Article épinglé

COVID et CRIMES

L'épouvantable dictature militaire de la Russie poutinienne


la jeunesse embrigadée dans des exercices militaires et tout ça ... en réalité la Russie est fragile, et je préfèrerais que les jeunes russes soient un peu plus cosaques et un peu moins relativistes



Флеш-моб на вокзале в Запорожье. Весна на Заречной улице




Russian style flash mob from Siberia



The Red Army Choir MVD - FlashMob (Moscow Metro)




Флешмоб 9 мая в Киргу Катюша










Тарас Бульба и Богдан-Зиновий Хмельницкий



Богдан-Зиновий Хмельницкий







КУБАНСЬКІ КОЗАКИ











Как стать человеком



Любимый мультфильм Сталина 1942 год






Тебе, Москва! (1947



Не топтать фашистам нашу землю





Вторая мировая война: Тёмные стороны Азии









Radicales ...


Radicales ...


Radicalisme de dire non jusqu'au bout ...




Radicalisme de vouloir l'arrêt du mal tout de suite et partout ...

Radicale, je suis du côté des droits humains fondamentaux ( ne pas être tué, torturé, emprisonné pour ses opinons, et le viol est une forme de torture, le viol avec pseudo consentement en étant une forme raffinée ) contre les supposés raisons d'Etat purement commerciales ...

Radicale, je ne comprenais pas pourquoi le génocide du Cambodge était nié par les intellectuels d'ici au nom de la révolution, pourquoi les camps de Sibérie et internements psychiatriques répressifs, pourquoi les exécutions au garot, ne s'arrêtaient pas tout de suite ...

Radicale, je considère que les vrais prostitués sont par exemple tous ceux qui vendent leur honneur, leur silence face à la doctrine monstrueuse de Mahomet, pour des bénéfices économiques ... soit actuellement la majorité des occidentaux, verseurs de larmes de crocodiles sur les victimes des "terroristes" mais qui refusent de prendre connaissance de l'islam parce qu'ils craignent que les retraites ne soient pas payées faute d'immigration.


Radicales, les petites saintes qui ont préféré dire jusqu'au bout de leurs forces et en risquant la mort leur "non", leur refus de consentir au mal en quoi que ce soit ...






Radicale, je ne vois pas d'excuses aux hommes qui ont tous les gadgets même en cas de handicap pour leurs problèmes de circulation sanguine, mais qui en vérité veulent jouir de tout autre chose, jouir de s'approprier l'autre ( avec il est vrai toute la déclinaison depuis l'esseulé déboussolé incapable de savoir comment sortir de sa solitude, jusqu'au sadique)

Etant radicale, je comprends les gens "radicaux" qui se demandent, puisque le docteur Israel Nisand dit que le seul avortement qui est réussi est celui qui n'a pas eu lieu, pourquoi n'arrivons nous pas à ce qu'il n'y en ait plus, plus de morts  ...



Radicale, je vous invite à lire l'article d'Anna Zobnina, sur la prostitution et la migration, et l'immonde connivence entre de (pseudos maintenant !) organisations défenseuses des droits humains et les maquereaux :
 http://digitalcommons.uri.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1015&context=dignity
article en anglais traduit ici en français :
https://ressourcesprostitution.wordpress.com/2017/08/17/femmes-migration-et-prostitution-en-europe-il-nest-pas-question-de-travail-du-sexe/

Esclavage et prostitution ont toujours été synonymes, et la politique de déplacement des populations n'est qu'un néo-esclavagisme ( " pour nos retraites " selon les proxénètes des deux côtés des mers ...)

J'extraie de ce texte cette citation immonde d'un responsable d'Human Right Watch :

" Kenneth Roth, le Directeur de Human Rights Watch, en 2015, a déclaré que, « A tous ceux qui veulent mettre fin à la pauvreté dans le monde, pourquoi refuser aux femmes pauvres l’option du travail du sexe volontaire ? »





Le marché propose techniquement tout ce qu'il faut ... sauf pour avoir le plaisir de faire souffrir une personne vivante ....




Memo : 68 dans sa version " jouir sans entrave " n'a pas commencé en 68, en vérité, 68 dans cette version existe depuis Abraham usant de Agar comme mère porteuse, depuis le lupanar monstrueux de Corinthe, depuis les seigneurs féodaux Gilles de Rais http://www.heresie.com/rais/crimes.htm et les libertins décrits par Choderlos de Laclos ...https://www.humanite.fr/node/422483

La prostitution dans l'Antiquité par Catherine Salles :


(attention, l'information concernant Saint Augustin est erronée car partielle. Une fois évèque Saint Augustin s'est fortement opposé à la prostitution) 





L'homme qui plantait des arbres de Jean Giono et autres dessins animés



Цапля и журавль


Animation directed by Youri Norstein



Ёжик в тумане




La renarde et le lièvre, Youri Norstein 







Seasons, Youri Norstein





Mon crocodile vert, Youri Norstein





Tale of tales 1979 Skazka skazok




The Butterfly







Adagio





БАБУШКА" by Andrey Zolotukhin 1996






КОЛЫБЕЛЬНАЯ" 2007 by Andrey Zolotukhin 2007











Islam - Islamisme, 12 questions pour mieux comprendre, de Johann Bourlard




ISLAM – ISLAMISME
12 Questions pour mieux comprendre
Johan Bourlard
Édition Tatamis, février 2017, 233 pages, 18 €

Ne nous voilons pas la face. Dans le concert actuel des propos tenus sur l’islam, il est bien rare de rencontrer une personne à la fois honnête et avertie. Malheureusement en la matière, l’agora est davantage occupée par les « Turcs de profession » [1] que fréquentée par des esprits éclairés.

Le politiquement correct, dont on ne soulignera jamais assez la perversité, voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes en ressassant indéfiniment les « crimes imprescriptibles » de l’Occident à l’endroit du Croissant. Les choses sont assurément plus complexes et les pédagogues manquent pour nous instruire. Voici pourquoi il faut saluer, avec enthousiasme, ce deuxième opus d’un universitaire belge qui met fort intelligemment les choses en perspective. Le propos est érudit, solidement argumenté mais jamais pédant ; la présentation claire et agréable.

L’ouvrage, bien conçu, comprend 12 chapitres. Ceux-ci traitent successivement d’une question particulière pour mieux appréhender la religion de Mahomet sous ses différents aspects. Ces chapitres sont réunis par quatre, au sein de 3 parties formant chacune un tout cohérent autour d’un thème :
1 – Questions doctrinales (pp. 15-91) incluant les questions 1 à 4.
2 – Questions historiques (pp. 93-159) qui contiennent les questions 5 à 8.
3 – Questions socioculturelles (pp. 161-210) englobant les questions 9 à 12.

Chaque point traité fait l’objet d’une analyse à la fois synthétique et didactique. L’auteur illustre ses explications avec les références idoines du Coran, des hadiths (faits, gestes, paroles et silences attribués au Prophète) ou des autorités religieuses traditionnelles et reconnues. Tout est dûment étayé. Signalons qu’outre la bibliographie générale figurant en fin d’ouvrage, les chapitres sont complétés par une rubrique intitulée Pour en savoir plus... Celle-ci recommande une liste d'ouvrages à consulter pour approfondir le sujet abordé.

Il faut remercier Johan Bourlard de ne pas esquiver les questions qui fâchent et, peut-être plus encore, celle qu’insidieusement on cache habituellement aux opinions occidentales. Comme il l’écrit justement dans l’avant-propos : « L’objectif visé est de fournir, sans haine mais aussi sans crainte, une information et une réflexion sur des points essentiels à une approche à la fois décomplexée et dépassionnée d’un sujet plus que jamais au centre de toutes les attentions. » Précisons que cet objectif est parfaitement atteint.

En effet, après avoir exposé les dogmes de la religion musulmane, présenté son livre révélé – le Coran (al-Qur’ân القُرْآن) – et rappelé qui est son prophète – Mahomet (Muhammad مُحَمَّد) –, l’auteur détaille un certain nombre de points fondamentaux qu’il devient urgent de connaître au moment où l’islam (islâm إسلام) s’installe massivement et, sans doute, pour longtemps en Europe.

Comment interpréter le Coran ? Qu’est-ce que la théorie de l’abrogation (naskh نَسْخ) ? Celle-ci ne fait pas, hélas, du troisième monothéisme une religion de paix. Il faut comprendre que ce sont les versets de Médine (622-632), les derniers révélés et les plus agressifs qui, en cas de contradiction, abrogent ceux de la Mecque (610-622) antérieurs et davantage orientés vers le pacifisme.

La charia (شَريعة) est-elle compatible avec les droits de l’homme tels qu’ils ont été conçus par la civilisation judéo-chrétienne ? Quelle place est offerte dans la cité du Prophète à la femme ? S’agit-il d’un statut enviable pour celles qui bénéficient de l’égalité des droits avec la gent masculine ? Qu’en est-il exactement de la tolérance de l’islam ? Est-elle positive ou négative ? S’applique-t-elle à l’apostasie, à l’athée ? Comment s’articule cette tolérance à l’endroit du chrétien et du juif ? Comment un Occidental, habitué à une liberté d’expression sans contrainte, doit-il réagir face au devoir incombant à chaque croyant de veiller à ce que l’orthopraxie musulmane soit respectée par tous (hisba حِسْبة) ? Le soufisme est-il véritablement l’apologie d’une fraternité universelle ?

Signalons toutefois deux coquilles. D’une part, Hülegü le destructeur de Bagdad (en 1258) n'est pas le fils (cf. note 29 en bas de la page 190) mais le petit-fils de Gengis Khan. D’autre part, le Tunisien Mohamed Bouazizi est originaire de Sidi Bouzid, chef-lieu d'un gouvernorat du centre de la Tunisie et non de Sidi Bou Saïd (comme indiqué en haut de la page 206).

Enfin, une conclusion d’une dizaine de pages dresse les constats, mesure les dangers actuels qui menacent le vieux continent. Et l’auteur de nous proposer des solutions de bon sens. Celles-ci passent nécessairement par une révision des liens que l’Occident entretient avec l’Arabie saoudite et l’Iran, deux États qui font la promotion d’un islam rigoureusement incompatible avec nos valeurs. Elles invitent également les musulmans et les Européens à plus de sagesse dans leur appréciation de l’histoire et plus particulièrement du colonialisme. Les premiers doivent faire un indispensable effort d’autocritique, abandonner la posture confortable mais mensongère de la victimisation ; les seconds renoncer à s’accuser de tous les maux pour réapprendre la fierté d’une civilisation dont est issu la démocratie. Bref, pour les uns comme pour les autres, la construction d’un authentique vivre-ensemble ne pourra se faire qu’en regardant la réalité en face et certainement pas en cultivant les dénis.

Il faut lire et faire lire ISLAM – ISLAMISME. Le livre est une boussole. C’est un nouveau Guide des égarés pour quiconque veut objectivement étudier la religion de Mahomet.

Originaire de Mons (Belgique) où il est né en 1978, Johan Bourlard, est diplômé de l’Écoles d’interprètes internationaux de l’université de Mons-Hainaut en traduction et de l’Université libre de Bruxelles en histoire et sciences des religions (avec spécialisation en islam). L’auteur a enseigné l’histoire de l’islam médiéval à l’Université catholique de l’Ouest (Angers) et intervient fréquemment à l’Institut de Formation Politique (Paris). Ce spécialiste reconnu de l’islam est, depuis le premier août 2017, expert en radicalisme au sein d'une agence du gouvernement fédéral belge.

Winston Belmonte

[1] l'expression désigne ces non musulmans plus pro-charia que les musulmans, et est née sous la plume de Jack-Alain Léger, auteur de " Tartuffe fait Ramadan ", éditions Denoël. (Note d'Elissseievna)




The Grand Chessboard by Zbigniew Brezezinski




The Grand Chessboard by Zbigniew Brezezinski

 à écouter ici :

  https://www.youtube.com/watch?v=aQ36S-Vi2CA&list=PLu5tKfQq0iybAoqpQcrA2QDUGAGnigaCM

Le seul contre-pouvoir est la mobilisation citoyenne

 John Perkins témoigne :

Le témoignage de cet homme me laisse d'abord plus que dubitative : il décrit des mécanismes et actes pernicieux, mais qu'a -t-il fait ? Il a d'abord vécu de ce système et maintenant il vit non seulement de sa dénonciation, mais de la construction d'une vision largement " complotiste ", accusant ceux qu'il qualifie d'" empereurs", ce qu'il nomme " corporatocratie " tout en précisant cependant qu'il n'y a pas de conspiration entre ses membres mais juste une attitude commune. Pourquoi alors utiliser des termes aussi ambigües que ceux d'empire et de corporatocratie ...

Une telle manière de présenter les problèmes de rapport de force économiques et politique laisse les citoyen-nes désemparés, légitime la paresse de ceux qui pensent ou préfèrent penser qu'ils ne peuvent rien faire, ou excite la " rage " de ceux qui veulent chercher des " coupables " à punir.

Il faut refuser ce type de langage du découragement, de la désespérance ou de la revanche et de la répression.

Heureusement dans ces conférences il précise : " Who call the shot on the company ? You !"

" They depend on us. The market place is a democracy, Ladies and Gentlemen, if you would just make it that, it is a democracy. When you buy something, you are casting a vote. And I dare say, it is a most important vote than the one that you are castin one or two or .. x year ago. Because you are casting this vote every week, every day ..."

Nous avons le pouvoir. Nous, consommateurs, pouvons choisir et orienter les entreprises commerciales et de production.

Nous avons le pouvoir. Nous citoyens pouvons choisir de lire et de discuter ensemble au lieu de nous abrutir de distractions ou de jouer aux jeux malsains de pseudo politique proposés par la grande presse, des jeux du type : " chasse le facho opposé à la politique d'immigration, tu seras un héros antinazi, dénonce les anti-islam publiquement, balance leur nom sur le net pour qu'un apprenti jihadiste puisse les tuer, et, non tu ne seras un collaborateur des pouvoirs pro-charia, tu seras un Résistant ... ".

Aucune loi, aucune constitution ne peut faire obstacle à la corruption, aux abus de pouvoir économiques en tous genres. Il faut combattre les textes de lois et les traités donnant tous pouvoirs au privé contre les Etats démocratiques, empêchant la véritable démocratie : la démocratie directe. Mais ces textes ne peuvent suffire.

Le seul obstacle aux abus est la conscience de chacun et la mobilisation générale de chacun, chacun en fonction de son champs de compétence.

Nous tous devons privilégier l'utilisation des biens pour les besoins les plus impérieux : bonne nourriture, soins médicaux, préservation des équilibres écologiques. Nous tous devons nous mobiliser contre les aberrations économiques que nous constatons dans notre activité.

Réagir, parler, expliquer, ne pas se contenter des articles de vulgarisation de la grande presse pour s'informer, quelque soit le problème technique ou culturel : OGM, islam, climat, médecine, IVG, banque, monnaie ... Les citoyens ne doivent pas se contenter de l'information prédigérée, par les outils de manipulation par excellence que sont les publications du quatrième pouvoir.

Le quatrième pouvoir n'est pas un contre pouvoir. Le quatrième pouvoir est dominé par le principe de Peter, le principe d'incompétence. Les journalistes ont normalement pour métier l'investigation l'enquête, ils devraient se contenter du journalisme d'investigation, la recherche des faits, non pas leur interprétation ou leur analyse. Car pour analyser des faits, les enquêtes ne suffisent pas, il faut un savoir de type universitaire dans chaque domaine. Il faut réunir les données de nombreuses enquêtes ou observations. Mais les journalistes qui ont de chaque problème une vue superficielle  : ils ne sont pas des universitaires ou des érudits concernant les sujets qu'ils traitent. Mais comme ils n'ont plus les moyens de faire réellement des travaux d'investigation, pour pondre de la copie, ils se font doctrinaires, se prétendre essayistes. En fait ils sont pour la plupart des bavards, des perroquets de préjugés démagogiques, utilisés par les politiques pour se faire élire.

Le seul contre- pouvoir est l'assemblée des citoyens " en alerte ", qui se préoccupent et étudient eux-mêmes les questions qui les concernent, en lisant et avec l'aide des spécialistes et savants réels de chaque question, avec leur expertise personnelle,  et en informent les autres citoyens et en débattent.


 



Le "circulationisme" démolisseur des personnes et des patrimoines irremplaçables


Le "circulationisme " ou la version moderne et sophistiquée et "communicante", des profiteurs de guerre et de crise ...

L'économie est au service des êtres humains et non les êtres humains au service de l'économie. Normalement.

Le remède principal contre la misère est la souci de la vie des autres, la solidarité, et non l'amas de capitaux financiers en soi.

Les capitaux financiers sont utiles dans la seule mesure où ils sont utilisés pour orienter les ressources, c'est à dire la force de travail des personnes et les biens naturels, vers des travaux et productions répondant aux besoins essentiels physiques des personnes. Pour construire les outils nécessaires pour des productions elles mêmes utiles. Avec le souci de conserver les patrimoines naturels et culturels.

La phobie de l'argent et des intérêts est absurde.

Rémunérer l'usage de ces capitaux, du "haut du bilan" par des dividendes ou par des intérêts non usuraires ( ce qui revient en réalité au même : il s'agit d'un partage de bénéfices)  est normal puisqu'ils correspondent à la mise au service d'une activité "bénéficiaire" ( capable de produire des biens présumés utiles et du moins, achetés, choisis par des consommateurs ),  d'un pouvoir monétaire qui aurait pu sinon, soit être dilapidées dans des produits de consommation immédiate, soit égarés dans des manipulations destructrices.

Mais l'adoration du "résultat de bas de bilan" est également absurde. Car sans souci de mettre l'économie au service des personnes, et de conserver les patrimoines naturels et culturels, les capitaux financiers sont des instruments redoutables. Et les "résultats de bas de bilan" ne sont absolument pas des instruments de mesure de l' "utilité" de ces capitaux.  Sans ces soucis là, ils deviennent l'occasion d'abus de pouvoir, d'abus contre des personnes ou sociétés plus vulnérables.

D'où la grande méfiance de la bible contre l'argent, et pas seulement depuis Jésus.



J'appelle " circulationisme " la frénésie de "circulation" " des biens et des personnes ", qui n'a pour objet que de générer des amas de pouvoir monétaire.

Les personnes sont déplacées, déstabilisées, endeuillées de leurs liens et de leurs "heimat", pour devenir des êtres en "besoin" de divers produits "achetables" de substitution, de drogues diverses.

Les biens naturels sont déplacés et détruits, afin d'empêcher l'accès aux biens gratuits produits par la nature, et de rendre indispensables l'achat de substituts pour survivre.

Cette politique est voulue par ceux qui n'en ont jamais assez, des malades mentaux de l'ostentation, obsédés du pouvoir, peut- être comme si celui ci allait leur garantir une immortalité.

Mais nous sommes tous responsables, dès lors que nous amassons des biens non indispensables pour vivre ou pour accomplir un travail ... utile réellement ...

Le prix de ces politiques est l'atteinte aux personnes et aux patrimoines irremplaçables, détruits sciemment pour provoquer des flux monétaires captables par les malades de l'argent.

Ces grands malades de l'argent nous assènent à longueur de médias que l'accueil des personnes venant de pays moins riches en revenus - alors que ces pays sont parmi les plus riches en matières premières transformables et en terres fertiles - serait la seule solution éthique.

Mensonge Grotesque. Vidons l'Afrique et l'Inde de leurs pauvres pour les installer en Europe. Telle serait la solution. (!) Absurde.

La solution à la misère dans certains pays est évidemment la construction d'économies saines permettant d'éviter ces situations de misère.

Que nous donne comme modèle la Bible ?
Selon la morale russe qui dit que "Gouverner c'est nourrir ", l'Egypte antique gérait les stocks. Selon la bible, Pharaon aurait été prévenu par Joseph du sens d'un rêve prémonitoire d'années maigres. Ces années maigres arrivent et la famille de Joseph en Israel vient à souffrir des mauvaises récoltes.
Que fait cette famille ? Vient elle demander à Pharaon de s'installer en Egypte pour vivre de subsides publics ? Non, évidemment, elle vient juste demander à Pharaon de l'aider en lui fournissant de la nourriture pour cette période de désastre naturel. On peut penser que demeurée en Israel, cette tribu aurait pu restituer, lors d'une prochaine période de bonnes récoltes, à Pharaon l'équivalent des nourritures fournies en période de pénurie.

La solution éthique,  pour ce qui dépend de nous,  est de s'interdire de troubler l'économie de ces pays en réalisant des actes économiques qui mettent en péril ou interdisent sur place : l'agriculture de subsistance, la conservation du patrimoine naturel, la santé des personnes.
En cas de désastre naturel, l'aide est normale, mais uniquement pour ces motifs et pendant ces périodes, car dans les autres cas, elle détruit les économies locales.

Ces actes destructeurs sont par exemple : la guerre destructive pour imposer une présence près des ressources fossiles, la mise ou conservation au pouvoir de personnages pillant les pauvres pour satisfaire leur propre maladie de l'argent et de l'ostentation, et autres perversions,  la concurrence déloyale sur ces marchés, l'imposition aux paysans de cultures non vivrières ou de cultures nocives pour la conservation des sols et des nappes phréatiques.


Ecouter Thomas Sankara ( article ci dessous), sur l'impérialisme qui commence lorsque les Africains ne mangent pas ce qui vient des cultures de leur pays.

Lorsque nous consommons du café, savons nous si la terre utilisée pour le produire n'aurait pas été nécessaire pour produire la nourriture des paysans du lieu ?

De même, lorsque nous faisons venir des millions d'Africains ou d'Asiatiques, et construisons des villes de plus en plus étendues, sur des terres cultivables, nous empêchons nos villes d'être approvisionnées par des paysans locaux, nous mettons en danger notre sécurité alimentaire, notre patrimoine écologique.

Il faut en finir avec cette folie.
Notre génération doit en finir avec ce circulationisme fou. Les personnes de tous les continents peuvent agir en ce sens. Par de nombreuses actions. Construire des réseaux de production et de distribution sains, veiller à l'interdiction de monopoles et d'accaparement privé de biens hors commerce.  Revenir à la prudence de Malthus, et s'interdire de concevoir des enfants lorsque la terre ne permet pas de les nourrir.

Il y a là juste une question de mobilisation générale ... Une mobilisation qui préviendra les guerres.

 

Quand les charognards "chassent" .... les hyènes dévorent un gnou vivant

L'hirondelle et les petits oiseaux





 Was ist geschehen ? Wann wir man je verstehen ?

А иде ж гуси?
В камыш ушли.
А иде ж камыш?
Девки выжали.
А иде ж девки?
Девки замуж ушли.
А иде ж казаки?
На войну пошли
Et où sont les oies ?
Parties dans les joncs.
Et où sont les joncs ?
Les filles les ont coupés.
Et où sont les filles ?
Mariées avec leurs hommes.
Et où sont leurs Cosaques ?
Partis à la guerre.

énervé, un médecin répond d'une drole de manière à des anti-ivg aux USA


énervé, un médecin répond d'une drole de manière à des anti-ivg aux USA https://youtu.be/https://yhttps://youtu.be/LcFxaTtFKgcoutu.be/LcFxaTtFKgchttps://youtu.be/LcFxaTtFKgcLcFxaTtFKgc


transcription d'une drôle de "blague" ou d'une drôle de réalité

- vous devez vous repentir monsieur pour tuer des bébés
- pourquoi ?
- parce que c'est un péché devant dieu
- ha  , pourquoi ?  ha, souffle puant , 
- oui
- pourquoi ? 
- c'est assez diabolique vous voyez
- oui oui 
- j'espère et je prie que vous
- oui ha
- c'est ce que vous faites aux bébés 
- oui , j'aime ça , 
- vous aimez ça,
- oui j'aime, 
- ok j'espere que vous viendrez au christ monsieur,
- oh je n'irais jamais au christ,
- j'espere que vous irez au christ
- non je n'irai pas au christ, je n'écoute pas le christ,
- vous avez un coeur assombri monsieur
- oui je sais que j'ai un coeur assombri, oui, beaucoup, très beaucoup, oui ha,
- et vous serez devant devant dieu et le jugement
- ha,  oui je le serai, chaque jour,
- tous les bébés,
- j'aime ça, j'aime ça 
- tuer les bébés
- oui je le ferai
arrivée de la vigile : " docteur " ..


autre dialogue de sourds ...
 

 " c'est une vie, non une personne " dit le médecin montrant un embryon " vous allez mourrir un jour, êtes vous pourtant un cadavre ? "

Pourtant, " ce " qu'il brandit dans un bocal est bien un " quelqu'un " et pas "quelque chose".
Il ne suffit pas de ne pas lui donner de nom, pour changer sa nature d'être humain, de sujet et non pas de plante ou objet inanimé.
" ce " qui est dans ce bocal est un être humain, qui devrait être secouru si la science en avait fourni la possibilité ( utérus artificiel etc).

" le meurtre est un crime, l'avortement est légal". Toujours la même confusion entre le vocabulaire commun, et la délimitation des infractions pénales. Tout fait interdit n'est pas réprimé pénalement. Tout fait moralement condamnable n'est pas interdit.

L'avortement est à la fois l'arrêt d'une grossesse et la mort du foetus ou embryon.
L'arrêt de la grossesse concerne le corps de la femme, il ne doit pas être réprimé, car la femme doit rester libre de disposer de son propre corps. Mais la mort de l'embryon est matériellement un meurtre, l'extraction du foetus en le détruisant ou l'abandon sans soin sont aussi des meurtres, et la fin précoce de la grossesse qui n'entraîne pas la mort du foetus peut entrainer des malformations définitives ...

L'arrêt de la grossesse ne doit pas être réprimé. Mais la mort ne doit pas être un commerce. Et la mise à mort délibérée d'un foetus qui aurait pu survivre à la fin de la grossesse, le défaut de soin, ou son exposition à des malformations par un arrêt de grossesse en l'absence de risque pour la santé physique de la mère doivent engager la responsabilité de tous ceux qui les réalisent.

Personnellement, je ne peux croire que l'avortement tardif puisse être autre chose qu'une atteinte à la santé mentale de la mère. Personne ne tue sans en souffrir un foetus visiblement de forme humaine, à fortiori son propre enfant, sauf quelqu'un qui aurait précisément une maladie mentale. Quant aux avortements dans les premières semaines, il est tout aussi néfaste de demander sadiquement à une femme d'en souffrir que de lui interdire de ressentir la souffrance qu'elle a ou aurait.




La France se ridiculise

Thomas Sankara, Burkina Faso et " Chef Anto " : une gabonaise chef ...

Pourquoi les jeunes africains débarquent ils en Europe ? Quelques points de vue ...

Persévérance d'une femme chef de restaurant ... Chef Anto

 



ISLAM – ISLAMISME : 12 Questions pour mieux comprendre




ISLAM – ISLAMISME
12 Questions pour mieux comprendre
Johan Bourlard
Édition Tatamis, février 2017, 233 pages, 18 €

Ne nous voilons pas la face. Dans le concert actuel des propos tenus sur l’islam, il est bien rare de rencontrer une personne à la fois honnête et avertie. Malheureusement en la matière, l’agora est davantage occupée par les « Turcs de profession » [1] que fréquentée par des esprits éclairés.

Le politiquement correct, dont on ne soulignera jamais assez la perversité, voudrait nous faire prendre des vessies pour des lanternes en ressassant indéfiniment les « crimes imprescriptibles » de l’Occident à l’endroit du Croissant. Les choses sont assurément plus complexes et les pédagogues manquent pour nous instruire. Voici pourquoi il faut saluer, avec enthousiasme, ce deuxième opus d’un universitaire belge qui met fort intelligemment les choses en perspective. Le propos est érudit, solidement argumenté mais jamais pédant ; la présentation claire et agréable.

L’ouvrage, bien conçu, comprend 12 chapitres. Ceux-ci traitent successivement d’une question particulière pour mieux appréhender la religion de Mahomet sous ses différents aspects. Ces chapitres sont réunis par quatre, au sein de 3 parties formant chacune un tout cohérent autour d’un thème :
1 – Questions doctrinales (pp. 15-91) incluant les questions 1 à 4.
2 – Questions historiques (pp. 93-159) qui contiennent les questions 5 à 8.
3 – Questions socioculturelles (pp. 161-210) englobant les questions 9 à 12.

Chaque point traité fait l’objet d’une analyse à la fois synthétique et didactique. L’auteur illustre ses explications avec les références idoines du Coran, des hadiths (faits, gestes, paroles et silences attribués au Prophète) ou des autorités religieuses traditionnelles et reconnues. Tout est dûment étayé. Signalons qu’outre la bibliographie générale figurant en fin d’ouvrage, les chapitres sont complétés par une rubrique intitulée Pour en savoir plus... Celle-ci recommande une liste d'ouvrages à consulter pour approfondir le sujet abordé.

Il faut remercier Johan Bourlard de ne pas esquiver les questions qui fâchent et, peut-être plus encore, celle qu’insidieusement on cache habituellement aux opinions occidentales. Comme il l’écrit justement dans l’avant-propos : « L’objectif visé est de fournir, sans haine mais aussi sans crainte, une information et une réflexion sur des points essentiels à une approche à la fois décomplexée et dépassionnée d’un sujet plus que jamais au centre de toutes les attentions. » Précisons que cet objectif est parfaitement atteint.

En effet, après avoir exposé les dogmes de la religion musulmane, présenté son livre révélé – le Coran (al-Qur’ân القُرْآن) – et rappelé qui est son prophète – Mahomet (Muhammad مُحَمَّد) –, l’auteur détaille un certain nombre de points fondamentaux qu’il devient urgent de connaître au moment où l’islam (islâm إسلام) s’installe massivement et, sans doute, pour longtemps en Europe.

Comment interpréter le Coran ? Qu’est-ce que la théorie de l’abrogation (naskh نَسْخ) ? Celle-ci ne fait pas, hélas, du troisième monothéisme une religion de paix. Il faut comprendre que ce sont les versets de Médine (622-632), les derniers révélés et les plus agressifs qui, en cas de contradiction, abrogent ceux de la Mecque (610-622) antérieurs et davantage orientés vers le pacifisme.

La charia (شَريعة) est-elle compatible avec les droits de l’homme tels qu’ils ont été conçus par la civilisation judéo-chrétienne ? Quelle place est offerte dans la cité du Prophète à la femme ? S’agit-il d’un statut enviable pour celles qui bénéficient de l’égalité des droits avec la gent masculine ? Qu’en est-il exactement de la tolérance de l’islam ? Est-elle positive ou négative ? S’applique-t-elle à l’apostasie, à l’athée ? Comment s’articule cette tolérance à l’endroit du chrétien et du juif ? Comment un Occidental, habitué à une liberté d’expression sans contrainte, doit-il réagir face au devoir incombant à chaque croyant de veiller à ce que l’orthopraxie musulmane soit respectée par tous (hisba حِسْبة) ? Le soufisme est-il véritablement l’apologie d’une fraternité universelle ?

Signalons toutefois deux coquilles. D’une part, Hülegü le destructeur de Bagdad (en 1258) n'est pas le fils (cf. note 29 en bas de la page 190) mais le petit-fils de Gengis Khan. D’autre part, le Tunisien Mohamed Bouazizi est originaire de Sidi Bouzid, chef-lieu d'un gouvernorat du centre de la Tunisie et non de Sidi Bou Saïd (comme indiqué en haut de la page 206).

Enfin, une conclusion d’une dizaine de pages dresse les constats, mesure les dangers actuels qui menacent le vieux continent. Et l’auteur de nous proposer des solutions de bon sens. Celles-ci passent nécessairement par une révision des liens que l’Occident entretient avec l’Arabie saoudite et l’Iran, deux États qui font la promotion d’un islam rigoureusement incompatible avec nos valeurs. Elles invitent également les musulmans et les Européens à plus de sagesse dans leur appréciation de l’histoire et plus particulièrement du colonialisme. Les premiers doivent faire un indispensable effort d’autocritique, abandonner la posture confortable mais mensongère de la victimisation ; les seconds renoncer à s’accuser de tous les maux pour réapprendre la fierté d’une civilisation dont est issu la démocratie. Bref, pour les uns comme pour les autres, la construction d’un authentique vivre-ensemble ne pourra se faire qu’en regardant la réalité en face et certainement pas en cultivant les dénis.

Il faut lire et faire lire ISLAM – ISLAMISME. Le livre est une boussole. C’est un nouveau Guide des égarés pour quiconque veut objectivement étudier la religion de Mahomet.

Originaire de Mons (Belgique) où il est né en 1978, Johan Bourlard, est diplômé de l’Écoles d’interprètes internationaux de l’université de Mons-Hainaut en traduction et de l’Université libre de Bruxelles en histoire et sciences des religions (avec spécialisation en islam). L’auteur a enseigné l’histoire de l’islam médiéval à l’Université catholique de l’Ouest (Angers) et intervient fréquemment à l’Institut de Formation Politique (Paris). Ce spécialiste reconnu de l’islam est, depuis le premier août 2017, expert en radicalisme au sein d'une agence du gouvernement fédéral belge.

Winston Belmonte

[1] l'expression désigne ces non musulmans plus pro-charia que les musulmans, et est née sous la plume de Jack-Alain Léger, auteur de " Tartuffe fait Ramadan ", éditions Denoël. (Note d'Elissseievna)