Article épinglé

COVID et CRIMES

Désobéissance -



En partant vivre à Manhattan pour devenir photographe, Ronit Khruska a pris ses distances avec la communauté juive orthodoxe londonienne dans laquelle elle a grandi. Mais quand elle apprend la mort de son père, rabbin, elle décide de rentrer chez elle pour assister aux obsèques. Ronit doit affronter l’hostilité des membres de sa communauté à l’exception de son ami d’enfance Dovid, qui semble heureux de la revoir. Mais elle est surtout bouleversée d’apprendre qu’Esti, dont elle était autrefois secrètement amoureuse, est devenue l’épouse de Dovid. Les retrouvailles entre les deux femmes font renaître une passion qui ne s’est jamais vraiment éteinte…

HABEAS CORPUS POUR TOMMY ROBINSON !!!



Pour avoir fait un reportage devant un tribunal jugeant des personnes musulmanes asiatiques pour viol et proxénétisme sur des enfants, DURANT DES ANNEES, au cours desquelles les autorités britanniques ont refusé d'intervenir pour ne pas "attiser le racisme",
Tommy Robinson est emprisonné et risque sa vie parmi les musulmans.

Ce scandale énorme est une honte pour la Grande Bretagne.

Que fait la Reine ?



https://youtu.be/23tIE6grEpY





https://youtu.be/_YQ94jFg_4A


https://youtu.be/jvNVWRhfnuo https://youtu.be/UDp7MX_UceM

Letter from Tommy Robinson

https://youtu.be/-3VPWzSXQQg

Nous y revoilà donc. C’est dimanche soir 10 juin 2018, les nouvelles des scènes magnifiques qui se sont déroulées à Londres hier soir me parviennent, mais avant que je commente  ces événements, je veux d’abord parler de ce qui va moins bien. Je veux partager avec vous des extraits de la lettre de ma femme :
« L’école m’a téléphoné avant que je ne parte au travail pour me dire que Spencer (le fils de Tommy) n’allait pas bien à l’école, qu’il ne gérait pas du tout et qu’il pleurait à la moindre occasion. Son copain Sam lui a dit : »je vais faire du cross avec mon père » et Spencer lui a répondu:  » moi je peux pas faire ça avec le mien » et il est parti en pleurant. Il a pleuré jusqu’à ce qu’il s’endorme. Il dort avec ton oreiller et me demande à longueur de journée « quand est-ce qu’il rentre Papa ? « . Je ne peux même pas lui donner de date approximative puisque tu n’en as pas non plus ! Je me contente de lui répéter que c’est pour bientôt, que ça ne sert à rien de pleurer et qu’il doit se montrer courageux pour que tu sois fier de lui. Hier soir, il m’a dit : « Je vais faire quelque chose de mal comme ça j’irai en prison et je pourrai voir Papa. »
Je le dis tout net : cette nouvelle m’a brisé le cœur. Il y a une semaine, la prison a enlevé de leurs données le numéro de téléphone de ma femme, je n’ai donc pas pu parler à mes enfants. Ce qui  me bouleverse aussi, c’est de penser que mon fils pense que si je suis en prison, c’est parce que j’ai fait quelque chose de mal. Plutôt que m’apitoyer sur moi-même, je devrais mettre cela en perspective : je ne suis pas chez moi pendant une courte durée. Les enfants de soldats vivent tout le temps de telles situations. C’est pour cela que j’admire leurs sacrifices passés et présents. Je ne m’étends pas trop longtemps sur mon affaire car nous venons d’introduire un recours. Ce dont je veux parler, c’est de ce que vous m’avez apporté.
Quand je me suis retrouvé dans cette prison, j’étais dégoûté. Dégoûté ce que ma famille allait devoir traverser, dégoûté pour ceux avec qui j’étais en contact et qui comptaient sur moi pour raconter leur histoire. J’étais également sûr que je serais tué en prison. Quand j’étais leader de l’English Defence League, j’ai été condamné en 2012 à 10 mois de prison.  Pour ma propre sécurité, j’ai été mis en isolement pendant 22 semaines. Je pense que c’est parce que le Gouvernement craignait des soulèvements dans les rues si j’étais tué en prison.
En 2013, le soldat Lee Rigby a été décapité :  le Gouvernement a pu voir qu’un soldat pouvait être décapité sans que personne ne réagisse. En 2014, j’ai été envoyé en prison pour 18 mois. J’ai été littéralement livré aux chiens.  Roué de coups par des prisonniers musulmans, j’ai eu de la chance de m’en sortir vivant. Le gouvernement savait que je pouvais mourir sans que quiconque n’intervienne. Ce fut un moment terrible pour moi de me rendre compte que si j’étais tué, ma mort passerait inaperçue.  Je me suis rendu également compte que ma famille ne recevrait aucun soutien pour ses besoins ou sa sécurité.
OH MAIS QUELLE DIFFERENCE  EN QUATRE ANS !
Dès les premières 24 heures de mon arrivée ici,  j’ai  appris que des milliers de personnes manifestaient devant le 10 Downing Street, que votre pétition avait récolté 100 000 signatures. Maintenant nous en sommes à 300 000.  Ensuite un demi-million. J’ai entendu dire que des manifestants escaladaient les grilles de la maison du Premier ministre. Je pensais que ceux qui me rapportaient ces nouvelles se trompaient, qu’il s’agissait d’une manifestation pour la liberté en général. Je ne me doutais pas qu’il s’agissait d’un combat pour MA libération.
Incarcéré les premiers jours au milieu de musulmans, j’étais en danger, quand quelque chose a changé. J’ai été soustrait de ma cellule et de mon quartier,  et mis seul, en sécurité. Je pense que c’est lorsque Lord Pearson (homme politique, ancien dirigeant de l’UKIP)  a pris la parole au sujet de ma sécurité. il m’a certainement sauvé la vie.
J’ai ensuite su que des mouvements de protestation se propageaient partout dans le monde. J’ai su que la parole se libérait chez beaucoup de gens qui pendant des années  étaient restés silencieux, hommes politiques, policiers, avocats. Je suis profondément  ému de savoir que 20 000 personnes  ont manifesté ce week-end à Londres leur solidarité. Je suis abasourdi par la réaction du public. Je me sens aimé. Aimé et reconnu.
Je reçois tous les jours des centaines de lettres et mails. Je lis chacun d’eux et vous en suis très reconnaissant. Je tiens à remercier chacun d’entre vous qui m’a soutenu. Je sais combien il est difficile de parler. Je sais que beaucoup, pour m’avoir soutenu, ont dû subir des conséquences, de la part d’amis ou au travail,  et je vous en suis très reconnaissant. Il n’y a plus de liberté d’expression quand on doit subir des conséquences sociales si on parle.
Je suis heureux, heureux que cette peine de prison ait eu des conséquences pour l’establishment,  heureux que le public ait montré les conséquences que ma mort aurait entraînées. Je dis depuis longtemps qu’un jour, on ne sait quand, notre nation changera de cap.
J’y pense beaucoup et je suis sûr que je mourrai à cause de l’islam. Ceci m’effraie, mais pas autant que de savoir que ma mort n’aurait eu aucune conséquence. A présent, je souris, soulagé de savoir que ma mort entraînerait une révolution. Je ris, ce qui peut sembler fou, mais de savoir cela m’apporte une grande satisfaction.
J’ai toujours dit que je donnerais ma vie si cela pouvait arrêter la prise de pouvoir de l’islam sur mon beau pays. Notre bataille n’est pas aussi simple qu’une bataille d’homme à homme car nous nous battons contre un système, un système corrompu. La prison laisse beaucoup de temps pour réfléchir. Nous ne pouvons plus rester chacun dans notre coin, nous devons unir nos voix et nos mouvements dans l’action politique. J’ai beaucoup de projets après ma sortie de prison.  J’ai été très heureux de savoir que Geert Wilders est venu parler à Londres. C’est lui qui m’a inspiré quand j’ai commencé mon action de militant.
Je ne peux pas établir la liste de toutes les personnes que je veux remercier  mais je sais qu’Alex Jones d’Info Wars mènerait la lutte pour ma libération. il me fait rire et je l’adore. Gerard Bitten de UKIP, Lord Pearson, Raheem Kassam, Katie Hopkins, mon cousin Kevin Carroll, Donald Trump junior pour ses tweets. J’aurais fait six mois rien que pour ça.
La liste serait encore longue, je remercierai en bonne et due forme à ma libération.  Enfin, je tiens à remercier par-dessus tout ma femme. Quand j’ai enfin pu lui parler au téléphone, je lui ai demandé, en plaisantant, si elle n’en avait pas assez de tout ça. Je n’ai pas été un mari génial mais elle , en revanche, a été une épouse et une mère parfaites. Je ne pourrais pas survivre à cette épreuve sans ma famille.
Si vous lisez cette lettre en ligne, sachez que JE VOUS AIME et que VOUS ME MANQUEZ. Mes potes vont me chambrer pour cette putain de lettre sentimentale. Beaucoup de gens me disent que je leur donne de l’espoir mais je tiens à vous dire que par vos réactions, que ce soient votre soutien à ma famille, la  prise en charge des frais de justice, ou le partage de vidéos,  c’est vous qui  m’avez donné de l’espoir et un sentiment sans nom.
Veuillez excuser mon écriture, ma main me fait mal parce que je rédige des notes pour mon prochain livre sur lequel je travaillais avant d’être incarcéré.  Le titre provisoire en est : Battle for Britain. il s’agit en gros de mettre à jour l’Ennemi de l’Etat et de présenter une vision de l’avenir. Je remercie donc Sa Majesté de me donner le temps d’y travailler.
C’est formidable de savoir qu’il y a d’autres manifestations prévues, c’est formidable de savoir que je ne suis pas oublié et que leurs tentatives de me faire taire n’ont pas marché.
C’est lundi et je viens de regarder Love Island. On a remis le numéro de téléphone de ma femme dans les données et j’ai pu parler à mes enfants. Je suis moins stressé et plus détendu. Mes enfants vont venir me voir très  bientôt.
Merci à tous de votre soutien. Ce sont  vos protestations et vos réactions qui me garderont en sécurité. Je tiens à ce que vous sachiez combien je suis motivé et reconnaissant. J’espère que Lord Pearson et Gérard Batten m’écriront.  Et, les potes, si vous lisez cette missive, demandez à Gérard de venir avec vous à la prison de Hull. Mes appels ont abouti, appel du verdict, appel des conditions d’emprisonnement et appel concernant la caution. Merci de tout cœur à Pauline Hansen, merci à l’AfD pour leur offre d’asile.
L’establishment pensait clore le livre. Au contraire, le public vient d’en ouvrir un nouveau chapitre.
Du fond du coeur, merci à tous.
Papa, Maman, désolé de ce stress que je vous cause.
Merci au monde libre.
C’est mardi. Je suis transféré dans une autre prison. Mes enfants ne me verront pas ce week-end.

(traduction Riposte laique)

Le choix de la défaite



Idem aujourdhui face à l'islam.
Ce ne sont pas les méchantes élites qui oppriment le peuple dans les guerres et qui seraient seules responsables :
ce sont largement les peuples qui se laissent entrainer à l'indifférence et la lâcheté, ou à l'appat des butins.
Côté Orient et coté Occident : idem.
C'est pourquoi Henri Boulad a raison : soit l'Europe retrouve un idéal chrétien ( dont un certain idéal communiste est un avatar ), biblique plus précisément, soit elle sera détruite, régressera, sur tous les plans.

L'islam est pire que le nazisme, il y a deux fascismes : l'argent et l'islam

Les ambiguités d'un certain anti communisme

Délateur de juifs hier et aujourd'hui méritent tous la prison

Ils sont tous des assassins par procuration
Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de ...



Réquisitoire contre Robert Brasillac

Le journaliste et auteur très célèbre à l’époque, Robert Brasillac a en particulier été condamné pour délation et « collaboration intellectuelle» :

« Fondamentalement, conclut Reboul, Brasillach avait l'âme d'un dénonciateur. Il avait dénoncé la Sorbonne parce qu'elle abritait des enseignants enga­gés dans la Résistance, il avait dénoncé des étudiants du lycée Lakanal qui avaient arraché un portrait de Pétain du mur de leur classe, il avait dénoncé un jeune homme de l'Hérault qui avait ridiculisé Pétain dans un discours du 14 Juillet.
Reboul fit un pas de plus : il souligna le fait que chez Brasillach il ne s'agissait pas d'un cas ordi­naire de dénonciation, et pour ce faire il ne ménagea pas sa peine : « Sans doute, vous n'êtes pas le dénonciateur qui va, en rasant les murs, toucher à la Gestapo le prix du sang, mais on peut aujourd'hui légitimement vous considérer comme un dénonciateur plus large, plus schématique, un dénonciateur d'une autre sorte, un dénonciateur presque officiel, car il suffit aujourd'hui à votre crime de ne pas pouvoir nous dire avec certitude si la Gestapo, après la lecture de vos articles — et elle les lisait — a négligé d'aller faire un tour en Sorbonne ou dans ce village de l'Hérault ou au lycée Lakanal. » Alice Kaplan « le procès Brasillac »

 « Reboul ne cessa de revenir sur le désir de ven­geance qui animait Brasillach, son désir de faire souffrir ses ennemis : « On les laissera crever sans sourciller, qu'on se rassure. Mais c'est urgent » ; « Qu'attend-on pour fusiller les députés commu­nistes ? » ; « C'est sans remords, mais au contraire plein d'une immense espérance que nous vouons ces derniers au camp de concentration, sinon au poteau ». Les hommes en question étaient ses conci­toyens, des députés de la Troisième République, des résistants, des gaullistes, des communistes; des hommes dont la vie était menacée par les nazis, des hommes avec qui les membres du jury pouvaient s'identifier entièrement. …Le lendemain Brasillach écrivit à Maurice Bardèche : « Tout ce qu'il fait est de lire certains de mes articles adroitement découpés » Quelle contrariété pour Brasillach, qui avait bâti sa propre gloire de critique sur la manipulation malveillante de citations bien placées ! Et là il se faisait des illusions, car il savait bien que des citations plus longues n'auraient en rien arrangé sa situation. » Alice Kaplan « le procès Brasillac »

Mamoudou Gassama : héros ou déserteur ou les deux ?

Mamoudou Gassama, clandestin malien de 23 ans qui a escaladé la façade d’un immeuble du XVIIIe arrondissement de Paris pour porter secours à un enfant.
" que fait en France ce Malien, jeune et en pleine forme physique, alors que le Mali est en guerre et que, depuis 2013, 22 soldats français – un officier, neuf sous-officiers et 12 hommes du rang – se sont fait trouer la peau dans le cadre de l’opération Barkhane, pour que lui et les siens puissent vivre en paix dans leur pays ?  "