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COVID et CRIMES

Pierre Cassen a raison contre Claude Askolovitch



Zoom – Patrick Jardin :”J’aurais dû mettre mon poing dans la figure de Valls !” (04/06/2018) from TV Libertés on Vimeo.

Claude Askolovitch est un de ces juifs de pouvoir qui me fait honte. Toutes proportions gardées évidemment, il n'est pas un personnage d'un grand pouvoir, un Soros ou autre oligarque.

Je suis d'accord avec Pierre Cassen en gros dans sa critique de ce journaliste.
Askolovitch, je t’accuse d’être responsable de la mort de Nathalie Jardin  Publié le 6 octobre 2018 Riposte laïque).
Je suis d'accord, en autre, parce que , si je suis " contre la haine ",  je trouve :
- 1 ) absolument indécent et odieux de s'instituer  " directeur de conscience " d'un père en deuil,
- 2) et politiquement négationniste de poser comme problème primordial les sentiments des victimes d'un fascisme et non pas le fascisme en cause, le fascisme en action, en l'occurrence le fascisme islamique.

Il ne faut pas agir "par haine", certes. Mais aucun des parents des victimes de Bataclan n'a agi ainsi. Ils demandent que l'on empêche les actes basés sur la haine meurtrière des assassins.

La haine seulement " ressentie " n'a jamais tué personne. Faut il rappeler cette évidence ?
Ce qu'elle tue n'est jamais que l'ego narcissique de masse de lâche, de foules de " pa nou pa nou ", qui s'imaginent qu'en ayant un esprit lavé de tout soupçon de colère contre les assassins, ils se rendront invisibles aux yeux des assassins et ne feront pas partie des prochaines victimes.
Ils crèvent de trouille jusqu'à avoir peur de leur ombre, jusqu'à avoir peur que la conscience de la haine meurtrière des assassins leur soit contagieuse, et génère en eux un état qui les rendre perceptibles au radar des assassins ...
Trouillards, lâches, voilà ce que sont réellement cette sorte d'opposants là à la haine.

La haine prise comme motif d'action contre des personnes a énormément tué et continue de tuer.
Ses acolytes sont la lâcheté et le déni, formes évidentes de complicité avec les assassins.

Enfin qu'un juif de l'est soit institué, s'institue,  donneur de leçons à une victime, au père d'une victime, français "chrétien", français de vieille souche, apparemment, rend son attitude encore plus grave, parce qu'elle va être présumée avoir plus de poids moral, contre ce père, elle est encore plus odieuse.
Faut il rappeler à Askolovitch que personne n'a osé demander aux juifs après la guerre de ne pas avoir de haine contre les Allemands ?
Certains ont écrit qu'ils en avaient, la plupart ont montré qu'ils étaient prêts à tout faire pour le retour de la paix, mais personne n'a eu l'indécence d'exiger d'eux une pureté morale dans ces circonstances.






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