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COVID et CRIMES

LANCET GATE : ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas

 




LANCET GATE : ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas

  Un médicament dont il a été constaté qu'il soignait le SARS COV 1 puis 2 a été (disons pour résumer ) "banni" sur instruction de l'OMS et de nombreux Etats, sur la base d'une fausse étude publiée par deux des plus grandes revues médicales. 

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31180-6/fulltext

https://doi.org/10.1016/S0140-6736(20)31180-6

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007621

https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2007621?articleTools=true

Les deux revues l'ont ensuite rétractée.

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)31290-3/fulltext

https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2007621?articleTools=true

Ceux qui ont pris cette décision d'entraver la prescription du médicament, d'abord sur la base d'une seule étude, dont la lecture seule permettait à des scientifiques de voir qu'elle comportait des anomalies graves, puis qui ont maintenu leurs entraves, alors que l'étude avait été rétractée, sont responsables de la perte de chance des patients qui n'ont pas pu recevoir ce médicaments alors que leurs médecins souhaitaient le leur prescrire.

 

https://www.theguardian.com/world/2020/may/25/who-world-health-organization-hydroxychloroquine-trial-trump-coronavirus-safety-fears

Témoignage du Dr Arturo Perez : https://radiolibre.ch/podcast/ivermectine-arturo-perez/

Sachant qu'une autorisation de mise sur le marché de vaccins dont les tests ne sont pas terminés ne peut avoir lieu qu'en l'absence de traitement, il faudra enquêter sur ce qui a rendu possible une publication aussi aberrante et sur les décisions prises sur sa base, car elle a servi à obtenir à faire croire qu'il n'y avait pas de traitement contre le covid 19, alors que des médecins avaient constaté au contraire son efficacité. 


Combien de morts par privation de ce médicament ? 

Les responsables ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas que les entraves qu'ils ont mises reposaient sur une fausse étude. 

 

Lire :

Didier Raoult : Au-delà de l'affaire de la chloroquine, Michel Lafon, 14 octobre 2021

Présentation : « Chloroquine contre COVID-19 : un médicament à l'innocuité reconnue, et un succès spectaculaire en Chine et à l'IHU de Marseille... La chloroquine a pourtant été interdite en France et a valu au Pr Raoult des attaques d'une violence inouïe. Pourquoi ? Parce que c'est un médicament générique, donc pas cher, alors que la distribution internationale du Remdesivir, non dénué de danger mais pas tombé dans le domaine public, a procuré des bénéfices astronomiques au laboratoire qui le fabrique.
Ainsi disparaissent des centaines de vieux remèdes efficaces et sans risque, au profit de nouveaux produits qui n'ont pas toujours fait l'objet d'un contrôle très strict, mais ont bénéficié d'un lancement honteux. Études parfois faussées par des liens d'intérêts avec les laboratoires, journalistes scientifiques et médias de tous bords achetés pour promouvoir ces nouveautés, médecins financés pour les prescrire, et scandales à l'avenant mais trop tard. »


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