LANCET GATE : ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient
pas
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext
https://doi.org/10.1016/S0140-6736(20)31180-6
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007621
https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2007621?articleTools=true
Les deux revues l'ont ensuite rétractée.
https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31290-3/fulltext
https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2007621?articleTools=true
Ceux qui ont pris cette décision d'entraver la prescription du médicament,
d'abord sur la base d'une seule étude, dont la lecture seule permettait à des
scientifiques de voir qu'elle comportait des anomalies graves, puis qui ont
maintenu leurs entraves, alors que l'étude avait été rétractée, sont
responsables de la perte de chance des patients qui n'ont pas pu recevoir ce
médicaments alors que leurs médecins souhaitaient le leur prescrire.
Témoignage du Dr Arturo Perez : https://radiolibre.ch/podcast/ivermectine-arturo-perez/
Sachant qu'une autorisation de mise sur le marché de vaccins dont les tests
ne sont pas terminés ne peut avoir lieu qu'en l'absence de traitement, il
faudra enquêter sur ce qui a rendu possible une publication aussi aberrante et
sur les décisions prises sur sa base, car elle a servi à obtenir à faire croire
qu'il n'y avait pas de traitement contre le covid 19, alors que des médecins
avaient constaté au contraire son efficacité.
Combien de morts par privation de ce médicament ?
Les responsables ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas que les
entraves qu'ils ont mises reposaient sur une fausse étude.
Lire :
Didier Raoult : Au-delà de l'affaire de la chloroquine, Michel Lafon, 14
octobre 2021
Présentation : « Chloroquine contre COVID-19 : un
médicament à l'innocuité reconnue, et un succès spectaculaire en Chine et à
l'IHU de Marseille... La chloroquine a pourtant été interdite en France et a
valu au Pr Raoult des attaques d'une violence inouïe. Pourquoi ? Parce que
c'est un médicament générique, donc pas cher, alors que la distribution
internationale du Remdesivir, non dénué de danger mais pas tombé dans le
domaine public, a procuré des bénéfices astronomiques au laboratoire qui le
fabrique.
Ainsi disparaissent des centaines de vieux remèdes
efficaces et sans risque, au profit de nouveaux produits qui n'ont pas toujours
fait l'objet d'un contrôle très strict, mais ont bénéficié d'un lancement
honteux. Études parfois faussées par des liens d'intérêts avec les
laboratoires, journalistes scientifiques et médias de tous bords achetés pour
promouvoir ces nouveautés, médecins financés pour les prescrire, et scandales à
l'avenant mais trop tard. »
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