En 2008, quelques jours après s'être affichée aux côtés d'Ayaan Hirsi Ali, Caroline Fourest explique que le point de vue de cette dernière sur l'islam relève d'un manque de lucidité, d'une incapacité à faire des nuances, du à la souffrance :
traduction en clair : les dissidents sont sont un peu malades, les pauvres, excusez les ...
Plus faux jeton, plus condescendant et arrogant, "tu meurs".
La traduction en langage clair de cet article a été donnée par une des partisanes enthousiasme de Caroline Fourest à l'époque : pas de bol pour elle, on a les partisans qu'on peut ..
Ayaan Hirsi Ali, elle, par contre, a apporté tout son soutien à Geert Wilders quand celui ci a été trainé devant les tribunaux en 2010, et finalement ... acquitté pour ses propos sur l'islam, après que la .. psychiatre ex-musulmane Wafa Sultan ait témoigné en sa faveur. Alors que Caroline le taxe de "xénophobie" .. ( http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2008/04/01/1975-que-pensez-de-fitna-le-film-de-wilders-caroline-fourest : Que penser de "Fitna", le film de Wilders ? (Caroline Fourest) " Vers la 10ème minute, Wilders fait le lien entre ces images de haine et le nombre grandissant de musulmans aux Pays-Bas, pour finir par dénoncer l’« islamisation ». Son film ne vise donc ni l’islamisme ni même l’Islam en tant qu’idéologie religieuse, mais le fait qu’il y a trop de musulmans en Europe. C’est un message xénophobe. En cela, le film de Wilders est très différent de ''Soumission'', écrit par Ayaan Hirsi Ali et réalisé par Théo Van Gogh, ")
Mais peut-être que Caroline est plus compétente que cette femme médecin exilée de Syrie, pour apprécier l'état psychique des dissidents ?!
Je n'avais jamais critiqué Caroline avant qu'elle et Fiam ne mettent en danger des personnes, estimant qu'elles étaient grosso modo dans le même camp "anti-violents" que moi, même si elles se trompaient d'analyse sur l'islam et pire, prêtaient objectivement sinon délibérément la main à la justice islamique, en accusant de racisme des critiques de l'islam, mais il y a un point où l'action devient par trop contraire au bout affiché pour ne pas être dénoncée comme telle.
Ayaan Hirsi Ali défend le film de Geert Wilders "Fitna"
Wafa Sultan défend Geert Wilders
Meeting en faveur de Ayaan Hirsi Ali le 10 février
2008 : « Meeting. Naturalisons Ayaan Hirsi Ali !.
Dimanche 10 février à l’Ecole normale supérieure. A 20 heures. […] La soirée
est organisée par la revue “Prochoix”, “La Règle du jeu”, “Libération”, “SOS
Racisme”, et “Charlie Hebdo”. Seront présents : darina al-Joundi,
Elisabeth Badinter, Pascal Bruckner, Monique Canto-Sperber, Caroline Fourest,
Benoît Hamon, Laurent Joffrin, Julia Kristeva, Bernard-Henri Lévy, Mohammed Sifaoui,
Dominique Sopo, Philippe Val, Ségolène Royal, Rama Yade et, bien sûr,
Ayaan Hirsi Ali. » Charlie Hebdo du 6
février 2008.
Les dissidents de l’islamisme (Le Monde,
15 février 2008)
Les dissidents ne font pas dans la nuance. Ils
résistent. Quitte à préférer la simplification à la soumission. Soljenitsyne
refusait de faire la distinction entre utopie marxiste et totalitarisme
communiste. (...)
Les mêmes questions se posent, aujourd’hui, à propos
des dissidents de l’islamisme. Certains sont sortis de l’islam au risque d’être
assassinés ou d’être stigmatisés comme traîtres. D’autres ont été forcées de se
marier, de porter le voile, d’endurer les soupçons, les insultes, les
calomnies. Elles ont résisté. Pour préférer la rébellion à la soumission, il
faut un tempérament d’acier. Un acier que l’on ne tord pas facilement pour faire
des alliages. Certains refusent la distinction entre islam et islamisme. Ils
parlent même de nouveau fascisme à propos de l’idéologie au nom de laquelle on
a voulu les soumettre de façon autoritaire, voire totalitaire. Comment leur
demander de nuancer ? (...)
Fatigués de devoir résister aux démocrates de tous
bords en plus des fanatiques, certains finissent par trouver refuge aux
Etats-Unis. Comme l’écrivain Salman Rushdie. Comme l’ancienne députée
néerlandaise Ayaan Hirsi Ali, qui y travaille aujourd’hui. (...)
Cette union sacrée pour une Europe qui résiste au
fanatisme doit-elle nous amener à abdiquer toute nuance ? Sûrement pas. (...)
Les dissidents eux-mêmes naviguent entre les deux
postures, voire en inventent d’autres, toujours plus radicales. Leur demander
de se taire nous rendrait complices de ceux qui veulent les réduire au silence.
Sacraliser leur parole, se refuser à toute critique, reviendrait à les
exfiltrer du dialogue démocratique pour en faire des icônes. Que nous soyons
d’accord ou non avec chacune de leurs virgules, nous devons les défendre contre
ceux qui préfèrent le silence à la moindre faute de grammaire. Mais nous ne
devons pas non plus simplifier notre grammaire. Le rôle des intellectuels est
de se battre pour qu’ils puissent de nouveau penser hors de danger. En
suscitant l’union autour d’eux. Sans tuer l’esprit critique que l’on veut
justement sauver.
Caroline Fourest est essayiste et enseigne à Sciences
Po.
Merci
à Caroline Fourest et Mohamed Sifaoui d’avoir évité le piège Ayaan Hirsi Ali
Le meeting du 10 février de « soutien » à l’icône islamophobe
Ayaan Hirsi Ali est un échec patent pour l’intelligentsia soi-disant de gauche
caviar qui était venue parader à ses côtés sur la tribune.(...)
Ayaan Hirsi Ali a toujours été de droite, voire de droite
extrême, qu’elle y reste ! Et si elle se sent mieux chez Sarkozy, ce n’est
qu’un juste retour à l’envoyeur.
On pouvait s’étonner de voir dimanche soir notre amie Caroline
Fourest sur la tribune aux côtés d’Ayaan Hirsi Ali. (...)
Quant à Caroline Fourest, elle a su corriger l’ambiguïté de sa
présence au meeting de dimanche soir. D’une part, elle a soigneusement éviter
de s’afficher avec Ayaan Hirsi Ali dans les radios et les télés, contrairement
à d’autres opportunistes. Ainsi, elle se démarquait elle aussi des propos
outrageants tenus par l’icône islamophobe contre l’islam et ses fondementaux,
et contre la religion d’un milliard et demi de croyants. D’autre part,Caroline Fourest a bien précisé sa
position dans une tribune du journal Le Monde, où elle remet l’église au centre du village : si Ayaan
Hirsi Ali est excessive, c’est parce qu’elle a souffert physiquement non pas de
l’islam, mais d’un obscurantisme et de traditions qui n’ont rien à voir.
Caroline Fourest nous explique que ce triste privilège de l’épreuve personnelle
ne doit en aucun cas permettre à quiconque d'autre de manquer de respect à
l’islam et aux croyants, comme l’ont fait sans aucune retenue les extrémistes
de la laïcité et de l’extrême-droite catholique partisans du choc des
civilisations chers à Georges Bush et Ayaan Hirsi Ali. (...)
Merci Caroline, merci Mohamed, pour vos sages paroles de respect
et de tolérance, qui condamnent sans aucune ambiguïté à la fois les propos
inacceptables d’Ayaan Hirsi Ali contre l’islam qui ne font qu’attiser les
islamistes et provoquer leurs réactions, et la récupération des souffrances de
cette femme à des fins politiciennes et électoralistes par la clique de Sarkozy
et celle de Riposte Laïque.
Christiane Duveau Soutien de Ayaan Hirsi Ali à Geert Wilders
Ayaan Hirsi Ali on Geert
Wilders's new anti-Muslim film
Début de l’interview :
La journaliste :
“ Ayaan Hirsi Ali, que pensez du fait que l’auteur de ce
film, pas encore terminé, est déjà en train de recevoir des menaces de boycot,
de violence …?
Ayaan Hirsi Ali :
« Je pense que cela ne fait que prouver ce que Geert
Wilders essaye de prouver : que le coran est un livre intolérant, et que l’islam, en tant qu’idéologie
politique, est une religion intolérant
et une idéologie intolérante : c’est ce que cela prouve. »
4mn02 :
Ayaan Hirsi Ali :
“ Je pense qu’il y a une erreur de conception qui consiste à
dire que critique l’islam en tant que système de croyance, est la même chose
que le racisme. »
Imagine if a
leader within the tea party movement were able to persuade its members to
establish a third political party. Imagine he succeeded—overwhelmingly—and that
as their leader he stood a real chance of winning the presidency. Then imagine
that in anticipation of his electoral victory, the Democrats and Republicans
quickly modified an existing antidiscrimination law so that he could be
convicted for statements he made on the campaign trail.
All of this
seems impossible in a 21st-century liberal democracy. But it is exactly what is
happening in Holland to Dutch parliamentarian Geert Wilders.
Mr. Wilders
came onto the political scene in September 2004 when he broke from the Liberal
Party to found the Freedom Party. He did this partly as a response to Turkey's
bid to join the European Union, and also in reaction to the rise of political Islam
in the Netherlands.
No one has
ever accused Mr. Wilders of being diplomatic. He's famously compared the Quran
to "Mein Kampf" and described it as a "fascist book," he's
called Muhammad "the devil," and he's proposed policies—such as
banning the construction of mosques and taxing women who wear the burqa—to halt
further Islamification.
At first, Mr. Wilders was dismissed as a far
right-wing extremist. But since splitting from the Liberal Party six years ago,
his star has only risen. In the national elections held in November 2006, his
party won nine seats in parliament. When the Dutch government fell again this
year, June elections saw his party take 24 seats in the 150-seat body.
This has
spooked Dutch parliamentarians, particularly those wedded to multiculturalism.
That's why, in the fall of 2009, they modified Article 137C and 137D of the
Penal Code to make it possible for far-left organizations to take Mr. Wilders
to court on grounds of "inciting hatred" against Muslims.
Article 137C
of the penal code now states that anyone "who publicly, verbally or in
writing or image, deliberately expresses himself in anyway insulting of a group
of people because of their race, their religion or belief . . . will be
punished with a prison sentence of at the most one year or a fine of third
category." It continues: "If the offense is committed by a person who
makes it his profession or habit, or by two or more people in association, a
prison sentence of at the most two years or a fine of fourth category will be
imposed."
And so since
Oct. 4, Mr. Wilders has filed into court to defend himself in this blasphemy
trial. If he loses—and the chances are high, given that the presiding judges
haven't been subtle about their bias against him—he will face fines or time in
jail. (When Mr. Wilders said he would not speak at the trial, Judge Jan Moors
accused him of being "good at making statements, but then avoiding the
discussion" they provoke.)
How is it
possible that a mature European liberal democracy is prosecuting an elected
member of parliament for his political opinions on the most pressing issue of
the day—namely, Islamic fundamentalism? There are three main reasons.
First, there
is the matter of traditional politicians' discomfort with Mr. Wilders.
Historically, the Netherlands has insisted on the idea of "consensus."
Though on paper this means compromise, in practice it has meant conformity of
thought and a refusal to rock the boat on controversial issues.
No issue has
tested this comfortable consensus more than the ascent of Islam, first
presented by immigrants from Morocco and Turkey in the 1960s and 1970s, and
then by asylum-seekers and refugees from various Muslim countries beginning in
the 1990s. Most elites responded by preaching "tolerance." Give
Muslim immigrants benefits and wait until they voluntarily integrate, their
argument goes. Even if that process would take generations—even when it became
apparent that some Muslims practiced female genital mutilation and honor
killings, and imams openly urged their congregations to reject Dutch culture
and law—citizens were not to criticize Islam.
A growing
segment of the population—including Mr. Wilders and me, when I was a member of
parliament from 2003 to 2006—doubted this facile and dangerous idea of
"tolerance." This upset politicians, professors, journalists and
other opinion-makers who tried to make us untouchables.
There were
exceptions: Brave people in media, business and even in the military supported
me politically, often behind the scenes. Still, I eventually left the country
due to a combination of frustration with the campaign of ostracism and the
extreme threats I faced from Islamists who wanted to kill me. Mr. Wilders,
however, endured.
The second
reason Mr. Wilders is on trial is the electoral power of Muslims in the
Netherlands' four major cities. During local elections in March 2006, Muslim
immigrants for the first time acted as an unofficial power bloc that could make
or break a major Dutch party.
The supposed
victims of Dutch discrimination were now a force to reckon with. Thus, major
parties including Labor and the Christian Democrats—dominant since World War
II—now support policies like increased immigration from Muslim countries and
welfare benefits for Muslim voters. And they turn a blind eye to the
implementation of informal Shariah law, particularly concerning the treatment
of women.
Third, there
are the efforts of countries in the Organization of the Islamic Conference to
silence the European debate about Islam. One strategy used by the 57 OIC
countries is to treat Muslim immigrants to Europe as satellite communities by
establishing Muslim cultural organizations, mosques and Islamic centers, and by
insisting on dual citizenship. Their other strategy is to pressure
international organizations and the European Union to adopt resolutions to punish
anyone who engages in "hate speech" against religion. The bill used
to prosecute Mr. Wilders is the national version of what OIC diplomats peddle
at the U.N. and EU.
The
implications of this trial are enormous. In the short term, it could bring the
simmering tensions between Holland's approximately one million Muslims and the
1.4 million voters who elected Mr. Wilders to a boil. The Netherlands has seen
its share of Islamist violence before and could well see violent confrontations
again.
On a more
fundamental level, this trial—even if Mr. Wilders wins—could silence the brave
critics of radical Islam. The West is in a war of ideas against political
Islam. If free speech is not protected in Europe, we're already losing.
Ms. Ali, a former member of the Dutch parliament, is a resident fellow at
the American Enterprise Institute and the author of "Nomad: From Islam to
America—A Personal Journey through the Clash of Civilizations" (Free
Press, 2010).
English to French translation
En Hollande, la liberté de parole
est en jugement
Par Ayaan Hirsi Ali
Imaginez si un leader au sein du mouvement Tea Party ont été en mesure de
persuader ses membres de mettre en place un troisième parti
politique. Imaginez-il succéda à une écrasante majorité et que leur chef,
il avait une chance réelle de gagner la présidence. Puis imaginez que, en
prévision de sa victoire électorale, les Démocrates et les Républicains
rapidement modifié une loi anti-discrimination existante, afin qu'il puisse
être condamné pour déclarations qu'il a faites durant la campagne.
Tout cela semble impossible, dans une démocratie libérale du 21e
siècle. Mais c'est exactement ce qui se passe en Hollande au néerlandais
Geert Wilders parlementaire.
M. Wilders est venu sur la scène politique en Septembre 2004 quand il a
rompu avec le Parti libéral pour fonder le Parti de la Liberté. Il a fait cela
en partie en réponse à l'offre de la Turquie à rejoindre l'Union européenne, et
également en réaction à la montée de l'islam politique dans les Pays-Bas.
Personne n'a jamais accusé M.
Wilders d'être diplomate. Il est célèbre pour avoir comparé le Coran à
«Mein Kampf» et l’avoir décrit comme un "livre fasciste", il a appelé
Mahomet "le diable", et il a proposé des politiques-telles que
l'interdiction de la construction de mosquées et des amendes pour les femmes
qui portent la burqa, pour stopper une plus forte islamisation.
Afficher l'image complète
Associated Press Geert Wilders dans un tribunal d'Amsterdam.
Dans un premier temps, M. Wilders a été rejeté comme une extrême-droite
extrémiste. Mais depuis sa rupture avec le Parti libéral il ya six ans,
son étoile a seulement augmenté. Lors des élections nationales tenues en
Novembre 2006, son parti a remporté neuf sièges au parlement. Quand le gouvernement
néerlandais a chuté cette année encore, les élections Juin a vu son parti de
prendre 24 places dans le corps de 150 places.
Cela a effrayé les parlementaires néerlandais, en particulier ceux qui
jurent par le multiculturalisme. C'est pourquoi, à l'automne 2009, ils ont
modifié l'article 137C et 137D du Code pénal pour le rendre possible pour les
organisations d'extrême-gauche pour prendre M. Wilders en justice pour des
raisons de "incitation à la haine» contre les musulmans.
L'article 137c du Code pénal stipule
maintenant que toute personne qui «publiquement, oralement ou par écrit ou
image, exprime volontairement lui-même dans toute façon insultante d'un groupe
de personnes en raison de leur race, leur religion ou de conviction... Sera puni
d'une prison phrase de l'année la plus un ou une amende de troisième
catégorie. " Il poursuit: «Si l'infraction est commise par une
personne qui l'a fait sa profession ou par habitude, ou par deux personnes ou
plus en association, une peine de prison d'au plus deux ans ou une amende de
quatrième catégorie seront imposées."
Et donc depuis le 4 octobre, M. Wilders a déposé au tribunal pour se
défendre dans ce procès blasphème. S'il perd, et les chances sont élevées,
étant donné que les juges présidant n'ont pas été subtile sur leurs préjugés
contre lui-il face à des amendes ou une peine de prison. (Lorsque M.
Wilders a déclaré qu'il ne parlerait pas au procès, le juge Maures Jan accusé
d'être «bon à faire des déclarations, mais en évitant la discussion" qu'ils
provoquent.)
Comment est-il possible qu'une démocratie européenne libérale poursuite en
justice un parlementaire pour ses opinions politiques sur la question la plus
urgente du moment, à savoir le fondamentalisme islamique? Il y a trois
raisons principales. D'abord, il y a la question du
malaise des politiciens traditionnels avec M. Wilders. Historiquement, les
Pays-Bas a insisté sur l'idée de «consensus». Bien que sur le papier, cela
signifie un compromis, en pratique, cela a signifié conformité de la pensée et
le refus de faire des vagues sur des questions controversées.
Aucune question n'a testé ce confortable
consensus plus que l'ascension de l'islam, d'abord présent par des immigrants
du Maroc et de Turquie dans les années 1960 et 1970, puis par les demandeurs
d'asile et des réfugiés originaires de divers pays musulmans au début des
années 1990. La plupart des élites ont répondu en prêchant la «tolérance». Donnez
des avantages aux immigrants musulmans et attendez jusqu'à ce qu'ils s’intègrent
volontairement, tel est leur argument. Même si ce processus prend
plusieurs générations, même quand il est devenu évident que certains musulmans
pratiquent les mutilations génitales féminines et les crimes d'honneur, et que
les imams exhortent ouvertement leurs fidèles à rejeter la culture néerlandaise
et la loi, les citoyens n'ont pas de critiquer l'islam.
Un segment croissant de la
population, y compris M. Wilders et moi, quand j'étais membre du parlement de
2003 à 2006, doutent de cette idée facile et dangereuse de «tolérance». Cela
met en colère les politiciens, professeurs, journalistes et autres faiseurs
d'opinion qui ont essayé de faire de nous des intouchables. Il y avait des exceptions: les gens courageux dans les médias, les
entreprises et même dans l'armée m'ont soutenu politiquement, souvent dans les
coulisses.Pourtant, j'ai finalement quitté le pays en raison d'une combinaison
de frustration avec la campagne de l'ostracisme et les menaces extrêmes J'ai
fait face à des islamistes qui voulaient me tuer. M. Wilders, cependant, a
enduré.
La deuxième raison du orocès de M.
Wilders est le pouvoir électoral des musulmans aux Pays-Bas. "quatre grandes villes. Lors des
élections locales en Mars 2006, les immigrants musulmans pour la première fois
agi comme un bloc de pouvoir officieux qui pourrait faire ou défaire un grand
parti néerlandais.
Les victimes supposées de discrimination néerlandais étaient maintenant une
force à compter avec. Ainsi, les grands partis y compris le travail et les
Démocrates chrétiens-dominante depuis la Seconde Guerre mondiale, maintenant
des politiques de soutien tels que l'immigration a augmenté de pays musulmans
et les prestations sociales pour les électeurs musulmans. Et ils ferment
les yeux à l'application de la charia informel, en particulier concernant le
traitement des femmes.
Troisièmement, il y a les efforts
des pays de l'Organisation de la Conférence islamique pour faire taire le débat
européen sur l'islam. Une stratégie utilisée par les 57 pays de l'OCI est
de traiter les immigrés musulmans en Europe en tant que communautés musulmanes
par satellite en établissant des organisations culturelles, des mosquées et
centres islamiques, et en insistant sur la double citoyenneté. Leur autre
stratégie est de faire pression sur les organisations internationales et
l'Union européenne, pour adopter des résolutions punissant quiconque se livre à «discours de haine"
contre la religion. Le projet de loi utilisée pour poursuivre M. Wilders
est la version nationale de ce que les diplomates de l'OCI colportent à l'ONU
et l'UE. Les implications de ce procès sont
énormes. À court terme, elle pourrait amener les tensions
latentes entre Hollande environ un million de musulmans et les 1,4 millions
d'électeurs qui ont élu M. Wilders à ébullition. Les Pays-Bas a vu sa part
de la violence islamiste, avant et pourrait bien voir de violents affrontements
à nouveau.
Sur un plan plus fondamental, ce
procès -même si M. Wilders gagne- pourrait faire taire les courageux critiques
de l'islam radical. L'Occident est dans une guerre des idées contre
l'islam politique. Si la liberté d'expression n'est pas protégée en
Europe, nous sommes déjà en train de perdre.
Mme Ali, un ancien membre du parlement néerlandais, est un homme résident à
l'American Enterprise Institute et auteur de "Nomad: De l'Islam en
Amérique, un voyage personnel dans le choc des civilisations» (Free Press,
2010).
"Hélas, la réalité du terrain, c’est la souffrance des homosexuels juifs, l’insulte, les ricanements, les regards entendus et du coup leur éloignement de fait de nombreuses synagogues et cercles communautaires incapables de comprendre et d’accepter qu’un couple homosexuel les fréquente ou emmène ses enfants auTalmudTora. La réalité de terrain, c’est aussi un fort pourcentage de suicides chez des homosexuels culpabilisés, rejetés, renvoyés à leur identité douloureuse qui les obligerait à rompre avec le reste de la société et même souvent avec leur famille. Dans les milieux juifs religieux, mais donc dans le milieu juif en général du fait de la forte dimension sociale et identitaire du judaïsme, ce désarroi est plus fort qu’ailleurs à cause du sentiment de rejet et de culpabilité. Or la religion ne doit pas être le lieu exclusif de la culpabilisation et du rigorisme, du din ; elle doit aussi être un soutien, un lieu de ressourcement, d’acceptation, d’accompagnement et d’apaisement, un lieu de hessed. Les différentes réactions religieuses auxquelles le grandrabbinmêle sa voix montrent bien l’inverse, un rejet ontologique du fait homosexuel enrobé de quelques déclarations contre l’homophobie. Or, pour les sources juives, sauver une seule vie mérite de revoir tout un système. S’il y a des valeurs à retenir du judaïsme, c’est avant tout celle de l’amour de la vie et du prochain, quel qu’il soit et celle de l’écoute de l’autre, même si cela bouscule nos certitudes. Ne pas suivre ces impératifs, c’est remettre en cause, à mon avis, un des fondements du judaïsme et sa raison d’être. Or, si on accepte ce point de vue sur le rôle durabbin, le modèle consistorial actuel fait preuve, sauf exception, d’un réel déficit sur le terrain dans toutes sortes de domaines et en particulier vis-à-vis des homosexuels."
David Khayat, chef de
service à la Pitié Salpêtrière, décrypte les résultat d'une étude sur le cancer
et son traitement : "la guérison du cancer est une réalité".
« dans les années 80, à l’époque nous n’avions pas la morphine, il y
avait le carnet à souche, en France on était encore dans cette idée de la
douleur rédemptrice, et nous quand nous
arrivions avec nos chimios des années s80, c’était des poisons, et quand nous
prolongions d’un mois la vie de cette femme, les infirmières nous disaient « mais
vous devriez avoir honte de faire ce métier, vous faites souffrir ces
femmes, ça ne sert à rien, laissez les mourir », oui mais sauf qu’on les
laissaient mourir dans le bout du couloir sans s’en occuper, et puis petit à
petit les choses ont changé parce que au-delà des cris de ces malades on a
entendu ce qu’ils avaient à nous dire, et ce qu’ils nous ont dit à ce moment là
dans les années 80, c’était qu’ils voulaient vivre, c’était que même si le prix
à payer pour vivre un mois de plus, cétait 4 ou 5 cures de chimio, de la chimio
des années 80, eux ils la voulaient, et ça a changé le regard du corps médical,
sur cette maladie et sur les malades, … et c’est là qu’on a inventé les soins
palliatif, à gérer mieux la douleur, à se passer du carnet à souche, à arrêter
avec cette idée stupide de la douleur qui va rédempter les péchés etc, et petit
à petit on a créé ces services de cancérologie. …
Je suis une militante bénévole, indépendante. Mon job n’a rien à voir directement avec le féminisme et je n’ai jamais brigué de poste d’intellectuel fonctionnarisé ou salarié ni de poste politique, je ne dépend pas non plus d’un lectorat. D’où ma stricte indépendance, à la différence de la quasi-totalité des militantes actuelles.
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.
Mise au point sur la collaboration actuelle avec le fascisme.
J’appelle fascisme le fait de considérer que des êtres humains auraient une valeur inférieure à d’autres et mériteraient de voir leur vie dépendre du bon vouloir des êtres se considérant comme supérieurs.
Le fascisme est une tendance universellle en tant que concrétisation des tendances à l’égoisme et à l’arrogance des êtres incarnés que nous sommes, mais cette tendance est soit contrée, soit encouragée par des théories qui le légitiment ou le déconsidèrent.
Nier le contenu de théories fascistes, dénigrer, faire des procès d’intention à ceux qui s’opposent à un fascisme, c’est se faire l’allié, le complice du fascisme, nier le contenu fasciste de théorie sans même enprendre connaissance est non seulement d’une imbécilité affiligeante, mais c’est se faire l’allié, le complice du fascisme.
L’islam est une version arabe du fascisme, comme le nazisme est sa version allemande, comme les massacreurs mongols antiques des chinois furent des fascistes en acte, comme les massacreurs du rwanda le furent.
Les féministes qui osent dénigrer d’autres féministes alors qu’elles même ne se donnent même pas la peine d’écouter les personnes issues de pays musulmans qui critiquent l’islam, ne se donnent même pas la peine d’étudier par elles mêmes, sont objectivement des complices du fascisme islamique et auront à en répondre.
Les antiféministes et autres petits bonshommes minables qui reprochent spécifiquement aux féministes de ne pas contester ce qu’ils nomment islamisme, alors qu’eux-mêmes ne s’y opposent que pour des raisons identitaires ou en prenant bien soin de donner des gages aux tueurs en utilisant une terminologie qui signifie qu’ils ne critiquent pas la doctrine de l’islam, sont des complices du fascisme et des minables.
Ceux qui mettent en danger d’autres personnes en lutte contre un fascisme voulant imposer une loi non démocratique et extérieure, se rendent coupables de collaboration avec un fascisme, d’intelligence avec l’ennemi, de mise en danger d’autrui, de menaces, d’atteinte à des libertés fondamentales, et le cas échéant de corruption.
Je renvoie ceux et celles qui me critiquent ou me menacent ainsi à la considération de votre propre dégueulasserie intégrale. Je suis contre la peine de mort, mais je ne pleure pas sur le sort des Brasillac et autres fumiers liquidés à la Libération car ils étaient eux-mêmes des TUEURS conscients de ce qu’ils faisaient, ou pouvant parfaitement en prendre conscience.
Le déni de l’égale valeur des êtres humains se produit aussi de même moins apparente. La réduction des femmes à des êtres destinées à servir aux « droits sexuels et reproductifs » des hommes, est une des formes de déni de leur égale valeur. L’oubli ou la négation du corps des femmes dans la maternité légitime à l’évidence cette réduction. Mais il faut faire attention aux arguments employés pour défendre le corps des femmes, car dire que les adultes auraient un droit de jouir de leur corps en créant une vie qui impliquerait de nier cette vie tout en donnant le droit de la supprimer, revient aussi à donner à certains humains vivants ( ce que nous sommes tous dès la première cellule) moins de valeur qu’à d’autres. Cette affirmation ne peut que se retourner contre les femmes les plus vulnérables.
site russophile
La Russie est représentée aujourd'hui comme un Etat quasi nazi, prêt à envahir l'Occident. La Russie et la compassion de Valaam sont en réalité encerclés par les adorateurs de l'argent, militairement, et médiatiquement. Je suis pour la Russie et l'essentiel des idées orthodoxes. En espérant que l'orthodoxie se défasse de ses scories sexistes et homophobes.
"Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu."
La liberté selon Dostoievsky, "L'idée russe" Nicolas Berdaiev.
âme, pardon et judaisme
"Le judaisme a créé le "prochain" et avec lui la conception de l'humanité dans son vrai sens celui de l'estime pour la dignité humaine et la révérence du Divin pour tout ce qui porte visage humain" Rabbin Leo Baeck
" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21
Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe
Féministe
Love is a basic human right
We're millions. We're everywhere. We're the #ExMuslims
Sibérie : camp
Margarethe II du Danemark
Margareth II, reine du Danemark
«Nous avons laissé la question de l’islam flotter trop longtemps, car nous sommes tolérants et bien paresseux. Il faut, de temps à autre, courir le risque de se voir coller une étiquette moins flatteuse, car il y a certaines choses pour lesquelles on ne doit pas montrer de tolérance.»
pour la vie ...
Eternal flame
Концерт Детского хора России в Мариинском
Hirsi Ali 2008
et le commentaire pitoyable ...
Débat entre deux personnes civilisées : Wafa Sultan et Daniel Pipes
Geert Wilders
Let us raise a flag of truth and liberation by Geert Wilders
Nine years ago this month, in November 2004, policemen wearing bullet proof vests and carrying machine guns picked me up at my home and drove me to a safe place. This happened two days after the filmmaker and Islam-critic Theo van Gogh was murdered by an Islamic assassin in broad daylight on an Amsterdam street. The police brought me to safety because Islamic criminals had threatened to kill me, too. Because I, too, spoke the truth about Islam, the biggest threat to our freedom and our civilization. Since that ominous date, nine years ago, I have been forced to live under constant police protection. I have lived in army barracks, prisons and safe houses. The threats continue to this day and have deprived me of my privacy and my freedom. But I will continue to speak. The flag of Saudi Arabia proudly proclaims the Shahada or the Islamic declaration of faith: “There is no god but Allah and Muhammad is the messenger of Allah.” In remembrance of the past nine years, in remembrance of the thousands of victims who were murdered in that period by Islamic assassins, in London, in Moscow, in Mumbai, in Nairobi, and in countless other places, and in remembrance of the millions of people — women, apostates, non-Muslims — who daily suffer discrimination and humiliation from the evil ideology of Islam and oppressive Islamic Sharia law, I offer the Islamic world a new flag — a flag with a declaration of truth and liberation: “Islam is a lie, Muhammad a criminal, the Koran is poison.” Only when the Islamic world comes to realize this truth, will it be able to free itself from evil, making the world a better and safer place for all human beings. Only when the free world comes to realize that Islam is predominantly a totalitarian ideology rather than a religion, will it be able to defend its liberties and values. November 2013