Serge Garde est poursuivi par Orange pour avoir affirmé que des cadres d'Orange auraient violé une adolescentes de 13 ans et 9 mois en Guinée équatoriale : voilà ci dessous sa présentation de l'affaire : Il était connu que des entreprises offrent des prostituées comme cadeau d'entreprise ou cadeau à leurs collaborateurs, en France et ailleurs. Ces pratiques vont cesser en France avec la loi contre l'achat de prostitution. Jusqu'où sont allées les entreprises dans ce domaine ? Selon Serge Garde, à l'étranger, jusqu'à la violence contre des mineures. On ne rappellera jamais assez combien pornographie, prostitution sont liées avec pédocriminalité, incestueuse ou pas, par différents lien. Ce procès permettra de parler de ce lien, de montrer ce lien, peut-être dans le cas d'Orange - le procès permettra peut-être de connaitre la vérité dans cette affaire - mais en tout cas d'autres cas, et combien il est impératif que la pornographie filmée et photographiée soit interdite en tant qu'achat de prostitution, et combien il est impératif de mettre en garde contre la pornographie sexiste elle même en général. Rappelons toujours la présomption d'innocence des personnes accusées et poursuivies.
Yves Calvi et ses invités les viols répétés d’une enfant de 13 ans et 9 mois par un cadre d’Orange en Guinée Equatoriale.
Me Richard Valéanu, du barreau de Paris, assure ma défense.
De mon point de vue, cette attaque est périlleuse pour Orange, au vu du volumineux dossier existant. La façon dont cette société a organisé la gestion de ce dossier va choquer autant les Européens que les Africains.
Je ne redoute pas ce procès dont l’importance dépasse ma personne. Il s’agit de briser, là aussi, le silence et l’impunité dont bénéficient certaines sociétés multinationales en Afrique, notamment.
Orange a déployé beaucoup d’efforts pour étouffer cette affaire. Je m’engage à vous en rendre compte, ici, point par point. La transparence sera le premier effet boomerang de la plainte d’Orange.
On m'a reproché d'écrire dans des "torchons fascistes" ... il m'arrive même de les lire et d'y voir des reportages importants et qui n'existent pas ailleurs, alors qu'ils concernent à l'évidence les femmes et les enfants ...
Peut-on sérieusement espérer convaincre les MILLIONS de musulmans qui pensent comme Bobokoulova en refusant de discuter de Dieu avec eux ? Guioultchekhra Bobokoulova,
Vous ici ?!
Une journaliste de Charlie, Zineb El Rhazoui, sur le Ring …
Une « copine », c’est-à-dire une militante féministe
dans notre jargon, me crache à la figure cette semaine : « Tu écris
dans Bd Voltaire, ce torchon fasciste, nous n’avons plus rien à nous
dire ».
Moi non plus, je n’ai plus rien à dire aux complices
objectives du fascisme islamique. Les filles comme elles ont du sang d’enfants
juifs sur les mains. Car elles ont tout fait pour permettre que continue la
reconnaissance de l’islam comme doctrine honorable et l’endoctrinement des jeunes.
Nous avons tenté de leur expliquer que les textes de
l’islam, l’islam orthodoxe lui-même, menaient à des meurtres, qu’il fallait les
lire, alerter sur leur danger …
Soyons précis. Il faut s’abstenir de parler d’un sujet
que l’on ne connait pas suffisamment, il est donc tout à fait légitime de
dire : « Je n’ai pas d’opinion sur les textes de l’islam parce que je ne
les ai pas étudiés ».
Mais elles auraient pu
au moins mentionner le problème idéologique que nous soulevions : c'est à dire
la doctrine islamique et les droits humains, les droits des femmes, sa
compatibilité ou pas avec eux, sa réformabilité ou pas, l'incitation qu'elle
contient à l'assassinat des opposants à sa loi et des juifs, sa propagation
auprès des jeunes comme Mohammed Merah.
Et elles auraient pu
être solidaires face aux menaces des musulmans les plus fanatiques contre nous.
Non, elles ont préféré soutenir les délatrices qui nous traitent de racistes.
Les assassinats de Toulouse en 2012 ont eu lieu. Elles en sont en partie la
cause.
Elles préfèrent exercer
un terrorisme intellectuel sur les juges, « vade retro essentialisation », et
ça marche. Ainsi dans le dernier jugement contre Riposte laïque, les juges de
la XVIIe chambre viennent d’écrire un attendu extraordinaire : « L’argument de
la défense selon lequel l’article viserait à exhorter l’islam à l’autocritique
est d’autant moins fondé que… l’auteur dénie… à cette religion toute valeur qui
justifierait un tel processus autocritique. » »
Nos juges seraient-ils devenus animistes ? Une
doctrine aurait-elle une conscience et une vie ? Faut-il se soucier de la « survie » de
l’islam, faut-il prouver que l’on pense sincèrement pouvoir en appeler à la
conscience qu’aurait cette doctrine pour avoir le droit de lui faire quelque
reproche ???
Et pourtant nous ne nous taisons pas.
Voilà nos féministes vedettes qui s’étouffent :
Phylllis Chesler, une des principales auteures féministe américaines écrit dans
Frontpage, Hamid Zanaz, libre penseur, publie aux Editions de Paris. Ce
mois-ci, le livre de Zineb El Rhazoui : « 13 : Zineb raconte l’enfer du 13 novembre » est édité par
le Ring …
Il y a quelques années, Wafa Sultan affirmait : « J’ai décidé de combattre l’islam,
l’islam lui-même. L’islam n’a jamais été mal compris. L’islam est ce que
Mahomet a dit et fait. »
Zineb El Rhazoui déclare : « Tout ce qui n’est pas
musulman peut être la cible du jihad, est le territoire de la guerre. C’est
le coran qui le dit ...»
«
On a besoin que vous condamniez vos textes qui appellent à commettre ces
meurtres, plutôt que vous continuiez à dédouaner perpétuellement vos textes en
disant : « attention, l’interprétation, l’islam religion de paix et
d’amour, c’est une religion qui est victime d’un problème
d’interprétation ».
« En
France la bien-pensance de gauche adoube complètement cette version et nous
prend pour des cons en fait. »
En fait.
Plusieurs féministes dénoncent les inégalités et
barbaries de la loi islamique, comme Zineb El Razhoui, la plupart d’entre elles
sont elles-mêmes originaires de pays
conquis par l’islam, beaucoup sont contraintes de parler sans se faire
connaitre directement, et celles qui parlent ouvertement sont obligées de vivre sous les
menaces de mort comme Geert Wilders.
Elles sauvent l’honneur du féminisme qui en majorité
soit se tait sur l’islam, soit, et c’est plus grave et pernicieux encore, ment
sur l’islam tout en prétendant combattre l’ « islamisme ».
Si en plus des menaces de ceux des musulmans qui sont
fanatiques, il faut se taire sur ces textes pour plaire à des imbéciles qui n’ont
même pas le ventre de les lire et de les étudier et qui ne savent que lire dans
les pensées des intentions racistes, alors que toutes ces imbéciles là du
mouvement féministe restent à mariner entre elles, elles auront des comptes à
rendre devant l’histoire.
Je ne suis pas franchement fan de Muriel Robin, son style ne me plait pas du tout, mais dans cette interview, elle parle de manière très claire et très juste, de sa vie, de la situation des homos dans la société, des difficultés qu'ils et elles rencontrent encore aujourd'hui, en résumé du simple droit à la foi à l'indifférence et à la considération dans la société.
Вовлекаемый в джихад молодой человек оказывается в том же положении, что и наркоман: его окружающим необходимо проявить бдительность, чтобы не допустить непоправимое.
В
1971 году Мени Грегуар (Ménie Grégoire) подняла сильнейшую шумиху, назвав одну
из своих радиопрограмм «Гомосексуализм, эта болезненная проблема». Хотя
название, безусловно, подразумевало сочувствие, многих возмутила концепция
гомосексуализма как болезни. Предпочтение — не болезнь, говорили
тогда геи. Некоторых из них тогда пытались «лечить», хотя процесс
напоминал скорее пытки и экзорцизм, а не психиатрию.
Сегодня на сайте Министерства внутренних дел мы видим то же самое
выражение в отношении юных исламистов:
«Предотвращение агрессивного радикализма»: «Сегодня Франция столкнулась
с распространением среди сотен людей агрессивных радикальных настроений.
Чаще всего это происходят в связи с террористическими организациями.
(…) Они несут послание ненависти под прикрытием, как утверждается,
гуманитарных целей или во имя искаженных религиозных посылов. (…) В ваше
распоряжение предоставляется телефонная линия помощи и ориентации.
Цель — задействовать государственные ресурсы, чтобы помочь вам преодолеть
эту болезненную проблему».
Вовлекаемый в джихад молодой человек оказывается в том же положении,
что и наркоман: его окружающим необходимо проявить бдительность, чтобы
не допустить непоправимое.
Далее перечисляются «тревожные» сигналы: «Разрыв отношений в школе
и семье, новые привычки в пище и одежде, резкие антисоциальные
заявления, осуждение западного общества, внезапный интерес к религии
или идеологии, рассуждения о конце света…»
Концепция патологии радикализма стала предметом масштабной пропагандистской
кампании. Как утверждается, радикализм — это патология молодежи, которая
ищет идеологический предлог, а не последствие идеологии ислама,
«настоящего ислама».
В Университете Париж-Дидро этому посвятили целый семинар: «Радикализм
и его лечение. Что нам известно об исламизме?» «Речь идет не о
радикализации ислама, а исламизации радикализма», — утверждает Оливье
Руа (Olivier Roy) в Le Monde. Врачам нужно будет как-то отличить
радикализм от веры… если они хотят избежать уголовной ответственности.
Как и в случае с гомосексуализмом, у нас пытаются выставить
патологией то, что ей ни в коей мере не является: предпочтение,
мнение, идеологию.
Ключевая фраза с сайте МВД — это «во имя искаженных религиозных
посылов». Разумеется, ведь нужно любой ценой снять вину с ислама, даже
если при этом будет гибнуть молодежь. Нужно и дальше отрицать, хотя
в самом Коране написано: «Вам предписано сражаться» (2:216).
En 1971, Ménie Grégoire avait soulevé un tollé mi-hilare mi-insurgé en intitulant une de ses émissions de radio « L’homosexualité, ce douloureux problème ». Ce titre, pourtant apparemment compassionnel, avait catalysé la révolte contre la conception de l’homosexualité comme une maladie. Une préférence n’est pas une maladie, affirmèrent alors les homosexuels. À l’époque, nombre d’entre eux et elles étaient internés et détruits, sous prétexte de « soins » qui relevaient plus de la torture punitive et de l’exorcisme que de la psychiatrie.
Aujourd’hui, le site du ministère de l’Intérieur reprend sans sourciller cette expression à propos des jeunes djihadistes :
« Prévention de la radicalisation violente » : « La France est aujourd’hui confrontée au basculement de plusieurs centaines de personnes dans l’engagement radical violent, le plus souvent en lien avec des filières terroristes. (…) Sous couvert de buts prétendument humanitaires, ou au nom d’un message religieux dévoyé, ces filières prônent un discours de haine. (…) un numéro d’assistance et d’orientation a été mis à votre disposition. L’objectif est de mobiliser les moyens de l’État pour vous aider à surmonterce douloureux problème. »
Le jeune tenté par le djihad serait dans la même situation qu’un drogué, qu’un déprimé suicidaire : son entourage est appelé à la vigilance, à la prévention.
Les « signaux d’alerte » sont énumérés : « rupture relationnelle, avec l’école, avec la famille, nouveaux comportements alimentaires, vestimentaires, propos antisociaux virulents ou violents, de condamnation de la société occidentale, intérêt soudain pour telle religion ou telle idéologie, discours relatif à la fin du monde… »
Le concept d’une pathologie de la « radicalisation » fait l’objet d’une vaste campagne de propagande. La « radicalisation » serait une pathologie de la jeunesse qui cherche un prétexte idéologique, et certainement pas la conséquence de l’idéologie de l’islam, en aucun cas celle du « vrai islam ».
Un colloque vient de lui être consacré à l’université Paris-Diderot : « La radicalisation et ses traitements. État des recherches et savoir sur le djihadisme. » Olivier Roy affirme dans Le Monde : « Il ne s’agit pas de la radicalisation de l’islam, mais de l’islamisation de la radicalité. » Les médecins devront signaler sans confondre la « radicalisation » avec une simple foi… sous peine de voir leur responsabilité pénale mise en cause.
Tout comme pour l’homosexualité, il s’agit de faire passer pour une pathologie mentale ce qui n’en est aucunement, ce qui est d’une autre nature : une préférence, un goût, une opinion, une idéologie.
La phrase clé du site est : « au nom d’un message religieux dévoyé ». Il s’agit d’innocenter l’islam à tout prix, même au prix de la vie des jeunes, puisqu’il faudrait pour les protéger réfuter les textes : « Le combat vous a été prescrit » (Coran 2/216), « Le djihad vous a été prescrit »(Boukhari).
" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21
Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe
Depuis que j'ai écrit " L'Europe meurt de la fin des Lumières", l'Europe continue de haïr ceux qui tentent de l'empêcher de se livrer aux assassins fanatiques, ceux parmi les musulmans qui sont jihadistes, de haîr ceux qui veulent l'empêcher de crever " Les yeux grands fermés", pour reprendre le titre du livre de Michèle Tribalat.
Laisser faire le mal est une complicité, laisser tuer des innocents faute de prendre les armes contre les assassins est criminel, empêcher les crimes ne signifie pas haïr les criminels.
L'Europe se hait au point de laisser tuer et violer quantité de ses pauvres, femmes et enfants, paralysée qu'elle est par la peur irrationnelle de tomber dans la haine. C'est de la démence, pure et simple, en cela l'Europe se fait collaboratrice du fascisme actuel, assassin elle-même, et sans doute plus coupable que les fanatiques musulmans eux-mêmes, puisqu'elle a tous les outils intellectuels, philosophiques, toutes les normes pour savoir ce qu'elle commet sur les plus vulnérables : non assistance à populations en danger. L'Europe est comme envoûtée.
Les hauts dignitaires de l'Eglise qui devraient la réveiller, en lui rappelant ses devoirs de protection, en lui rappelant sa capacité de ne pas haïr, de toujours avoir à l'esprit le devoir et la volonté de trouver comment protéger le maximum de vies, même celles des fanatiques, ces hauts dignitaires sont trop nombreux à MENTIR honteusement, eux-mêmes comme envoûtés.
Je crois que
nous sommes pris dans un phénomène étrange .... :
la plupart des
gens qui ne s'autorisent même pas à regarder l'islam, ne sont ni vendus au
Qatar, ni indifférents au sort de leurs enfants :
je pense qu'ils
sont paralysés par la peur de ne pas pouvoir s'empêcher de haïr, par la
certitude qu'ils tomberont dans la haine ou que la masse tombera
inéluctablement dans la haine, et que même le simple fait de penser à
s'informer cache un désir coupable en eux,
(d'où la
réaction élitiste d'un "mensongisme" : l'idée qu'il faudrait mentir
aux masses car la critique de l'islam serait "inaudible" et les
jetteraient dans la fureur les uns contre les autres, que mentir serait la
seule solution)
si bien qu'ils
se l'interdisent et haissent ceux qui pourraient les pousser à faire ce
mal,
et si bien que
le bien qu'il faudrait faire, le seul bien qui permettrait d'échapper à la
violence : la connaissance de la loi islamique pour la discuter, pour pouvoir
convaincre des croyants sincères de son absurdité, ce bien là : ils se
l'interdisent,ils se l'interdisent absolument, alors qu' ils préfèrent croire
uniquement ceux qui leur ordonnent ... de haïr les "terroristes" et
de semer la mort dans leurs pays,
ils sont
convaincus qu'ils ne peuvent pas échapper au mal et cette terreur là, cette
horreur d'eux-mêmes, les dissuade de protéger les faibles et de faire un bien
qui, sans verser une goutte de sang, nous sauveraient tous,
je ne sais pas
ce qu'il faut faire pour pour détruire cette sidération absurde là, mais je la
constate tout le temps et à mon avis, le Pape en est fortement atteint.
Voici deux histoires de personnes portant l'étiquette de "musulmane" : un monstre qui croit que dieu lui ordonne de tuer les enfants non musulmans, et une femme qui se met en en danger pour nous réveiller, et voici la "dernière" de ce clergé aveuglé.
Coran et la Sunna, livre légitimant l'assassinat sous prétexte de combat pour dieu ...
Les règles du jihad peuvent prêter à interprétation, le coran et la sunna n'ordonnent pas littéralement de décapiter des enfants, mais il fulmine de tant d'appel à combattre les mécréants, à les terroriser et à baiser des gosses (Aicha, les esclaves ...), qu'il n'est pas étonnant qu'une femme agisse ainsi, comme ses compagnons ont agit à Beslan, dans une école d'enfants chrétiens en Ossétie, en torturant trois cent enfants par la soif pendant des jours, en vue de les faire mourir de soif sous les yeux de leurs parents, jusqu'à ce que les troupes russes lancent l'assaut ...http://elisseievnatome2.blogspot.fr/2012/04/islam-nazisme-beslan.html
Beslan :
Nourrice de Moscou qui décapite l'enfant de 4 ans dont elle avait la charge et se promène dans Moscou en hurlant et brandissant la tête de l'enfant :
" Je lis le coran, je suis très croyante, j'ai voulu me venger de Poutine " affirme-t-elle.
France: une travailleuse sociale menacée pour un livre sur les
banlieues
CHRISTOPHE
LAMFALUSSYPublié lemercredi 16 mars 2016
INTERNATIONAL
On a beaucoup écrit sur les banlieues françaises, sur
lesquelles se sont penchés criminologues, sociologues, islamologues… Mais on
entend rarement la voix des banlieues.
Nadia Remadna, une travailleuse sociale de 53 ans,
vit à Sevran dans une commune dirigée par un ancien communiste passé dans les
rangs écolos. Cette mère d’origine algérienne a élevé seule ses quatre enfants.
Elle a fondé en 2014 la Brigades des Mères, une association qui tente de
résoudre les situations d’urgence (élèves exclus de l’école, femmes battues,
jeunes en voie de radicalisation islamiste).
Dans unouvragequi
vient de paraître chez Calmann-Lévy, elle pousse un grand coup de gueule contre
la victimisation et le clientélisme dans les banlieues. A-t-elle frappé trop
juste ? Lundi soir, un coup de téléphone anonyme menaçant de s’en prendre à ses
enfants lui a reproché d’"aider les mécréants"."La Libre" l’avait
rencontrée il y a quelques jours.
Nadia
Remadna, vous vivez à Sevran, dans la banlieue parisienne…
C’est une ville du 93 où il y a
beaucoup de chômage, de jeunes, de trafics de drogue et de radicalisation. Elle
a aussi de la solidarité. Les gens essaient de se prendre en mains. Ils sont
tellement pudiques qu’ils font en sorte que les problèmes ne se voient pas.
C’est comme les couples où on a l’impression que tout va bien alors qu’en fait,
ils se déchirent nuit et jour.
Que
dénoncez-vous dans votre livre ?
La politique de la ville. Les banlieues
votent toujours à gauche. Nos quartiers sont comme des prisons à ciel ouvert.
On a utilisé nos blessures pour faire de la politique. Pour moi, la blessure
était la guerre d’Algérie. Aujourd'hui, on nous parle de discrimination, de
racisme et d’islamophobie. On veut nous maintenir dans nos traditions et notre
culture.
(...)
Pour
en sortir, il faut sortir des banlieues ?
A la Brigades des Mères, nous avons
créé ce qu’on appelle des "ponts de la connaissance" avec des mamans
des beaux quartiers de Paris. Pour s’évader, pour combattre les préjugés et
pour dire que la banlieue c’est aussi la France et pas un pays exotique où les
ONG viennent s’installer. Nous voulons reconstruire la République et ramener la
culture française dans ces quartiers. Faire en sorte qu’il y ait une seule
France.
(...)
Quel
rôle les mères peuvent jouer ?
Les mères, c’est sacré. Même un dealer
respecte sa mère. Elles ont un rôle important à jouer face à la radicalisation
dans les quartiers et dans la transmission des idées. Si les parents disent à
la maison que tous les Français sont des mécréants, le jeune voudra zigouiller
tout le monde en sortant. Le religieux domine la banlieue. Il fait les devoirs,
l’informatique, amène les enfants en vacances. On lui a donné une place trop
importante. Avant, le prêtre catholique était appelé pour régler les conflits;
aujourd’hui, c’est l’imam. Le politique négocie avec le religieux et le
religieux négocie avec le politique.
"Avant
on craignait que nos enfants tombent dans la délinquance. Maintenant on a peur
qu’ils deviennent des terroristes", par Nadia Remadna, avec l’aide de
Daniel Bernard, grand reporter à Marianne. Editions Calmann-Lévy, 255 pp,
Paris, décembre 2015.
La prière antisémite et anti-chrétienne du Primat des Gaules
Un Cardinal fait entendre à ses ouailles pendant la messe une prière
musulmane antisémite et anti-chrétienne. Un chant de pure haine vomit par la nasalité
résonne dans la nef de la cathédrale. Le Dieu-qui-hait loué dans l’Eglise du
Dieu censé aimer. Farce. « Sacrilège ».
Et pas n’importe quel jour : la fête de l’Annonciation. On
engrosse Marie d’un verbe de vocifération. Jouir de voir traiter la fille
d’Anne de sœur des singes et des porcs, ricaner de déclarer ouvertement à
l’assemblée réunie ce qu’elle est en effet : égarée.
La messe est annoncée par l’agenda de la Conférence des Evèques de
France : « A l’occasion de la fête de l’Annonciation, des catholiques et des
musulmans (…) veulent (…) rendre hommage à la Vierge Marie, dans le respect de
la tradition de chacun. »
« Rendre hommage à
Marie » : tous les sèmes requis du vocabulaire de la galanterie sont
bien là, avec leur dénégation intrinsèque incluse. Que c’est drôle.
L’idée vient du Liban, comme l’explique le site « ensembleavecmarie.org » :
« Au Liban, Chrétiens et Musulmans
de toutes sensibilités, conscients de leur amour commun pour la Vierge Marie,
mère de Jésus, fêtent ensemble l’Annonciation depuis le 25 mars 2007. L’enjeu
pour l’unité du pays a été perçu si fortement par les autorités que depuis, le
gouvernement libanais a fait de la journée du 25 mars un jour chômé : fête
nationale islamo-chrétienne. Une première dans l’histoire ».
Ainsi, ce lundi 4 avril, avec Philippe Barbarin, étaient présents : Vincent Feroldi, directeur du Service national pour les
relations avec les musulmans, AnouarKbibech, président du Conseil français du culte musulman,
Kamel Kabtane, le recteur de la Grande Mosquée de Lyon, Monseigneur Maroun
Nasser Gemayel.
400 chrétiens et musulmans ont prié. Notre Père. La Fatiha. On
peut entendre un moment sur twitter, hashtag « Ensembleavecmarie ».
La Fatiha : soit les paroles de la première sourate du coran, dont les
derniers paragraphes sont : « Conduis nous dans la Voie droite. La
voie de ceux à qui tu as donné tes bienfaits , qui ne sont ni l’objet de
ton courroux, ni les Egarés ».
Le père de l’actuel recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur,
écrivait dans son commentaire du coran, que quasiment tous les commentateurs
s’accordent pour dire que les égarés sont les chrétiens et ceux qui ont
encouru la colère de Dieu sont les juifs.
Les commentateurs rapprochent en effet la Fatiha de ces autres
versets coraniques : "Dieu
a transformé en singes et en porcs ceux qu’Il a maudits, ceux contre lesquels
Il est courroucé." 5/60 « Le Messie, fils de Marie n’était qu’un apôtre »(5/75)
« Dis : O détenteurs de l’Ecritures ! (…) ne suivez point les
opinions pernicieuses de gens qui, antérieurement, ont été égarés, qui en ont
égaré beaucoup et qui se sont égarés loin du Chemin Uni ».
Pour l’islam, le « Chemin Uni » exige la Soumission. Voilà
ce que veulent cacher les collaborateurs intellectuels du jihad.
Comment procèdent-ils ? En
utilisant un mot pour un autre : « Identité » pour
« sens ».
« La rencontre « Ensemble
avec Marie » est avant tout spirituelle. Nous partons de ce qui nous unit pour
nous ouvrir les uns aux autres, dans le respect de l’identité et de la foi de
chacun. »
Il suffit donc de s’en tenir à l’existence de signes
d’ « identité » communs sans regarder leur « sens »,
pour se réunir. Mais une fois réunis, il faudra laisser chacun exprimer sa foi
selon son « identité ».
La tromperie consiste à occulter le « sens » de ces signes
apparemment « identiques », et celui des autres manifestations de la
foi de chacun, qui sont alors imposées comme condition de la paix civile.
Le 3 avril 2016, dimanche de la
Miséricorde, s’est déroulé en la cathédrale St-Jean de Lyon une messe présidée
par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et Primat des Gaules.
La cathédrale était archi comble des différentes communautés de
réfugiés, notamment syriennes et irakiennes chrétiennes de Lyon, conviées en
tant que « migrants »
afin de « partager un temps de prière
commune ».
Le diocèse de Lyon explique
dans un communiqué :
« Cet événement veut
témoigner de l’engagement du diocèse pour l’accueil et l’accompagnement des
familles contraintes de fuir leur pays, un témoignage d’espérance dans notre
contexte socio-politique ».
Dès les débuts de son homélie, et au nom du sempiternel dialogue
interreligieux, le cardinal fit bien entendu comme régulièrement depuis des
années référence au coran, à cette notion de miséricorde dans l’islam et au
verset introductif de la quasi totalité des sourates « Au nom d’Allah, le tout miséricordieux, le
très miséricordieux », pour nous convaincre que la religion
islamique est « doublement miséricordieuse »
(ses mots dans l’homélie).
(..)
Après son homélie, plusieurs témoignages émouvants de réfugiés
furent prononcés. Dans la foulée, une jeune femme voilée, lyonnaise musulmane,
a récité la Fatiha au micro, au sein de la cathédrale (lire :La Fatiha et la culture de la
haine).
Il y eut ça et là dans la
foule, des applaudissements, essentiellement des Français de “souche” qui
n’avaient rien compris à ce qu’on peut qualifier de sacrilège.
Des murmures et une légère
clameur de mécontentement et de réprobation se firent cependant entendre dans
toute la cathédrale.
Un Irakien en colère s’est même
indigné à haute voix en agitant le bras. On l’a sommé de se taire. Des Irakiens
et des Syriens (chaldéens, syriaques, melkites…) scandalisés ont quitté les
lieux pour se réunir sur le parvis.
Étant présent en tant
qu’observateur, je suis sorti aussitôt pour discuter avec plusieurs groupes
formés d’Irakiens et de Syriens contrariés, outrés et blessés par cette Fatiha
« insultante » récitée par cette voilée dans un lieu saint et
chrétiennement consacré.
J’ai entendu l’un en colère me
dire :
« c’est quoi cette
mascarade ? On a quitté la barbarie de l’islam en Irak et en Syrie pour
nous faire insulter avec cette Fatiha au sein d’une cathédrale, en
plus ! »
Un second manifestement dépité
s’exclame :
« Si je savais que c’était ça la
France catholique, je ne serais pas venu pour me réfugier ici ! »
Un troisième enchaine :
« Ils[les
Français]ne savent pas ce qu’ils racontent ces
ignorants irresponsables ! Ils vont le payer très cher. C’est lamentable
qu’un cardinal agisse ainsi et au nom de la miséricorde. »
Tout est dit ou presque (je censure les paroles encore plus dures
et insultantes !..), surtout qu’un quatrième ironique et moqueur ajoute
interrogateur « la miséricorde de
l’islam ? » en mimant le geste de l’égorgement avec
l’index porté au cou. Celui qui s’était indigné à haute voix dans la cathédrale
s’est précipité vers moi pour me dire : « il faut que quelqu’un dénonce cette ignominie ! »
Préambule : le présent article est une autre forme d'hommage à Maya Surduts, dont je publie dans l'article suivant la lettre que j'avais rédigée en 1999 et qu'elle avait co-signée, en réponse à un dossier du Nouvel Observateur.
Le rapport sur l'institut Marini contient l'observation suivante, page 74 :
" La perception de l'abus sexuel sur enfants par les experts et le grand public :
Dans les années 1940-1950, les premières recherches en psychologie, psychiatrie et sexologie minimisent l'impact de l'abus sexuel sur l'enfant. Inspirés par la tradition freudienne ... (...) L'impact du mouvement féministe s'avère bien plus décisif (...) c'est alors qu'émerge un problème inattendu : les violences sexuelles dont les femmes déclarent avoir été victimes durant leur enfance, la plupart du temps à l'intérieur de leur famille "
Enfants maltraités : quand l’Eglise écoute et enquête …
Fribourg, Suisse. De 1929 à 1950, l’Eglise a la
responsabilité d’un pensionnat pour garçons, l’institut Marini.
2014, un ancien pensionnaire rencontre l’évêque de Fribourg,
et lui raconte les violences qu’il a vécues à l’époque dans ce pensionnat …
Pour toute personne qui entend le témoignage d’une victime
de crime sexuel, il est difficile de réaliser que de telles violences sont vraiment
arrivées, dans la réalité … Que s’est-il effectivement passé ? Comment il
est possible que ces actes aient eu lieu, durant des années ?
Mgr Charles Morerod décide alors de confier une enquête à
trois chercheurs, indépendants de l’Eglise. Une année de recherches aboutit à
un rapport publié sur le site de l’évêché en janvier dernier http://www.diocese-lgf.ch/accueil/abus-sexuels.html
Mon point de vue de féministe française sur l’Eglise et les crimes
sexuels
De Fribourg j’avais entendu dire
en France qu’elle était « Fribourg la catholique, Fribourg la
noire », presqu’un second Vatican miniature. Autant dire qu’en apprenant la nouvelle d’un
scandale d’ « abus sexuels » sur des enfants dans un institut
dépendant de cet évêché, j’ai été interpellée.
Pour les féministes, l’existence
d’une chape de silence autour des crimes sexuels contre les enfants est un
phénomène connu, et qu’elles ont largement contribué à soulever, au prix de
combats contre toutes les autorités en place, notamment le « pouvoir
psy » du dogme psychanalytique. En France, c’est le livre d’Eva Thomas :
« Le viol du silence », puis le roman de Christiane Rochefort
« La porte du fond » qui firent connaitre cette « conspiration
des oreilles bouchées » dans les années 80.
Des groupes de paroles se
constituèrent. Les victimes, femmes et hommes, dirent que leurs
« incestueurs » étaient majoritairement des hommes
« libérés », des pères responsables se chargeant de
« l’éducation sexuelle » de leurs filles, friands de pornographie.
Elles dirent que les adultes ne les croyaient pas, que les prêtres les pensaient
perverses, et que les psychanalystes freudiens les accusaient de « fantasmer ».
Elles dirent que quasiment toutes les autorités, les familles, les écoles, les
médecins, quelques soient leur classe ou leur confession, avaient la même
réaction : nier, cacher le crime. Ou pire : psychiatriser les
victimes et persécuter les mères ou médecins qui tentaient de protéger les
enfants.
Ainsi, la longue dissimulation de
ces crimes n’a rien de surprenant et rien qui serait propre aux milieux
catholiques. Si je m’inquiète de l’évènement que constitue ce rapport, c’est en
raison de la signification qui va lui être donnée. Je crains un nouveau
contresens, au détriment des enfants.
La question des répercutions de la théologie
catholique sur les violences sexuelles est un sujet très vaste et
complexe : je souligne que je ne parle dans le présent article que d’un
seul de ses aspects et absolument pas du « catéchisme » dans son
ensemble.
Le commentaire le plus fréquent aujourd’hui
des crimes sexuels commis par des religieux contre des enfants consiste à
dire : l’enseignement de l’Eglise prône une limitation abusive de la
sexualité, elle produit la frustration qui est la cause des crimes
sexuels.
Ce raisonnement est faux.
L’inverse est vrai. L’enseignement de l’Eglise sur les limites de la sexualité
est une protection des plus faibles contre les crimes sexuels. Elle enseigne la
valeur première des personnes humaine. Les
crimes sexuels ne sont pas produits par la limitation de la sexualité, mais par
le culte de la sexualité, par l’idée du « droit à la sexualité ».
Un culte qui légitime la réduction de personnes à l’état d’objet : il y
aurait des « femmes faites pour cela ».
Pourquoi un tel battage
médiatique aujourd’hui au sujet de la pédophilie dans l’Eglise, alors que la
quasi-totalité de la pédophilie est incestueuse ? Parce que malgré ses lacunes et son restant
de vanité masculine sexiste, l’enseignement de l’Eglise sur la sexualité est,
et a essentiellement toujours été, un barrage « magistral » aux
crimes sexuels.
« Arrache toi l’œil s’il
scandalise un petit … ! ». Qui dans le monde antique avant l’Evèque
d’Epone s’écriait, parlant des prostituées, pour convaincre les hommes de ne
pas les « consommer » : « Oubliez-vous qu’elles ont une
âme ?! ». La « théologie du corps » de Jean-Paul II est une
arme de destruction massive de toute la rhétorique perverse utilisée pour
justifier les violences sexuelles et émotionnelles.
L’idolâtrie de la sexualité
permet de trouver toutes les excuses au violeur. Pire, elle permet à Freud de
décrire l’adolescente Dora comme étant elle, perverse et malade, parce qu’elle
refuse les avances d’un adulte. Les féministes américaines Andréa Dworkin et Robin Morgan expliquaient au sujet de la
« libération sexuelle » de 68 : «L’idée
à la mode était que la baise était une bonne chose, tellement bonne que plus il
y en avait, mieux c’était, que les gens devaient baiser qui ils voulaient. La
baise s’était la liberté. » « A Woodstock ou à Altamont, une femme
pouvait être qualifiée de “coincée” ou “vieux-jeu” si elle refusait de se
laisser violer ».
La primauté de la personne,
contre l’idolâtrie du plaisir et du pouvoir sexuel, est un enseignement qui
fâche, que dis-je, qui déclenche la fureur de tous ceux qui veulent exercer ce
pouvoir là sur autrui, qui veulent l’argent du « travail du sexe ».
Un tiers de la bande passante mondiale d’internet est utilisée pour la
pornographie. Un des hommes les plus riches de France a acquis sa fortune grâce
au téléphone rose.
L’Eglise avec son enseignement de
chasteté est l’ennemi à abattre. Ses prêtres, des hommes masculins, parce
qu’ils sont la preuve vivante que l’amour, la force, la virilité, ne passent
pas nécessairement par la case sexe, doivent être tués, médiatiquement - dans
un premier temps. On ne doit plus pouvoir penser « prêtre » sans
penser « prêtre pédophile ».
Le rapport de l’évêché de
Fribourg doit être lu intégralement : les chercheurs qui l’ont rédigé
présentent à la fois les documents, le cadre historique et idéologique, et les
questionnements soulevés par ces faits, auxquels tous, catholiques ou non,
devraient réfléchir. Il ne faut surtout
pas qu’il en résulte un contresens qui abattrait une pensée protégeant les
enfants ...
Compte tenu de
la gravité de la divulgation par votre journal de thèses favorables aux pères
incestueux, nous vous demandons de bien vouloir publier le texte suivant, afin
de donner aux lecteurs une vision plus
exacte de la réalité de ces crimes.
Nous vous prions
d'agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.
LETTRE
Nous vous faisons
part de notre indignation devant la teneur de votre dossier sur les pères et
leurs filles.
Tout d'abord il
est frappant de constater que les grands
titres utilisés dans ce dossier sont typiques de la rhétorique des
pervers incestueux. Des expressions telles que "le couple le plus
mystérieux""amoureux de sa fille, amoureuse de son père" qui
relèvent du vocabulaire érotique sont transposés à la relation filiale. Il ne
peut d'agir ici d'allégories innocentes, car elles représentent la confusion
entre les générations, qui est une des caractéristiques de l'inceste. "Je
l'ai initiée parce que je l'aime" prétendent les pères incestueurs.
Mais le plus
grave est l'affirmation explicite, se référant à la théorie classique de la
psychanalyse, selon laquelle : " Tout
remonte à la petite enfance, à ce complexe d'Oedipe" "La séduction de
la fille est un substitut à la séduction phallique du garçon envers sa mère. Certains pères cèdent à cette séduction
s'ils sont mal structurés psychiquement. D'où le nombre important d'incestes
". Imputer la cause des incestes à la séduction des pères par leur
filles c'est blâmer la victime, rentrer dans la logique perverse de
l'agresseur.
Pendant des
décennies les cas d'incestes sont apparus
peu fréquents : pourquoi ? Parce que au nom d'une théorie du complexe
d'Œdipe érigée en dogme, la psychanalyse officielle avait imposé l'idee que les
filles n'etaient pas agressées en réalité, qu'elles "fantasmaient" !
Personne ne croyait les victimes … Depuis les travaux de Mary Balmary, de
Jeffrey Moussaiev Masson, d'Alice Miller et d'autres psys, la théorie
psychanalytique a été remise en cause au sujet de l'inceste : votre article
n'en fait aucune mention.
Non les incestes
ne sont pas dus à la perversion des filles, mais bien à celle des pères. Non
l'inceste n'est pas une relation d'amour,
mais de destruction de l'enfant. Les pères l'imposent par la violence,
la terreur, la menace, sur les enfants et sur la mère, ou par une emprise
douceureuse et d'autant plus déstructurante pour l'enfant. Ils l'imposent
aussi, et de plus en plus actuellement
en accusant la mère qui tente de protéger l'enfant, d'allégations
mensongères, de dénonciation calomnieuses, de non-présentation de l'enfant...
Forcer un enfant
à voir son père, serait ce une preuve d'amour de la part de ce dernier ?
Une campagne est
menée actuellement pour discréditer ces mères. Certes, la manipulation d'un
enfant dans un divorce, l'accusation fausse contre un père peuvent être
dramatiques, d'abord pour l'enfant. Mais un abus sexuel subi par un enfant
laisse de nombreuses traces objectives (son comportement, celui de son
entourage, ses réactions, son état de santé physique et mentale…) que des
psychologues et des enquêteurs de police, dès lors qu'ils font une étude
approfondie, ne peuvent confondre avec le comportement d'un enfant qui aurait
été manipulé. Les affaires de pseudo- souvenirs d'inceste obtenus sous hypnose
aux USA, qui sont des aberrations, ne doivent pas être récupérées pour
disqualifier les expertises des pédopsychiatres en France.
Nous lançons un
cri d'alarme. Parmi les pervers il y a nombre d'hommes puissants, influents,
manipulateurs, parfaitement capables d'orchestrer de telles campagnes. La
presse doit être vigilante, ne pas se prêter à leur jeu : le sort de milliers
d'enfants en dépend.
Signatures :
- Francine
Comte, auteure de "Jocaste délivrée - maternité et représentation des
rôles sexuels" (1991)
Je suis une militante bénévole, indépendante. Mon job n’a rien à voir directement avec le féminisme et je n’ai jamais brigué de poste d’intellectuel fonctionnarisé ou salarié ni de poste politique, je ne dépend pas non plus d’un lectorat. D’où ma stricte indépendance, à la différence de la quasi-totalité des militantes actuelles.
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.
Mise au point sur la collaboration actuelle avec le fascisme.
J’appelle fascisme le fait de considérer que des êtres humains auraient une valeur inférieure à d’autres et mériteraient de voir leur vie dépendre du bon vouloir des êtres se considérant comme supérieurs.
Le fascisme est une tendance universellle en tant que concrétisation des tendances à l’égoisme et à l’arrogance des êtres incarnés que nous sommes, mais cette tendance est soit contrée, soit encouragée par des théories qui le légitiment ou le déconsidèrent.
Nier le contenu de théories fascistes, dénigrer, faire des procès d’intention à ceux qui s’opposent à un fascisme, c’est se faire l’allié, le complice du fascisme, nier le contenu fasciste de théorie sans même enprendre connaissance est non seulement d’une imbécilité affiligeante, mais c’est se faire l’allié, le complice du fascisme.
L’islam est une version arabe du fascisme, comme le nazisme est sa version allemande, comme les massacreurs mongols antiques des chinois furent des fascistes en acte, comme les massacreurs du rwanda le furent.
Les féministes qui osent dénigrer d’autres féministes alors qu’elles même ne se donnent même pas la peine d’écouter les personnes issues de pays musulmans qui critiquent l’islam, ne se donnent même pas la peine d’étudier par elles mêmes, sont objectivement des complices du fascisme islamique et auront à en répondre.
Les antiféministes et autres petits bonshommes minables qui reprochent spécifiquement aux féministes de ne pas contester ce qu’ils nomment islamisme, alors qu’eux-mêmes ne s’y opposent que pour des raisons identitaires ou en prenant bien soin de donner des gages aux tueurs en utilisant une terminologie qui signifie qu’ils ne critiquent pas la doctrine de l’islam, sont des complices du fascisme et des minables.
Ceux qui mettent en danger d’autres personnes en lutte contre un fascisme voulant imposer une loi non démocratique et extérieure, se rendent coupables de collaboration avec un fascisme, d’intelligence avec l’ennemi, de mise en danger d’autrui, de menaces, d’atteinte à des libertés fondamentales, et le cas échéant de corruption.
Je renvoie ceux et celles qui me critiquent ou me menacent ainsi à la considération de votre propre dégueulasserie intégrale. Je suis contre la peine de mort, mais je ne pleure pas sur le sort des Brasillac et autres fumiers liquidés à la Libération car ils étaient eux-mêmes des TUEURS conscients de ce qu’ils faisaient, ou pouvant parfaitement en prendre conscience.
Le déni de l’égale valeur des êtres humains se produit aussi de même moins apparente. La réduction des femmes à des êtres destinées à servir aux « droits sexuels et reproductifs » des hommes, est une des formes de déni de leur égale valeur. L’oubli ou la négation du corps des femmes dans la maternité légitime à l’évidence cette réduction. Mais il faut faire attention aux arguments employés pour défendre le corps des femmes, car dire que les adultes auraient un droit de jouir de leur corps en créant une vie qui impliquerait de nier cette vie tout en donnant le droit de la supprimer, revient aussi à donner à certains humains vivants ( ce que nous sommes tous dès la première cellule) moins de valeur qu’à d’autres. Cette affirmation ne peut que se retourner contre les femmes les plus vulnérables.
site russophile
La Russie est représentée aujourd'hui comme un Etat quasi nazi, prêt à envahir l'Occident. La Russie et la compassion de Valaam sont en réalité encerclés par les adorateurs de l'argent, militairement, et médiatiquement. Je suis pour la Russie et l'essentiel des idées orthodoxes. En espérant que l'orthodoxie se défasse de ses scories sexistes et homophobes.
"Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu."
La liberté selon Dostoievsky, "L'idée russe" Nicolas Berdaiev.
âme, pardon et judaisme
"Le judaisme a créé le "prochain" et avec lui la conception de l'humanité dans son vrai sens celui de l'estime pour la dignité humaine et la révérence du Divin pour tout ce qui porte visage humain" Rabbin Leo Baeck
" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21
Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe
Féministe
Love is a basic human right
We're millions. We're everywhere. We're the #ExMuslims
Sibérie : camp
Margarethe II du Danemark
Margareth II, reine du Danemark
«Nous avons laissé la question de l’islam flotter trop longtemps, car nous sommes tolérants et bien paresseux. Il faut, de temps à autre, courir le risque de se voir coller une étiquette moins flatteuse, car il y a certaines choses pour lesquelles on ne doit pas montrer de tolérance.»
pour la vie ...
Eternal flame
Концерт Детского хора России в Мариинском
Hirsi Ali 2008
et le commentaire pitoyable ...
Débat entre deux personnes civilisées : Wafa Sultan et Daniel Pipes
Geert Wilders
Let us raise a flag of truth and liberation by Geert Wilders
Nine years ago this month, in November 2004, policemen wearing bullet proof vests and carrying machine guns picked me up at my home and drove me to a safe place. This happened two days after the filmmaker and Islam-critic Theo van Gogh was murdered by an Islamic assassin in broad daylight on an Amsterdam street. The police brought me to safety because Islamic criminals had threatened to kill me, too. Because I, too, spoke the truth about Islam, the biggest threat to our freedom and our civilization. Since that ominous date, nine years ago, I have been forced to live under constant police protection. I have lived in army barracks, prisons and safe houses. The threats continue to this day and have deprived me of my privacy and my freedom. But I will continue to speak. The flag of Saudi Arabia proudly proclaims the Shahada or the Islamic declaration of faith: “There is no god but Allah and Muhammad is the messenger of Allah.” In remembrance of the past nine years, in remembrance of the thousands of victims who were murdered in that period by Islamic assassins, in London, in Moscow, in Mumbai, in Nairobi, and in countless other places, and in remembrance of the millions of people — women, apostates, non-Muslims — who daily suffer discrimination and humiliation from the evil ideology of Islam and oppressive Islamic Sharia law, I offer the Islamic world a new flag — a flag with a declaration of truth and liberation: “Islam is a lie, Muhammad a criminal, the Koran is poison.” Only when the Islamic world comes to realize this truth, will it be able to free itself from evil, making the world a better and safer place for all human beings. Only when the free world comes to realize that Islam is predominantly a totalitarian ideology rather than a religion, will it be able to defend its liberties and values. November 2013