La réaction la plus merdeuse aux Assises : une supporter de Prochoix !
Après les Assises sur l'islamisation du 18 décembre, la réaction la plus "merdeuse" est venue .. d'une supporter de caroline fourest :
j'avais critiqué sa critique des assises ( http://www.ripostelaique.com/La-blague-du-jour-de-Caroline.html ) , ce à quoi elle n'a rien pu répondre ... ( du moins jusquà présent)
mais je suis interpellée par une certaine "j...." qui m'écrit :
" PS : Puis stop tes agressions contre ProChoix et Caroline ... tu devrais écouter mon conseil , à ce sujet ... pour ton bien être , réfléchis .... tu es dans le mauvais camps . ", me menace de révélations sur ma vie privée, et me menace physiquement " je ne te parle pas d'écrire là ... je te parle que tu vas m'avoir en face et donc de le dire... tu capte la différence là écrire derrière un clavier et dire en face ..sur ce ... tchao ... profites bien de la fin de l'année 2010 ... car l'année 2011 va démarrer sur des chapeaux de roues pour toi ... Alors tant que ta bouche le peut, .."
Cette "julia" qui se présente comme juive, est encouragée dans ces propos par un certain "s...", qui m'a déja reproché mes propos critiques sur l'islam, qui se présente aussi comme juif, et l'excite dans ses propos haineux en me présentant commme quelqu'un qui pourrait être antisémite ... allant jusqu'à lui proposer son "aide logistique".
Quand je vois des procédés aussi bas, aussi minables, employés par ces gens qui se permettent de décrier mes articles, j'en conclus qu'ils n'ont pas d'autres arguments contre mes critiques de l'islam !!!
Je lis souvent sur Libertyvox, les propos de Anne-Marie Delcambre sur les attaques qu'elle subit de la part des "gauchistes" et de la part de certains musulmans : un constat revient souvent à ce sujet : les musulmans militants peuvent être des tueurs et des sadiques au nom de leur foi, ils peuvent pratiquer la "retenue mentale", la "taqya, dans leurs propos, mais ce qu'elle constate, c'est que leurs attaques n'atteignent pas la bassesse honteuse des attaques qu'elle subit de la part de leurs complices et idiots utiles non musulmans, qu'ils soient comme elle dit "gauchistes" ou "dialogueux".
Il s'avère que je constate au fur et à mesure des dialogues avec des musulmans "orthodoxes" et leurs complices non musulmans, la même différence d'attitude : la pire des bassesse vient de ceux qui collaborent sans avoir eux même la foi, les plus méprisables comportements viennent d'eux, ce qui est comprehensbile puisque leur comportement correspond à la bassesse de leurs motivations profondes.
j'avais critiqué sa critique des assises ( http://www.ripostelaique.com/La-blague-du-jour-de-Caroline.html ) , ce à quoi elle n'a rien pu répondre ... ( du moins jusquà présent)
mais je suis interpellée par une certaine "j...." qui m'écrit :
" PS : Puis stop tes agressions contre ProChoix et Caroline ... tu devrais écouter mon conseil , à ce sujet ... pour ton bien être , réfléchis .... tu es dans le mauvais camps . ", me menace de révélations sur ma vie privée, et me menace physiquement " je ne te parle pas d'écrire là ... je te parle que tu vas m'avoir en face et donc de le dire... tu capte la différence là écrire derrière un clavier et dire en face ..sur ce ... tchao ... profites bien de la fin de l'année 2010 ... car l'année 2011 va démarrer sur des chapeaux de roues pour toi ... Alors tant que ta bouche le peut, .."
Cette "julia" qui se présente comme juive, est encouragée dans ces propos par un certain "s...", qui m'a déja reproché mes propos critiques sur l'islam, qui se présente aussi comme juif, et l'excite dans ses propos haineux en me présentant commme quelqu'un qui pourrait être antisémite ... allant jusqu'à lui proposer son "aide logistique".
Quand je vois des procédés aussi bas, aussi minables, employés par ces gens qui se permettent de décrier mes articles, j'en conclus qu'ils n'ont pas d'autres arguments contre mes critiques de l'islam !!!
Je lis souvent sur Libertyvox, les propos de Anne-Marie Delcambre sur les attaques qu'elle subit de la part des "gauchistes" et de la part de certains musulmans : un constat revient souvent à ce sujet : les musulmans militants peuvent être des tueurs et des sadiques au nom de leur foi, ils peuvent pratiquer la "retenue mentale", la "taqya, dans leurs propos, mais ce qu'elle constate, c'est que leurs attaques n'atteignent pas la bassesse honteuse des attaques qu'elle subit de la part de leurs complices et idiots utiles non musulmans, qu'ils soient comme elle dit "gauchistes" ou "dialogueux".
Il s'avère que je constate au fur et à mesure des dialogues avec des musulmans "orthodoxes" et leurs complices non musulmans, la même différence d'attitude : la pire des bassesse vient de ceux qui collaborent sans avoir eux même la foi, les plus méprisables comportements viennent d'eux, ce qui est comprehensbile puisque leur comportement correspond à la bassesse de leurs motivations profondes.
Raymond Aron répond au jeune BHL
BHL vient encore de tenir des propos "hystériques" et violents contre la France. " Il faut rabattre son caquet au coq gaulois". Cela devient insupportable à la longue. Bernard-Henri Lévy, si vous n'aimez pas la France, retournez dans votre Algérie natale, restez dans votre Maroc en vacances toute l'année : prenez donc des vacances, cela nous en fera, à nous, des vacances !
Elisabeth Lévy a raison dans ses reproches, mais je lui ajoute les paroles d'un vieux français, d'un homme qui a affronté le conformisme de pensée, lui ...
Provocation
par Raymond Aron, publié le 07/02/1981 - mis à jour le 02/05/2006
Un auteur qui emploie volontiers les adjectifs infâme ou obscène pour qualifier les hommes et les idées invite le critique à lui rendre la pareille. Je résisterai autant que possible à la tentation, bien que le livre de Bernard-Henri Lévy présente quelques-uns des défauts qui m'horripilent: la boursouflure du style, la prétention à trancher des mérites et démérites des vivants et des morts, l'ambition de rappeler à un peuple amnésique la part engloutie de son passé, les citations détachées de leur contexte et interprétées arbitrairement. Pis encore, le doute subsiste à la fin de la lecture: la violence du ton, maintenue d'un bout à l'autre du pamphlet, révèle-t-elle une indignation authentique ou le goût du scandale et de la diffusion de masse?
Allons plus loin: le livre ne se prête guère à une discussion objective, selon le mot consacré dans les universités. II n'apporte aucun fait, aucun document, aucun texte que l'on ne trouve dans les quelques livres dont Bernard-Henri Lévy a tiré, pour l'essentiel, la matière qu'il triture à sa manière. Ce qui lui appartient en propre, c'est une certaine mise en place d'un corpus de mots ou de phrases. Or, cette mise en place est à tel point commandée par le propos de l'auteur que l'on se demande s'il vaut la peine de discuter avec un «philosophe» qui s'arroge le rôle de justicier.
En quoi consiste le propos? D'abord, un procès du pétainisme et de la Révolution nationale, en particulier la mise en cause d' Esprit et d'Uriage. A partir de là, la définition de l'idéologie française - non pas «une», mais «la» - dont Vichy révéla la persistance et la force souterraine, d'autant plus menaçante aujourd'hui que le fascisme français ne fut pas épuré à la Libération.
Le vichysme ou le pétainisme, nous le savons, et je le sais depuis 1940, fait partie intégrante de l'histoire politique de la France. Certes, sans la défaite et l'occupation de la moitié du pays par les Allemands, probablement les artisans de la Révolution nationale n'auraient-t-ils jamais accédé au pouvoir. L'Action française exerçait une grande influence sur les officiers de la Marine nationale (ou Royale), dans des milieux limités, mais qui souvent occupaient des positions clefs (sans compter l'Académie); en revanche, elle ne parvenait pas à faire élire un seul député sous la IIIe République (une seule fois, Léon Daudet siégea à la chambre). Or, pendant les premiers mois après la défaite, c'est la pensée de l'Action française qui, par l'intermédiaire de Raphaël Alibert, René Gillouin, et d'autres encore, domina Vichy et inspira les lois effectivement «infâmes» (le statut des Juifs, la remise en question des naturalisations postérieures à 1927, la suppression de la loi qui avait été votée en 1938 pour lutter contre la propagande hitlérienne et l'exploitation des haines raciales).
La conception même d'une Révolution nationale sous le regard des vainqueurs, alors que la guerre continuait, me parut, à l'époque même, non pas monstrueuse ou obscène, mais déraisonnable. En effet, ou bien le IIIe Reich l'emporterait, et, en ce cas, les vichystes seraient balayés par les vrais nazis; ou bien le IIIe Reich serait finalement vaincu, et, en ce cas aussi, les vichystes disparaîtraient au profit des ci-devant de la IIIe et d'une nouvelle élite.
Le phénomène Révolution nationale n'eut d'équivalent dans aucun pays de l'Europe occupée, de même que nulle part ailleurs un Etat légal ne s'interposa entre les autorités d'occupation et la population. Les maîtres de cet Etat ne se contentèrent pas d'administrer, ils voulurent régénérer la nation, renouveler les institutions, préparer l'après-guerre, que la plupart des vichystes, dans l'année 1940, croyaient tout proche. La masse de la population, traumatisée par une défaite à l'avance inconcevable, s'accrocha au Maréchal et souscrivit à la condamnation du «régime aboli». Or, pendant les années 30, nombre de groupes et d'intellectuels, Esprit et Ordre nouveau, Emmanuel Mounier, Arnaud Dandieu et Robert Aron, menaient campagne contre les démocraties capitalistes, alors que montaient, à travers tout l'Europe, les régimes autoritaires ou totalitaires.
«Esprit» s'efforça de prendre ses distances par rapport au fascisme et au national-socialisme, non sans peine, parce qu'il partageait avec eux les mêmes ennemis.
Après la défaite, le Maréchal, les hommes de la Révolution nationale tenaient un langage dans lequel Emmanuel Mounier ne pouvait pas ne pas retrouver nombre de ses idées. D'où les controverses sur les sentiments et les prises de position de Mounier en 1940-1941. D'où la présence d'hommes aujourd'hui encore respectés, voire révérés, tel Hubert Beuve-Méry, dans des organisations subventionnées par Vichy, par exemple Uriage. Celui qui voudrait instruire le procès de la politique de Mounier n'a qu'à lire l'ouvrage rédigé par un fidèle d' Esprit, Michel Winock. Dunoyer de Segonzac, admirable combattant, demeura longtemps maréchaliste, en dépit des lois «infâmes».
Je ne reproche pas à Bernard-Henri Lévy de mettre en lumière la parenté entre certains thèmes d' Esprit ou d'Ordre nouveau et ceux de la Révolution nationale. Il n'en résulte pas qu'Emmanuel Mounier ait adhéré à l'ensemble du vichysme et célèbré le culte du Maréchal. L'argent d'Uriage venait de Vichy (celui du «Figaro» partiellement aussi), Beuve-Méry ne fléchit jamais dans son opposition radicale au national-socialisme. Chacun peut apprécier librement Uriage, «qui tient de l'histoire de la chevalerie, du roman d'éducation, du grand jeu secret de la fondation d'un ordre monastique, sur un fond d'idéalisme moral qui peut nous paraître un peu naïf et grandiloquent, et aussi passablement pétainiste, mais qui fut, notons-le, commun au vichysme et à la Résistance» (Jean-Michel Jeanneney et Jacques Julliard).
Ce qui m'irrite, c'est le style dans lequel Bernard-Henri Lévy évoque ces moments tragiques de l'Histoire de France, sans la moindre compréhension des cas de conscience qui se posèrent à d'innombrables bons Français. Ceux qui passèrent, comme Mounier, de longs mois dans les prisons, accusés d'incarner un certain esprit de résistance, ceux d'Uriage, qui partirent tous ensemble dans le maquis les armes à la main, ont droit au moins à un certain respect. Il est légitime de critiquer les décisions qu'ils ont prises, les textes qu'ils ont écrits et publiés entre 1940 et 1942 ou 1945: encore convient-il de les critiquer sérieusement, sans oublier les circonstances, sans excommunier le nationalisme de Péguy ou la pensée communautaire, quel que soit le jugement que l'on porte sur eux.
Nous savions depuis longtemps que la pensée raciste et l'antisémitisme ne sont pas monopole de l'Allemagne. Lequel des deux pays fut en avance sur l'autre? Lequel influa le plus sur l'autre? Sur toutes ces questions, des études sérieuses nous instruiraient, mais non pas l'utilisation, plus ou moins fantaisiste, des livres sérieux auxquels Bernard-Henri Lévy emprunte sa documentation.
Je m'en tiendrai à un point, à vrai dire essentiel. Qu'est-ce que cette idéologie française que ce livre s'efforce d'amener au jour en la baptisant? L'idéologie française, multiforme, insaisissable, partout présente, se situe aussi bien à droite qu'à gauche. Proudhon est farouchement antisémite. Maurras aussi, à l'autre extrémité de l'éventail. L'argent se confond avec le judaïsme, et la dénonciation de l'un et de l'autre se retrouve, presque identique, dans la littérature contre-révolutionnaire et dans la littérature socialiste. («La Question juive», le texte le plus antisémite de Marx, illustre cette confusion volontaire.) Tout cela n'est pas neuf et nullement caractéristique de la France.
En quoi consiste la francité de cette idéologie, du «fascisme aux couleur de la France»? Quels sont les traits communs à Proudhon, Barrès, Maurras, Sorel, Péguy, Bernanos? Je ne vois d'autre réponse que celle-ci: ils détestent la démocratie individualiste, liée au capitalisme, la Republique bourgeoise et libérale, celle de Benda (avant son ralliement au communisme) et de Bernard-Henri Lévy. Le patriotisme charnel, les communautés concrètes, les tendances à la vision organiciste du lien social, Bernard-Henri Lévy, lui, déteste ces manières de penser et de sentir; il se fait inquisiteur et rejette dans la nuit, dans la «France noire», au hasard de ses lectures et de ses citations, Péguy et Bernanos, bien d'autres qui s'étonneraient de se retrouver en pareille compagnie. Simone Weil aurait mérité de figurer dans cette galerie des ancêtres.
Si l'on objectait à Bernard-Henri Lévy qu'il viole toutes les règles de l'interprétation honnête et de la méthode historique, il répondrait avec arrogance qu'il se moque des pions de l'Université. Mais peut-être consentira-t-il à réfléchir un instant sur un fait indiscutable: le fascisme n'a jamais «pris» en France, comme une mayonnaise ne prend pas. Les idéologies des années 30, de type communautaire, anti-individualiste, n'ont jamais débouché en dehors des cénacles de l'intelligentsia parisienne. Elles ont accédé au pouvoir à la faveur d'une catastrophe nationale. Là encore elles sont demeurées un mixte de traditionalisme et de parafascisme.
Les «rénovateurs», en quête d'une nouvelle droite, rompent avec l'héritage de la contre-révolution qui paralysa le développement d'un vrai fascisme. Les tentatives d'unir le nationalisme au socialisme ne manquèrent pas, mais il n'y eut pas de national-socialisme, et les Français, avant 1940 comme après 1945, votèrent pour la République et la démocratie parlementaire.
J'en viens à l'épilogue, raison d'être de cet article. Il se peut que certains adversaires de Bernard-Henri Lévy lui fassent payer son succès trop rapide, ses lecteurs trop nombreux. Je n'en veux pas à Bernard-Henri Lévy, et je garde la nostalgie du jeune homme que j'ai connu, il y a quelques années, pas encore guindé dans son personnage, tout au contraire disponible, comblé à la naissance par les dons des fées et les faveurs de la société. Je fus sensible à son talent, à son charme, et, je le crus, à la noblesse de ses sentiments, quand, à la suite d'un entretien avec moi, il rédigea l'interview publiée au «Nouvel Observateur» avec un tact sans faute.
Le voilà maintenant Fouquier-Tinville, lui qui prêche la démocratie. Il oublie que la démocratie devient aisément, elle aussi, inquisitoire, sinon totalitaire. Juif comme moi, il exclut de la France et rejette dans la France noire d'innombrables écrivains ou penseurs de notre commune patrie.
Nombre de Juifs, en France, se sentent de nouveau guettés par l'antisémitisme et, comme des êtres «choqués», ils amplifient par leurs réactions le danger, plus ou moins illusoire, qu'ils affrontent. Que leur dit ce livre? Que le péril est partout, que l'idéologie française les condamne à un combat de chaque instant contre un ennemi installé dans l'inconscient de millions de leurs concitoyens. Des Français non juifs en concluront que les Juifs sont encore plus différents des autres Français qu'ils ne l'imaginaient, puisqu'un auteur acclamé par les organisations juives se révèle incapable de comprendre tant d'expressions de la pensée française, au point de les mettre au ban de la France.
Il nous annonce la vérité pour que la nation française connaisse et surmonte son passé, il jette du sel sur toutes les plaies mal cicatrisées. Par son hystérie, il va nourrir l'hystérie d'une fraction de la communauté juive, déjà portée aux paroles et aux actes du délire. œuvre d'intérêt public, écrivait en conclusion le compte rendu du «Nouvel Observateur». Intérêt public ou danger public?
Elisabeth Lévy a raison dans ses reproches, mais je lui ajoute les paroles d'un vieux français, d'un homme qui a affronté le conformisme de pensée, lui ...
Provocation
par Raymond Aron, publié le 07/02/1981 - mis à jour le 02/05/2006
Un auteur qui emploie volontiers les adjectifs infâme ou obscène pour qualifier les hommes et les idées invite le critique à lui rendre la pareille. Je résisterai autant que possible à la tentation, bien que le livre de Bernard-Henri Lévy présente quelques-uns des défauts qui m'horripilent: la boursouflure du style, la prétention à trancher des mérites et démérites des vivants et des morts, l'ambition de rappeler à un peuple amnésique la part engloutie de son passé, les citations détachées de leur contexte et interprétées arbitrairement. Pis encore, le doute subsiste à la fin de la lecture: la violence du ton, maintenue d'un bout à l'autre du pamphlet, révèle-t-elle une indignation authentique ou le goût du scandale et de la diffusion de masse?
Allons plus loin: le livre ne se prête guère à une discussion objective, selon le mot consacré dans les universités. II n'apporte aucun fait, aucun document, aucun texte que l'on ne trouve dans les quelques livres dont Bernard-Henri Lévy a tiré, pour l'essentiel, la matière qu'il triture à sa manière. Ce qui lui appartient en propre, c'est une certaine mise en place d'un corpus de mots ou de phrases. Or, cette mise en place est à tel point commandée par le propos de l'auteur que l'on se demande s'il vaut la peine de discuter avec un «philosophe» qui s'arroge le rôle de justicier.
En quoi consiste le propos? D'abord, un procès du pétainisme et de la Révolution nationale, en particulier la mise en cause d' Esprit et d'Uriage. A partir de là, la définition de l'idéologie française - non pas «une», mais «la» - dont Vichy révéla la persistance et la force souterraine, d'autant plus menaçante aujourd'hui que le fascisme français ne fut pas épuré à la Libération.
Le vichysme ou le pétainisme, nous le savons, et je le sais depuis 1940, fait partie intégrante de l'histoire politique de la France. Certes, sans la défaite et l'occupation de la moitié du pays par les Allemands, probablement les artisans de la Révolution nationale n'auraient-t-ils jamais accédé au pouvoir. L'Action française exerçait une grande influence sur les officiers de la Marine nationale (ou Royale), dans des milieux limités, mais qui souvent occupaient des positions clefs (sans compter l'Académie); en revanche, elle ne parvenait pas à faire élire un seul député sous la IIIe République (une seule fois, Léon Daudet siégea à la chambre). Or, pendant les premiers mois après la défaite, c'est la pensée de l'Action française qui, par l'intermédiaire de Raphaël Alibert, René Gillouin, et d'autres encore, domina Vichy et inspira les lois effectivement «infâmes» (le statut des Juifs, la remise en question des naturalisations postérieures à 1927, la suppression de la loi qui avait été votée en 1938 pour lutter contre la propagande hitlérienne et l'exploitation des haines raciales).
La conception même d'une Révolution nationale sous le regard des vainqueurs, alors que la guerre continuait, me parut, à l'époque même, non pas monstrueuse ou obscène, mais déraisonnable. En effet, ou bien le IIIe Reich l'emporterait, et, en ce cas, les vichystes seraient balayés par les vrais nazis; ou bien le IIIe Reich serait finalement vaincu, et, en ce cas aussi, les vichystes disparaîtraient au profit des ci-devant de la IIIe et d'une nouvelle élite.
Le phénomène Révolution nationale n'eut d'équivalent dans aucun pays de l'Europe occupée, de même que nulle part ailleurs un Etat légal ne s'interposa entre les autorités d'occupation et la population. Les maîtres de cet Etat ne se contentèrent pas d'administrer, ils voulurent régénérer la nation, renouveler les institutions, préparer l'après-guerre, que la plupart des vichystes, dans l'année 1940, croyaient tout proche. La masse de la population, traumatisée par une défaite à l'avance inconcevable, s'accrocha au Maréchal et souscrivit à la condamnation du «régime aboli». Or, pendant les années 30, nombre de groupes et d'intellectuels, Esprit et Ordre nouveau, Emmanuel Mounier, Arnaud Dandieu et Robert Aron, menaient campagne contre les démocraties capitalistes, alors que montaient, à travers tout l'Europe, les régimes autoritaires ou totalitaires.
«Esprit» s'efforça de prendre ses distances par rapport au fascisme et au national-socialisme, non sans peine, parce qu'il partageait avec eux les mêmes ennemis.
Après la défaite, le Maréchal, les hommes de la Révolution nationale tenaient un langage dans lequel Emmanuel Mounier ne pouvait pas ne pas retrouver nombre de ses idées. D'où les controverses sur les sentiments et les prises de position de Mounier en 1940-1941. D'où la présence d'hommes aujourd'hui encore respectés, voire révérés, tel Hubert Beuve-Méry, dans des organisations subventionnées par Vichy, par exemple Uriage. Celui qui voudrait instruire le procès de la politique de Mounier n'a qu'à lire l'ouvrage rédigé par un fidèle d' Esprit, Michel Winock. Dunoyer de Segonzac, admirable combattant, demeura longtemps maréchaliste, en dépit des lois «infâmes».
Je ne reproche pas à Bernard-Henri Lévy de mettre en lumière la parenté entre certains thèmes d' Esprit ou d'Ordre nouveau et ceux de la Révolution nationale. Il n'en résulte pas qu'Emmanuel Mounier ait adhéré à l'ensemble du vichysme et célèbré le culte du Maréchal. L'argent d'Uriage venait de Vichy (celui du «Figaro» partiellement aussi), Beuve-Méry ne fléchit jamais dans son opposition radicale au national-socialisme. Chacun peut apprécier librement Uriage, «qui tient de l'histoire de la chevalerie, du roman d'éducation, du grand jeu secret de la fondation d'un ordre monastique, sur un fond d'idéalisme moral qui peut nous paraître un peu naïf et grandiloquent, et aussi passablement pétainiste, mais qui fut, notons-le, commun au vichysme et à la Résistance» (Jean-Michel Jeanneney et Jacques Julliard).
Ce qui m'irrite, c'est le style dans lequel Bernard-Henri Lévy évoque ces moments tragiques de l'Histoire de France, sans la moindre compréhension des cas de conscience qui se posèrent à d'innombrables bons Français. Ceux qui passèrent, comme Mounier, de longs mois dans les prisons, accusés d'incarner un certain esprit de résistance, ceux d'Uriage, qui partirent tous ensemble dans le maquis les armes à la main, ont droit au moins à un certain respect. Il est légitime de critiquer les décisions qu'ils ont prises, les textes qu'ils ont écrits et publiés entre 1940 et 1942 ou 1945: encore convient-il de les critiquer sérieusement, sans oublier les circonstances, sans excommunier le nationalisme de Péguy ou la pensée communautaire, quel que soit le jugement que l'on porte sur eux.
Nous savions depuis longtemps que la pensée raciste et l'antisémitisme ne sont pas monopole de l'Allemagne. Lequel des deux pays fut en avance sur l'autre? Lequel influa le plus sur l'autre? Sur toutes ces questions, des études sérieuses nous instruiraient, mais non pas l'utilisation, plus ou moins fantaisiste, des livres sérieux auxquels Bernard-Henri Lévy emprunte sa documentation.
Je m'en tiendrai à un point, à vrai dire essentiel. Qu'est-ce que cette idéologie française que ce livre s'efforce d'amener au jour en la baptisant? L'idéologie française, multiforme, insaisissable, partout présente, se situe aussi bien à droite qu'à gauche. Proudhon est farouchement antisémite. Maurras aussi, à l'autre extrémité de l'éventail. L'argent se confond avec le judaïsme, et la dénonciation de l'un et de l'autre se retrouve, presque identique, dans la littérature contre-révolutionnaire et dans la littérature socialiste. («La Question juive», le texte le plus antisémite de Marx, illustre cette confusion volontaire.) Tout cela n'est pas neuf et nullement caractéristique de la France.
En quoi consiste la francité de cette idéologie, du «fascisme aux couleur de la France»? Quels sont les traits communs à Proudhon, Barrès, Maurras, Sorel, Péguy, Bernanos? Je ne vois d'autre réponse que celle-ci: ils détestent la démocratie individualiste, liée au capitalisme, la Republique bourgeoise et libérale, celle de Benda (avant son ralliement au communisme) et de Bernard-Henri Lévy. Le patriotisme charnel, les communautés concrètes, les tendances à la vision organiciste du lien social, Bernard-Henri Lévy, lui, déteste ces manières de penser et de sentir; il se fait inquisiteur et rejette dans la nuit, dans la «France noire», au hasard de ses lectures et de ses citations, Péguy et Bernanos, bien d'autres qui s'étonneraient de se retrouver en pareille compagnie. Simone Weil aurait mérité de figurer dans cette galerie des ancêtres.
Si l'on objectait à Bernard-Henri Lévy qu'il viole toutes les règles de l'interprétation honnête et de la méthode historique, il répondrait avec arrogance qu'il se moque des pions de l'Université. Mais peut-être consentira-t-il à réfléchir un instant sur un fait indiscutable: le fascisme n'a jamais «pris» en France, comme une mayonnaise ne prend pas. Les idéologies des années 30, de type communautaire, anti-individualiste, n'ont jamais débouché en dehors des cénacles de l'intelligentsia parisienne. Elles ont accédé au pouvoir à la faveur d'une catastrophe nationale. Là encore elles sont demeurées un mixte de traditionalisme et de parafascisme.
Les «rénovateurs», en quête d'une nouvelle droite, rompent avec l'héritage de la contre-révolution qui paralysa le développement d'un vrai fascisme. Les tentatives d'unir le nationalisme au socialisme ne manquèrent pas, mais il n'y eut pas de national-socialisme, et les Français, avant 1940 comme après 1945, votèrent pour la République et la démocratie parlementaire.
J'en viens à l'épilogue, raison d'être de cet article. Il se peut que certains adversaires de Bernard-Henri Lévy lui fassent payer son succès trop rapide, ses lecteurs trop nombreux. Je n'en veux pas à Bernard-Henri Lévy, et je garde la nostalgie du jeune homme que j'ai connu, il y a quelques années, pas encore guindé dans son personnage, tout au contraire disponible, comblé à la naissance par les dons des fées et les faveurs de la société. Je fus sensible à son talent, à son charme, et, je le crus, à la noblesse de ses sentiments, quand, à la suite d'un entretien avec moi, il rédigea l'interview publiée au «Nouvel Observateur» avec un tact sans faute.
Le voilà maintenant Fouquier-Tinville, lui qui prêche la démocratie. Il oublie que la démocratie devient aisément, elle aussi, inquisitoire, sinon totalitaire. Juif comme moi, il exclut de la France et rejette dans la France noire d'innombrables écrivains ou penseurs de notre commune patrie.
Nombre de Juifs, en France, se sentent de nouveau guettés par l'antisémitisme et, comme des êtres «choqués», ils amplifient par leurs réactions le danger, plus ou moins illusoire, qu'ils affrontent. Que leur dit ce livre? Que le péril est partout, que l'idéologie française les condamne à un combat de chaque instant contre un ennemi installé dans l'inconscient de millions de leurs concitoyens. Des Français non juifs en concluront que les Juifs sont encore plus différents des autres Français qu'ils ne l'imaginaient, puisqu'un auteur acclamé par les organisations juives se révèle incapable de comprendre tant d'expressions de la pensée française, au point de les mettre au ban de la France.
Il nous annonce la vérité pour que la nation française connaisse et surmonte son passé, il jette du sel sur toutes les plaies mal cicatrisées. Par son hystérie, il va nourrir l'hystérie d'une fraction de la communauté juive, déjà portée aux paroles et aux actes du délire. œuvre d'intérêt public, écrivait en conclusion le compte rendu du «Nouvel Observateur». Intérêt public ou danger public?
Renaud Camus : " Ce n’est pas à des voyous que vous avez affaire : c’est à des soldats. "
Analyse de la violence par Renaud Camus, suivie de deux exemples récents d'agressions, montrant la justesse de sa vision.
RENAUD CAMUS : LA NOCENCE, INSTRUMENT DU GRAND REMPLACEMENT
http://www.dailymotion.com/swf/video/xg6p9l
" (...)Il faut lutter contre la violence, disent-ils, il faut lutter contre l’insécurité, il faut lutter contre la délinquance des jeunes dans les quartiers populaires. Mais toujours ils séparent, ils isolent, ils euphémisent, ils essaient de rendre incompréhensible — sauf aux victimes, bien sûr, sauf aux protagonistes de la ligne de front, qui eux savent à quoi s’en tenir. Il séparent soigneusement le quotidien, l’école, les cages d’escaliers, les problème de voisinage, les casseurs, les vitrines brisées, les pillages, la drogue, les trafics de drogue, la nocence, en somme, l’énormité de la nocence, d’un côté, et d’un autre côté la politique proprement dite, l’histoire, le destin de la patrie, le sort du peuple français c’est-à-dire, j’y reviens, et j’y arrive, le Grand Remplacement, le prétendu multiculturalisme, et, nous y voilà, la présence croissante de l’islam, l’emprise croissante de l’islam sur le territoire et dans le paysage, l’islamisation progressive du pays.
Ceci et cela n’auraient rien à voir, ceci et cela devraient rester soigneusement séparés, il serait même criminel, un mot que le complexe adore, de faire un rapprochement entre l’insécurité et l’immigration, entre la violence et le prétendu multiculturalisme, entre la surpopulation carcérale et la contre-colonisation, entre les difficultés de la transmission scolaire et le fait que la France est à présent comme une vieille fille qui élève les enfants des autres, des enfants qui sont étrangers à sa culture et bien souvent à sa langue et qui dans de nombreux cas sont appris au sein de leur famille, dans leur milieu d’origine, à détester cette culture et cette histoire et cette langue qu’on s’étonne ensuite d’avoir du mal à leur inculquer. Je ne dis certes pas que toute la crise du système d’éducation est liée uniquement à l’immigration et au Grand Remplacement. Je ne dis certes pas que toute la nocence a là son unique source. Je dis qu’il faut être aveugle ou bien d’une mauvaise foi sans nom pour ne pas voir et pour ne pas dire, pour ne pas vouloir qu’on dise, que la nocence a partie liée à la conquête. Mieux, et c’est le point auquel j’ai voulu consacrer cette allocution, qu’elle en est, avec la démographie, mais c’est un autre sujet, un des principaux instruments, un des moyens, et qu’on peut appeler militaire : son bras armé.
Les responsables politiques me font bien rire qui pour essayer de modérer ou de contrôler ces flots de nocence, cette violence permanente, cette insécurité insupportable, cette détérioration précipitée des rapports sociaux et humains sur des parts qui vont sans cesse s’élargissant du territoire qu’on ose à peine appeler encore national, font appel, ces responsables politiques, ces maires, ces préfets, ces ministres, aux responsables religieux des conquérants, en espérant que leur influence, la foi, la religion, l’effet adoucissant de la religion sur les mœurs, vont calmer leur agressivité et les rendre doux comme des agneaux. Ces responsables laïques se trompent de religion.
Ils confondent avec la leur, celle de leurs ancêtres. La religion à laquelle ils ont affaire, et en laquelle ils mettent tant d’espérance pour restaurer la tranquillité publique, ne prêche pas au premier chef, à l’égard de ceux qui lui sont étrangers, les incroyants, les infidèles, elle ne prêche pas au premier chef, à leur endroit, la douceur, la bonté, l’in-nocence. Ce n’est pas du tout sa préoccupation première. Sa préoccupation première, et c’est bien là pour elle une préoccupation morale, et c’est précisément ce qui nous abuse, c’est son propre triomphe, c’est la plus grande gloire de son dieu, c’est l’établissement toujours plus ferme et toujours plus large de son emprise sur le monde, soit par la conversion, soit par la conquête, et de préférence les deux en même temps. Tout ce qui va dans le sens de cet idéal est bon, moralement bon, religieusement bon. Rien de ce qui va dans le sens de cet idéal ne saurait être mauvais.
C’est ainsi que s’explique la faiblesse insigne, qui dans notre naïveté nous étonne chaque fois, des condamnations religieuses, toujours prononcées du bout des lèvres, dans le meilleur des cas, des attentats terroristes et des crimes commis au nom de la religion conquérante. C’est que la question des moyens est parfaitement secondaire, pour cette religion-là, comme d’ailleurs pour la plupart des religions dans leur phase ascendante, qui ne sont que très secondairement des morales. L’essentiel de leur morale c’est de vaincre, de gagner, de soumettre, de s’étendre. Sinon elles trahiraient leur raison d’être. Elles ne seraient pas ce qu’elles sont.
Cette religion-là n’est d’ailleurs pas séparable d’une civilisation, d’une civilisation qui a connu des moments merveilleusement brillants, qui a atteint de hauts accomplissements et produits de grandes œuvres, dans le domaine de l’architecture, de la poésie, de l’art du récit, de la mystique, de la musique. Cette civilisation n’a jamais oublié ses origines nomades et le lien étroit, la quasi-confusion, qui existe dans son esprit entre la lutte et la prise de possession, entre le combat et la mise à sac, entre la guerre et la razzia. Voyez ce moment caractéristique et presque inévitable des manifestations politiques récentes où l’intervention directe des présumés "chances pour la France", qui une fois sur deux, deux fois sur trois, trois fois sur quatre, appartiennent à la mouvance de cette civilisation, se traduit immédiatement par les vitrines brisées et le pillage des magasins. Je leur demande pardon de parler ici de leur violence, car je sais qu’ils ne supportent pas ce reproche. Il leur paraît terriblement injuste. Il les met hors d’eux. À peine l’entendent-ils que de fureur ils cassent tous, ils pillent, ils incendient, ils posent des bombes.
Ne vous y trompez pas, cependant. Ce n’est pas à des voyous que vous avez affaire : c’est à des soldats. Enfin si, ce sont bien des voyous, mais ces voyous sont une armée, le bras armé de la conquête. Peu importe qu’ils en soient conscients ou pas, et d’ailleurs je pense qu’ils le sont bien plus qu’on ne le croit. La nocence, que ce soit le bruit, que ce soient les déprédations, que ce soient les occupations de halls d’immeubles et les exigences de regards baissés au passage, que ce soient les vols, les arrachements de sacs de vieille dame, les rackets au sein des écoles, les cambriolages, les attaques à main armée, le trafic de drogue, l’ensemble de ce qui est pudiquement appelé désormais le grand banditisme ou bien les formes nouvelles, ultra-violentes, du crime organisé, la nocence est l’instrument du Grand Remplacement, du changement de peuple, de la contre-colonisation, de la conquête, de l’élargissement permanent des zones de territoire déjà soumis aux néo-colonisateurs. En rendant la vie impossible aux indigènes, les nouveaux venus les forcent à fuir, à évacuer le terrain — c’est ce que les Anglo-Saxons appellent le White Flight, la fuite des blancs. Ou bien, pis encore, à se soumettre sur place, à s’assimiler à eux, à se convertir à leurs mœurs, à leur religion, à leur façon d’habiter la terre et ses banlieues, qui sont l’avenir de la terre.
Je me suis fait taper sur les doigts, j’en ai l’habitude, pour avoir parlé de nettoyage ethnique, à ce propos. Très bien, nous ne voulons fâcher personne : parlons simplement de ménage, de ménage militaire. Ces colonisateurs qui sans cesse reprochent aux indigènes de ne pas les accueillir suffisamment ni assez bien, ils semblent n’avoir rien de plus pressé, une fois dans la place, que de se l’assurer tout entière et, comme tous les colonisateurs, ils ne rêvent que d’être entre eux, les indigènes n’étant bons, éventuellement, qu’à faire tourner l’entreprise, à tenir le magasin, quitte à ce que le magasin soit pillé de temps en temps. Le fameux métissage, la dite mixité sociale à laquelle il fut tant fait appel, c’est parfait pour la phase intermédiaire, aujourd’hui largement dépassée sur le larges pans du territoire. Les attaques dont font l’objet les policiers, les pompiers et même les médecins dès qu’ils s’aventurent dans les zones déjà soumises le montrent assez : c’est en termes de territoire, de défense et de conquête du territoire, que se posent les problèmes qu’on réduit quotidiennement à des questions de délinquance, de lutte contre la délinquance.
Je ne dis pas, évidemment, que tous les nouveaux venus pratiquent la nocence. Je ne dis pas non plus, bien loin de là, qu’il n’y a que les nouveaux venus pour pratiquer la nocence. Ce que je dis est qu’une proportion stupéfiante, invraisemblable, incroyablement disproportionnée, de cette nocence est leur fait, et qu’en de pareilles proportions la nocence n’est pas un phénomène qu’on peut abandonner à l’action policière ou à celle des tribunaux, dont on connaît d’ailleurs la mollesse, engluée qu’elle est dans un réseau de lois, de règlements, de directives européennes et même de traités internationaux qui laissent la Nation sans défense et qui font de la Cité une ville ouverte, une sorte de Troie où les chevaux de bois seraient sur toutes les places, acclamés par les faiseurs d’opinion en joie, par les amis du Désastre en délire, par les collaborateurs impatients du Grand Remplacement. Le système pénal, qu’il soit policier ou judiciaire, est impuissant face à ce qui relève au plus haut degré de la pensée et de l’action politique, et de l’action politique la plus pressante, la plus urgente, la plus essentielle à la survie de l’État et du peuple. Chaque fois qu’un indigène est sommé de baisser le regard et de descendre du trottoir, c’est un peu plus de l’indépendance du pays et de la liberté du peuple qui est traîné dans le caniveau."
S'il fallait une illustration de plus de ce qu'explique Renaud Camus : voici :
"
http://www.islamisation.fr/archive/2010/12/23/une-procession-malmenee-dans-le-vieux-nice-temoignage-d-un-c.html
23.12.2010
Une procession malmenée dans le Vieux Nice : témoignage d'un catholique inquiet
Louis (prénom modifié) est un père de famille qui a tenu à communiquer son indignation concernant de graves intimidations qu'ont subi une centaine de catholiques qui processionaient dans les rues de Nice le 8 décembre dernier.
Louis: Notre famille, c'est à dire ma femme, nos trois jeunes enfants et moi-même sommes venus ce soir là à la chapelle de la Visitation qui jouxte le prieuré place Sainte Claire dans le Vieux Nice, pour participer à la procession et entendre la messe qui la précédait. Les processions mariales avaient bien entendu traditionnellement lieu dans le Vieux Nice mais la plupart ont été abandonnées depuis des années. Notre prieur a décidé en cette fin d'année 2010 de relever cette tradition en organisant une procession dans le Vieux Nice entre la place Sainte Claire et la Vierge du Malonat, nom d'une statue de la Vierge édifiée rue du Malonat car les prières à la Vierge avaient protégé le Vieux Nice d'une épidémie de choléra en 1854. Après la messe, donc vers 19h30, la procession a commencé: place Sainte Claire, descente à gauche sur 120 m de la rue de la Croix, descente à droite sur 30 m de la rue Rossetti, à gauche 100 m dans la rue Droite, à gauche montée sur 50 m de la rue du Malonat. La procession a marqué un arrêt pour prier devant la Vierge du Malonat, puis le retour s'est fait par le même chemin, soit au total environ 700 m aller-retour. La procession comprenait environ 120 personnes, hommes, femmes, adultes, vieillards, enfants. En tête marchaient trois policiers municipaux, puis nos abbés et les acolytes avec la croix. Derrière eux, les femmes et les enfants, puis notre statue de la Vierge dont j'étais l'un des deux porteurs, enfin les hommes. Nous chantions en latin et en français des "notre père" et des "je vous salue Marie", dizaines de chapelet, en portant des cierges. Près de la Vierge du Malonat nous avons également chanté "Chez nous soyez Reine".
Arrivés rue Rossetti, point de rassemblement habituel de nombreux musulmans, nous avons été conspués par des passants et les consommateurs d'un bar. Ces personnes étaient toutes des musulmans. Les cris étaient des "Allah ouakbar" et des youyous. S'y ajoutaient des sifflets des mêmes personnes. L'un a vu mon regard désapprobateur et m'a lancé, à moi qui portais la statue de la Vierge, "qu'est-ce que t'as toi, t'as un problème?". Nous avons chanté plus fort pour couvrir les bruits sacrilèges. Rue Droite s'y sont ajoutés des youyous, sifflets et hurlements divers en provenance des étages, hurlés par des mères de familles musulmanes et leurs enfants. Au retour par le même chemin, nous avons entendu la même chose, en plus fort car ils nous attendaient cette fois. Celui qui m'avait apostrophé s'est alors levé pour aller cracher sur la procession, au niveau des femmes comme il se doit. Un autre s'est approché mais je n'ai pu voir s'il a craché ou non. Il est important de noter qu'il n'y a aucun aspect politique dans cette affaire. Les agresseurs ne font guère de distinction entre catholiques traditionalistes et modernistes. Aucune organisation, quelle qu'elle soit, n'a pu mobiliser car seuls nos fidèles savaient que la procession allait avoir lieu. Nulle affiche n'avait été collée. Notre occupation temporaire de la rue était légale, contrairement aux prières de rues musulmanes hebdomadaires. Les non-musulmans que nous avons croisé pendant la procession ont eu des réaction d'étonnement, prenant des photos de cet évènement qu'ils jugeaient folklorique, ou de satisfaction de voir de nouveau des processions, c'est tout. Les musulmans, eux, se trouvaient là simplement parce qu'ils habitaient le Vieux Nice ou qu'ils y passaient. Il s'agit d'un échantillon aléatoire de musulmans moyens vivant en France dont une grande partie a spontanément manqué de respect à la religion catholique et aux chrétiens français. (...)
ET ENCORE A AVIGNON :
http://www.secteurparoissialstjean.com/index.php?option=com_content&view=article&id=609:message-du-pere-gabriel-17-decembre-2010&catid=89:texte&Itemid=114
Média et vérité
Message du Père Gabriel - 17 décembre 2010
Je vous remercie de votre soutien et de votre prière. Les choses ont bougé depuis, puisque nous avons pu organiser une réunion à huit clos avec les partenaires politiques et sociaux d'Avignon.
La situation de nos quartiers est dramatique et si l'on ne met pas ce sujet sur la table en toute vérité avec son aspect culturel et religieux qui est posé par l'islam, nous serons les premiers responsables de la violence qui tôt ou tard embrasera la France entière.
Notre Archevêque me soutient et veut organiser un Vaucluse Espérance avec les principaux représentants des Religions. De votre côté, en tant que citoyen vous devez interpeller les pouvoirs politiques, la plupart du temps "très frilleux sur le sujet" pour que le débat sur l'islam en France et la tentative d'instaurer une société en marge de la République, ait lieu. Une pétition nationale serait une très bonne idée...
En ce temps de l'Avent, temps d'espérance par excellence, ne perdons pas courage! Au contraire, convertissons-nous vers Celui qui vient à Noël, le Christ, l'Enfant Dieu, Roi de Paix et d'Amour. Prions et agissons!
http://www.libertepolitique.com/actualite/56-eglise/6459-avignon-une-paroisse-harcelee-par-des-bandes-dorigine-musulmane
Le fil
Église
Avignon : une paroisse harcelée par des bandes d’origine musulmane
23 Décembre 2010
Le père Gabriel Picard d’Estelan est curé du secteur paroissial Saint-Jean, en Avignon. Depuis plusieurs mois, sa communauté subit de violentes « incivilités ». L’insécurité grandit pour les paroissiens. Incivilité ? Non, « profanation », dit-il. Les voyous identifiés ne sont pas de simples gamins désoeuvrés.
Le témoignage que donne le père curé est éloquent :
« Des semaines de pétards dans les jambes de ceux qui se rendent à la Messe ou qui viennent entretenir notre église. Des tags et autres graffitis dessinés à la peinture rouge sur toute une façade. Des inscriptions vantant les mérites de telle ou telle communauté. Des jets de bouteille d’alcool divers contre les murs et, après chaque week end, le ramassage des débris en espérant que personne ne sera tombé et blessé sur un tesson.
Une entrée d’église prise pour un urinoir et qu’il faut nettoyer chaque matin. Des jets d’excréments contre les murs de l’église et ce régulièrement, une fois par semaine environ, avec ce que cela représente en tant que symbole, mais aussi en tant que difficulté pour faire disparaître une telle souillure. »
Suit un descriptif du quotidien de la paroisse qui fait froid dans le dos. « Ils ne savent pas ce qu’ils font ? Mais bien sûr, ils le savent. Et ils le font en riant parce que personne ne dit rien, le silence est de mise de la part des autorités et de la presse. »
Le curé ne mâche pas ses mots. C’est une question de liberté religieuse, et de liberté élémentaire :
« Nous vivons dans un pays qui respecte la liberté de culte et il est de notre droit de pouvoir pratiquer notre religion dans le lieu de notre choix sans avoir à craindre de prendre un jet de pierre quand nous nous y rendons. On ne doit pas craindre de prendre un mauvais coup quand on va prier. Nous avons le droit de nous réunir pour prier sans avoir à craindre que notre foi ne soit la source de conflits insupportables ni l’objet de provocations injustifiées. »
Comme souvent dans les communautés chrétiennes, la paroisse est aussi un lieu d’accueil, d’entraide et de solidarité. Pourtant, la peur devient son quotidien. Et avec elle, son corollaire, la colère : « Nous demandons à ce que soit respecté notre lieu de prière et notre foi. Nous demandons à ce qu’on ne ferme pas systématiquement les yeux sur des actes de profanation qui ne sont pas anodins, loin de là. Nous demandons à ce que le silence coupable qui entoure ces actes soit rompu. »
Qui entendra le curé de Saint-Jean ? L’archevêque soutient ses fidèles, et tente de mobiliser les représentants des autres religions. Une réunion à huis clos avec les partenaires politiques et sociaux d'Avignon a pu avoir lieu. Mais l’affaire dépasse la simple délinquance. Le père Gabriel explique :
« La situation de nos quartiers est dramatique et si l'on ne met pas ce sujet sur la table en toute vérité avec son aspect culturel et religieux qui est posé par l'islam, nous serons les premiers responsables de la violence qui tôt ou tard embrasera la France entière. »
En ce temps de l'Avent, temps d'espérance par excellence, ne perdons pas courage, veut croire le prêtre : « Convertissons-nous vers Celui qui vient à Noël, le Christ, l'Enfant Dieu, Roi de Paix et d'Amour. Prions et agissons ! »
RENAUD CAMUS : LA NOCENCE, INSTRUMENT DU GRAND REMPLACEMENT
http://www.dailymotion.com/swf/video/xg6p9l
" (...)Il faut lutter contre la violence, disent-ils, il faut lutter contre l’insécurité, il faut lutter contre la délinquance des jeunes dans les quartiers populaires. Mais toujours ils séparent, ils isolent, ils euphémisent, ils essaient de rendre incompréhensible — sauf aux victimes, bien sûr, sauf aux protagonistes de la ligne de front, qui eux savent à quoi s’en tenir. Il séparent soigneusement le quotidien, l’école, les cages d’escaliers, les problème de voisinage, les casseurs, les vitrines brisées, les pillages, la drogue, les trafics de drogue, la nocence, en somme, l’énormité de la nocence, d’un côté, et d’un autre côté la politique proprement dite, l’histoire, le destin de la patrie, le sort du peuple français c’est-à-dire, j’y reviens, et j’y arrive, le Grand Remplacement, le prétendu multiculturalisme, et, nous y voilà, la présence croissante de l’islam, l’emprise croissante de l’islam sur le territoire et dans le paysage, l’islamisation progressive du pays.
Ceci et cela n’auraient rien à voir, ceci et cela devraient rester soigneusement séparés, il serait même criminel, un mot que le complexe adore, de faire un rapprochement entre l’insécurité et l’immigration, entre la violence et le prétendu multiculturalisme, entre la surpopulation carcérale et la contre-colonisation, entre les difficultés de la transmission scolaire et le fait que la France est à présent comme une vieille fille qui élève les enfants des autres, des enfants qui sont étrangers à sa culture et bien souvent à sa langue et qui dans de nombreux cas sont appris au sein de leur famille, dans leur milieu d’origine, à détester cette culture et cette histoire et cette langue qu’on s’étonne ensuite d’avoir du mal à leur inculquer. Je ne dis certes pas que toute la crise du système d’éducation est liée uniquement à l’immigration et au Grand Remplacement. Je ne dis certes pas que toute la nocence a là son unique source. Je dis qu’il faut être aveugle ou bien d’une mauvaise foi sans nom pour ne pas voir et pour ne pas dire, pour ne pas vouloir qu’on dise, que la nocence a partie liée à la conquête. Mieux, et c’est le point auquel j’ai voulu consacrer cette allocution, qu’elle en est, avec la démographie, mais c’est un autre sujet, un des principaux instruments, un des moyens, et qu’on peut appeler militaire : son bras armé.
Les responsables politiques me font bien rire qui pour essayer de modérer ou de contrôler ces flots de nocence, cette violence permanente, cette insécurité insupportable, cette détérioration précipitée des rapports sociaux et humains sur des parts qui vont sans cesse s’élargissant du territoire qu’on ose à peine appeler encore national, font appel, ces responsables politiques, ces maires, ces préfets, ces ministres, aux responsables religieux des conquérants, en espérant que leur influence, la foi, la religion, l’effet adoucissant de la religion sur les mœurs, vont calmer leur agressivité et les rendre doux comme des agneaux. Ces responsables laïques se trompent de religion.
Ils confondent avec la leur, celle de leurs ancêtres. La religion à laquelle ils ont affaire, et en laquelle ils mettent tant d’espérance pour restaurer la tranquillité publique, ne prêche pas au premier chef, à l’égard de ceux qui lui sont étrangers, les incroyants, les infidèles, elle ne prêche pas au premier chef, à leur endroit, la douceur, la bonté, l’in-nocence. Ce n’est pas du tout sa préoccupation première. Sa préoccupation première, et c’est bien là pour elle une préoccupation morale, et c’est précisément ce qui nous abuse, c’est son propre triomphe, c’est la plus grande gloire de son dieu, c’est l’établissement toujours plus ferme et toujours plus large de son emprise sur le monde, soit par la conversion, soit par la conquête, et de préférence les deux en même temps. Tout ce qui va dans le sens de cet idéal est bon, moralement bon, religieusement bon. Rien de ce qui va dans le sens de cet idéal ne saurait être mauvais.
C’est ainsi que s’explique la faiblesse insigne, qui dans notre naïveté nous étonne chaque fois, des condamnations religieuses, toujours prononcées du bout des lèvres, dans le meilleur des cas, des attentats terroristes et des crimes commis au nom de la religion conquérante. C’est que la question des moyens est parfaitement secondaire, pour cette religion-là, comme d’ailleurs pour la plupart des religions dans leur phase ascendante, qui ne sont que très secondairement des morales. L’essentiel de leur morale c’est de vaincre, de gagner, de soumettre, de s’étendre. Sinon elles trahiraient leur raison d’être. Elles ne seraient pas ce qu’elles sont.
Cette religion-là n’est d’ailleurs pas séparable d’une civilisation, d’une civilisation qui a connu des moments merveilleusement brillants, qui a atteint de hauts accomplissements et produits de grandes œuvres, dans le domaine de l’architecture, de la poésie, de l’art du récit, de la mystique, de la musique. Cette civilisation n’a jamais oublié ses origines nomades et le lien étroit, la quasi-confusion, qui existe dans son esprit entre la lutte et la prise de possession, entre le combat et la mise à sac, entre la guerre et la razzia. Voyez ce moment caractéristique et presque inévitable des manifestations politiques récentes où l’intervention directe des présumés "chances pour la France", qui une fois sur deux, deux fois sur trois, trois fois sur quatre, appartiennent à la mouvance de cette civilisation, se traduit immédiatement par les vitrines brisées et le pillage des magasins. Je leur demande pardon de parler ici de leur violence, car je sais qu’ils ne supportent pas ce reproche. Il leur paraît terriblement injuste. Il les met hors d’eux. À peine l’entendent-ils que de fureur ils cassent tous, ils pillent, ils incendient, ils posent des bombes.
Ne vous y trompez pas, cependant. Ce n’est pas à des voyous que vous avez affaire : c’est à des soldats. Enfin si, ce sont bien des voyous, mais ces voyous sont une armée, le bras armé de la conquête. Peu importe qu’ils en soient conscients ou pas, et d’ailleurs je pense qu’ils le sont bien plus qu’on ne le croit. La nocence, que ce soit le bruit, que ce soient les déprédations, que ce soient les occupations de halls d’immeubles et les exigences de regards baissés au passage, que ce soient les vols, les arrachements de sacs de vieille dame, les rackets au sein des écoles, les cambriolages, les attaques à main armée, le trafic de drogue, l’ensemble de ce qui est pudiquement appelé désormais le grand banditisme ou bien les formes nouvelles, ultra-violentes, du crime organisé, la nocence est l’instrument du Grand Remplacement, du changement de peuple, de la contre-colonisation, de la conquête, de l’élargissement permanent des zones de territoire déjà soumis aux néo-colonisateurs. En rendant la vie impossible aux indigènes, les nouveaux venus les forcent à fuir, à évacuer le terrain — c’est ce que les Anglo-Saxons appellent le White Flight, la fuite des blancs. Ou bien, pis encore, à se soumettre sur place, à s’assimiler à eux, à se convertir à leurs mœurs, à leur religion, à leur façon d’habiter la terre et ses banlieues, qui sont l’avenir de la terre.
Je me suis fait taper sur les doigts, j’en ai l’habitude, pour avoir parlé de nettoyage ethnique, à ce propos. Très bien, nous ne voulons fâcher personne : parlons simplement de ménage, de ménage militaire. Ces colonisateurs qui sans cesse reprochent aux indigènes de ne pas les accueillir suffisamment ni assez bien, ils semblent n’avoir rien de plus pressé, une fois dans la place, que de se l’assurer tout entière et, comme tous les colonisateurs, ils ne rêvent que d’être entre eux, les indigènes n’étant bons, éventuellement, qu’à faire tourner l’entreprise, à tenir le magasin, quitte à ce que le magasin soit pillé de temps en temps. Le fameux métissage, la dite mixité sociale à laquelle il fut tant fait appel, c’est parfait pour la phase intermédiaire, aujourd’hui largement dépassée sur le larges pans du territoire. Les attaques dont font l’objet les policiers, les pompiers et même les médecins dès qu’ils s’aventurent dans les zones déjà soumises le montrent assez : c’est en termes de territoire, de défense et de conquête du territoire, que se posent les problèmes qu’on réduit quotidiennement à des questions de délinquance, de lutte contre la délinquance.
Je ne dis pas, évidemment, que tous les nouveaux venus pratiquent la nocence. Je ne dis pas non plus, bien loin de là, qu’il n’y a que les nouveaux venus pour pratiquer la nocence. Ce que je dis est qu’une proportion stupéfiante, invraisemblable, incroyablement disproportionnée, de cette nocence est leur fait, et qu’en de pareilles proportions la nocence n’est pas un phénomène qu’on peut abandonner à l’action policière ou à celle des tribunaux, dont on connaît d’ailleurs la mollesse, engluée qu’elle est dans un réseau de lois, de règlements, de directives européennes et même de traités internationaux qui laissent la Nation sans défense et qui font de la Cité une ville ouverte, une sorte de Troie où les chevaux de bois seraient sur toutes les places, acclamés par les faiseurs d’opinion en joie, par les amis du Désastre en délire, par les collaborateurs impatients du Grand Remplacement. Le système pénal, qu’il soit policier ou judiciaire, est impuissant face à ce qui relève au plus haut degré de la pensée et de l’action politique, et de l’action politique la plus pressante, la plus urgente, la plus essentielle à la survie de l’État et du peuple. Chaque fois qu’un indigène est sommé de baisser le regard et de descendre du trottoir, c’est un peu plus de l’indépendance du pays et de la liberté du peuple qui est traîné dans le caniveau."
S'il fallait une illustration de plus de ce qu'explique Renaud Camus : voici :
"
http://www.islamisation.fr/archive/2010/12/23/une-procession-malmenee-dans-le-vieux-nice-temoignage-d-un-c.html
23.12.2010
Une procession malmenée dans le Vieux Nice : témoignage d'un catholique inquiet
Louis (prénom modifié) est un père de famille qui a tenu à communiquer son indignation concernant de graves intimidations qu'ont subi une centaine de catholiques qui processionaient dans les rues de Nice le 8 décembre dernier.
Louis: Notre famille, c'est à dire ma femme, nos trois jeunes enfants et moi-même sommes venus ce soir là à la chapelle de la Visitation qui jouxte le prieuré place Sainte Claire dans le Vieux Nice, pour participer à la procession et entendre la messe qui la précédait. Les processions mariales avaient bien entendu traditionnellement lieu dans le Vieux Nice mais la plupart ont été abandonnées depuis des années. Notre prieur a décidé en cette fin d'année 2010 de relever cette tradition en organisant une procession dans le Vieux Nice entre la place Sainte Claire et la Vierge du Malonat, nom d'une statue de la Vierge édifiée rue du Malonat car les prières à la Vierge avaient protégé le Vieux Nice d'une épidémie de choléra en 1854. Après la messe, donc vers 19h30, la procession a commencé: place Sainte Claire, descente à gauche sur 120 m de la rue de la Croix, descente à droite sur 30 m de la rue Rossetti, à gauche 100 m dans la rue Droite, à gauche montée sur 50 m de la rue du Malonat. La procession a marqué un arrêt pour prier devant la Vierge du Malonat, puis le retour s'est fait par le même chemin, soit au total environ 700 m aller-retour. La procession comprenait environ 120 personnes, hommes, femmes, adultes, vieillards, enfants. En tête marchaient trois policiers municipaux, puis nos abbés et les acolytes avec la croix. Derrière eux, les femmes et les enfants, puis notre statue de la Vierge dont j'étais l'un des deux porteurs, enfin les hommes. Nous chantions en latin et en français des "notre père" et des "je vous salue Marie", dizaines de chapelet, en portant des cierges. Près de la Vierge du Malonat nous avons également chanté "Chez nous soyez Reine".
Arrivés rue Rossetti, point de rassemblement habituel de nombreux musulmans, nous avons été conspués par des passants et les consommateurs d'un bar. Ces personnes étaient toutes des musulmans. Les cris étaient des "Allah ouakbar" et des youyous. S'y ajoutaient des sifflets des mêmes personnes. L'un a vu mon regard désapprobateur et m'a lancé, à moi qui portais la statue de la Vierge, "qu'est-ce que t'as toi, t'as un problème?". Nous avons chanté plus fort pour couvrir les bruits sacrilèges. Rue Droite s'y sont ajoutés des youyous, sifflets et hurlements divers en provenance des étages, hurlés par des mères de familles musulmanes et leurs enfants. Au retour par le même chemin, nous avons entendu la même chose, en plus fort car ils nous attendaient cette fois. Celui qui m'avait apostrophé s'est alors levé pour aller cracher sur la procession, au niveau des femmes comme il se doit. Un autre s'est approché mais je n'ai pu voir s'il a craché ou non. Il est important de noter qu'il n'y a aucun aspect politique dans cette affaire. Les agresseurs ne font guère de distinction entre catholiques traditionalistes et modernistes. Aucune organisation, quelle qu'elle soit, n'a pu mobiliser car seuls nos fidèles savaient que la procession allait avoir lieu. Nulle affiche n'avait été collée. Notre occupation temporaire de la rue était légale, contrairement aux prières de rues musulmanes hebdomadaires. Les non-musulmans que nous avons croisé pendant la procession ont eu des réaction d'étonnement, prenant des photos de cet évènement qu'ils jugeaient folklorique, ou de satisfaction de voir de nouveau des processions, c'est tout. Les musulmans, eux, se trouvaient là simplement parce qu'ils habitaient le Vieux Nice ou qu'ils y passaient. Il s'agit d'un échantillon aléatoire de musulmans moyens vivant en France dont une grande partie a spontanément manqué de respect à la religion catholique et aux chrétiens français. (...)
ET ENCORE A AVIGNON :
http://www.secteurparoissialstjean.com/index.php?option=com_content&view=article&id=609:message-du-pere-gabriel-17-decembre-2010&catid=89:texte&Itemid=114
Média et vérité
Message du Père Gabriel - 17 décembre 2010
Je vous remercie de votre soutien et de votre prière. Les choses ont bougé depuis, puisque nous avons pu organiser une réunion à huit clos avec les partenaires politiques et sociaux d'Avignon.
La situation de nos quartiers est dramatique et si l'on ne met pas ce sujet sur la table en toute vérité avec son aspect culturel et religieux qui est posé par l'islam, nous serons les premiers responsables de la violence qui tôt ou tard embrasera la France entière.
Notre Archevêque me soutient et veut organiser un Vaucluse Espérance avec les principaux représentants des Religions. De votre côté, en tant que citoyen vous devez interpeller les pouvoirs politiques, la plupart du temps "très frilleux sur le sujet" pour que le débat sur l'islam en France et la tentative d'instaurer une société en marge de la République, ait lieu. Une pétition nationale serait une très bonne idée...
En ce temps de l'Avent, temps d'espérance par excellence, ne perdons pas courage! Au contraire, convertissons-nous vers Celui qui vient à Noël, le Christ, l'Enfant Dieu, Roi de Paix et d'Amour. Prions et agissons!
http://www.libertepolitique.com/actualite/56-eglise/6459-avignon-une-paroisse-harcelee-par-des-bandes-dorigine-musulmane
Le fil
Église
Avignon : une paroisse harcelée par des bandes d’origine musulmane
23 Décembre 2010
Le père Gabriel Picard d’Estelan est curé du secteur paroissial Saint-Jean, en Avignon. Depuis plusieurs mois, sa communauté subit de violentes « incivilités ». L’insécurité grandit pour les paroissiens. Incivilité ? Non, « profanation », dit-il. Les voyous identifiés ne sont pas de simples gamins désoeuvrés.
Le témoignage que donne le père curé est éloquent :
« Des semaines de pétards dans les jambes de ceux qui se rendent à la Messe ou qui viennent entretenir notre église. Des tags et autres graffitis dessinés à la peinture rouge sur toute une façade. Des inscriptions vantant les mérites de telle ou telle communauté. Des jets de bouteille d’alcool divers contre les murs et, après chaque week end, le ramassage des débris en espérant que personne ne sera tombé et blessé sur un tesson.
Une entrée d’église prise pour un urinoir et qu’il faut nettoyer chaque matin. Des jets d’excréments contre les murs de l’église et ce régulièrement, une fois par semaine environ, avec ce que cela représente en tant que symbole, mais aussi en tant que difficulté pour faire disparaître une telle souillure. »
Suit un descriptif du quotidien de la paroisse qui fait froid dans le dos. « Ils ne savent pas ce qu’ils font ? Mais bien sûr, ils le savent. Et ils le font en riant parce que personne ne dit rien, le silence est de mise de la part des autorités et de la presse. »
Le curé ne mâche pas ses mots. C’est une question de liberté religieuse, et de liberté élémentaire :
« Nous vivons dans un pays qui respecte la liberté de culte et il est de notre droit de pouvoir pratiquer notre religion dans le lieu de notre choix sans avoir à craindre de prendre un jet de pierre quand nous nous y rendons. On ne doit pas craindre de prendre un mauvais coup quand on va prier. Nous avons le droit de nous réunir pour prier sans avoir à craindre que notre foi ne soit la source de conflits insupportables ni l’objet de provocations injustifiées. »
Comme souvent dans les communautés chrétiennes, la paroisse est aussi un lieu d’accueil, d’entraide et de solidarité. Pourtant, la peur devient son quotidien. Et avec elle, son corollaire, la colère : « Nous demandons à ce que soit respecté notre lieu de prière et notre foi. Nous demandons à ce qu’on ne ferme pas systématiquement les yeux sur des actes de profanation qui ne sont pas anodins, loin de là. Nous demandons à ce que le silence coupable qui entoure ces actes soit rompu. »
Qui entendra le curé de Saint-Jean ? L’archevêque soutient ses fidèles, et tente de mobiliser les représentants des autres religions. Une réunion à huis clos avec les partenaires politiques et sociaux d'Avignon a pu avoir lieu. Mais l’affaire dépasse la simple délinquance. Le père Gabriel explique :
« La situation de nos quartiers est dramatique et si l'on ne met pas ce sujet sur la table en toute vérité avec son aspect culturel et religieux qui est posé par l'islam, nous serons les premiers responsables de la violence qui tôt ou tard embrasera la France entière. »
En ce temps de l'Avent, temps d'espérance par excellence, ne perdons pas courage, veut croire le prêtre : « Convertissons-nous vers Celui qui vient à Noël, le Christ, l'Enfant Dieu, Roi de Paix et d'Amour. Prions et agissons ! »
Droits et devoirs humains : oui ; Loi d'Allah : non
Je réactualise ce texte, à l'attention de ceux qui ne comprennent pas que l'on soit anti-islam, comme on est anti-nazi et anti-totalitaire en général
Human Rights, yes; Allah’s Law, No.
Human Rights, yes; Allah’s Law, No.
Islam is a religion, we are told repeatedly, but we are not told that Islam is also a body of law and a political regime of which God is the lawmaker.
The whole of our political history shows that it is of the highest importance to express rights.But the rights stated by Islamic law is contrary to our fundamental rights on the most crucial points.
According to our principles, torture and inhuman and degrading treatment are forbidden, while Islam authorises men to beat their wives and decrees punishments of mutilation and other barbarous tortures.
According to our principles, freedom of belief includes the right to change our religion, while according to Islam, apostasy is a crime punishable by death, as decreed by numerous Muslim sages and numerous fatwas.
According to most of our legislative systems, inciting hatred of others is condemned, because the lawmakers and the Church itself have drawn the lessons of the nameless horror engendered, among others, by the “teaching of contempt of Jews” (as Jules Isaac named it), ... While Muslim prayers contain the “fatiha”, a Coranic verse that teaches contempt of Christians and Jews...
Finally, according to our principles, none of our basic rights and freedoms can be used to eliminate those rights and freedoms, while Islam orders Muslims to combat so that Islam be the only religion and the only law, i.e., for our fundamental freedoms and rights, which we have just named, to be eliminated by Islamic law, and militant Muslims never cease using the term “freedom of religion” to advance the application of the Sharia.
When will our judges, our magistrates and our politicians consent to apply OUR RIGHT by fully respecting its spirit and its aim: to preserve our fundamental freedoms against all attack, including those that misuse the pretext of a freedom of religion?
Droits et devoirs humains : oui ; Loi d'Allah : non
L'islam est une religion, nous répète-t-on, mais on oublie de nous dire et rappeler que l'islam est aussi une législation et un régime politique dont le législateur est censé être Dieu.
Toute notre histoire politique montre qu'il est de la plus haute importance de DIRE LE DROIT.
Or le droit dit par la loi islamique est à l'opposé de nos droits fondamentaux sur les points les plus cruciaux :
Selon nos principes, la démocratie est la règle ( y compris sous la forme de royautés constitutionnelles), c'est à dire que la loi vient du peuple ( étymologiquement "démos"), alors que selon l'islam la loi vient de Dieu, (en grec "Théos" d'où : "théocratie", régime dans lequel le pouvoir législatif appartient à Dieu).
Selon nos principes, l'égalité en droit et en dignité de tous les êtres humaines est de règle ( toutes choses égales par ailleurs), alors que selon l'islam les hommes "ont autorité sur les femmes", et les non-musulmans sont voués à être combattus et/ou soumis à tribut en étant "humiliés",
Selon nos principes, l'esclavage est interdit, pas selon l'islam,
Selon nos principes, la torture et les traitements inhumains et dégradants sont interdits, alors que l'islam autorise les hommes à battre leurs femmes, et prévoit des peines de mutilations et autres supplices barbares,
Selon nos principes, la liberté de la foi implique le droit de changer de religion, alors que selon l'islam, l'apostasie est un crime punissable sur terre, de mort selon nombre de savants de l'islam et nombre de fatwas.
Selon la plupart de nos législations, l'incitation à la haine d'autres populations est condamné, car les législateurs et l'Eglise elle-même ont tirés les leçons de l'innommable horreur engendrée notamment par "l'enseignement du mépris des juifs" (comme le nommait Jules Isaac), ... alors que les prières musulmanes contiennent la "fatiha", un verset du coran qui enseigne le mépris des chrétiens et des juifs ...
Enfin, selon nos principes, aucun des droits et libertés fondamentales, ne sauraient être utilisés pour faire disparaître ces mêmes droits et libertés, or l'islam ordonne aux musulmans de lutter afin que l'islam soit la seule religion et la seule loi, donc pour que les libertés et droits fondamentaux qui sont les nôtres, et que l'on vient d'énoncer, soient anéantis par la loi islamique, et les militants musulmans ne cessent de prétexter de la "liberté religieuse" pour faire progresser l'application de la charia :
quand donc nos juges, nos magistrats et hommes politiques consentiront ils enfin à appliquer NOTRE DROIT en respectant son esprit et son but, qui est de préserver nos libertés fondamentales contre toute atteinte, fut elle portée sous le prétexte d'une liberté de croire ?...
Voici les textes :
DE L'IMPORTANCE DE DIRE LE DROIT
Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789
"Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que leurs actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous."
Déclaration universelle du 10 décembre 1948 :
"Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité "
DE LA DEMOCRATIE
Art. 2. -
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Art. 4. -
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Art. 5. -
La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société
Art. 6. -
La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse
Selon l'islam :
"la première assise de l'Islam est :
" Nach Hadou Ana Laillaha ila-LLah wa ana Mouhammad Rassoula-LLah"
(Nous attestons qu'il n'y a d'autre divinité que Dieu et que Mohamed est le Prophète de Dieu).
Attester qu'il n'y a d'autre divinité que Dieu a pour signification immédiate : réserver à Dieu exalté le caractère divin et ne pas Lui associer quelques unes de Ses créatures dans une seule des caractéristiques de la déité.
La première caractéristique de la déité est la prérogative absolue de la législation d'où découle le droit de légiférer pour les hommes, le droit de formuler des doctrines pour leur vie et le droit de définir les valeurs morales sur lesquelles repose la vie." Sayyed Qutb (Rahimahullah), tiré de "L'Islam par le martyr"
EGALITE
Art. 1er. -
Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit
Préambule de la déclaration universelle de 1948 :
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.
Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes,
Art 1
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits.
Art 7
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !
Coran :
9.5. Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
9.29. Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humilies .
INTERDIT DE L'ESCLAVAGE
Art 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Coran
4.3. ...Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d'injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille).
INTERDIT DE LA TORTURE
Déclaration universelle Art 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
OCI Organisation de la Conférence islamique
28 Rabiul Al-Thani 1425 H /16 juin 2004
Communique final de la 31ème session de la conference islamique des ministres des affaires etrangeres
" La Conférence a fait état de sa profonde préoccupation de l’amalgame fait de manière répétitive et erronée entre l’Islam et la violation des droits de l’homme. Elle a dénoncé l’exploitation de la presse écrite et audiovisuelle pour propager ces idées fallacieuses et a appelé à mettre fin aux campagnes injustifiées lancées par certaines organisations non gouvernementales contre un certain nombre d’Etats membres et qui consistent pour l’essentiel à demander à ces Etats d’abroger les peines et sanctions prévues par la Charia, sous prétexte de défense des droits de l’homme. Elle a réaffirmé le droit des Etats à préserver leur spécificité religieuse, sociale et culturelle, qui constitue un patrimoine de nature à enrichir les concepts universels des droits de l’homme. Elle a appelé à s’abstenir de toute utilisation de l’universalité des droits de l’homme comme prétexte pour s’ingérer dans les affaires intérieures des Etats et porter atteinte à leur souveraineté nationale. Elle a, en outre, dénoncé la décision de l’Union Européenne concernant la condamnation de la peine de la lapidation et des autres peines qualifiées d’inhumaines et qui sont appliquées dans certains Etats membres en vertu des dispositions de la Charia."
Coran :
4.34. Les hommes ont autorité sur les femmes, (...) Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. (...)
LIBERTE DE CHANGER DE RELIGION
Déclaration universelle Art 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites
Selon l'islam :
Hadith d'Ibn `Abbâs : « Quiconque change sa religion, tuez-le. »
Hadith d'Ibn Mas`ûd : « Le sang d'un Musulman qui atteste qu'il n'y a de dieu que Dieu et que je suis le Messager de Dieu est illicite sauf dans trois cas : l'homicide volontaire, le fornicateur qui a déjà connu le mariage et l'apostat qui abandonne la Communauté. »
"L'une des sources du droit islamique en vigueur dans la Communauté est le consensus (Ijmâ`). Or, les juristes de la Communauté, toutes Ecoles confondues, qu'ils soient sunnites ou non, ainsi que les juristes indépendants non rattachés à une Ecole précise, sont consensuellement en accord pour dire que l'apostat mérite une sanction. Il y a quasiment unanimité pour dire que cette sanction est la peine de mort, exception faite de ce qui a été rapporté au sujet de `Umar, d'An-Nakh`î et d'Ath-Thawrî. Il demeure cependant que l'incrimination de l'apostasie est consensuellement reconnue." Yusuf Al Qaradawi
PRIERE ET ENSEIGNEMENT DU MEPRIS
L’Al-Fatiha, la prière la plus commune de l’Islam et la première sourate du Coran.
Coran ( 1/7 ) " La Fatiha" :
" le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs, non pas de ceux qui ont encouru Ta colère, ni des égarés"
Sa signification ordinaire selon les tafsirs (exégèses):
"Dieu (تعالى) a dit : {Celui que Dieu a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs} (5/60)
‘Adi Bin Hatim a dit : “J’ai demandé à l’Envoyé de Dieu au sujet de ceux qui sont désignés par ce verset : {Non le chemin de ceux qui ont encouru Ta colère}, il me répondit : “Ce sont les juifs, quant aux égarés ce sont les chrétiens”.
ABUS DU DROIT POUR DETRUIRE LES LIBERTES ET DROITS
Déclaration universelle Art 30
Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.
Selon le coran, (et les hadiths), le musulman doit combattre jusqu'à ce que "toute la religion soit à Allah" :
2/190] Combattez dans le sentier d'Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n'aime pas les transgresseurs!
2/[191] Et tuez-les, où que vous les rencontriez; et chassez-les d'où ils vous ont chassés: l'association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu'ils ne vous y aient combattus. S'ils vous y combattent, tuez-les donc. Telle est la rétribution des mécréants.
2/[192] S'ils cessent, Allah est, certes, Pardonneur et Miséricordieux.
2/ 193] Et combattez-les jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S'ils cessent, donc plus d'hostilités, sauf contre les injustes.
D'où la conclusion logique de la Cour Européenne :
Cour européenne des Droits de l’Homme
31 juillet 2001
Affaire Refah Partisi (parti de la prospérité) et autres c. turquie arrêt strasbourg
La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. (...) Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. (...) Selon la Cour, un parti politique dont l’action semble viser l’instauration de la Charia dans un Etat partie à la Convention peut difficilement passer pour une association conforme à l’idéal démocratique sous-jacent à l’ensemble de la Convention.
Fernandel : Francine
http://www.youtube.com/watch?v=QOnx7gPcKvQ
Francine
Paroles: A.Willemetz, Musique: C.Oberfeld, Durée: 2'56, Année: 1939
Couplet 1:
Méfie toi ma Francine
De tous les potins du quartier
Des ragots d'la voisine
Des cancans du laitier
Par dessus tout ma belle
Ne va pas t'alarmer
De chaque fausse nouvelle
Des gens bien informés...
Refrain:
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Des badauds par trop bavards
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par les bobards
Ne crois pas qu'Hitler soit mal avec Staline
Et qu'les boches aient bombardé Madagascar
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par les âneries des canards
Couplet 2:
Méfie toi j't'l demande
La TSF a des dangers de la sale propagande
Des speakers étrangers
Si parfois tu dégotes
Stuttgart à la Radio
Dis toi qu'tu s'rais idiote
D'en croire un traître mot
Refrain 2 :
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Du salopard de Stuttgart
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par ces bobards
Quand je pense qu'il veut faire croire
Quand il jaspine
Que c'est un bon français
De Barbès-Rochechouard
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces discours là !
Couplet 3:
Le Führer d'une voix tendre
Nous redit chaque samedi
Je ne veux plus rien prendre
Maintenant que j'ai tout r'pris
J'adore l'Angleterre
J'adore les Français
Pourquoi me faire la guerre
Quand j'veux qu'on m'fiche la paix !
Refrain 3 :
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Du plus barbant des barbares
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par ses bobards
S'il prend pour nous désarmer sa voix câline
C'est pour mieux nous tomber d'ssus un peu plus tard
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces propos d'paix
Final:
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces propos d'paix, Si ! Na !
Francine
Paroles: A.Willemetz, Musique: C.Oberfeld, Durée: 2'56, Année: 1939
Couplet 1:
Méfie toi ma Francine
De tous les potins du quartier
Des ragots d'la voisine
Des cancans du laitier
Par dessus tout ma belle
Ne va pas t'alarmer
De chaque fausse nouvelle
Des gens bien informés...
Refrain:
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Des badauds par trop bavards
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par les bobards
Ne crois pas qu'Hitler soit mal avec Staline
Et qu'les boches aient bombardé Madagascar
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par les âneries des canards
Couplet 2:
Méfie toi j't'l demande
La TSF a des dangers de la sale propagande
Des speakers étrangers
Si parfois tu dégotes
Stuttgart à la Radio
Dis toi qu'tu s'rais idiote
D'en croire un traître mot
Refrain 2 :
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Du salopard de Stuttgart
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par ces bobards
Quand je pense qu'il veut faire croire
Quand il jaspine
Que c'est un bon français
De Barbès-Rochechouard
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces discours là !
Couplet 3:
Le Führer d'une voix tendre
Nous redit chaque samedi
Je ne veux plus rien prendre
Maintenant que j'ai tout r'pris
J'adore l'Angleterre
J'adore les Français
Pourquoi me faire la guerre
Quand j'veux qu'on m'fiche la paix !
Refrain 3 :
Faut pas, faut pas Francine
Écouter les racontars
Du plus barbant des barbares
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser embobiner par ses bobards
S'il prend pour nous désarmer sa voix câline
C'est pour mieux nous tomber d'ssus un peu plus tard
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces propos d'paix
Final:
Faut pas, faut pas Francine
Te laisser dégonfler par ces propos d'paix, Si ! Na !
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