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COVID et CRIMES

La haine anti-juive islamique


La haine anti-juive islamique vient du Coran, elle n'est pas une invention des "islamistes" mais de Mahomet. 
Le massacre de Toulouse a pour auteur Mohamed Merah, mais en sont responsables, sont des ASSASSINS, tous ceux qui interdisent de dénoncer l'antisémitisme des textes fondamentaux de l'islam et de Mahomet, et facilient le fait que ces textes soient propagés comme s'ils n'étaient pas des incitations à la violence. Sont des assassins de juifs, tous ceux qui facilitent le travail des tueurs de juifs en désignant les vilains juifs qui critiquent l'islam.


« Tu te rendras assurément compte que ceux qui ressentent l’inimitié la plus vive à l’égard des musulmans sont les juifs et les polythéistes. ..» Coran


La haine des juifs et de l’Occident
DJEMILA BENHABIB - 25 MARS 2012

il y a chez les islamistes un élément constant qui ne varie aucunement en fonction de la conjoncture moyen-orientale : la haine des juifs en tout temps, tous lieux et en toutes circonstances.



Парнок, София Яковлевна


Sophia Yakovlevna Parnok
Born11 August 1885
TaganrogRussian Empire
Died26 August 1933 (aged 48)
MoscowUSSR
Occupationpoet
NationalityRussian Jewish


Sophia Yakovlevna Parnok (11 August 1885 – 26 August 1933) (first name is sometimes spelled Sofia or Sofya) (RussianПарнок, София Яковлевна), was aRussian poet and translator, sister of poet Valentin Parnakh and children's author Yelizaveta Tarakhovskaya.

Birthhouse of Parnokhs in Taganrog.
At the beginning of World War I, she met the young poet Marina Tsvetaeva, with whom she became involved in a passionate love affair that left important imprints on the poetry of both women. Parnok’s belated first book of verse, Poems, appeared shortly before she and Tsvetaeva broke up in 1916. The lyrics in Poems presented the first, non-decadent, lesbian-desiring subject ever to be heard in a book of Russian poetry.
Parnok left Moscow in late summer 1917 and spent the Russian Civil War years in the Crimean town of Sudak. There she wrote one of her masterpieces, the dramatic poem and libretto for Alexander Spendiarov's 4-act opera Anast, which was a big hit inBolshoi Theater in Moscow in 1930, in OdessaTbilissiTashkentYerevan and in Paris (1952).
Sophia Parnok is the author of the collections of poems Roses of Pieria (1922), The Vine (1923), Music (1926) and Half-voiced(1928). Soviet censorship soon decided that Parnok’s poetic voice was "unlawful," and she was unable to publish after 1928.


Natacha Chetcuti et la visibilité des lesbiennes



9 avril 2012 
Natacha Chetcuti, sociologue au Cesp-Inserm (1) et anthropologue, a publié en 2010 Se dire lesbienne : vie en couple, sexualité et représentation de soi (Payot).
"Les lesbiennes ont moins que les gays des rapports qui séparent l’affect de la sexualité, et pratiquent donc moins une sexualité dite récréative."
"Dans les entretiens que je peux mener, la question de la visibilité est centrale. Elles ont aussi la volonté d’avoir des espaces non mixtes pour ne pas avoir à subir le regard des hommes. Les plus jeunes, notamment, se trouvent sans modèle de référence."

 http://lectures.revues.org/1337
"Les femmes homosexuelles renseignent ainsi leurs proches sur leur lesbianisme, non pas en leur disant qu’elles sont lesbiennes mais en les informant de leur mise en couple avec une femme. La légitimité sociale du couple semble atténuer l’image de « déviance » véhiculée par l’homosexualité."
les couples de lesbiennes sont fondés sur un contrat explicite d’exclusivité."



Dans la série : " On accuse les femmes de tout et de n'importe quoi, et quand on accuse les hommes de quelque chose, on en profite pour nous en mettre une double dose", j'écrivais en 1997,  à propos du dictionnaire " Robert" qui parlait de " Lesbienne pédophile" :


29/06/97

LA LESBIENNE PEDOPHILE

Depuis l’émission de Mireille Dumas sur les abus sexuels contre les enfants, au cours de laquelle les seuls témoignages présentés furent ceux de jeunes garçons, on se demande si le nombre des agressions réelles contre des fillettes n’a pas été fortement exagéré par les féministes.
Tout le monde sait que les petites filles sont plus précoces que les petits garçons : à deux mois déjà elles aguichent les hommes :
« C’est à se demander à quel âge il faut prendre les femmes si on veut s’assurer la priorité. Le mieux c’est de les adopter à deux mois et d’aller les élever au sommet de l’Everest » « Les filles, jusqu’à ce qu’elles aient dix ans, leurs parents ont peur qu’elles tombent en avant, et ensuite, qu’elles tombent  en arrière » Frédéric Dard (1)
Par conséquent on ne peut véritablement  parler de pédophilie qu’à propos des petits garçons : si les petites belges n’avait pas été coureuses, elles n’auraient pas été affamées à mort.
Les pédophiles sont presque tous des hommes : des homosexuels donc, cumulant les deux perversions, d’ailleurs tous les homosexuels ne sont ils pas des pédophiles en puissance, comme l’affirme aujourd’hui une auditrice de Radio Courtoisie ?
Le cas des lesbiennes s’en prennant à des petits garçons, - des lesbiennes masculines dominatrices-,  est toutefois connu : c’est la fameuse « lesbienne pédophile « citée par le dictionnnaire Robert (2) .
CQFD
                                                                                              ELISSEIEVNA
 (1) Les pensées de San Antonio
(2 Rapport 97 de SOS Homophobie)

Je ne suis pas catho, mais ...



Suspectée par les uns de chercher un rapprochement des juifs et des chrétiens uniquement parce que les juifs auraient besoin d'alliés face à l'antisémitisme islamique,

accusée par les autres d'être tantôt une orthodoxe tantôt une catholique proche des mouvements les plus strictes, qui se ferait passer pour une féministe, (être accusée d'être "catho" c'est à peine moins infamant pour certains que d'être accusée de racisme, d'où mon titre ironique)

(ce mensonge énorme est fait pour discréditer mes idées, par certaines féministes, qui n'ont pas d'autre réponse à mes arguments que ce grotesque mensonge !),

je vais donc préciser certains points.


J'ai toujours vécu dans la conviction qu'à part certains antisémites extrêmes parmi eux, les chrétiens, et surtout le Pape et les religieuses avaient été protecteurs des juifs.

J'ai vu une femme endoctrinée par un curé fanatique et des brochures religieuses, menacer d'un couteau une femme juive. Ce n'était pas sous l'inquisition ni avant guerre, mais bien après. L'exception. Les églises me font toujours un peu peur, à cause d'histoires .. de l'histoire ancienne européenne.

Mais bien avant que l'antisémitisme ne revienne en force avec le renforcement des idées islamiques, j'ai eu de "mauvaises fréquentations", selon les critères de certains ..
J'ai passé plus de temps avec des amis qui allaient en pèlerinage qu'avec ceux qui "sortaient".
J'ai passé plus de temps dans les monastères et couvents que dans toutes les soirées en boite réunies ...
J'aime cette vie. Et j'aime l'étude, désintéressée et libre.

Juive, j'ai vécu entourée de chrétiens, toujours ....
Si je tiens autant à la laïcité, c'est justement, paradoxalement, parce que j'ai toujours été entourée de personnes croyantes ou attachées à leur religion, et de diverses religions, juive ou chrétiennes, et j'ai toujours eu beaucoup d'intérêt pour leurs fois et convictions.
J'ai donc horreur d'éventuelles disputes entre ces personnes :  la laïcité est donc pour moi l'équivalant d'une phobie du divorce pour d'autres.

Croire que la laïcité ou l'athéisme est l'antidote au fanatisme est aussi illusoire que de croire que l'idée de dieu protégerait l'être humain de la tentation de la toute puissance. En fait  il y a ceux qui se prennent pour dieu parce qu'ils pensent savoir ce qu'est la vérité selon dieu, et qui en définitive s'auto-idolâtres, et .. il y a ceux qui se prennent pour dieu parce qu'ils détiennent "la" vérité selon "la science" ou "le sens de l'histoire ou autre", ou toute autre donnée "absolue", idolâtrée ...

Je ne partage pas les idées de la plupart des croyants sur la sexualité, car je pars de l'idée de liberté à priori, quand eux considèrent d'abord l'idée de péché ou non.
Seulement, quand on considère aussi que la liberté a pour borne la liberté d'autrui, la considération d'autrui, avec toutes les prudences et précautions qui s'en suivent, on retrouve très souvent que les recommandations des religions sur la sexualité sont souvent les plus ... humaines.
On ne peut pas "jouir sans entrave" ... sauf à oublier autrui : l'autre est l'"entrave", et ce n'est pas de la faute d'une mauvaise volonté du Pape ...

Acheter la disposition du corps d'une prostituée ou d'une actrice de pornographie, exacerber ses pulsions primitives avec la pornographie et faire semblant de croire qu'il existe une espèce de femmes "qui aime ça",  oublier les sentiments des autres en voulant croire que les "plans culs" c'est si simple, tromper son conjoint comme si l'on pouvait à la fois avoir un "amour de sa vie" et passer sa vie à faire la tournée, faire passer ses passions avant ses enfants, ou faire semblant de croire que la contraception 100% efficace existe et qu'en cas de "pépin", souffrir de tuer un embryon de vie n'existe pas, faire semblant d'oublier que les "mères porteuses" sont en majorité plus pauvres que ceux qui se les paient et qu'une grossesse est toujours un risque, faire semblant d'oublier qu'un enfant a la mémoire du corps qui l'a porté, faire semblant de croire qu'il serait absurde de se demander si les embryons congelés "comme des poissons pas-nés" ou comme des morts-vivants n'ont pas plus de risques de malformations que les embryons n'ayant jamais été cryogénisés, faire semblant de croire qu'il serait antiscientifique de se demander si l'océan d'hormones ingurgité par les femmes et rejeté dans les eaux aurait quelques effets secondaires ...
tout cela, c'est peut-être une liberté, mais c'est peut être surtout la liberté de n'avoir que faire de la liberté et des sentiments et de l'intégrité physique des autres. Est ce humain, est ce prudent : pas très ... Et puis il est où l'amour la dedans ???

Contre la prostitution, les contrats de mères porteuses, la pornographie, les expérimentations douloureuses pour les mères dans les "PMA" ... les féministes se sont donc souvent retrouvé avoir des revendications voisines de celles des croyants,et elles ont souvent été taxées, du moins certaines d'entre elles de puritaines défenseuses d'un ordre moral.

Toutes les religions favorisent en fait le pouvoir masculin : en fait, mais pas toujours en principe, il y a tout de même un principe d'amour que l'on peut faire valoir pour rappeler aux adeptes des religions juive et chrétiennes, qu'il serait bon d'appliquer leur principe essentiel .. même aux femmes.
Toutes les religions ont la phobie de l'homosexualité comme s'il s'agissaient d'une maladie contagieuse, alors qu'elle concerne un tout petit pourcentage de la population et ne menace certainement pas sa reproduction ... Il y a peut-être eu des périodes où une "mode" homo s'est répandue, mais quand on regarde les fictions gays et lesbiennes d'aujourd'hui, étant donné l'idée "d'être soi-même" qui y prévaut, il n'y aucune propagande pour l'homosexualité, rien qui ressemble à une apologie de la "conversion" à l'homosexualité : c'est plutôt le souci de favoriser l'amour et les couples qui prévaut, chacun selon sa sexualité "congénitale".

Donc, je suis peut-être sur certains plans "réac", quoique je considère d'abord ce critère comme stupide et sans pertinence !...
Mais opportuniste par rapport aux chrétiens : certainement pas.




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Marre de l'amalgame Juif / Communiste

Raymond Aron

Parlons un peu des juifs opposés au communisme !

Dans les années 1900-1910, Lénine a cherché à recruter des Juifs, et on savait dès cette époque ce que ce salopard avait en tête. Ensuite on a su ce qui se passait en Russie ... Ceux qui ont accepté d'être recrutés n'ont rien été d'autre que des arrivistes et des assassins et complices d'assassins. A part des juifs comme des orphelins qui avaient été pris en main ensuite par le parti ...
Les juifs qui ont critiqué le communisme ont été vilipendés par d'autres juifs, comme le sont aujourd'hui les juifs qui critiquent les textes de l'islam,  par le même genre de pourris arrivistes.
Qu'est ce qu'il leur restait de judaïsme à tous ces assassins et complices d'assassins ???


De Lesquen diffame le judaisme

Henri de Lesquen affirme que le judaisme est un racisme, parce qu'il se transmet par la mère.
Mensonge par omission.
Le judaisme se transmet aussi par conversion au judaisme. Ce que les rabbins ont toujours aidé les volontaires à faire.
Il y des juifs de toutes les "races" de l'espèce humaine.
Henri de Lesquen affirme que la prétention des juifs à la supériorité de la loi juive ou des juifs qui seraient réellement observants ( à supposer qu'il y en ait ...) serait du racisme.
Tromperie là encore.
La loi n'est pas affaire de gènes mais d'esprit, et l'esprit n'a ni sexe ni race.
A supposer que la loi juive soit supérieure, toute personne décidant de l'observer et de devenir "un bon juif" s'élève par là, quelle que soit sa "race".
Les rabbins ont toujours enseigné de plus qu'il y avait des " Justes" parmi les nations (pas seulement au sens restreint de sauveurs de juifs, mais au sens d'hommes ou femmes ayant une conduite conforme à la volonté divine,  de presque "Saints"), qui n'étaient pas juifs, et qui pouvaient être plus justes et élevés que des juifs plus ou moins "mauvais juifs".
 Henri de Lesquen diffame le judaisme par ces mensonges et confusion grossières. Il pourrait très bien se renseigner sur ce que le judaisme enseigne réellement mais il préfère ses ignorances qui l'entretiennent dans son arrogant dégoût, répété sur l'antenne de plus en plus obsessionnellement. La complaisance dans la détestation rend bête.

 http://youtu.be/y4n_Iya7YBc