Article épinglé

COVID et CRIMES

Islam, nazisme, Malmö


L'islam a les mêmes caractéristiques-clés que le nazisme : une population présentée par une idéologie comme supérieure aux autres ( la "Oumma islamique" que l'OCI affirme représenter et vouloir "galvaniser"), ayant le droit de les soumettre ou massacrer (coran 3/110, 9/29), a terme d'éradiquer leur culture ou leur personnes, le tout sous la bénédiction de dieu et sous la direction d'un chef (führer ou califat) avec dans les deux cas la haine absolue du juif et le but de les tuer. 



Attentat contre le centre culturel juif de Malmö, septembre 2012

Love






























Alors qu'il est question à nouveau du mariage homosexuel, voir mes idées sur ce droit ici :http://elisseievna-blog.blogspot.fr/2012/08/ce-que-je-crois.html , pensons au plus important : qu'est ce que l'amour ? 

Le livre de Yves Semen explique la vision de Jean-Paul II. 

Je trouve que ce qui est dit par Jean-Paul II sur l'amour lui même, n'est en fait pas specialement chrétien, c'est une explication de ce qu'est l'amour "vrai".









c'est de l'humour "Queer"


Appels au Pogrom aux Champs Elysées 15 septembre 2012


Qui s'en émeut ? Une anti-islam algérienne. Aucune féministe française ne moufte.
Merci Zohra !



« Khaybar ya Yahoud », scandé sur les Champs-Elysées, légitime le massacre des juifs
Posted on 19 septembre 2012 by Nedaa-Amal Zohra - Article du nº 269
Nous avons reçu ce texte d’une de nos lectrices, Nedaa-Amal Zohra, qui, depuis les pays du Maghreb, relaie régulièrement Riposte Laïque auprès de tous ceux qui veulent résister à la dictature des imams et des mollahs. Elle nous donne une explication historique sur le slogan « Khaybar ya Yahoud », scandé six fois sur les Champs-Elysées par les manifestants, samedi dernier.
Mahomet s’octroya la princesse de Banu Nadir, Safiya comme esclave captive dans sa part du butin. Le film qui a provoqué la fureur des manifestants « Innocence des musulmans » parle effectivement de cette Safiya, au moment où son mari est torturé.
Si le film a théâtralisé l’histoire de Safiya, la captive juive dont le père a été tué dans l’attaque et dont le mari a été torturé à mort, cela n’empêche pas de dire que les historiens musulmans sont unanimes à authentifier l’histoire de Safiya, captive de guerre de Mahomet. En effet, le Prophète la prit dans sa part du butin, et eut des relations avec elle, le soir même du jour  où il tua son père, et tortura à mort son mari.
L’esclavagisme fait partie intégrante du fonctionnement de l’islam dès que les premiers musulmans ont la possibilité de s’en emparer. Alors que les hommes sont tués, les femmes et les enfants sont asservis et deviennent source de richesse et de plaisirs. Le Coran fait explicitement mention de l’esclavagisme et de l’usage sexuel des esclaves; cela n’a jamais été ni condamné ni abrogé.
L’histoire de Safiya, réduite à l’esclavage lors de sa capture à Khaybar
La razzia contre Khaybar eut lieu lors de la septième année de l’Hégire (628-629). Mahomet et ses fidèles ont attaqué les Juifs vivant dans cette oasis de Khaybar, située à 150 kilomètres de Yathrib, actuelle Médine, La ville était assez riche, bien fortifiée et majoritairement peuplée de juifs avant cette expédition, qui devint le symbole de la victoire musulmane sur les juifs.
Les juifs vaincus furent réduits à l’esclavage. Ils se rendirent et durent payer une rançon à Mahomet et donner toutes leurs terres aux musulmans. Les troupes de Mahomet décapitèrent Huyayy ibn Akhtab  de la tribu des Banu Nadir. Ensuite, le Calife Omar expulsa l’ensemble de juifs de toute la Péninsule arabique.
Leurs femmes et leurs enfants furent réduits à l’esclavage.
Ces historiens ne semblaient pas choqués par un tel comportement :
1. Bukhari (Hadiths dans Sahih Al Bukhari 7:12: 1) écrit : Une fois entré dans le bourg, l’envoyé d’Allah s’écria :
« Allah est grand! Khaybar sera détruite! Chaque fois que nous descendrons sur le territoire d’un peuple, sinistre sera le matin de ceux qui ont été avertis de nos menaces! »
La ville ayant été prise de force, ajoute Anas, on rassembla les captifs. Dihya se présenta alors et dit:
«Ô prophète d’Allah, donne-moi une des femmes captives. »
« Va prendre une femme », lui répondit le prophète. Et Dihya prit Safiyya ibn Hoyayy. Alors un homme vint trouver le prophète et lui dit :
« Tu viens de donner à Dihya Safiyya bint Hoyayy, la princesse des Qurayza et des Banu Nadir ; or cette femme ne convient qu’à toi seul. »
« Qu’on les amène tous deux », répliqua le prophète. Quand on les eut fait venir tous deux et que le prophète eut vu Safiyya, il dit à Dihya:
« Reprends une autre femme parmi les captives ». Le prophète, prit Safiyya dans sa part du butin.
2. Ibn Ishaq rapporte à la page 515 de sa biographie de Mahomet « Sirat Rassoul Allah », la torture et le meurtre de Kinana, mari de Safiya :
« On fit venir, auprès de Mahomet, l’Envoyé d’Allah, Kinânah b. al-Rabi, qui guardait le trésor de Banû al-Nadîr. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor. Kinânah nia qu’il savait où il était. Un juif vint à l’Envoyé d’Allâh et lui dit : ‘J’ai vu Kinânah fréquenter cette ruine tous les matins.’ Alors l’Envoyé d’Allah dit à Kinanâh : ‘Si on le trouve chez toi, es-tu conscient qu’on va te tuer ?’ Kinanâh répondit ‘oui’. L’Envoyé d’Allah ordonna de creuser la ruine. On arriva à en extraire une partie du trésor des Juifs. Il demanda à Kinanâh où se trouvait le reste. Mais Kinanâh refusa de l’indiquer. Mahomet, l’Envoyé d’Allah ordonna à al-Zubayr b. al-’Awwâm de le torturer jusqu’à ce qu’on extraie ce qu’il y a chez lui. Al-Zubayr se mit à faire brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinanâh fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allâh l’a livré à Muhammad b. Maslamah et celui-ci coupa son cou… »
3. Dans la Sira de Rassoul Allah, on peut lire : Muhammad n’attendit pas d’être de retour à Médine pour consommer le mariage. Un compagnon resta toute la nuit de noces à veiller, avec son épée, près de leur tente, et dira au Prophète le lendemain quand celui-ci l’interpella sur sa présence : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple.»
4. Safiyya rapporta par la suite: « Nul ne me paraissait plus détestable que Mahomet car il avait tué mon père et mon époux. »
Après, ces historiens musulmans rapportent que les compagnons du Prophète lui ont demandé s’ils devaient considérer Safiya comme femme du Prophète ou son esclave, Mahomet répondit : « Si elle met le voile islamique, elle sera considérée comme sa femme. Dans le cas contraire, elle gardera son  statut d’esclave. »
Mahomet et ses compagnons : des obsédés sexuels !
Les médias du monde entier s’en sont fait l’écho, sans même se demander quelle en était la source ? La source c’est les livres des Hadiths et de la Sira de Mahomet.
Beaucoup de médias ont reproché au film de présenter Mahomet et ses compagnons comme des brutes et des obsédés sexuels.
Mais si on se réfère aux historiens musulmans qui font référence, comme Ibn Ishaq qui a été le premier à écrire la biographie de Mahomet ou Bukhari qui a fait la recension des Hadiths (Le Sahih Al Bukhari) ou à d’autres noms prestigieux, comme Tabarri ou Muslim, ils ne semblaient pas choqués par un tel comportement :
1. Hadith: Sahih, Bukhari V 268 : Anas bin Malik a dit : « Le Prophète avait l’habitude de faire l’amour à toutes ses femmes à la suite, jour et nuit et elles étaient au nombre de onze. »J’ai demandé à Anas: « Le Prophète avait assez de force ? » : Anas a répondu : « nous disions souvent que le Prophète avait reçu la force sexuelle de trente hommes. (Récit de Qatada)
2. Hadith: Sahih, Bukhari 34:109 : Etant assis auprès du prophète, un homme dit:
« Ô envoyé d’Allah, nous avons eu des rapports avec nos captives et nous voudrions ne pas en perdre de la valeur. Que penses-tu du retrait de la verge au moment de l’éjaculation? »
« Pratiquez-vous donc ce procédé? s’écria le prophète, Eh bien, il n’y a aucun mal à ce que vous agissiez ainsi, car il n’est pas une seule âme pour laquelle Allah a décidé qu’elle sortirait du néant qui n’en sorte effectivement. » Autrement dit, si une âme devait naitre de ces rapports, c’est à Allah de le décider et le fait d’utiliser les captives comme esclaves sexuelles n’y changerait rien !!!!
En plus des quatre femmes permises, Mahomet a des droits supplémentaires :
Coran (Sourate 33, Verset 47) : « O prophète! Nous t’avons rendue licites tes épouses à qui tu as donné la do, ce que tu as possédé comme captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, – celles qui avaient émigré en ta compagnie, – ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. »
Quant aux esclaves, elles ne figurent dans aucune limitation :
Coran (Sourate33, Verset 50) : « Ô Prophète ! Nous déclarons licites pour toi tes épouses que tu as dotées et les captives que Dieu t’a accordées comme esclaves au titre de butin de guerre.»
Coran (Sourate 23, Verset 5-6) : « …qui s’abstiennent de tout rapport charnel, sauf avec leurs épouses ou leurs esclaves, en quoi ils ne sont pas à blâmer… » Ces versets autorisent donc au maître les rapports sexuels avec ses esclaves en toute liberté et sans aucune limitation.
Coran (Sourate 4, Verset 24) : « Il vous est aussi interdit d’épouser des femmes déjà mariées, à moins qu’elles ne soient vos esclaves ou captives de guerre. » Même les rapports avec des esclaves mariées sont permis et entièrement licites.
Salafisme et Islam « modéré » :
Les médias dominants et les responsables politiques tout en affirmant que le film « innocence des musulmans » est « islamophobe », précise que les manifestants sont essentiellement des Salafistes, qu’ils présentent comme un mouvement ultra-minoritaire dans l’Islam.
Comment définir le Salafisme ?
En principe,  le Salafisme est un mouvement sunnite revendiquant un retour à l’islam des origines, fondé sur le Coran et la Sunna Mais ils ne sont pas les seuls qui se revendiquent du Coran et de la Sunna. Tous les Sunnites se revendiquent du Coran et de la Sunna. Et les Chiites ne divergent que sur l’autorité politique qui doit revenir à Ali et à sa descendance : alors que les Sunnites considèrent les quatres Califes orthodoxes, Abu Bakr, Omar, Uthman et Ali, comme les « biens guidés  d’Allah » (en arabe : Ar-Rashydiyounes), les Chiites considèrent Abu Bakr, Omar, Uthman comme des usurpateurs.
Ainsi, les divergences au sein du monde musulman, ne concernent pas le fait fondamental de se revendiquer du Coran en tant que parole d’Allah et de la Sunna du Prophète, pour interpréter et appliquer les préceptes coraniques.
Sur les principes, il y a unanimité chez les musulmans. Le Salafisme va un peu plus loin en adoptant les apparences vestimentaires, et le mode de vie du Prophète, ce qui est relativement sans importance. Mais sur les principes, la seule différence porte sur les modalités d’application de la loi islamique. Le Salafisme demande son application intégrale, et beaucoup de pays musulmans sunnites ou chiites font exactement la même chose : regardez la condamnation d’une petite fille chrétienne atteinte de trisomie par le Pakistan, ou la pendaison des homosexuels et la condamnation à mort de Salman Rushdie par l’Iran, ou  les mutilations, flagellations et décapitations en Arabie….et la liste est longue.
Donc, il est faux de faire une soit disant frontière étanche entre les Salafisme et les autres interprétations de l’ et l’Islam, ou entre l’Islam des origines et l’Islam d’aujourd’hui : jusqu’à maintenant, on enseigne dans toutes les écoles des pays musulmans que Mahomet est le « modèle parfait » que tout musulman doit imiter.
De même, on enseigne que les prescriptions coraniques sont des « lois divines » qui seront toujours supérieures aux lois humaines, et qui devront être respectée sans aucunes limites, ni dans le temps ni dans l’espace, parce le Coran est la « Parole, incréée, éternelle et inaltérable » de Dieu.
Sur la vidéo http://ripostelaique.com/ (EDITO DE CYRANO : Jihad à Paris, Fourest agressée : Oriana Fallaci avait raison… du  17 septembre 2012 par Cyrano) et difusée sur :http://www.youtube.com/watch?v=gJZF-Vvv3wg ,le slogan « Khaybar, Khaybar ya Yahoud », ne signifie pas mot à mot « Morts aux juifs », mais a un sens encore plus grave. Il fait référenc au massacre des juifs de cet oasis de Khaybar, à la réduction des femmes et des enfants en esclavage et finalement à l’expulsion des juifs d’Arabie.
C’est à cette victoire totale et cette humiliation des Juifs, ainsi qu’à leur expulsion des terres où ils vivaient depuis des siècles, que les manifestants se réfèrent quand ils scandent « Khaybar ! Khaybar ! ya Yahoud ! » Traduite mot à mot, ce slogan signifie : « (souvenez-vous de) Khaybar ! (souvenez-vous de)  Khaybar ! Ô Juifs ! »
En fait ce slogan, bien connu des manifestations organisées dans les pays musulmans, possède un sens encore plus grave qu’ « Egorgez les juifs ». Ce slogan fait référence à ce que les historiens musulmans appellent la « bataille de Khaybar ». La razzia contre Khaybar eut lieu lors de la septième année de l’Hégire (628-629).
En réalité ce slogan « Khaybar! Khaybar! ya Yahoud! » légitime le massacre des juifs, la réduction de leurs enfants et femmes à l’esclavage ou leur expulsion des terres où ils vivaient depuis des siècles, comme faisant partie de la Sunna de Mahomet. Par se slogan, ils donnent une légitimité religieuse au massacre, à l’esclavagisme et à l’expulsion des juifs.
La référence de ces manifestants en plein Paris au XXIème siècle : c’est à cette victoire totale et cette humiliation des Juifs, ainsi qu’à leur expulsion des terres où ils vivaient depuis des siècles, que les manifestants appellent à reproduire quand ils scandent « Khaybar! Khaybar! ya Yahoud !»
Autrement dit « Juifs : sachez que nous réaliserons de nouveau la victoire de Khaybar », avec tout ce qu’elle comporte de massacre, d’esclavagisme et d’expulsion. En fait, ce slogan appelle à la destruction d’Israël et au génocide des juifs.
Comment expliquer le scandale du film ?
Je n’arrive pas à comprendre qu’on ne soit pas choqué par le Coran et les livres enseignés dans les instituts islamiques de l’ensemble des pays musulmans ou même des pays européens, et qu’on soit scandalisé par ce film.
Nedaa-Amal Zohra 


MERAH A AGIT CONFORMEMENT A LA SUNNA






Dans l'entretien qu'il a avec le policier, Mohamed Merah explique ses principes : la guerre est ruse, c'est pour cela qu'il s'est fait passer pour un jeune "cool", il agit en bon musulman et non pour la gloire, et sur le modele des premiers conquérants de l'islam et de Mahomet, il répète qu'il aime la mort autant que nous aimons la vie.

Toutes ces déclarations sont issues directement des textes fondamentaux de l'islam, il n'est nul besoin d'être membre d'un groupe de militants quelconque ni d'aller dans des camps d'entrainement pour partager ces idées, il suffit de lire les textes fondamentaux de l'islam et de choisir de les appliquer ( ce que tous les musulmans ne font pas, mais seulement les militants musulmans).

Ceux qui veulent empêcher que nous connaissions ces textes, sous le mauvais prétexte que cela provoquerait à la haine des musulmans, non seulement sont des débiles qui ne font pas la différence entre dénoncer l'apologie de la haine et faire le contraore c'est à dire prôner la haine, mais ce sont des gens qui empêchent que quoi que ce soit soit fait pour tirer des jeunes comme Mohammed Merah de cet engrenage mortifère où l'amène cette doctrine de mort.
Depuis 2004 je dénonce cet endoctrinement envers les jeunes musulmans, Merah avait alors 16 ans ...

Mais bizness is bizness et on ne veut pas se mettre les clients des pétrodollars à dos ...

Ceux qui veulent empêcher que nous connaissions ces textes :

Ils sont coupables de la balle qu'il a tiré à bout portant dans la tête de Myriam.



Voici les hadith et voici les déclarations de Mohamed Merah :

Mahomet a dit :

« Aucun de ceux qui sont entrés au Paradis n'accepterait de retourner à la terre pas même pour avoir tout ce qu'elle porte sauf le martyr. Il souhaite retourner à la terre dix fois de suite et être à chaque fois tué; et ce à cause des honneurs avec lesquels le martyr est accueilli au ciel».

« Par celui qui détient l'âme Muhammad dans sa main, j'aurais bien voulu sortir dans une expédition et y être tué au service de Dieu, puis être ressuscité et sortir dans une expédition pour y être tué de nouveau, puis être ressuscité et sortir dans une expédition pour y être encore une fois tué».


“ On a demandé au Prophète :
- Quelle est la meilleure action ?
Il répondit :
- Croire en Allah et son apôtre.
On lui a demandé ensuite :
- Quelle est la meilleure action suivante ?
Il dit :
- Participer au Jihad pour la cause d’Allah.
On lui a demandé ensuite :
- Quelle est la meilleure action suivante ?
Il répondit :
- Faire le pèlerinage. ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari XXVI 594)

“ Quelqu’un vint voir le Prophète et demanda :
- Un homme combat pour le butin, un autre pour la gloire, un troisième pour épater les autres. Lequel
combat pour la cause d’Allah ?
Le Prophète a dit :
- Celui qui combat pour la parole d’Allah doit être supérieur, il combat pour la cause d’Allah. ” (récit
d’Abu Musa, Bukhari LII 65)

“ Le verset : "Vous (les musulmans) êtes le meilleur des peuples jamais créés dans l’humanité."
signifie le meilleur des peuples pour les gens puisque vous les avez amenés enchaînés par le cou
jusqu’à ce qu’ils se convertissent à l’islam. ” (récit d’Abu Huraira, Bukhari LX 80)

“ Le messager d’Allah a dit :
- J’ai été désigné pour combattre contre les hommes aussi longtemps qu’ils ne disent pas : il n’y a de
dieu qu’Allah. ” (récit d’Abu Huraira, Muslim I 29)
“ Le Prophète a dit :
- J’ai reçu l’ordre de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’y a pas d’autre dieu
qu’Allah et que Mahomet est son serviteur et son Prophète, qu’ils se tournent vers notre Qibla, qu’ils
mangent ce que nous sacrifions et qu’ils prient comme nous. ” (récit d’Anas ibn Malik, Dawud XIV
2635)

“ Le messager d’Allah a dit :
- La guerre est une ruse ” (récit de Jabir, Muslim XIX 4311)
“ Quand le Prophète voulait partir en expédition, il prétendait toujours partir ailleurs et il disait :
- La guerre est tromperie. ” (récit de Kab ibn Malik, Dawud XIV 2631)


http://www.europe1.fr/France/Mohamed-Merah-moi-la-mort-je-l-aime-1162289/
Mohamed Merah : "moi la mort, je l'aime"
Par Frédéric Frangeul avec AFP
Publié le 8 juillet 2012

TF1 a diffusé des extraits de négociations entre Mohamed Merah et les hommes du Raid lors du siège de son appartement. © Capture écran
TF1 a diffusé des enregistrements captés lors du siège de l’appartement du "tueur au scooter".
De sa détermination à poursuivre sa folie meurtrière et de son absence totale de remords, Mohamed Merah n'a rien caché durant les 32 heures du siège de son appartement toulousain, selon les extraits des négociations diffusées dimanche par TF1, dans l'émission Sept à Huit.
Derrière la pointe d'accent méridional du "tueur au scooter" qui a froidement abattu sept personnes les dix jours précédents, le ton est calme, posé, déterminé. Amusé même quand il explique qu'il ne peut faire cuire son repas, son micro-ondes étant criblé de balles. Il s'exprime clairement, malgré quelques tics de langage tels que "t'as vu" ou "voilà".
La diffusion de cet enregistrement dans l'émission Sept à Huit a suscitéla colère de l'Intérieur, Manuel Valls regrettant qu'"aucune précaution (n'ait) été prise pour respecter les familles des victimes". Ces dernières se sont dites "scandalisées" et ont annoncé leur intention de saisir la justice en urgence pour obtenir l'interdiction de la diffusion des enregistrements.

"Je sais ce qui va se passer"
Le 21 mars, le contact est établi après l'échec de l'assaut initial du Raid, vers 03h00. "Je suis quelqu'un de déterminé, je n'ai pas fait ça pour me laisser faire attraper, t'as vu. Là, on négocie tu vois, on est en train de négocier, après, en dehors des négociations, n'oublie pas que j'ai les armes à la main, je sais ce qui va se passer, je sais comment vous opérez pour intervenir."
"Donc voilà, sachez qu'en face de vous, vous avez un homme qui n'a pas peur de la mort, moi la mort, je l'aime comme vous vous aimez la vie."
"La guerre est une ruse"
Dans ces quatre heures et demie d'échanges que la chaîne assure détenir, Mohamed Merah raconte ses contacts avec Al-Qaïda, décrit les actions qu'il envisageait ou le style de vie "fashion" qu'il avait adopté : "ça fait partie de la ruse, tu vois." Car "la guerre est une ruse", affirme-t-il au négociateur.
Ce négociateur, "Hassan", est l'agent de la DCRI qui l'a rencontré de retour de son voyage au Pakistan quelques mois auparavant. Il lui explique les assassinats de trois parachutistes à Toulouse et Montauban puis de trois enfants et d'un père de famille juifs.
"Tuer en priorité des militaires"
"Mon but dans ces attentats, c'était de tuer en priorité des militaires parce que ces militaires-là sont engagés en Afghanistan, et tous leurs alliés t'as vu, que ce soit de la police, de la gendarmerie, de la police nationale, de tout", dit-il.
Mohamed Merah raconte comment ayant raté une cible, un autre militaire, il s'est rabattu sur l'école juive Ozar Hatorah. Il dit: "J'ai repris le scooter et je suis passé comme ça, ce n'était pas prémédité, enfin si, je comptais le faire, t'as vu, mais le matin en me réveillant c'était pas mon objectif."
Un enregistrement "conforme à l'image du fanatique religieux"
Dans la nuit du 21 au 22 mars, Mohamed Merah dit qu'il ne se rendra pas. Les négociateurs ne lui permettent pas de parler à sa mère. Il mourra dans l'assaut du Raid douze heures plus tard.
De l'avis Me Laure Bergès-Kuntz interrogée par l'AFP, l'avocate de Loïc Liber, le parachutiste grièvement blessé par Mohamed Merah, cet enregistrement est "conforme à l'image du fanatique religieux qui est prêt à mourir pour la religion".

http://www.liberation.fr/societe/2012/07/17/conversation-secrete-entre-merah-et-la-dcri_833777
Conversation secrète entre Merah et la DCRI
17 juillet 2012 à 07:59

«Liberation» a eu accès à l’intégralité de la négociation entre un officier du renseignement intérieur et le tueur au scooter, durant le siège de son appartement, le 21 mars à Toulouse. Extraits.
C’est l’intégralité de la transcription des enregistrements entre Mohamed Merah et le négociateur de la police que nous publions en exclusivité sur Liberation.fr aujourd’hui. Les quatre heures d’échanges entre «le tueur au scooter» de Toulouse et l’officier du Renseignement intérieur Hassan trahissent une vraie-fausse empathie ou proximité à prendre avec précaution. Remis aux juges antiterroristes le 5 juillet, le rapport d’expertise de 173 pages sur ces conversations, qui s’étalent entre 7h34 et 22h44 mercredi 21 mars, oscille entre interrogatoire, discussion à bâtons rompus et rapports de force.
Appelé à la rescousse par les policiers du Raid, à la demande de Mohamed Merah retranché dans son appartement depuis un assaut raté à 3h12, le brigadier Hassan cherche à la fois à comprendre ce qui lui a échappé quand il a été enfumé par ce jeune islamiste sur ses voyages, lors de leur rencontre le 14 novembre 2011, et à glaner le maximum de renseignements «opérationnels».

A LIRE AUSSI : «Conversation secrète entre Merah et la DCRI»
Il attaque par l’Afghanistan :«Vas-y maintenant, tu peux mettre cartes sur table, hein, t’as plus rien à perdre, après l’entretien [le débriefing quatre mois plus tôt, ndlr], maintenant tu me racontes la vérité. Roule.»
Mohamed rit : «Y a pas de problème. Déjà, j’ai été dans plusieurs pays afin de trouver les frères, et quand je les ai trouvés, c’est quand j’ai été au Pakistan, pas avant.
- T’es parti comme ça, d’un coup de tête ou… comment t’as pu avoir le déclic ?
- Déjà, avant que je rentre dans l’islam, je les soutenais ces gens-là, je savais qu’ils étaient dans le vrai.»
Hassan essaye d’obtenir sa reddition. Merah hésite : «J’ai envie de me rendre mais wallah, c’est flou.»
Hassan rétorque : «Avec le Raid, on a été réglo. Ils sont venus me chercher, je suis venu pour toi. Toi, on t’a rencontré, on a tissé des liens. Tu sais, dans la police, y a pas que des connards, on sait être réglo. On est professionnels ici.»
Mohamed ne «craint pas ça» mais les vingt-deux ans de réclusion criminelle qu’il risque, «j’en ai 23, c’est vite calculé, j’en aurai 45» : «Je peux me dire aussi que j’ai rien à perdre. En commençant ces attentats, je savais comment ça allait finir. Soit j’allais être abattu dans la rue ou chez moi.»
Hassan revient à la charge : «Tu veux crever anonyme ou tu veux faire parler comme certains de tes coreligionnaires qui ont fait le jihad et qui une fois arrêtés, grâce au tribunal, ont pu évoquer leurs convictions ? Est-ce que tu veux la gloire et la notoriété et qu’on parle de toi jusqu’à la fin des temps ou est-ce que tu veux y crever comme ça ?»
Merah ne tombe pas dans le panneau : «Je demande à Allah de me préserver de l’ostentation. Je ne fais pas ça pour la gloire, [sinon] toutes mes bonnes actions seraient annulées auprès d’Allah, [qui] n’accepte pas les moudjahidin qui combattent pour leur renommée oupour le butin. Mon but, c’est pas de marquer l’histoire. J’accomplis mon devoir de musulman.»