Le Président de la République vient de faire un discours historique contre les agresseurs sexuels contre les enfants.
Il annonce que la parole des enfants sera écoutée, qu'ils seront crus.
Ce discours est une très grande avancée.
Mais ... en même temps, ce même homme "oublie" de dire que lui même a été victime d'une action nocive de la part de sa femme, qui ne lui a pas laissé de chance, par exemple d'être père, qui n'a pas eu la noblesse d'âme de le laisser vivre pleinement sa vie, même si bien sur leur histoire n'est pas une affaire sordide ou violente.
Est ce à cause de cet "oubli" que la loi qui vient d'être votée cette semaine (en premiere lecture par le Sénat) passe à côté de l'essentiel nécessaire à la protection des enfants et adolescents, soit l'interdit TOTAL des relations entre mineurs et majeurs, interdit par une incrimination en tant que CRIME SPECIFIQUE, de relation sexuelle avec un mineur, qui ne serait écarté qu'en cas de différence très faible d'âge entre la personne majeure et la personne mineure.
Evidemment, la femme du Président aurait été poursuivie sous ce crime, comme elle aurait du l'être déjà à l'époque, évidemment aussi, avec la considération des circonstances particulières de leur histoire qui n'avait rien à voir avec le donjuanisme d'autres majeurs envers des enfants et adolescents.
Voici le discours :
Voici l'exemple qu'aurait du suivre Brigitte Trogneux, au moins un peu plus longtemps ...
Serge Regiani Il suffirait de presque rien