Psychanalyse ...
Une réalisatrice à suivre, Sophie Robert, sur le sujet de la psychanalyse et des femmes entre autres
https://www.dragonbleutv.com
Dragon Bleu TV
http://www.dailymotion.com/video/x37mnmz
Les deconvertis de la psychanalyse
Bienvenue dans la quatrième dimension !
Pour la plupart des gens, faire une psychanalyse consiste à « aller voir quelqu’un pour parler de soi ». C’est une erreur, car rencontrer un thérapeute pour évoquer ses tourments existentiels est le principe directeur de toutes les branches de la psychologie, des psychothérapies et de la psychiatrie médicale.
Ce qui distingue la psychanalyse de toutes les autres formes de psychothérapies, c’est qu’elle repose sur une théorie sexuelle inventée au siècle dernier par Sigmund Freud et développée dans les années 1960 par le psychanalyste français Jacques Lacan.
Cette théorie sexuelle assigne à la sexualité un rôle moteur dans l’apparition des troubles psychiques. Pour les psychanalystes l’inconscient serait sexué, et phallique pour les deux sexes.
Le contenu de cette théorie sexuelle est politiquement tellement incorrect qu'il est quasiment inaudible pour le grand public en l'état. Pourtant, si les psychanalystes se reconnaissent entre eux comme psychanalystes, en dépit de l’éclatement des courants et des écoles, c’est justement à travers l’adhésion à ces concepts uniques, fondateurs de la psychanalyse :
« Il n'y a que du phallus dans l'inconscient » « La femme n’existe pas » « Il n’y a pas de rapport sexuel » « La vraie femme n'existe que dans la psychose » « Le corps de la femme est phallique » « Les femmes éprouvent un désir de revanche haineux à l'égard du pénis » « Tout enfant éprouve un désir d’inceste » « Seule la perversion permet le rapport sexuel »
Que signifient exactement ces concepts une fois débarrassés de leur jargon pour être exprimés dans un langage accessible au profane ? Pourquoi ces idées étranges sont-elles apparues et comment se sont-elles développées? Au delà des mots quelles conséquences les psychanalystes leur prêtent-ils sur le mal être existentiel de leur clientèle aujourd’hui ?
Sachant que Freud est né en 1856, et Lacan en 1901 où en est aujourd’hui l’héritage freudo-lacanien ?
Les principes fondateurs de la psychanalyse sont-ils enseignés intacts, ou bien font-ils l’objet d’adaptations, plus conformes aux connaissances de la psychologie scientifique et à l'évolution des mœurs ?
Les principes fondateurs de la psychanalyse sont-ils enseignés intacts, ou bien font-ils l’objet d’adaptations, plus conformes aux connaissances de la psychologie scientifique et à l'évolution des mœurs ?
Pour la première fois, treize psychanalystes de renom assument face caméra la dimension politiquement très incorrecte de leurs théories.
Un film édifiant, tissé de moments de vérité !
ET SI VOUS DEVENIEZ CONTRIBUTEUR DU FILM? Pour savoir comment procéder, cliquez ici.
L'Allemagne oblige une chômeuse à travailler dans un sexshop
Selon le Monde diplomatique de septembre 2017 ...
L'Allemagne oblige une chômeuse à travailler dans un sexshop
Ou : pourquoi vos enfants doivent ils apprendre à avoir une activité sexuelle variée dès le plus jeune age, sous prétexte d'éducation sexuelle ? ...
La logique du règlementarisme de la prostitution va jusqu'au bout :
L'Allemagne, pays des bordels légaux, et pays où les femmes doivent souvent cesser de travailler lorsqu'elles deviennent mères, va au bout de sa logique : la contrainte de travailler dans les sex shop.
L'Allemagne qui utilise 400 000 femmes "violées avec leur consentement" par jour n'hésite pas à faire venir des millions de musulmans pour travailler encore moins cher chez elle, et peu importe la conduite de ces musulmans envers les femmes, d'ailleurs, ils augmenteront aussi le chiffre d'affaires des bordels allemands, alors tout va bien ...
Comme les passes sont taxées, l'Etat est proxénète lui-même.
L'Allemagne oblige une chômeuse à travailler dans un sexshop
Ou : pourquoi vos enfants doivent ils apprendre à avoir une activité sexuelle variée dès le plus jeune age, sous prétexte d'éducation sexuelle ? ...
La logique du règlementarisme de la prostitution va jusqu'au bout :
L'Allemagne, pays des bordels légaux, et pays où les femmes doivent souvent cesser de travailler lorsqu'elles deviennent mères, va au bout de sa logique : la contrainte de travailler dans les sex shop.
" Le démantèlement de la protection sociale au milieu des années
2000 a converti les chômeurs en travailleurs pauvres. Ces réformes inspirent la
refonte du code du travail que le gouvernement français cherche à imposer par
ordonnances."
" le Jobcenter du quartier
berlinois de Pankow
Il y a un mois, une mère isolée de 36 ans, éducatrice au
chômage, a reçu un courrier du Jobcenter de Pankow l’invitant, sous peine de
sanctions, à postuler pour un emploi d’agente commerciale dans un sex-shop. « J’en ai vu de toutes les
couleurs avec mon Jobcenter, mais, là, c’est le pompon », a réagi l’intéressée sur Internet, avant d’annoncer son
intention de porter plainte pour abus de pouvoir. "
Selon les Echos :
" Jürgen Rudloff : Cet homme de 63 ans au bronzage
parfait est propriétaire du Paradise, connu comme « le plus grand
bordel allemand » avec 5 600 mètres carrés de « surface
utilisable », comme il le décrit avec fierté.
Ancien cadre
commercial dans le textile, il a investi 6 millions d'euros dans ce lupanar
ouvert en 2008, six ans après la réforme du chancelier social-démocrate Gerhard
Schröder faisant de la prostitution une activité totalement légale en
Allemagne. L'idée du texte, à l'époque, est de protéger les prostituées en
clarifiant leurs conditions de travail et en leur donnant un accès à
l'assurance maladie.
« Depuis, il n'y a
jamais eu autant d'investissements dans cette branche », se félicite Jürgen
Rudloff dans ses locaux à Leinfelden-Echterdingen, ville proche de l'aéroport
de Stuttgart. Selon des estimations du Statistiches Bundesamt, l'équivalent
allemand de l'Insee, la prostitution totaliserait un chiffre d'affaires annuel
proche de 15 milliards d'euros en Allemagne, devenue « le bordel de l'Europe »
avec plus de 400 000 prostitué(e)s.
" Même s'il est difficile d'obtenir des chiffres précis, les autorités estiment qu'il y a autour de 400 000 prostitué(e)s en activité en Allemagne.
Environ 90 000 dans des établissements enregistrés comme le Paradise, pour un chiffre d'affaires de 5,5 milliards d'euros ; plus de 72 000 dans la rue ou dans des véhicules (2,7 milliards d'euros) ; 60 000 comme call-girls ou call-boys, qu'on trouve dans les petites annonces des journaux ou sur Internet (3,6 milliards d'euros) ; enfin 180 000 dans d'« autres » formes de prostitution - table dance, cinémas spécialisés, plates-formes téléphoniques (2,7 milliards d'euros)."
Le "paradis" allemand contemporain : quand l'Europe adopte déjà la vision musulmane du paradis : un bordel, et vice-versa .. l'Europe se suicide parce qu'elle aime ça ...
https://www.fkkparadise.fr/
https://www.fkkparadise.fr/
L'Allemagne qui utilise 400 000 femmes "violées avec leur consentement" par jour n'hésite pas à faire venir des millions de musulmans pour travailler encore moins cher chez elle, et peu importe la conduite de ces musulmans envers les femmes, d'ailleurs, ils augmenteront aussi le chiffre d'affaires des bordels allemands, alors tout va bien ...
Comme les passes sont taxées, l'Etat est proxénète lui-même.
Vive les opposants à la construction de mosquées ! Soutien aux identitaires de Poitiers
Je soutiens l'action des opposants à la construction de mosquées à Poitiers, contre lesquels a été requis une peine de prison, alors que leur action ne constitue en rien en soi une incitation à la haine des personnes qui reconnaissent comme musulmanes, mais une opposition à l'action militante de certains pour l'implantation de la loi islamique en France, y compris contre les personnes originaires de pays sous loi musulmane et refusant de s'y soumettre.
Si j'affirme que les mosquées sont une forme de prise de pouvoir sur le territoire français favorisant l'emprise effective de la loi islamique et son imposition par la force et l'intimidation à toute personne, toutes les personnes ayant étudié la loi islamique et l'histoire des pouvoirs islamique sauront que j'affirme une évidence, mais toutes les personnes qui se bornent à s'informer dans les grands médias et chez des intellectuels en vogue, seront stupéfiées.
Aux lecteurs et lectrices de ce blog de savoir ce qu'elles veulent : s'informer, apprendre réellement, ou se fier aux discours ayant la faveur des médias.
J'approuve tout ce qu'explique ici Pierre Cassen.
Refuser les mosquées n'est ni rejeter les musulmans ni contester leur droit de n'être pas inquiété pour leur foi et leurs convictions.
Refuser les mosquées c'est refuser l'esclavage et la mort auxquelles mènent la loi du dieu du coran et sa loi.
Refuser les mosquées c'est refuser que l'Etat français en encourageant leur construction se rende coupable quasi directement de l'envoi d'enfants à la mort par la main des assassins jihadistes ou par le départ d'enfants ou de très jeunes musulmans français au jihad.
Refuser les mosquées c'est refuser l'enseignement du mépris et de la haine, inscrites dans le coran et la sunna et les sira, et auxquels aucun imam ne peut s'opposer sauf à rejeter l'essentiel des dogmes et législations de l'islam.
REfuser les mosquées c'est résister à un des pires totalitarismes de l'histoire, et défendre les vies humaines.
Vive les actrices par qui le scandale est dit !
Le courage des actrices d'Hollywood qui ont parlé du cas d'un producteur a fait du bien à quantité de femmes, dans le monde, en les encourageant à parler des chantages et harcèlements qu'elles subissent.
Des USA au Maroc, en passant par les médias accueillant révérencieusement un prêcheur de l'islam jusque là, les femmes ont protesté, révélé, dit que les chantages et harcèlements existent, et sont le fait d'hommes considérés comme sans reproche jusque là.
L'ampleur du scandale et de la parole montre que les femmes réagissent partout, y compris de le monde islamique, avec la même révolte, la même indignation.
Elles finiront peut être par obtenir que les lois qui justifient et organisent encore ces conduites soient remises en cause.
Elles font avancer les réflexions et les sentiments.
Elles montrent l'universalité des attitudes et sentiments humaines.
Femen : le livre d' Olivier Goujon sur les fondatrices du mouvement - «Femen история предательства»
La création du mouvement en Ukraine et l'action des vraies fondatrices contre la prostitution.
.... où l'on apprend que l'attitude ravageuse et cruelle de Caroline s'exerce y compris sur des fort jeunes femmes.
Décidément la liste des victimes de Caroline dans son propre camp s'allonge encore ...
Où l'on voit encore combien elle est capable de tromperies et de manipulation pour parvenir à ses fins et entrainer les autres à agir pour ses buts, quel que soit l'impact sur d'autres militant-e-s de son, de notre bord.
Pascal Boniface interviewe Olivier Goujon
Olivier Goujon est
journaliste-photoreporter pour la presse française et européenne. Dès 2009, il
fut le premier à réaliser des sujets sur les Femen en Ukraine. Il répond à mes
questions à l’occasion de la parution de son ouvrage, « Femen :
histoire d’une trahison », aux éditions Max Milo.
Selon vous, les véritables créatrices du mouvement Femen ont été écartées et mises en danger en Ukraine, par les manœuvres de celle qui a incarné en France ce mouvement, Inna. Pourquoi et comment ?
Pas « selon moi », mais selon les faits. La fondation du mouvement « Nouvelle Éthique » en 2007 (qui devient vite Femen), par Oxana Shachko et Sacha Shevchenko, l’installation à Kiev, l’arrivée d’Inna Shevchenko (aucun lien de parenté avec Sacha), la leader actuelle, qui ne rejoint le mouvement que fin 2010, le roman de son évasion vers la France à l’été 2012, l’année à suivre, terrible, que vont passer Sacha et Oxana en Ukraine, les manœuvres de Caroline Fourest (qui va quand même jusqu’à dire à Oxana et Sacha qu’elles ne sont pas les bienvenues en France, alors qu’elle a apporté toute son aide à Inna) pour asseoir son pouvoir sur le mouvement, l’hostilité de Femen France, instrumentalisée par C. Fourest et Inna contre Sacha et Oxana, pourtant bien plus légitimes qu’elles pour diriger le mouvement… Tout cela est documenté, sourcé, démontré et appuyé par de nombreux témoignages.
Pourquoi ? Parce que Sacha et Oxana sont des révolutionnaires sincères qui mettent en place un mouvement égalitaire et solidaire en Ukraine, alors qu’Inna poursuit un objectif personnel. Ce n’est pas condamnable en soi, sauf que la réalisation de cet objectif va passer par la mise à l’écart politique et la mise en danger des deux autres. Le tout avec la complicité de C. Fourest et devant les yeux aveugles de la presse et des institutions.
Au-delà de cette guerre pour le pouvoir, c’est tout le mouvement qui va perdre son idéal avec ce hold-up. Au départ égalitaire (en Ukraine, les fondatrices partageaient tout), le mouvement devient une structure verticale avec culte du chef et décisions autoritaires. Mouvement révolutionnaire, il se démultiplie et perd son idéologie première : la lutte pour l’égalité des sexes à travers le sextrémisme. Ce dernier, mouvement de fond qui multipliait les actions quotidiennes, notamment contre l’industrie du sexe, ne va plus se focaliser que sur les actions à forte plus-value médiatique…
Comment expliquer que les médias français, bien qu’alertés, n’aient pas voulu rendre compte de ces manipulations ?
D’abord, l’histoire était belle de cette façon. On avait une pasionaria fascinante qui s’échappait d’Ukraine, où elle était poursuivie pour avoir abattu un symbole religieux, et qui se réfugiait au pays des droits de l’homme et des lumières... Les décideurs des rédactions ne sont pas prêts à démentir ou nuancer la légende parce que la vérité est secondaire. Ce qui importe, c’est offrir au public une histoire positive, au clivage lisible, qui soit facilement digérable et permette à chacun de se déterminer facilement. Ce même souci de simplification induit des raccourcis suffisamment anodins pour que la conscience des journalistes s’en accommode, mais dont l’addition finit par corrompre en profondeur la vérité. Par exemple, Inna n’a pas fondé le mouvement Femen, mais arrive plus de deux ans après et « s’échappe » très vite vers les feux de la rampe français. Pourtant, dans la plupart des articles consacrés à Femen, elle est présentée comme une de ses fondatrices. C’est plus simple ainsi ! La répétition de ces raccourcis a été fatale à Sacha et Oxana qui avaient à cœur, elles, la pérennité du mouvement et sa flamme. L’histoire était de plus garantie, sur fond de romance, par une figure médiatique de premier plan, Caroline Fourest, qui publiait alors un livre rempli d’imprécisions, d’erreurs et de contre-vérités. [1]
Certains journalistes ont cependant alerté sur l’usurpation qui se déroulait (Marie Vaton à L’Obs ou Frédéric Beigbeder dans Lui). Mais ils ont été rares et, surtout, inaudibles. C’est tout l’enjeu de la machine médiatique. Une information s’installe comme vraie, autojustifiée par sa puissance de matraquage dans l’espace médiatique. Plus on en parle, plus elle devient réelle. Il ne s’agit pas d’accuser "les" journalistes, car les individus sont largement dépassés et inexistants à l’intérieur même de leurs médias. En mai dernier, les journaux ont massivement soutenu Emmanuel Macron, pourtant, à l’intérieur des rédactions, les journalistes, même politiques, étaient bien plus nuancés.
Mais, pour avancer, cette machine médiatique a besoin de relais forts. Caroline Fourest et son réseau au sein des médias et ministères (dont elle fait étalage à longueur de livres et d’interviews[2]) ont influencé sans aucun doute le sens de l’histoire.
Dénoncer ce type de manœuvres peu honorables est-il facile en France ? Votre livre est-il bien reçu par les médias, qui ont été nombreux à parler de l'action des Fémen ?
Non ce n’est pas facile, car personne n’aime se remettre en cause. On argue du temps qui passe, du manque d’actualité du sujet, de son effet « peu concernant » … Comme si rétablir dans leurs vérité et honneur deux réfugiées politiques, ayant donné naissance à un mouvement radical de résistance qui a acquis en quelques mois une notoriété planétaire, était moins prioritaire que le statut de Brigitte Macron ou un transfert au PSG.
Je me suis également heurté à la frilosité du monde de l’édition. Le livre m’a été commandé par les éditions Marabout. À quelques heures de partir à l’imprimerie, son éditrice, effondrée, m’apprend qu’elle ne sort pas le livre. Tout le monde est très satisfait de l’enquête, Marabout a beaucoup investi en temps, énergie, argent, nous avons un go du service juridique… Mais le livre est bloqué. Je n’ai eu aucune explication officielle. Alors, je conjecture, ce qui m'amène obligatoirement à envisager que la mise en cause de C. Fourest n’y est pas pour rien, car cette dernière publie de nombreux livres chez Hachette.
Il ne s’agit pas de crier au complot. Personne en France ne peut empêcher un livre de sortir. Elle n’était, sans doute, même pas au courant du problème (même si je l’ai évidemment contactée pour le livre et qu’elle a refusé de répondre) et n’a certainement pas décroché son téléphone pour empêcher la publication. C’est juste un raisonnement commercial : quelqu’un au-dessus de mon éditrice a jugé que mon livre allait causer davantage d’ennuis que de bénéfices. C’est de l’autocensure et de la frilosité. Heureusement, Max Milo m’a ouvert sa porte.
Pour autant, au-delà des connivences entre Inna et certains médias, le livre n’est pas mal reçu. D’abord, pour sa qualité d’enquête de fond et son caractère inédit. Personne n’a jamais dit la véritable histoire de ce mouvement, ni pourquoi et comment il se perd, mais également, même si cela semble paradoxal, parce que l’effet de système dont je parle est aussi intense que bref. Le manque de mémoire, la superficialité, les turn-overs dans les rédactions… font que le contexte est différent cinq ans après. Tout de même, je constate que partout où je suis invité, on me demande plus d’évoquer l’histoire de Femen et sa dérive, plutôt que l’emballement médiatique pour Inna Shevshenko à partir de 2012, qui fait main basse sur le mouvement, ou les mensonges de C. Fourest pour soutenir cette entreprise de confiscation.
[1] FOUREST (Caroline), Inna, Grasset, 2014.
[2] cf. les chapitres de mon livre sur l’obtention du statut de réfugiée pour Inna, établie en un temps record, ou bien sur les manipulations ayant pour but de faire croire qu’Inna est le modèle de la nouvelle Marianne.
http://video.lefigaro.fr/figaro/video/femen-ne-porte-plus-la-parole-des-femmes/5592923392001/
Selon vous, les véritables créatrices du mouvement Femen ont été écartées et mises en danger en Ukraine, par les manœuvres de celle qui a incarné en France ce mouvement, Inna. Pourquoi et comment ?
Pas « selon moi », mais selon les faits. La fondation du mouvement « Nouvelle Éthique » en 2007 (qui devient vite Femen), par Oxana Shachko et Sacha Shevchenko, l’installation à Kiev, l’arrivée d’Inna Shevchenko (aucun lien de parenté avec Sacha), la leader actuelle, qui ne rejoint le mouvement que fin 2010, le roman de son évasion vers la France à l’été 2012, l’année à suivre, terrible, que vont passer Sacha et Oxana en Ukraine, les manœuvres de Caroline Fourest (qui va quand même jusqu’à dire à Oxana et Sacha qu’elles ne sont pas les bienvenues en France, alors qu’elle a apporté toute son aide à Inna) pour asseoir son pouvoir sur le mouvement, l’hostilité de Femen France, instrumentalisée par C. Fourest et Inna contre Sacha et Oxana, pourtant bien plus légitimes qu’elles pour diriger le mouvement… Tout cela est documenté, sourcé, démontré et appuyé par de nombreux témoignages.
Pourquoi ? Parce que Sacha et Oxana sont des révolutionnaires sincères qui mettent en place un mouvement égalitaire et solidaire en Ukraine, alors qu’Inna poursuit un objectif personnel. Ce n’est pas condamnable en soi, sauf que la réalisation de cet objectif va passer par la mise à l’écart politique et la mise en danger des deux autres. Le tout avec la complicité de C. Fourest et devant les yeux aveugles de la presse et des institutions.
Au-delà de cette guerre pour le pouvoir, c’est tout le mouvement qui va perdre son idéal avec ce hold-up. Au départ égalitaire (en Ukraine, les fondatrices partageaient tout), le mouvement devient une structure verticale avec culte du chef et décisions autoritaires. Mouvement révolutionnaire, il se démultiplie et perd son idéologie première : la lutte pour l’égalité des sexes à travers le sextrémisme. Ce dernier, mouvement de fond qui multipliait les actions quotidiennes, notamment contre l’industrie du sexe, ne va plus se focaliser que sur les actions à forte plus-value médiatique…
Comment expliquer que les médias français, bien qu’alertés, n’aient pas voulu rendre compte de ces manipulations ?
D’abord, l’histoire était belle de cette façon. On avait une pasionaria fascinante qui s’échappait d’Ukraine, où elle était poursuivie pour avoir abattu un symbole religieux, et qui se réfugiait au pays des droits de l’homme et des lumières... Les décideurs des rédactions ne sont pas prêts à démentir ou nuancer la légende parce que la vérité est secondaire. Ce qui importe, c’est offrir au public une histoire positive, au clivage lisible, qui soit facilement digérable et permette à chacun de se déterminer facilement. Ce même souci de simplification induit des raccourcis suffisamment anodins pour que la conscience des journalistes s’en accommode, mais dont l’addition finit par corrompre en profondeur la vérité. Par exemple, Inna n’a pas fondé le mouvement Femen, mais arrive plus de deux ans après et « s’échappe » très vite vers les feux de la rampe français. Pourtant, dans la plupart des articles consacrés à Femen, elle est présentée comme une de ses fondatrices. C’est plus simple ainsi ! La répétition de ces raccourcis a été fatale à Sacha et Oxana qui avaient à cœur, elles, la pérennité du mouvement et sa flamme. L’histoire était de plus garantie, sur fond de romance, par une figure médiatique de premier plan, Caroline Fourest, qui publiait alors un livre rempli d’imprécisions, d’erreurs et de contre-vérités. [1]
Certains journalistes ont cependant alerté sur l’usurpation qui se déroulait (Marie Vaton à L’Obs ou Frédéric Beigbeder dans Lui). Mais ils ont été rares et, surtout, inaudibles. C’est tout l’enjeu de la machine médiatique. Une information s’installe comme vraie, autojustifiée par sa puissance de matraquage dans l’espace médiatique. Plus on en parle, plus elle devient réelle. Il ne s’agit pas d’accuser "les" journalistes, car les individus sont largement dépassés et inexistants à l’intérieur même de leurs médias. En mai dernier, les journaux ont massivement soutenu Emmanuel Macron, pourtant, à l’intérieur des rédactions, les journalistes, même politiques, étaient bien plus nuancés.
Mais, pour avancer, cette machine médiatique a besoin de relais forts. Caroline Fourest et son réseau au sein des médias et ministères (dont elle fait étalage à longueur de livres et d’interviews[2]) ont influencé sans aucun doute le sens de l’histoire.
Dénoncer ce type de manœuvres peu honorables est-il facile en France ? Votre livre est-il bien reçu par les médias, qui ont été nombreux à parler de l'action des Fémen ?
Non ce n’est pas facile, car personne n’aime se remettre en cause. On argue du temps qui passe, du manque d’actualité du sujet, de son effet « peu concernant » … Comme si rétablir dans leurs vérité et honneur deux réfugiées politiques, ayant donné naissance à un mouvement radical de résistance qui a acquis en quelques mois une notoriété planétaire, était moins prioritaire que le statut de Brigitte Macron ou un transfert au PSG.
Je me suis également heurté à la frilosité du monde de l’édition. Le livre m’a été commandé par les éditions Marabout. À quelques heures de partir à l’imprimerie, son éditrice, effondrée, m’apprend qu’elle ne sort pas le livre. Tout le monde est très satisfait de l’enquête, Marabout a beaucoup investi en temps, énergie, argent, nous avons un go du service juridique… Mais le livre est bloqué. Je n’ai eu aucune explication officielle. Alors, je conjecture, ce qui m'amène obligatoirement à envisager que la mise en cause de C. Fourest n’y est pas pour rien, car cette dernière publie de nombreux livres chez Hachette.
Il ne s’agit pas de crier au complot. Personne en France ne peut empêcher un livre de sortir. Elle n’était, sans doute, même pas au courant du problème (même si je l’ai évidemment contactée pour le livre et qu’elle a refusé de répondre) et n’a certainement pas décroché son téléphone pour empêcher la publication. C’est juste un raisonnement commercial : quelqu’un au-dessus de mon éditrice a jugé que mon livre allait causer davantage d’ennuis que de bénéfices. C’est de l’autocensure et de la frilosité. Heureusement, Max Milo m’a ouvert sa porte.
Pour autant, au-delà des connivences entre Inna et certains médias, le livre n’est pas mal reçu. D’abord, pour sa qualité d’enquête de fond et son caractère inédit. Personne n’a jamais dit la véritable histoire de ce mouvement, ni pourquoi et comment il se perd, mais également, même si cela semble paradoxal, parce que l’effet de système dont je parle est aussi intense que bref. Le manque de mémoire, la superficialité, les turn-overs dans les rédactions… font que le contexte est différent cinq ans après. Tout de même, je constate que partout où je suis invité, on me demande plus d’évoquer l’histoire de Femen et sa dérive, plutôt que l’emballement médiatique pour Inna Shevshenko à partir de 2012, qui fait main basse sur le mouvement, ou les mensonges de C. Fourest pour soutenir cette entreprise de confiscation.
[1] FOUREST (Caroline), Inna, Grasset, 2014.
[2] cf. les chapitres de mon livre sur l’obtention du statut de réfugiée pour Inna, établie en un temps record, ou bien sur les manipulations ayant pour but de faire croire qu’Inna est le modèle de la nouvelle Marianne.
http://video.lefigaro.fr/figaro/video/femen-ne-porte-plus-la-parole-des-femmes/5592923392001/
https://inosmi.ru/social/20171023/240586308.html
«Femen история предательства», : три вопроса автору
Femen в Нотр-Дам
144311
Паскаль Бонифас (Pascal Boniface)
Оливье Гужон — журналист и репортер французских и европейских изданий. В 2009 году он был первым, кто подготовил материалы о Femen на Украине. Он согласился ответить на мои вопросы по случаю выхода его книги «Femen, история предательства» в издательстве Max Milo.
Паскаль Бонифас: По вашим словам, настоящие создательницы Femen были задвинуты в тень и даже оказались в опасности на Украине из-за действий Инны Шевченко, которая сейчас символизирует это движение во Франции. Почему и как это случилось?
Оливье Гужон: Не «по моим словам». Таковы факты. Основание «Новой этики» (будущие Femen) в 2007 году Оксаной Шачко и Александрой Шевченко, переезд в Киев, появление нынешнего лидера Инны Шевченко (у нее нет никаких родственных связей с Александрой) в 2010 году, эпопея с ее бегством во Францию летом 2012 года, тяжелый для Оксаны и Александры год на Украине, маневры Каролин Фурест (Caroline Fourest, она заявила Оксане и Александре, что им не рады во Франции, но при этом оказала всю поддержку Инне) для укрепления власти в движении, враждебность французских Femen к Александре и Оксане, которые являются намного более легитимными лидерами, чем Фурест и Шевченко… Все это опирается на множество документов, источников и свидетельств.
Почему? Потому что Александра и Оксана — искренние революционерки, которые формируют движение за равенство и солидарность, тогда как Инна преследует личные цели. Не скажу, что это заслуживает осуждения само по себе, но достижение этой цели подразумевает политическое отстранение и создание угрозы для других. И все это — при потворстве Каролин Фурест и на глазах у не желавших ничего замечать прессы и ведомств.
— Почему французские СМИ не захотели говорить об этих манипуляциях, хотя к этому пытались привлечь их внимание?
— Прежде всего так история выглядела намного красивее. У нас была восхитительная пассионария, которая бежала с Украины из-за преследований после покушения на религиозную символику и нашла прибежище в стране прав человека и просвещения… Руководство редакций не захотело ниспровергать или омрачать легенду, потому что правда для него вторична. Главное — дать аудитории красивую историю с четким разделением сторон, которую каждый может легко усвоить, найдя в ней себя. Это стремление к упрощению подтолкнуло журналистов к тому, чтобы срезать углы. По отдельности такие шаги выглядели достаточно невинно, чтобы не тревожить совесть журналистов, однако в совокупности они очень сильно исказили правду. Так, например, Инна не основала Femen, а появилась в движении лишь через два с лишним года после его основания и довольно быстро бежала к огням французской сцены. При этом в большинстве статей о Femen ее представляют как одну из основательниц. Ведь так же проще! Повторение этих упрощений стало роковым для Александры и Оксаны, которые стремились сохранить суть движение и его огонь. Этому еще больше способствовали действия медийного персонажа первого плана в лице Каролин Фурест, которая выпустила книгу с целым ворохом неточностей, ошибок и лжи.
Некоторые журналисты все же говорили об узурпации, например, Мари Ватон (Marie Vaton) в L'Obs и Фредерик Бегбедер (Frédéric Beigbeder) в Lui. Однако такие случаи были редкостью и не привлекли к себе особого внимания. В этом-то и заключается задача медийной машины. Некое утверждение начинают рассматривать как истину лишь потому, что его без конца повторяют в информационном пространстве. Чем больше о чем-либо говорят, тем оно реальнее. Я не пытаюсь обвинять журналистов, поскольку индивид не играет особой роли и практически невидим внутри своих СМИ. Так, в мае этого года газеты массово поддерживали Эммануэля Макрона, хотя внутри редакций мнения журналистов были вовсе не такими однозначными.
Как бы то ни было, для продвижения медийной машине необходимы мощные инструменты. Каролин Фурест и ее связи в СМИ и министерствах (она много говорит о них в книгах и интервью), безусловно, повлияли на развитие истории.
— Легко ли Франции осудить подобное недобросовестное поведение? Хорошо ли была принята ваша книга в СМИ, многие из которых писали об акциях Femen?
— Нет, это непросто, потому что никто не любит признавать ошибки. Говорят о прошедшем времени, недостаточной актуальности темы, невысоком интересе к ней и т.д. Словно восстановление чести и достоинства двух политических беженок, которые сформировали прославившееся на весь мир за несколько месяцев радикальное движение сопротивления менее важно, чем статус Брижит Макрон или же перевод нового игрока в PSG.
Кроме того, я наткнулся на боязливость издательств. Заказ на книгу поступил мне от издательства Marabout, однако за несколько часов до отправки в печать, мне сообщили, что не станут выпускать ее. Все были очень довольны расследованием, в Marabout вложили много времени, сил и средств, мы получили добро от юридического отдела… Однако книгу затормозили. Без официальных объяснений. Думаю, что представленная в ней информация о Каролин Фурест сыграла свою роль, поскольку она выпустила не одну книгу у Hachette.
Я не говорю о заговоре. Во Франции никто не может помешать выходу книги. Она, без сомнения, даже не была в курсе проблемы (хотя я связывался с ней во время подготовки материалов, и она отказалась ответить на вопросы) и явно не делала звонков, чтобы остановить публикацию. Думаю, виной тому финансовые соображения: кто-то стоящий выше моего редактора посчитал, что книга принесет больше проблем, чем прибыли. Самоцензура и боязливость. По счастью, мне открыли двери в Max Milo.
Как бы то ни было, если не считать связей Инны с рядом СМИ, книга была неплохо принята. Прежде всего, в силу качества расследования и необычной тематики. Никто еще не рассказывал настоящую историю этого движения и произошедших с ним перемен, которые оказались очень глубокими и быстрыми. Короткая память, поверхностность, перемены в редакциях… За пять лет обстановка изменилась. Как бы то ни было, не могу не отметить, что везде, куда меня приглашают, меня просят рассказать историю Femen и произошедших с ним перемен, а не воспевания в СМИ захватившей власть Инны Шевченко с 2012 года и лжи поддержавшей ее Каролин Фурест.
Материалы ИноСМИ содержат оценки исключительно зарубежных СМИ и не отражают позицию редакции ИноСМИ.
Harcèlement : Alain Jacubovicz seul a raison dans ce débat ...
Harcèlement : Alain Jacubovicz seul a raison dans ce débat ...
Dans ce débat sur le "hashtag" : " balancetonporc", où la télévision met sur le même pied "communicants", journalistes, associations et ... avocat, le seul intervenant qui expose la conduite utile et juste à avoir est Me Alain Jacubovitz.
A savoir :
- il faut soutenir les victimes
- les aider notamment à déposer plainte si elles le souhaitent
- et les témoins doivent témoigner de ce qu'ils ont vu et entendu
Quant à la définition du harcèlement et au distingo entre drague et blague lourde, le débat sur ce point est moins important que le fait de savoir que les agressions sexuelles sous toutes leurs formes détruisent les femmes, y compris physiquement, directement ou indirectement.
Traiter l'autre en objet, jetable, utilisable, y compris en ayant obtenu un "consentement", est destructeur.
" Les musulmans sont à un tournant " Père Boulad
https://youtu.be/IP9b0O7WFog
" Deux fascismes menacent l'Europe : l'islam et l'argent ".
" L'islam est pire que le nazisme ".
" Dans tout le monde arabe, les musulmans s'interrogent sur leur religion, ils sont dans un doute, un questionnement, ils sont à un tournant ".
" Nous avons tous les moyens de redonner à l'Europe une âme".
" La nationalité française m'a été refusée deux fois, au plus haut niveau ".
" Deux fascismes menacent l'Europe : l'islam et l'argent ".
" L'islam est pire que le nazisme ".
" Dans tout le monde arabe, les musulmans s'interrogent sur leur religion, ils sont dans un doute, un questionnement, ils sont à un tournant ".
" Nous avons tous les moyens de redonner à l'Europe une âme".
" La nationalité française m'a été refusée deux fois, au plus haut niveau ".
هل يمكن إصلاح الإسلام؟ مع ذ. حامد عبد الصمد، د. وفاء سلطان، الأخ رشيد و كافر مغربي
https://youtu.be/RdefmXuL9qo
L'islam peut-il être réformé?
هل يمكن إصلاح الإسلام؟ مع ذ. حامد عبد الصمد، د. وفاء سلطان، الأخ رشيد و كافر مغربي
Devoir de mémoire totalement retourné.
Pendant que journaux, intellos soit disant, clowns publics devrait on plutôt dire, politiciens, répètent en boucle :
" l'islam est une religion respectable, il ne faut pas l'amalgamer avec l'islamisme, critiquer l'islam et pas seulement l'islamisme est raciste, identitaire, nazi ...",
pour le plus grand soulagement lâche des masses européennes qui veulent que les jeunes immigrés payent leur retraite et que l'accès au pétrole soit assuré,
.... les victimes de l'islam continuent à tomber ...
.. les victimes sous prétexte de lutte contre les "intégristes" continuent à mourir ...
https://youtu.be/iZnukAwcQLQ
Nada Al Ahdal
Des petites filles comme Nada Al Ahdal, meurent ou se suicident à cause de mariages précoces et forcés, parce que le personnage de vieux libidineux répugnant de Mahomet a violé une petite fille de neuf ans, et qu'il est source de droit en droit islamique.
La critique de la doctrine islamique est systématiquement assimilée à la préparation d'une "shoah contre les juifs d'aujourd'hui : les musulmans."
Ce qui est totalement faux : la critique de l'islam est une sauvegarde pour tous les musulmans et musulmans qui sont victimes de cette doctrine.
Or c'est par là que l'histoire, les tombes des juifs servent à organiser les tueries d'aujourd'hui, la prochaine shoah contre les juifs, pour "finir le travail d'Hitler", et ... ce sont des juifs qui y contribuent aussi, parmi les plus excités contre les "fachos anti-islam".
Le "devoir de mémoire" est retourné totalement en une collaboration ouverte avec la forme de nazisme la plus virulente aujourd'hui qu'est l'islam, pour servir presque exclusivement à persécuter ceux qui lui résistent.
Voir les documents ici sur le rapport entre doctrine de l'islam et doctrine nazie, communiant dans la haine génocidaire contre les juifs :
http://islam-et-nazisme.blogspot.fr/
Ici, en France,
Un jeune afghan de 19 ans tue presque une vieille dame de plus de 70 ans, mais tout va bien puisque les européens ont besoin d'immigration ....
pourquoi un jeune homme a t il tant de problèmes qu ´il arrive a des milliers de km de chez lui dans un état apparemment psychiatrique delabre sinon parce que chez lui règne une idéologie destructrice et monstrueuse appelée islam ???
l'occident défend l'islam parce qu'il lui sert, la majorité en Occident se moque des victimes
du monstre d'idéologie de guerre inventé par Mohammed et sa bande.
On en sait un peu plus sur l'homme de 19 ans qui a donné plusieurs coups de couteau à une
femme de 79 ans, vivant seule dans un appartement de la rue Revol, ce vendredi
vers 18 heures. Selon nos informations, ce réfugié afghan,
présent en France depuis plusieurs mois et hébergé au premier étage du Bialé
par l'Ogfa, bénéficiait d'un suivi psychiatrique. Pour
autant, les premiers examens pratiqués"n'ont pas mis en évidence" de tels
troubles, a-t-on appris samedi soir. "Ce n'est pas normal que l'Etat ne nous ait pas mis au
courant de l'état instable de cet homme", estime le
maire d'Oloron Hervé Lucbéreilh. "Il faudra vérifier l'itinéraire qui a conduit cette personne
jusqu'à Oloron, puisque son trajet semble bien différent de celui des autres
migrants afghans."
"après cette effroyable tentative de meurtre. L'agresseur a donné
plusieurs coups de couteau et a tenté de l'étrangler."
, la victime a été sérieusement blessée au thorax et au larynx.
Son état est jugé "préoccupant". Cette
septuagénaire, à propos de laquelle on ne savait pas ce samedi soir si le
pronostic vital est engagé, a été transférée à l'hôpital de Pau où elle se
trouve toujours.
Religion monstrueuse, qui rend fou et punit les victimes, leurs parents, les victimes avec la complicité de leurs parents, l'horreur et la stupidité.
Religion monstrueuse, qui rend fou et punit les victimes, leurs parents, les victimes avec la complicité de leurs parents, l'horreur et la stupidité.
Adresse à la députée verte Irène Kälin
Irene Kalin,
vous etes islamologue formee à l'université de Berne, je ne vous trouve donc aucune excuse pour promouvoir l'islam et le reconnaitre comme une idéologie admissible. Votre action est pour moi une menée de complicité avec une idéologie génocidaire et d'apologie des barbaries et haine que cette doctrine promeut.
Vous aurez à répondre de chaque acte de violence, de meurtre, de torture, de maltraitance, que votre action aura contribué à favoriser en encourageant des jeunes à croire aux normes de la loi islamique.
Votre attitude est aujourd'hui facile, les insultes que vous recevez ne sont rien en face de l'avantage d'apparaitre comme une héroine de la tolérance.
Vous n'aurez peut etre que des avantages sociaux et matériels à gagner de ce comportement.
Mais les victimes crieront contre vous.
Interview :
https://www.letemps.ch/suisse/2017/10/12/irene-kalin-veut-lislam-devienne-une-affaire-letat
Irène Kälin veut que l’islam devienne une affaire de l’Etat.
vous etes islamologue formee à l'université de Berne, je ne vous trouve donc aucune excuse pour promouvoir l'islam et le reconnaitre comme une idéologie admissible. Votre action est pour moi une menée de complicité avec une idéologie génocidaire et d'apologie des barbaries et haine que cette doctrine promeut.
Vous aurez à répondre de chaque acte de violence, de meurtre, de torture, de maltraitance, que votre action aura contribué à favoriser en encourageant des jeunes à croire aux normes de la loi islamique.
Votre attitude est aujourd'hui facile, les insultes que vous recevez ne sont rien en face de l'avantage d'apparaitre comme une héroine de la tolérance.
Vous n'aurez peut etre que des avantages sociaux et matériels à gagner de ce comportement.
Mais les victimes crieront contre vous.
Interview :
Irène Kälin veut que l’islam devienne une affaire de l’Etat.
Formation d’imams
Islamologue, l’Argovienne de 30 ans milite pour que l’Etat forme des imams et accorde un statut de droit public aux communautés musulmanes.
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