, pour faire croire à un mouvement de "ploucs", d'autres ramassent les poubelles et d'autres s'en prennent à l'Etat sans rien piller.


 






Gilets jaunes ...

Les casseurs ou les black bocks : dehors ! La police pourrait les arrêter avant qu'ils ne nuisent, la manipulation du pouvoir est grossière.


 Medecin

pas de retraite
petits revenus
pas de medecin
trop de vaccins pour les bébés ...



blocages
rungis



blocage
se faire entendre



camions
gilets jaunes
prix du gazoil





blocage frontière








retraité des mines manifeste comment changer sa voiture quand on gagne 1000 €

 

 étudiant


 à Saint Pierre


 à PSA



 jacline mouraud 900 €


Jimmy 8000 € la chaudière à fioul


 Caen   " école de la misère école de la colère"

La fausse politique dite écologique

La fausse politique dite écologique

Tout le monde comprend que ce n'est pas en taxant les conducteurs obligés d'utiliser la voiture pour travailler, emmener les enfants à l'école et aller chez le médecin ou faire leurs courses, que l'on stoppera la consommation de carburants fossiles. Il faut arrêter de se moquer du monde.

La fausse politique dite écologique est celle du pouvoir actuel ( et pour l'essentiel celle des pouvoirs antérieurs de droite comme de gauche ).

Elle consiste à :

- ne présenter AUCUN PLAN B réellement écologique et pratiquable, aucun PLAN B A LONG TERME, notammment de CONSTRUCTION D'INFRASTRUCTURES PUBLIQUES réellement écologiques,
comme : les canaux, les pistes cavalières, les relais cavaliers, les moulins à vent, les voiliers,
car ces solutions alternatives ne favorisent aucun des lobbys économiques privés actuels - qui pourtant pourraient participer à leur développement,
preuve que leurs leaders n'ont pas ou très peu d'idées à par se remplir les poches le plus vite possible

- promouvoir des produits nouveaux, chers, présentés comme écologiques alors qu'ils sont encore plus consommateurs d'énergies
car ces produits sont encaissés par les lobbys économiques privés actuels

- utiliser pour cela des études scientifiques (ex GIEC) dont le contenu réel est bien plus prudent que la présentation que les politiciens en font

- expédier les matériels dits polluants ... aux pays moins riches
par exemple les voitures diesels parfaitement en état de marche.

Il s'agit donc d'accélérer la croissance et les profits immédiats, dont certes une partie se concrétisent par des salaires et des intérêts versés aux épargnants, mais selon un mode d'économie des plus dangereux à plus long terme, favorisant surtout l'augmentation des richesses des plus riches, et qui n'a en réalité rien d'écologique.

Race et génétique : Quelle tambouille, quel conformisme, quel tas de bêtises !


 Les propos de cette scientifiques sont révoltants, parce que soit elle a subi des pressions énormes qui ont fait qu'elle a perdu une forme de capacité de réfléchir, soit elle joue la carte conformiste.
 Le fait qu'une telle pression existe, en raison des manquements des préposés officiels à la philosophie et en raison surtout, de notre aspiration générale à ne pas trop réfléchir, et à préparer les pensées simples et rassurantes, est révoltant.
 Paresse, conformisme, absurdité.

 Non, le mot race n'implique pas de supériorité.
 Non, le mot race n'implique pas de schématisation des personnalités ou d'attribution arbitraires ou généralisées de caractères ou qualités à des races.

 Ces deux confusions relèvent du magma de confusion stupide qui nous est servi à longueur de médias et de discours militants, et qui servent exactement à l'opposé de ce qu'il parait servir.
 Au nom du refus du fascisme nazisme, qui est une théorie à la fois scientiste et pourtant religieuse, c'est à dire une théorie prétendant nier la morale en soi, et la lire dans la science, on nous assène une autre théorie scientiste, soit disant inversée.
Mais le scientisme reste le scientisme c'est à dire la négation de la morale, la négation de la conception de l'être humain libre, et donnera toujours raison au nazisme. La bêtise dépasse parfois les bornes de l'entendement.

Décider que tout être humain a en soi la même valeur, ou que tel ou tel humain ou groupe d'humain n'a pas autant de valeur qu'un autre, est un choix moral. La science n'a rien à dire la dessus. Le mot de race relève du vocabulaire scientifique taxinomique, et ne change rien à la liberté de choix moral sur la valeur des personnes humaines.


Evelyne Heyer professeur en anthropologie génétique au Muséum National d'histoire Naturelle

Féminisation : La violence commence par les mots


Féminisation : La violence commence par les mots

A quelques jours d’intervalles, le Sénat vient de voir une confrontation entre une Ministre, Brune Poirson, et un sénateur, Gérard Longuet, au sujet du féminin des titres, et le Figaro publie une interview de deux hommes linguistes, prétendant qu’il faut être dans un « délire d’intellectuel » pour croire que l’orthographe peut empêcher « un salopard de battre sa femme ».  (http://www.lefigaro.fr/vox/culture/2018/11/23/31006-20181123ARTFIG00187--imaginer-que-modifier-l-orthographe-va-empecher-un-salopard-de-battre-sa-femme-c-est-un-delire-d-intellectuels.php )

La Ministre a parfaitement raison de sermonner le muffle qui par deux fois tente de la rabaisser en la nommant improprement. ( mardi 20 novembre 2018, https://www.lci.fr/politique/appelez-moi-madame-la-ministre-quand-brune-poirson-reprend-gerard-longuet-a-la-volee-2105248.html )

Car la violence physique commence et est encouragée par l’humiliation verbale : la violence commence par les mots.

Pour ignorer le lien entre la violence verbale et la violence physique, il faut être complètement déconnecté de la réalité des violences conjugales, qui commencent pratiquement toutes par des humiliations morales.

La grammaire française accorde le genre grammatical du nom et des adjectifs, avec le sexe de l’être vivant désigné. Telle est la règle connue de tous. Et toutes.

Lorsque l’être humain désigné n’est une personne en particulier, mais un ensemble de personnes, par exemple toutes les personnes pouvant remplir telle fonction, il peut être pratique d’utiliser une autre règle grammaticale, celle qui veut que les énoncés soient réduits au plus court et concis, dès lors que le sens est clair. D’où l’emploi de la version plus courte, sans suffixe du mot : la version masculine.

Mais il peut être également important d’utiliser la règle de politesse qui veut que l’on s’adresse à un public sans en ignorer ostensiblement une partie. D’où l’emploi des formules d’adresses doubles, au début d’un texte ou d’un discours : Mesdames, Messieurs, Le ou la Sénatrice …

Quand un homme « masculinise » le titre d’une femme, cette femme se voit ostensiblement dénié le titre correspondant à sa fonction, elle est publiquement ridiculisée par le travestissement.

Désigner des femmes remplissant des fonctions sous un nom mis au masculin est une humiliation publique visant à leur faire sentir qu’elles ne sont pas légitimes dans leurs fonctions, et une menace lancée à toutes les femmes, visant à leur faire comprendre qu’elles ne doivent pas espérer être longtemps encore acceptées dans ces fonctions, qui seraient par nature masculines.

L’année dernière, une circulaire de Edouard Philippe, a enjoint aux administrations d’accorder les textes au « genre » à la personne désignée. Bien que je regrette l’utilisation de ce mot pour parler du sexe des personnes, bien que le dernier paragraphe, commençant par l’expression « en revanche », (voir ci-dessous le texte de cette circulaire ) puisse faire croire que la féminisation serait contraire à la grammaire, j’approuve également cette circulaire.

Elisseievna
25 novembre 2018


Extrait des échanges entre Brune Poirson et Gérard Longuet :
Mardi 20 novembre
Le sénateur LR Gérard Longuet a, à deux reprises au sein de son allocution, appelé Brune Poirson, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, "Madame le ministre", mardi 20 novembre au Sénat. 

Réponse de la membre du gouvernement: "Monsieur le sénateur, je veux bien croire que votre langue a fourché : on dit Madame la ministre."
Et alors que Brune Poirson compte visiblement en rester là pour aborder le fond du sujet, Gérard Longuet renchérit, dans une réponse inaudible en dehors des micros. La ministre reprend : "Vous voulez qu'on rentre dans ce débat-là, je suis désolée mais je vous demande de m'appeler Madame la ministre, c'est comme ça." 

Nouvelle interruption. "Non ! Je ne veux pas que vous m'appeliez 'chère amie', je veux que vous m'appeliez madame LA ministre. Comment pouvez-vous prétendre répondre et parler au nom des Français ? Vous parlez d'une aspiration des Français, mais une aspiration des Français, c'est l'égalité femmes-hommes, Monsieur le sénateur. (...) Je fais comme vous, parfois, je profite d'une tribune pour parler d'un tout autre sujet et en l'occurrence, là, il est ancré dans la réalité : je vous demande de m'appeler Madame LA ministre, le débat est clos, c'est comme ça et pas autrement." 

Gérard Longuet répond à la ministre : "Bah je ne vous appellerai plus alors !"



JORF n°0272 du 22 novembre 2017
texte n° 4


Circulaire du 21 novembre 2017 relative aux règles de féminisation et de rédaction des textes publiés au Journal officiel de la République française

NOR: PRMX1732742C
ELI: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/circulaire/2017/11/21/PRMX1732742C/jo/texte

Le Gouvernement est résolument engagé dans le renforcement de l'égalité entre les femmes et les hommes. Son action dans ce domaine passe à la fois par des mesures concrètes, que la secrétaire d'Etat chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes a pour mission de proposer dans l'ensemble des politiques publiques et par une démarche éducative et culturelle à laquelle se rattache la lutte contre les stéréotypes qui freinent le progrès vers une égalité plus réelle.
Dans les actes administratifs, vous veillerez à utiliser les règles suivantes :

- Dans les textes réglementaires, le masculin est une forme neutre qu'il convient d'utiliser pour les termes susceptibles de s'appliquer aussi bien aux femmes qu'aux hommes.
- Les textes qui désignent la personne titulaire de la fonction en cause doivent être accordés au genre de cette personne. Lorsqu'un arrêté est signé par une femme, l'auteure doit être désignée, dans l'intitulé du texte et dans l'article d'exécution, comme « la ministre », « la secrétaire générale » ou « la directrice ».
- S'agissant des actes de nomination, l'intitulé des fonctions tenues par une femme doit être systématiquement féminisé - sauf lorsque cet intitulé est épicène - suivant les règles énoncées par le guide d'aide à la féminisation des noms de métier, titres, grades et fonctions élaboré par le Centre national de la recherche scientifique et l'Institut national de la langue française, intitulé « Femme, j'écris ton nom… ».
- Suivant la même logique, je vous demande de systématiquement recourir, dans les actes de recrutement et les avis de vacances publiés au Journal officiel, à des formules telles que « le candidat ou la candidate » afin de ne pas marquer de préférence de genre.
- En revanche, je vous invite, en particulier pour les textes destinés à être publiés au Journal officiel de la République française, à ne pas faire usage de l'écriture dite inclusive, qui désigne les pratiques rédactionnelles et typographiques visant à substituer à l'emploi du masculin, lorsqu'il est utilisé dans un sens générique, une graphie faisant ressortir l'existence d'une forme féminine. Outre le respect du formalisme propre aux actes de nature juridique, les administrations relevant de l'Etat doivent se conformer aux règles grammaticales et syntaxiques, notamment pour des raisons d'intelligibilité et de clarté de la norme.

Je vous remercie de veiller à la bonne application de ces principes par l'ensemble des services placés sous votre autorité.

Edouard Philippe



Suisses le votation du 25 novembre : votez contre les arrêts de la CEDH contraires aux droits des enfants




Les aberrations de la CEDH contre les droits des enfants

En Suisse, demain 25 novembre 2018, aura lieu une votation sur la question : «  Le droit suisse au lieu de juges étrangers » ou « initiative pour l'autodétermination ».
J’appelle les Suisses à manifester à cette occasion leur désapprobation des décisions aberrantes de la Cour Européenne des Droits de l’Homme concernant la protection des enfants.
Deux violences contre les enfants sont indirectement niées, donc renforcées par CEDH :
-          La « pédophilie », pour employer le terme le plus courant désignant les violences sexuelles contre les enfants,
-          L’usage de « mères porteuses », appelée aussi « gestation pour autrui » (GPA), en anglais « Surrogacy ».

Dans cinq arrêts rendus contre la France, la CEDH a reproché à la France de ne pas inscrire dans l’Etat civil français la filiation paternelle d’enfants nés sous contrat de mères porteuses ( dernièrement : « Affaire Foulon et Bouvet contre France , Strasbourg 21 juillet 2016, requêtes n° 9063/14 et 10410/14).
On comprend bien sur que la Cour demande à la France d’inscrire tous les enfants à l’Etat civil, mais la question est de savoir quelle filiation doit être reconnue.
Un homme qui utilise une femme pour porter des enfants et une autre pour procurer un œuf, afin d’ « avoir » un enfant né de ses gênes, et de l’élever loin de ces deux femmes, est il un « père » ?
La filiation biologique doit être reconnue comme une filiation juridique ?
Je réponds non et non.
Car un tel homme organise d’emblée une quadruple violence contre l’enfant :
-          une violence obstétricale, car les risques en cas de différence génétique entre femme et fœtus, sont accrus, et les grossesses sous « GPA » souvent plus courtes,
-          une violence périnatale, car un nouveau-né n’est pas équipé pour être arraché à sa mère, à la femme qui l’a portée pendant toute la grossesse,
-          un trouble d’identité,
-          un trouble affectif et de communication, car l’enfant confié à son père biologique ne pourra pas facilement dire son éventuelle souffrance à celui là même qui l’a organisée.
Or lorsqu’un adulte est violent envers « son » enfant biologique, il doit être déchu de ses droits parentaux.
En aucun cas, il ne devrait être possible d’inscrire à l’Etat civil, de reconnaître socialement, une filiation qui repose intrinsèquement sur l’organisation de multiples violences contre un enfant, sous prétexte qu’il existe une filiation biologique.
C’est pourquoi la France s’est opposée jusqu’à présent aux inscriptions de filiations de pères biologiques ayant utilisé des « mères porteuses ».
Mais pour la CEDH, ces violences là n’existent pas, manifestement. Ses arrêts n’en font pas état. Seul importe réellement pour elle la génétique.
Que représente cette jurisprudence ?  Une régression terrible. Une déshumanisation. La jurisprudence actuelle de la CEDH est un retour au « pater familias » dans une version encore plus « biologisante », et sexiste, éliminant la dimension proprement humaine de la parentalité.  
L’enfant redevient « propriété » de son géniteur. Au passage le lien génétique entre la « donneur  d’ovocyte » et le lien épigénétique avec la « prestatrice de gestation », sont oubliés.

La CEDH vient aussi de rendre un arrêt monstrueux à propos de la « pédocriminalité ».
L’arrêt rendu dans l’affaire « E.S. contre Autriche » ( Strasbourg  25 octobre 2018, requête n°38450/12) est un déni  de l’origine idéologique des violences sexuelles commises actuellement contre les enfants, un interdit de parler de cette origine, donc de lutter efficacement contre ces violences.
Cet arrêt est rendu à propos d’une religion, l’islam, et manifestement, le souci de « protéger » les croyants a prévalu sur le souci de protéger les enfants, y compris ceux de ces mêmes croyants.
Une femme donnait des conférences sur l’islam, et, rappelant que Mahomet a épousé, à plus de 50 ans, une petite fille de six ans et a consommé le mariage lorsqu’elle a eu neuf ans, a demandé comment appeler cela sinon de la pédophilie.
« L’un a 56 ans et l’autre  6 ans ? Comment appelles tu cela ? Comment appelons-nous cela sinon de la pédophilie ? »
« Ein 56-Jähriger und eine 6-Jahrige ? Wie nennst du das ? (…) Wie nennen wir das, wenn’s nicht Pädophilie ist ?“
La justice autrichienne avait condamné la conférencière en vertu de l’article 188 du Code pénal qui réprime :
« Quiconque, dans des circonstances où son ou sa conduite est susceptible de provoquer une indignation justifiée, aura publiquement dénigré ou insulté une personne qui, ou un objet qui est un objet de vénération d’une église ou d’une communauté religieuse établie dans le pays, ou un dogme ou une coutume autorisé par la loi ou une institution juridique d’une telle église ou communauté religieuse ».
La CEDH  a confirmé cette condamnation.
Elle a justifié cette confirmation en expliquant (§ 54) que la conférencière aurait taxé Mahomet d’avoir une préférence pédophile sans le prouver, et en affirmant (§ 52) que les propos de la conférencière : « peuvent seulement être compris comme ayant pour but de démontrer que Mahomet n’était pas un objet valable de vénération » ( en anglais : «  could only be understood as having been aimed at demonstrating that Muhammad was not a worthy subject of whorship »).
Il est frappant de voir à quelle déformation des propos de la conférencière recourt la CEDH pour lui faire un mauvais procès d’intention, puisque rien dans les phrases de la conférencière citées par l’arrêt, n’indique que selon elle, Mahomet aurait eu « préférence » pédophile.

Nulle part la CEDH ne mentionne la réalité de la violence subie aujourd’hui par des milliers de jeunes ou petites filles dans des pays ou zones sous loi musulmanes, en raison de la conduite de Mahomet.
La CEDH estime que le problème des mariages de jeunes filles peut être traité comme un problème de mariage forcé ( § 57) mais critique le lien fait entre le jeune âge des épousées et le modèle donné par le fondateur de l’islam.
Elle semble ignorer la cause commune de ces faits, qui est le droit musulman, dont les propos et actes de Mahomet sont une des principales sources.
Or c’est bien à cause de l’autorité morale de Mahomet, à cause de la terreur qu’inspire aux croyants musulmans les plus convaincus, toute remise en cause de la figure de Mahomet, que l’horreur de ces mariages très précoce n’est plus perçue, ressentie, dans certaines familles musulmanes.
C’est bien à cause de la répression pénale qui frappe toute personne remettant en cause la conduite de Mahomet dans les pays sous loi musulmane, que les mères, les pères, musulmanes, sont amenés à ne plus ressentir les sentiments naturels de tout parent, devant la détresse des petites ou très jeunes filles.
La CEDH estime aussi que le fait de demander si un homme de 56 ans commettant un acte sexuel sur une fillette de 6 ans commet un acte pédophile, peut « provoquer une indignation justifiée chez les Musulmans ».
Manifestement, la réaction ou les sentiments des Musulmans face à une critique du personnage de Mahomet, la préoccupe plus que l’intégrité physique des petites filles de neuf ans ( elles aussi musulmanes pourtant pour la plupart).
Est il besoin de commenter plus ?

J’appelle les Suisses à refuser toute immixtion dans leur souveraineté juridique, à des juges capables de raisonnements et d’appréciation aussi aberrants.

Elisseievna
24 novembre 2018