Article épinglé

COVID et CRIMES

Livre à paraitre : Faut il avoir honte de l'identité nationale ?

l'identité démocratique n'est que l'une des facettes de l'identité nationale














"Nous contestons la dévalorisation, sans examen historique, d'un héritage qui a enfanté l'humanisme de Montaigne, le rationalisme de Descartes, la résistance au fanatisme chez Voltaire, le souffle de Hugo. Mais aussi la Révolution française et la République, le courage de Gambetta, le choix absolu de la justice chez les dreyfusards, l'héroïsme des tranchées et les sacrifices de la Résistance. Avec Simone Weil, nous disons que l'amour du passé n'a rien de réactionnaire. " Daniel Lefeuvre et Michel Renardéditions Larousse - à paraître le 22 octobre 2008 site : http://identitenational.canalblog.com/

Un paysage tel que celui ci, est l'oeuvre de générations de paysans, de leur technique, de leur art, de leur morale.
















à Fontevault, l'abbaye du XIIe siècle, de style roman

La France est belle, sa "nature" et ses paysages sont beaux, son architecture est belle, parce que sa spiritualité, depuis des siècles et des siècles est belle.

Ne la laissons pas être défigurée et détruite, par des bâtisses hideuses, des vêtements hideux, des postures honteuses, des comportements destructeurs, parce que issus d'une idéologie moralement hideuse et abominable, méprisant la charrue et exaltant la force et la mort.

Il y a peu encore, je pensais que la France était éternelle, que la patrie n'était pas le moins du monde en danger, et je ne voyais dans les nationalistes que des xénophobes. Aujourd'hui je crois que la Patrie est en danger, mise en danger comme en 40, par des impérialistes esclavagistes et génocidaires. Ils ne passeront pas.

La France est à la fois un des trésors du Patrimoine de l'humanité, méritant au combien que son "identité" culturelle et "humaine" soit préservée, et un des pays le moins xénophobes qui soit. Alors pour la France "Nous sommes là !" (mir seinen da).שיר הפרטיזנים

Enrico versus Gisèle Halimi, féministe, anti...sioniste

Macias, l'homme qui ne s'abaisse pas.

Macias : " Qu'est ce qu'il faut ? que je sois anti-israelien pour aller en Algérie ? Jamais ! Jamais ! c'est ça que vous me demandez ?!"

Halimi : "Donc vous n'avez pas été refusé en tant que juif ! C'est une décision politique qui a été prise envers vous, politique."

Enrico Macias refusé en Algérie. Gisèle Halimi justifie le refus de l'Algérie de le recevoir par son "sionisme".
Le beau-père de Enrico Macias, Cheikh Raymond Leyris, avait été assassiné. Parce qu'il était "sioniste" sans doute. Une bonne raison "politique" quoi ...






Gisèle Halimi a certainement une autre vision d'Israel que Enrico.

"mardi 30 septembre 2003
Une importante délégation internationale, composée de députés européens de six nationalités, de parlementaires français et d’avocats, est arrivée en Israël pour participer, lundi matin, à une nouvelle audience du procès de Marwan Barghouti.
Dirigeant du Fatah pour la Cisjordanie, député palestinien, Marwan Barghouti a été arrêté en avril 2002 à Ramallah et il est, depuis, maintenu au secret.
Maître Gisèle Halimi a précisé qu’elle-même et Daniel Voguet, nous " ne venons pas en simples observateurs mais en avocats participant à la défense de Marwan Barghouti, choisis par lui même ". http://www.narosnews.fr/spip.php?article255

Gisèle Halimi estime que la Kahina serait du côté des Palestiniens aujourd'hui ...

Wikipedia : Cheikh Raymond, né Raymond Leyris le 27 juillet 1912 ...est un musicien d'Algérie de musique arabo-andalouse. Joueur virtuose d'oud, respecté par les Juifs et les Arabes qui l'appelaient « Cheikh Raymond » en signe de respect, le « maître » du malouf, la musique raffinée arabo-andalouse, fédérait les communautés. ... Il est assassiné d'une balle dans la nuque, le 22 juin 1961, alors qu'il fait ses courses avec sa fille Viviane au souk de Constantine sur Souk El Asser (ex la place Négrier). Sa mort est perçue par la communauté juive comme une rupture définitive et signe de l'impossibilité de demeurer en Algérie, c'est le début de l'émigration vers la France.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2009/08/12/les-ministres-israeliens-divises-sur-la-liberation-de-marwan-barghouti_1227777_3218.html

M. Barghouti arrêté par l'armée israélienne en 2002 a été condamné en juin 2004 à cinq peines de prison à vie après avoir été reconnu coupable d'implication directe dans quatre attentats anti-israéliens ayant coûté la vie à cinq personnes durant l'intifada. Sa possible libération a été souvent évoquée, mais Israël ne libère théoriquement jamais de détenus convaincus d'avoir du sang sur les mains.

de Mahomet l'antisémite aux musulmans pro-Hitlériens


Le Coran antisémite :


Selon le coran et tous les savants de l’islam, le dieu des musulmans a dit (1), après que Mahomet ait égorgé par centaines les derniers juifs de la ville qu’il gouvernait, Médine : « Il a fait descendre de leurs forteresses ceux des gens du Livre ralliés aux factions. Il a jeté l’effroi dans leurs coeurs. Vous avez alors tué une partie d’entre eux et vous avez réduit les autres en captivité » (Coran sourate 33 versets 26 et 27).


Mahomet a dit avant de mourir : « J’expulserai les Juifs et les Chrétiens de la Péninsule arabique, je n’y laisserai que les Musulmans ».


Mahomet a dit : « L’heure du jugement n’arrivera pas avant que vous n’ayez combattu les Juifs et à tel point que la pierre, derrière laquelle s’abritera un Juif, dira : Musulman ! voilà un Juif derrière moi, tue-le ! » et « Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez-le. »


Coran (5/60) : « Voulez-vous que je vous indique la pire des sanctions auprès de Dieu ? C’est celle qui est réservée à ceux que Dieu a maudits, à ceux qui ont encouru Sa colère et dont Il fait des singes et des porcs [ c’est à dire les Juifs selon les savants de l’islam], et à ceux qui adorent des idoles ! Voilà ceux qui sont voués au plus misérable des destins, ceux qui sont les plus éloignés du droit chemin ! »,


Coran (62/5) : « Ceux qui ont été chargés de la Thora et qui ne l’ont point observée sont pareils à un âne pliant sous le poids de livres sans en tirer aucun profit. C’est là l’exemple détestable donné par ceux qui traitent de mensonges les versets de Dieu. Mais Dieu ne guide point un peuple inique. »



L'application à DURBAN I : l'apologie de Hitler et du génocide à Durban

Ce tract abominable a été distribué à Durban par une association musulmane, le Centre Islamique de Propagation : il demande ce qui se serait passé si Hitler avait "fini le travail" ...
Durban 2001, tract distribué à l'arrivée des participants lors de la conférence mondiale contre le racisme :
Qu'est-ce qui se serait passé si j'avais gagné ?
À gauche : les bonnes choses
Il n'y aurait pas d'Israël et pas de bain de sang palestinien.
À vous de deviner le reste.
À droite : les mauvaises choses
Je n'aurais pas autorisé la fabrication de la nouvelle Coccinelle.
À vous de deviner le reste.

Violence conjugale ... partout !

Lettre de Malka Markovich à Muriel Krief :

Lettre ouverte à Madame Muriel Krief, qui a eu le courage de porter plainte pour violences conjugales contre son mari le Grand Rabbin de Bordeaux, le Rabbin Marc Krief,

Chère Madame,

Je ne vous connais pas, et n'aurais sans doute jamais eu vent de cette affaire. Je n'habite pas Bordeaux, et ne suis strictement rien aux affaires consistoriales françaises qui ne me passionnent pas. Cette vieille institution napoléonienne archaïque n'a jamais été ma tasse de thé. J'avais tord.
J'avais eu vent des élections prochaines au Consistoire mais en ignorais même la date, jusqu'à ce que j'apprenne incidemment les propos qu'a tenus le Grand Rabbin Sitruk lors d'une réunion publique du CRIF, où il osa critiquer le fait que vous ayez cassé le "repos" du Shabbat pour porter plainte pour violences conjugales, contre votre bourreau de mari, le Grand Rabbin de Bordeaux.

Madame, j'admire votre courage et la grandeur de votre acte. Vous avez choisi la vie contre la mort alors que le médecin a conclu à cinq jours d'incapacité totale de travail (ITT), pour lesquels Monsieur Krief peut encourir jusqu'à cinq ans de prison. Mais grâce à la procédure "plaider coupable", il n'y aura pas de procès et il restera en liberté avec une peine que le juge doit prononcer le 18 juin.

J'imagine - à l'instar de toutes les femmes victimes de violences conjugales que nous connaissons, enfermées dans l'humiliation quotidienne, emprisonnées par la prison familiale - combien il a dû être difficile de partir dans la nuit, meurtrie et douloureuse. Dans votre cas, s'ajoutait la transgression du Shabbat et la réputation de votre mari Grand Rabbin dans la bonne ville bourgeoise de Bordeaux . Vous avez choisi de demander de l'aide et d'être protégée par les lois de la République laïque. En cela votre geste de vie est un acte exemplaire.
Mais loin de vous honorer, le Grand Rabbin Sitruk vous a condamné en public. Et ceux qui étaient présents n'ont rien dit, n'ont rédigé aucune déclaration écrite de condamnation, aucun communiqué de Presse. Personne n'a critiqué le fait qu'un candidat en campagne électorale profère pareils propos d'un autre âge.

Les mots infâmes du Rabbin Sitruk qui incarne pour certains une haute autorité morale, ajoutent encore à l'humiliation que vous avez subie. En vous humiliant chère Madame, il humilie et méprise toutes les femmes victimes de violences conjugales, épouses de notables dans les villes de province ou enfermées dans les milieux orthodoxes, ainsi que toutes les femmes de manière générale. Par ses propos, le Grand Rabbin Sitruk ne protège pas seulement votre mari potentiel électeur, il se fait complice des violences que vous avez endurées et des souffrances que des milliers de femmes subissent en silence.

Comment ceux qui ont entendu le Grand Rabbin proférer ces abjections ont-ils pu continuer ainsi à rester silencieux ? Pourquoi n'ont ils pas mené campagne contre son élection ?
Je ne me suis jamais intéressée aux choses consistoriales. Mais aujourd'hui j'appelle ceux qui voteront dimanche à barrer la route à ce Rabbin obscurantiste qui est indigne d'avoir un quelconque rôle politique et de représentation.
Madame, par votre acte héroïque, vous avez symboliquement ravivé les Lumières si fragiles actuellement dans notre pays.
Je suis en toute solidarité dans l'épreuve que vous traversez.

Deux ou trois choses que nous, les vrais féministes, savons de la venue du Pape

Deux ou trois choses que nous, « vraies féministes », savons de la venue du Pape

Nous avons deux ou trois choses à dire au Pape, à l'occasion de sa venue.
Que sacraliser une «vierge Marie » conduit trop souvent à renforcer le mépris pour les femmes réelles de chair et d'os,
Que priver les femmes de contraception c'est les priver de santé et de liberté, elles et leurs enfants,
Que définir l'homosexualité comme un péché conduit encore à trop de drames …

Mais nous ne participerons certainement pas à une manifestation où seront présentes des associations et partis –qui ont lutté, comme de nombreux catholiques, contre la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école, qui malgré ses défauts, était indispensable.
Et nous participerons encore moins à une manifestation à laquelle participe le MRAP, dont le président Mouloud Aounit a demandé une LOI CONTRE LE BLASPHEME. Mouloud Aounit, a en effet déclaré, sur France 3 le 13 janvier 2005 au journal de midi : «Aujourd'hui si la liberté d'expression est un bien fondamental et fait partie des droits de l'homme, la liberté de blasphémer doit être réprimée avec la plus grande fermeté. » Il est certes ensuite revenu sur ses propos, mais il continue à agir dans le même sens et taxe la loi de 2004 de « racisme anti-musulman ».
Une telle manifestation n'est qu'une guerre de religion, entre ceux qui défendent de fait la charia, et le Vatican : nous n'avons rien à faire dans cette guerre là.

Il se trouve que la venue du Pape coïncide avec la date anniversaire du 11 septembre : qu'en de tels jours, des associations et partis se réclamant du féminisme et de la laïcité, n'aient pas un mot sur les horreurs commises contre les « kouffars », les femmes, les homosexuels, par les combattants d'Allah au nom de leur idéologie politico-religieuse sanguinaire, est tout simplement écoeurant.

Elisseievna
Alix
http://alixautremiroir.blogspot.com/2008/09/remballe-ton-pape.html

Fanny Truchelut et le droit pénal

Voici un avis de Denis Merlin sur son blog "juridique et culturel", après le procès devant le tribunal d'épinal

http://denismerlin.blogspot.com/

http://209.85.135.104/search?q=cache:5SctIbHrXCIJ:denismerlin.blogspot.com/2007/10/affaire-truchelut-une-interprtation.html+elisseievna+truchelut+voile&hl=fr&ct=clnk&cd=36&gl=fr

22.10.07
Affaire Truchelut : Une interprétation extensive du droit pénal

Le principe de droit pénal "nulle infraction, nulle peine sans loi préalable" est une conséquence du principe selon lequel l'homme est libre de ses actes.
En principe je n'ai de compte à rendre à personne de mes décisions.
Le principe de droit pénal selon lequel la loi incriminant un acte doit être interprétée restrictivement est un corollaire de ce principe qu'il n'y a ni infraction, ni peine sans loi préalable.
Madame Truchelut explique les détails de cette affaire :
http://www.dailymotion.com/video/x3851e_fanny-truchelut-on-peut-critiquer-l_news

Elle est condamnée pour avoir, non pas refusé un service, mais avoir demandé à une dame poliment et respectueusement d'enlever son voile.
La voilée est partie sans rien demander d'autre.
Comme le fait observer Elliseievna, dans son article sur "riposte laïque", les commerçants sont libres de mettre des conditions à leurs prestations.
Un organisateur de soirée, une boite de nuit peut exiger une tenue de soirée.
Ce n'est donc pas la croyance, mais la tenue que Madame Truchelut visait.
Tout le monde le sait, c'est une évidence, Madame Truchelut n'avait pas refusé de prendre la réservation de Madame Truchelut, Madame Truchelut n'avait pas refusé ses prestations à la prénommée "Houria".
Madame Truchelut n'a fait que demander à la personne d'ôter son voile dans la salle commune du gîte et dans les couloirs.

Or l'incrimination est la suivante :
"Code pénal :
Article 225-1 :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de (...)de leurs opinions politiques, (...) de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
Article 225-2 :
« La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 Euros d’amende lorsqu’elle consiste : 1º A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service ; (...)
4º A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 ; (...)"
(pris de l'article d'Elisseievna sur "riposte laïque)

Il n'est pas besoin de beaucoup discuter pour s'apercevoir que la meute des avocats (dont certain est rémunérés par l'association qu'il préside...), le procureur et le tribunal ont eu une interprétation extensives de ces textes de loi déjà limiteur de liberté et devant être interprétés très strictement.

J'ai fait, moi, l'objet de discrimination en raison de mes convictions religieuses dans un restaurant de Montréal de l'Aude.
Le restaurateur ne m'a rien dit. Il a suffit qu'il serve tout le monde sauf ma famille et moi. Officiellement, il était débordé, mais je voyais bien que j'étais volontairement négligé. C'était une vrais discrimination religieuse, évidemment illicite. Mais pour la prouver, c'était quasi impossible... Où étaient les preuves ?

Madame Truchelut, si elle avait voulu, aurait pu procéder de même. Servir avec retard, ne pas faire la chambre, mal servir, faire la tête, faire du harcellement moral etc.Il n'y a donc eu, à l'évidence, aucune faute de Madame Truchelut.

(...) Dans cette affaire, (...), les avocats des "partie civiles", le Procureur se sont rendus coupables de graves violations des droits de l'homme. Droit à la liberté, droit à l'égalité, droit à n'être puni qu'en cas de faute, droit à la liberté religieuse (car la liberté religieuse, c'est le droit de croire et le droit de ne pas croire et aucun organisme d'Etat ne peut voler au secours des pratiques contraires au droit des femmes, serait-elle celles d'une religion).