video en ligne : pour regarder la video sur le site :
https://odysee.com/
copier l'adresse de la video :
@Re-information2.0:2/Pr-Perronne---M-4-4-2:d
blog féministe anti-totalitaire
video en ligne : pour regarder la video sur le site :
https://odysee.com/
copier l'adresse de la video :
@Re-information2.0:2/Pr-Perronne---M-4-4-2:d
La France pays de chiens, des "antisionistes" de base aux juifs de cour, aux petits minables camés paralysés du bulbe à l'idée de déplaire
innocente un homme dont les actes prouvent qu'il a prémédité l'assassinat sous la torture du Dr Sarah Halimi.
Kaddish.
Dr Pierre Kory : Le traitement précoce est déterminant
SA MAJESTÉ DES CHATS
Bernard WERBER
Albin Michel, octobre 2019, 457 pages, 21,90 €
Que voici un ouvrage étonnant, et à plus d’un titre.
L’auteur n’est pas le premier venu. C’est, convenons-en, un original ; une
sorte d’OVNI dans la littérature contemporaine. Bernard WERBER joint à des
récits de science-fiction une approche philosophique enrichissante, un humour
décalé. Il rassemble des êtres humains et des animaux dans une action qui
rebondit sans cesse.
Ce roman, comme tous ceux qui l’ont précédé, doit se lire à
plusieurs niveaux. Le premier, immédiatement accessible, est naturellement celui
d’une histoire très amusante qui plaira autant à l’adolescent qu’au lecteur
traditionnel d’uchronies ou de fantasy (les deux sont habilement mêlés ici).
L’histoire nous plonge dans une France d’un très proche
futur en proie à un événement singulier, baptisé « l’Effondrement ». Celui-ci
résulte de la concomitance de plusieurs catastrophes. Ainsi, le pays tombe
littéralement sous le déferlement de barbus meurtriers déchaînant une guerre
civile et l’apparition simultanée d’une épidémie dévastatrice. À ce double
cataclysme s’en ajoute un troisième avec l’insurrection des rats. Celle-ci est
dirigée par un ancien surmulot de laboratoire aux yeux rouges et au pelage
blanc qui entend fédérer la gent trotte-menu pour se venger de tout ce que
l’espèce humaine lui a fait subir, des expériences scientifiques les plus
cruelles aux raticides. À mesure que l’homme s’éteint, les animaux s’éveillent
et choisissent leur camp. Les chats, sous la conduite éclairée de la première
d’entre eux, Bastet du nom éponyme d’une déesse égyptienne, décident de sauver
l’humanité des rongeurs. Il ne s’agit pas, cependant, de rétablir le monde
d’avant mais de bâtir une nouvelle civilisation, celle des chats pour laquelle
Bastet n’envisage rien moins que la « félicité », concept de culture supérieure
des félins construit sur le mot « felis » (chat en latin). Pour réaliser son
destin exceptionnel la chatte recrute comme premier conseiller, son amant
Pythagore aussi érudit que timoré dans l’action.
Une première lecture, d’abord linéaire, permet d’apprécier
un roman d’aventures au rythme trépidant. On est envoûté par l’imagination
exubérante de l’auteur qui réussit un tour de force : susciter l’éclat de rire
presque permanent du lecteur dans un univers post-apocalyptique éminemment
stressant. Les observations de l’héroïne sur les humains, en particulier sur
leurs pratiques sexuelles, sont désopilantes et pourtant frappées au coin du
bon sens de la « félicité » ! Néanmoins, arrêter son opinion à ce stade, celui
de la pure récréation, serait négliger l’essentiel. La substance profonde du
récit, naturellement, est ailleurs.
Le lecteur, selon son érudition propre, s’efforcera
d’extraire la substantifique moelle d’une histoire haute en couleur qui mélange
avec brio un monde dystopique et l’atmosphère burlesque d’une fable.
Bastet, personnage principal, est « une chatte de trois ans
à longs poils, à la fourrure blanche harmonieusement constellée de taches
noires… » (p. 16). Très intelligente, c’est une séductrice née à qui on ne peut
résister. C’est un peu l’éternel féminin, une maîtresse femme ayant une très
haute opinion d’elle-même. L’humilité n’est pas son fort même si elle sait
parfois reconnaître ses manques, mais in petto s’entend ! Imaginative à
souhait, elle sait autant charmer qu’affirmer son autorité sans faire mystère
du peu de considération qu’elle a pour autrui. Raisonnant en féline sur la
société humaine, ses réflexions souvent effrontées emportent l’enthousiasme du
lecteur. C’est ce qui permet à WERBER de rejoindre LA FONTAINE, pour défendre
très adroitement une morale. Celle-ci n’est pas assenée abruptement mais
suggérée, avec beaucoup d’élégance, tout au long du récit. Il faut se battre
pour acquérir la Connaissance ce qui a pour corollaire une lutte constante
contre le fanatisme.
C’est, en quelque sorte, la leçon de la marche vers la
civilisation, le combat du savoir opposé à l’ignorance. Pour ce faire, il faut
reconnaître à Bastet, une envergure dans la pensée qui dépasse de beaucoup
celle des hommes puisque son projet, qu’elle qualifie – toujours modeste – de
grandiose se résume à « FAIRE COMMUNIQUER ENTRE ELLES TOUTES LES ESPÈCES. »
Après le divertissement et l’apologue, il faut
nécessairement envisager la portée politique du roman. L’auteur, sans jamais
les nommer, décrit, sans aucune ambiguïté possible, les criminels barbus qui
sont la cause première de « l’Effondrement ». Ces enragés assassinent des
enfants dans les rues et massacrent en meute des « imberbes (le plus souvent
moins nombreux et moins déterminés) » (p. 23). Ils portent une barbe noire et
attaquent en scandant toujours une même phrase. Nous sommes là en pleine
actualité, et nul besoin d’être grand clerc pour deviner de qui il s’agit…
Toutefois, l’étude symbolique des noms des principaux
personnages est riche d’enseignements et accentue, quoique subtilement, la
dénonciation du fanatisme religieux. Si on ignore le nom du chef des barbus, on
connaît, en revanche, celui des humains qui leur résiste – avec Bastet – :
Philippe Sarfati, scientifique reconnu, dont le patronyme signifie « France »
en hébreu. Signalons aussi le « gardien de la mémoire » – entendons le savoir
de l’Humanité – qui s’appelle Roman Wells, allusion plaisante au romancier de
science-fiction Herbert George Wells.
On peut associer Bastet l’Égyptienne, Pythagore le Grec et
Sarfati l’Hébreu à un triangle qui pourrait être celui de la Connaissance,
celle de la tradition initiatique. D’aucun y verront naturellement un delta
lumineux… À cette lumière, on opposera l’obscurité des hommes à la barbe noire
qui tentent de détruire ce qui reste de savoir avec un slogan qui devient idiot
dans leur bouche : « Dieu est plus fort que la science ».
Ennemie acharnée de l’espèce Homo sapiens, la masse brune
des rats s’avère moins bêtes que les barbus ! Fanatique mais disciplinée, elle
s’est rassemblée sous l’étendard d’un rattus albinos au regard incandescent. Il
se nomme Tamerlan et constitue l’avatar achevé de son éponyme humain.
Authentique suppôt de Satan, l’émir des surmulots a bien compris que pour
triompher il lui fallait obtenir toute l’érudition humaine. Celle-ci est
entièrement rassemblée dans un tout petit objet (clin d’œil très probable au
film Lucy de Luc Besson avec Scarlett Johansson) mis au point par Sarfati et
que Bastet porte à son cou. Ce précieux pendentif est l’ESRA qui signifie
Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu. Il faudrait d’ailleurs non pas
cabaler mais « kabbaler » sur les différentes explications ésotériques de cet
acronyme qu’on retrouve tout au long des pages et parfois sous les formes ESRAC
(C pour « chats ») ou ESRAE (E pour « étendue »). Il faut ici laisser le
lecteur se prendre au jeu des conjectures…
Roman à clefs, Sa majesté des chats peut se prêter à
d’infinies spéculations. Interrogeons-nous, par exemple, sur les rôles joués
par les autres espèces animales dans cette saga échevelée. L’attitude des porcs
et des oiseaux n’est pas précisément celle à laquelle on pouvait s’attendre.
Bien entendu, nous pourrions encore prolonger la réflexion
sur le rôle discret, mais important, des nombres dans le récit. Le chiffre « 3
» y tient naturellement une place particulière. Relevons, par exemple, que le
roman comprend trois grandes parties. Ce sont respectivement : Une belle
utopie, Troisième Œil et L’humour, l’art l’amour. Bref tout un programme ! Signalons
enfin le numéro de Tamerlan lorsqu’il n’était encore qu’un rat de laboratoire,
« 366 ». C’est, à un chiffre près, le nombre de la bête (« 666 »). Quod erat
demonstrandum ne manqueront pas de conclure certains exégètes…
N’en doutons point, cet auteur talentueux est à la fois un
initié et un cabaliste, fin connaisseur de l’Arbre de vie. Mais il y a encore
plus dans cette anticipation publiée en 2019 ; il y a la pandémie ! Aussi osons
nous interroger sur la véritable nature de Bernard WERBER. Est-il voyant,
est-il prophète ?
Winston BELMONTE (le 28 mars 2021)
Un grand merci à Alexandre et Simon, deux Fils de la lumière
sans tablier.
Ma biographie militante
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.
Tome 1 : http://elisseievna.blogspot.fr
Tome 2 :http://elisseievnatome2.blogspot.fr
Mes textes seuls :http://elisseievna-blog.blogspot.fr
Textes dans le site de l’association féministe CERF
Bibliographie et bases théoriques sur l’islam :
http://islam-connaissance.blogspot.fr/
Commentaires critiques de l'islam
http://commentairecritiquedelislam.blogspot.fr/
http://islam-et-nazisme.blogspot.fr/
Les auteures féministes dans Riposte laïque :
http://elisseievna-ripostelaique.blogspot.fr/
Sur le judaisme et sur le christianisme :
http://judaisme-elisseievna.blogspot.fr/
Mise au point sur la collaboration actuelle avec le fascisme.
J’appelle fascisme le fait de considérer que des êtres humains auraient une valeur inférieure à d’autres et mériteraient de voir leur vie dépendre du bon vouloir des êtres se considérant comme supérieurs.
Le fascisme est une tendance universellle en tant que concrétisation des tendances à l’égoisme et à l’arrogance des êtres incarnés que nous sommes, mais cette tendance est soit contrée, soit encouragée par des théories qui le légitiment ou le déconsidèrent.
Nier le contenu de théories fascistes, dénigrer, faire des procès d’intention à ceux qui s’opposent à un fascisme, c’est se faire l’allié, le complice du fascisme, nier le contenu fasciste de théorie sans même en prendre connaissance est non seulement d’une imbécilité affiligeante, mais c’est se faire l’allié, le complice du fascisme.
L’islam est une version arabe du fascisme, comme le nazisme est sa version allemande, comme les massacreurs mongols antiques des chinois furent des fascistes en acte, comme les massacreurs du rwanda le furent.
Les féministes qui osent dénigrer d’autres féministes alors qu’elles même ne se donnent même pas la peine d’écouter les personnes issues de pays musulmans qui critiquent l’islam, ne se donnent même pas la peine d’étudier par elles mêmes, sont objectivement des complices du fascisme islamique et auront à en répondre.
Les antiféministes et autres petits bonshommes minables qui reprochent spécifiquement aux féministes de ne pas contester ce qu’ils nomment islamisme, alors qu’eux-mêmes ne s’y opposent que pour des raisons identitaires ou en prenant bien soin de donner des gages aux tueurs en utilisant une terminologie qui signifie qu’ils ne critiquent pas la doctrine de l’islam, sont des complices du fascisme et des minables.
Ceux qui mettent en danger d’autres personnes en lutte contre un fascisme voulant imposer une loi non démocratique et extérieure, se rendent coupables de collaboration avec un fascisme, d’intelligence avec l’ennemi, de mise en danger d’autrui, de menaces, d’atteinte à des libertés fondamentales, et le cas échéant de corruption.
Je renvoie ceux et celles qui me critiquent ou me menacent ainsi à la considération de votre propre dégueulasserie intégrale. Je suis contre la peine de mort, mais je ne pleure pas sur le sort des Brasillac et autres fumiers liquidés à la Libération car ils étaient eux-mêmes des TUEURS conscients de ce qu’ils faisaient, ou pouvant parfaitement en prendre conscience.
Le déni de l’égale valeur des êtres humains se produit aussi de même moins apparente. La réduction des femmes à des êtres destinées à servir aux « droits sexuels et reproductifs » des hommes, est une des formes de déni de leur égale valeur. L’oubli ou la négation du corps des femmes dans la maternité légitime à l’évidence cette réduction. Mais il faut faire attention aux arguments employés pour défendre le corps des femmes, car dire que les adultes auraient un droit de jouir de leur corps en créant une vie qui impliquerait de nier cette vie tout en donnant le droit de la supprimer, revient aussi à donner à certains humains vivants ( ce que nous sommes tous dès la première cellule) moins de valeur qu’à d’autres. Cette affirmation ne peut que se retourner contre les femmes les plus vulnérables.
La Russie est représentée aujourd'hui comme un Etat quasi nazi, prêt à envahir l'Occident. La Russie et la compassion de Valaam sont en réalité encerclés par les adorateurs de l'argent, militairement, et médiatiquement. Je suis pour la Russie et l'essentiel des idées orthodoxes. En espérant que l'orthodoxie se défasse de ses scories sexistes et homophobes.
"Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu."
La liberté selon Dostoievsky, "L'idée russe" Nicolas Berdaiev.
Let us raise a flag of truth and liberation by Geert Wilders
Nine years ago this month, in November 2004, policemen wearing bullet proof vests and carrying machine guns picked me up at my home and drove me to a safe place. This happened two days after the filmmaker and Islam-critic Theo van Gogh was murdered by an Islamic assassin in broad daylight on an Amsterdam street. The police brought me to safety because Islamic criminals had threatened to kill me, too. Because I, too, spoke the truth about Islam, the biggest threat to our freedom and our civilization. Since that ominous date, nine years ago, I have been forced to live under constant police protection. I have lived in army barracks, prisons and safe houses. The threats continue to this day and have deprived me of my privacy and my freedom. But I will continue to speak. The flag of Saudi Arabia proudly proclaims the Shahada or the Islamic declaration of faith: “There is no god but Allah and Muhammad is the messenger of Allah.” In remembrance of the past nine years, in remembrance of the thousands of victims who were murdered in that period by Islamic assassins, in London, in Moscow, in Mumbai, in Nairobi, and in countless other places, and in remembrance of the millions of people — women, apostates, non-Muslims — who daily suffer discrimination and humiliation from the evil ideology of Islam and oppressive Islamic Sharia law, I offer the Islamic world a new flag — a flag with a declaration of truth and liberation: “Islam is a lie, Muhammad a criminal, the Koran is poison.” Only when the Islamic world comes to realize this truth, will it be able to free itself from evil, making the world a better and safer place for all human beings. Only when the free world comes to realize that Islam is predominantly a totalitarian ideology rather than a religion, will it be able to defend its liberties and values. November 2013