Article épinglé

COVID et CRIMES

Sara Zoabi - une israélienne, musulmane et sioniste

Totalement incohérente ? sur ses lointaines références surement : et après ? Ses principes sont clairs : pour la vie et la liberté pour toutes et tous.

Sara Zoabi - an Israeli, Muslim and a Zionist, speaks out in the Israeli Knesset against incitement and what life is really like in Israel.Thank you for your bravery Sara!Video: Miri Lavi

Posté par StandWithUs sur lundi 26 octobre 2015

" Résilience" selon Mathilde Brasilier

RCF Magazine Litteraire du 2 juin 2015

Sophie Scholl les derniers jours

Boycott contre Israel : bonne nouvelle de la cour de cassation





20 octobre 2015
2 pourvois

Attendu qu’il résulte de l’arrêt attaqué et des pièces de la procédure que M. X..., Mme Y..., MM. Y..., Z..., A..., Mme B..., M. C..., Mmes D..., et E..., ont été interpellés, le 22 mai 2010, à Illzach (68) dans les locaux du magasin “ Carrefour “, alors qu’ils participaient à une manifestation appelant au boycott des produits en provenance d’Israël, en portant des vêtements comportant la mention “ Palestine vivra, boycott Israël “, en distribuant des tracts sur lesquels on lisait : “ Boycott des produits importés d’Israël, acheter les produits importés d’Israël, c’est légitimer les crimes à Gaza, c’est approuver la politique menée par le gouvernement israélien “, mention suivie de l’énumération de plusieurs marques de produits commercialisées dans les grandes surfaces de la région, et en proférant les slogans : “ Israël assassin, Carrefour complice “ ; qu’à la suite de ces faits, ils ont fait l’objet de citations à comparaître devant le tribunal correctionnel sur le fondement de l’article 24, alinéa 8, de la loi du 29 juillet 1881, pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une race, une religion, une nation ; que le tribunal a renvoyé les prévenus des fins de la poursuite, et débouté les associations parties civiles de leurs demandes ; que toutes les parties et le ministère public ont relevé appel du jugement ;


Attendu que, pour infirmer le jugement entrepris, et déclarer les prévenus coupables, l’arrêt retient que ceux-ci, par leur action, provoquaient à discriminer les produits venant d’Israël, incitant les clients à ne pas acheter ces marchandises en raison de l’origine des producteurs et fournisseurs, lesquels, constituant un groupe de personnes, appartiennent à une nation déterminée, en l’espèce Israël, qui constitue une nation au sens de l’article d’incrimination et du droit international ; que les juges ajoutent que la provocation à la discrimination ne saurait entrer dans le droit à la liberté d’opinion et d’expression dès lors qu’elle constitue un acte positif de rejet, se manifestant par l’incitation à opérer une différence de traitement à l’égard d’une catégorie de personnes, en l’espèce les producteurs de biens installés en Israël ;


Attendu qu’en prononçant ainsi, par des motifs exempts d’insuffisance comme de contradiction, qui répondaient aux chefs péremptoires des conclusions dont elle était saisie, la cour d’appel a justifié sa décision, dès lors qu’elle a relevé, à bon droit, que les éléments constitutifs du délit prévu par l’article 24, alinéa 8, de la loi du 29 juillet 1881 étaient réunis, et que l’exercice de la liberté d’expression, proclamée par l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme, peut être, en application du second alinéa de ce texte, soumis à des restrictions ou sanctions qui constituent, comme en l’espèce, des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la défense de l’ordre et à la protection des droits d’autrui ;


D’où il suit que le moyen doit être écarté ;


Et attendu que l’arrêt est régulier en la forme ;



REJETTE les pourvois ; 

Pierre Rabhi, Matthieu Ricard

Droit d'asile : à l''impossible nul n'est tenu ...


Le droit d'asile existe certes, le devoir de charité aussi .... mais à l'impossible nul n'est tenu. Si la violence d'une partie des personnes demandant asile ou aide ne peut être contrée, s'il est impossible de s'assurer qu'il n'y a pas de terroristes parmi eux, il n'est pas possible de remplir ces devoirs.



Les migrants mettent des chants djihadistes, les bénévoles all...
Les migrants mettent des chants djihadistes, les bénévoles allemands crédules applaudissent
Posté par Fdesouche sur mercredi 28 octobre 2015

Majid Oukacha

Un cardinal américain s'enhardit à parler du contenu réel de la doctrine de l'islam


Un cardinal au coeur de l'Eglise
Entretien avec le Cardinal Burke
Guillaume d'Alançon


Spécialiste du droit canon, le cardinal Burke est présenté comme un ultra-conservateur opposé à la ligne du pape François et représentatif d'un courant qui traverse l'Eglise américaine aspirant à un engagement de plus en plus visible des catholiques dans la vie publique. Dans cet entretien, il s'exprime sur l'avortement, sur la situation des divorcés remariés, sur le mariage, etc. ©Electre 2015

Le Cardinal Burke alerte sur l'islam dans son livre d'entretien qui vient de paraitre chez Artèges : "Il faut que l'Eglise, et les membres qui la composent, comprennent bien ce qu'est l'islam et ce que le Coran enseigne. L'islam n'est pas seulement une pratique religieuse de plus, qui voudrait vivre en harmonie avec les autres religions. L'islam est une religion qui, selon sa propre interprétation, doit également devenir l'Etat. Le Coran, et les interprétations authentiques qu'en donnent divers experts du droit coranique, est destiné à gouverner le monde. En réalité, il n'y a plus de place pour d'autres religions, même si elles peuvent être tolérées, tant que l'islam n'a pas réussi à établir sa souveraineté sur les nations et sur le monde. Il est important que les chrétiens tiennent compte des différences radicales entre l'islam et le christianisme, dans ce qui touche à l'enseignement sur Dieu, sur la conscience, etc. Si on comprend vraiment l'islam, on comprend que l'Eglise doit vraiment en avoir peur" 

page 74.


Statut de la liberté du Pont de Grenelle ...


Jolie histoire à 1h22

Aimer en vérité - Pierre-Hervé Grosjean le 7 août 2015 Conférence donnée à Paris par l'abbé Grosjean en décembre 2007 " je ne pensais pas que des garçons comme celui là existaient "

" Toute notre classe politique est achetée ..." ( Toute ? ...)

http://ns227996.ovh.net:8080/rcj/rest/media/play/a627981913cdf94eca5d6ab493295b37.mp3

Philippe De Villiers. Radio Courtoisie. 22 octobre 2015

Avec Jacques Trémolet de Villers
http://ns227996.ovh.net:8080/rcj/rest/media/play/2dceb9f60b6e9a8b1fc7b6ba5e413e3f.mp3

Source : http://www.radiocourtoisie.fr/29112/libre-journal-de-jacques-tremolet-de-villers-du-22-octobre-2015-les-formes-nouvelles-de-la-resistance-francaise-autour-de-deux-ouvrages/

Avec Anne Brassié. 
http://ns227996.ovh.net:8080/rcj/rest/media/play/a627981913cdf94eca5d6ab493295b37.mp3

Source : http://www.radiocourtoisie.fr/29104/les-tresors-en-poche-du-22-octobre-2015-le-grand-guignol-politique/


Toute, va savoir, mais combien de morts, de viols, de torture à cause de la collaboration vénale de tant de politiciens ...

Car ils ne peuvent pas dire qu'ils ne savaient pas ou ne pouvaient et ne DEVAIENT pas savoir.


Au Bénin, au Mali, des fermes bio et des lampes solaires

Au Bénin, une ferme bio comme modèle pour l'Afrique Le centre Songhaï, créé il y a trente ans au Bénin par un prêtre dominicain qui voulait lutter contre la pauvreté et la malnutrition en Afrique, est devenu un exemple de développement agricole pour le reste du continent. Durée: 02:28

Mali: la ferme agro-écologique d'Oumar Diabaté

Mali: des lampes solaires mobiles originales

Pr Charles Sultan, Dr Annie Sasco : Perturbateurs endocriniens, puberté précoce chez la fille, cancers ..

Vidéo :
https://youtu.be/Z92uCYupP7s

Intervention du Pr Charles Sultan, endocrinologue au CHU de Montpellier sur les perturbateurs endocriniens et la puberté précoce, lors de la table-ronde "Perturbateurs endocriniens : effets et mécanismes d’action de la conception à la maturité" organisée par WECF le 10 avril 2012 à l'Assemblée nationale.

https://youtu.be/qVGPi8w4Xog

Intervention du Dr Annie J. Sasco, Médecin épidémiologiste du cancer, sur le thème "Effets transgénérationnels des perturbateurs endocriniens: les leçons du DES" lors de la table-ronde organisée par WECF le 10 avril sur le thème "Perturbateurs endocriniens, effets et mécanismes d'action de la conception à la maturité".





Jean Marie Lustiger en 2001 : sur l'islam ...

En lien avec l'actualité (11septembre, guerre en Afghanistan...), le cardinal archevêque de Paris nous partageait sa vision du monde. Dieu ; l' Islam ; qui sont les chrétiens en France ?, comment désamorcer la haine ?, la réconciliation : voilà un exemple des thèmes abordés pendant l'entretien. Emission du 11/10/2001

Henri Boulad, Brigitte Gabriel et Mark Gabriel expliquent l'islam

Ex-IMAM prof d'AL-AZHAR converti au Christ (Témoignage chrétien du Pr. Mark A. Gabriel) le Père Syro-égyptien Henri Boulad

Cat

Государственный ансамбль танца Украины им.П.Вирского "Гопак"

1931 1964

Государственный ансамбль танца Украины им.П.Вирского "Гопак"
Государственный ансамбль танца Украины им.П.Вирского "Гопак"
Posté par Александр Борзенко sur lundi 1 juin 2015

Государственный ансамбль танца Украины им.П.Вирского "Матросский танец"
Мастер класс - репетиция "Матросский танец"
Posté par Александр Борзенко sur mardi 2 juin 2015

Snoopie and the death


Israel Nisand contre la pornographie



« Il faut informer les parents des dangers de la pornographie pour leurs enfants »

Le professeur Israël Nisand, chef du pôle gynécologie obstétrique du CHU de Strasbourg, s’exprime sans détour sur les conséquences néfastes de la pornographie sur les jeunes.
Il préside le colloque Médecine et psychanalyse qui se tient jusqu’au 22 septembre à la faculté de médecine de Clermont-Ferrand.
 La Croix : « Le porno fait du mal à nos enfants ! », dites-vous. Qu’est-ce qui provoque ce cri d’alarme ?  
 Israël Nisand :  Je consacre deux heures par semaine à l’association info ados à Strasbourg. Je vois régulièrement des jeunes de 4e  et 3e  dans les établissements scolaires. Récemment, des chefs d’établissement m’ont demandé de rencontrer aussi des plus jeunes, alertés par un certain nombre d’événements dans leurs écoles, notamment des séances de fellation collective dans les toilettes. 
Par ailleurs, les questions posées par les jeunes lorsque je les rencontre sont directement liées à la pornographie, voire de plus en plus à la zoophilie. Il est stupéfiant de voir l’absence de réaction de notre société à ce sujet. La loi de 2001 relative à l’éducation à la sexualité dans les écoles, les collèges et les lycées n’est pas appliquée. C’est désormais la pornographie qui éduque nos enfants à la sexualité.
 Quelles sont les conséquences de ce phénomène ?  
On observe chez les adolescents une sexualité de plus en plus « trash », violente, et une consommation addictive de pornographie très précoce. Certains enfants de 9-10 ans regardent de la pornographie trois heures par jour. Le sociologue Richard Poulin, professeur à l’université d’Ottawa que je cite dans mon ouvrage Et si on parlait de sexe à nos ados ? (1), montre le lien très net qui existe entre la date du premier rapport sexuel, certaines pratiques (utilisation d’objets, sodomie) et la consommation de pornographie. Celle-ci donne une image dégradée et méprisante de la femme. 
Les garçons disent qu’ils regardent des films pornos pour savoir ce que les « meufs » aiment. Ce que la pornographie montre, c’est que lorsque les femmes disent « non », elles veulent dire « oui ». Ces documents fixent des normes, et construisent la sexualité des jeunes autour de l’idée qu’on peut forcer les femmes, puisque finalement, elles aimeront ça. 
Cette situation me pousse à poser une question citoyenne : qu’en sera-t-il des rapports hommes-femmes dans l’avenir ? C’est une véritable incitation aux viols. On ne peut pas laisser les jeunes construire leur sexualité avec ces images qui sont aussi très angoissantes et induisent une logique de performance. Que des adultes consentants visionnent des films pornos ne me gêne pas, si c’est leur choix. Mais que des enfants construisent leur fantasmagorie sexuelle sur ces films qui vont de plus en plus loin m’inquiète beaucoup. D’autant qu’il faut savoir que les « tendances » actuelles de la pornographie s’attaquent aux derniers tabous que sont la zoophilie, mais aussi le viol et l’inceste.
 Quelles propositions faites-vous ?  
J’ai rencontré en mars dernier François Hollande, et je lui ai fait trois propositions. En premier lieu, il faut informer les parents des dangers de la pornographie pour leurs enfants. Il faut savoir que dans 30 % des cas, les jeunes regardent leur premier film porno en empruntant un document qui appartient à leurs parents. Il arrive encore qu’un garçon de 14 ans reçoive un de ces films pour son anniversaire ! 
Deuxièmement, il faut prévenir les addictions en discutant avec ses enfants, les garçons, mais aussi les filles, car très tôt, celles qui ne veulent pas regarder ces images sont considérées comme bégueules, et on se moque d’elles. Il faut dire aux jeunes que ces images sont nuisibles. Elles ne correspondent ni à la réalité, ni à ce qui se passe entre deux êtres humains. Elles sont faites pour être vendues. 
Enfin, il y a encore quelques années, il fallait aller chercher les images pornographiques. Aujourd’hui, elles surgissent sans qu’on les ait demandées. Je demande que les serveurs d’accès Internet ne puissent plus montrer une seule image pornographique sans que l’on ait donné un numéro de carte bancaire. Car aujourd’hui, les jeunes surfent facilement sur les sites pornographiques sans débourser un seul centime. Les parents pensent parfois que le contrôle Internet suffit, mais les adolescents peuvent aller sur l’ordinateur d’un copain ou y avoir accès sur un smartphone. 
On sous-estime le problème. Je suis véritablement inquiet. Ceux qui minimisent ce phénomène et qui ne font rien pour le contrer, oublient ce qu’est le développement psychique d’un enfant. Abreuver les jeunes d’images pornographiques, c’est de la barbarie.
 (1)  Et si on parlait de sexe à nos ados ?,  Israël Nisand, Brigitte Letombe, Sophie Marinopoulos, Éditions Odile Jacob, 248 p., 21 €.
Recueilli par MARIE AUFFRET-PERICONE

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