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COVID et CRIMES

Samuel Patty : Quelques réflexions d'un arabisant par Winston Belmonte

 

Quelques réflexions…

 

Les très récents événements survenus en France sont la démonstration, hélas sanglante, de l’échec total des politiques suivies par les différents gouvernements de ce pays depuis cinquante ans. De lâchetés en naïvetés successives, les pouvoirs publics n’ont jamais osé demander son avis au peuple concernant le supposé bien-fondé d’une immigration de travailleurs manuels, de masse, en provenance de pays musulmans. Aucun gouvernement français ne s’est risqué à poser ouvertement la question d’une éventuelle incompatibilité entre l’islam et la société judéo-chrétienne occidentale d’accueil, où – rappelons-le – la femme est l’égale de l’homme, l’athée et l’homosexuel acceptés, toutes choses rigoureusement scandaleuses dans les pays du croissant.

 

Une question essentielle à débattre est celle de savoir dans quelle mesure et à quelles conditions l’islam pourrait s’adapter à l’altérité. L’expérience historique n’est guère convaincante (hormis, peut-être, pour certaines sociétés swahilies de l’Afrique orientale et indonésiennes, jadis orientées vers le commerce maritime). Précisons immédiatement qu’il convient, bien entendu, de distinguer les peuples et les individus de l’idéologie. Tous les Russes n’étaient pas bolcheviques et tous les Allemands n’étaient pas nazis. Il en va de même pour les musulmans qu’il est impératif de ne pas systématiquement confondre avec des « mahométans » (fanatiques intolérants recourant sans cesse à la terreur intellectuelle et/ou physique, cf. https://islam-connaissance.blogspot.com/2020/01/connaitre-lislam-tel-quil-est-par-le.html).

 

Pour répondre le plus sagement possible à la question du paragraphe précédent, il faut – on ne le répétera jamais assez – lire, étudier et réfléchir sur l’idéologie de l’islam. Celle-ci est portée, d’une part, par le Coran, et d’autre part, par les faits et gestes de Mahomet rassemblés dans des corpus de récits (hadîth حديث en arabe). L’analyse (sans concession à la doxa du « vivre-ensemble ») d’un demi-siècle d’immigration musulmane dans différents pays occidentaux n’incite guère à l’optimisme.

 

Qu’est-ce que nous disent le Coran et les traditions prophétique de Mahomet ? Historiquement a-t-il existé en terre d’islam une société libérant la femme, acceptant sur un pied d’égalité musulman et non musulman ? L’islam a-t-il, ne serait-ce qu’une fois, été capable de faire émerger une société réellement démocratique ?

 

Plutôt que de s’illusionner, tandis que les morts s’accumulent et que des pans entiers du territoires échappent non pas à « l’ordre républicain » mais à la France, il est grands temps que nos dirigeants fassent, enfin, preuve de courage.

 

La faiblesse, l’abdication sont toujours la pire des politiques car au lieu d’éloigner le danger, elles le précipitent en y joignant le mépris de l’ennemi. On négocie rarement avec celui que l’on dédaigne !

 

Le courage c’est d’abord de regarder la réalité en face et d’admettre qu’un abyme oppose l’islam à l’Occident judéo-chrétien. Le courage c’est d’agir en conséquence. C’est pourquoi nous ne saurions trop conseiller aux dirigeants français de suivre les sages recommandations de personnalités aussi remarquables par leur clairvoyance que leur connaissance intime de l’islam. Bornons-nous ici à n’en citer que trois : la Française Zineb El-Rhazoui, l’Algérien Boualam Sansal et la Somalienne Ayaan Hirsi Ali.

 

Winston Belmonte

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