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COVID et CRIMES

Intersexe : " J'étais autre chose "


Les maltraitances contre les intersexes sont aussi absurdes qu'horribles, et intolérables.

Vouloir assigner des enfants intersexes à un sexe contre un autre, est une négation de leur biologie, et un trouble induit dans leur identité.
Acceptons de reconnaitre la variété biologique des êtres vivants : les hommes, les femmes, les personnes ayant des caractéristiques physiques non typiques de l'un ou l'autre.

BIOLOGIQUEMENT il existe des personnes qui n'ont pas les caractéristiques typiques d'un sexe ou d'un autre.
Dès lors qu'elles ou ils sont en bonne santé : où est le problème, sinon dans l'esprit dérangé d'idéologues fanatiques de l'assignation à un sexe ou un autre de tous les êtres humains.?

Il est ridicule de confondre cette situation avec une théorie de libre choix ou de pur culturalisme plus ou moins fumeuse. Nier la réalité biologique des êtres est une violence, les mutiler encore plus, les accuser de prétendre à une liberté abusive de choix alors qu'ils décrivent ou veulent savoir ce qui est arrivé à leur propre corps, est une maltraitance morale et une imbécilité.

ll faut être cinglé pour mutiler des enfants ou les traiter chimiquement, alors qu'ils n'ont aucun problème de santé, il s'agit de CRIMES. Tenter de "forcer" la ressemblance à un sexe est rajouter une perturbation biologique, chimique, à une "anomalie" déjà existante, en créant un trouble de santé de toute pièce, là où il n'y en a aucun. Ces actes sont complètement opposées à l'éthique médicale normale : d'abord ne pas nuire.

Les hermaphrodites et autres intersexes ne doivent plus vivre comme des bêtes de foire ou des souris de laboratoire.

Vincent Guillot &  Ins A Kromminga


 

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