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COVID et CRIMES

Encore un cas de renonciation à la liberté d'écrire sous sa propre identité ...




Pour protéger un prof harcelé par des musulmans, nous retirons son nom de RL

Publié le 8 décembre 2016 - par Jeanne Bourdillon

Voilà le texte que nous avons reçu, il y a quelques jours, d’un professeur de Français, que, par précaution, nous appellerons Vincent Leberre.

Bonjour,
En  2011, peu de temps après la création de Riposte laïque, j’avais rédigé quelques papiers que vous aviez publiés, notamment au sujet du voile. J’avais apprécié que vous preniez en compte mes réflexions.
Professeur de Français, ces articles me valent désormais des remarques et des contestations de parents d’élèves qui m’accusent de manquer d’objectivité dans mes cours et de m’y livrer à de la propagande islamophobe. Il devient par conséquent difficile pour moi désormais d’enseigner de manière sereine, notamment sur la question religieuse, ainsi que sur la laïcité. Je ne souhaite pas que ces désagréments, qui pour l’instant en restent à des explications verbales, prennent un tour qui pourrait m’être plus gravement préjudiciable. Il m’importe également de pouvoir poursuivre ma mission d’instruction sans devoir en permanence justifier le contenu de mes cours auprès de parents qui ont du mal à saisir que je dissocie mon métier et mes engagements personnels. C’est pour pouvoir continuer à assumer des prises de positions politiques sans avoir à en rendre compte à des parents d’élèves que je prends conscience de la nécessité impérieuse de ne plus les partager sous mon nom et mon prénom.
C’est pourquoi, je vous serais particulièrement reconnaissant de bien vouloir, soit supprimer mes contributions à votre site, soit modifier mon nom en le remplaçant par un pseudonyme qui ne permettrait pas de m’identifier.
Je vous remercie de prendre en compte ma requête.
Cordialement,
Vincent Leberre

Bien évidemment, nous avons changé le nom de l’auteur, tout en conservant les articles, pour préserver sa sécurité. Cet enseignant ne croit pas utile de stipuler l’origine des parents d’élèves qui le harcèlent, mais est-ce nécessaire ? Tout le monde a compris. Cette anecdote ne résume-t-elle pas les propos que tiennent Eric Zemmour et Philippe de Villiers sur la réalité de la guerre de conquête que nous mènent les soldats d’Allah, même déguisés en honorables parents d’élèves, bien évidemment choqués que le professeur de français de leurs enfants puisse écrire sur un site comme Riposte Laïque, au sujet du voile.
C’est une guerre musulmane contre la liberté d’expression des infidèles. Cela commence par la contestation de ses écrits, même en dehors de l’école. Cela continue par des pressions sur la hiérarchie de l’Education nationale. Et cela se poursuivra forcément par des intimidations physiques, des menaces, voire des agressions, comme cela est déjà arrivé à une enseignante, à l’époque contributrice de Riposte Laïque, qui a cessé toute activité militante depuis, pour protéger sa famille.
Louis Chagnon, en 2003, pour avoir dit la vérité sur Mahomet dans un cours d’histoire, a été harcelé par des parents d’élèves et sanctionné par l’Education nationale.
Notre ami Maurice Vidal racontait fort bien, dans un autre registre, sa vie d’enseignant, aux journée de la Dissidence.
Christine Tasin a dû déménager de la ville où elle enseignait, sur les plus vives recommandations des autorités policières.
Dans d’autres registres, des enseignants renoncent à évoquer certaines périodes historiques, afin de ne pas susciter des polémiques interminables et des contestations systématiques.
Dans le livre « Kiffe la France », Jean-François Chemain décrivait, dans le 9-3, de nombreux élèves fascinés par Hitler et Ben Laden.
Tout cela, c’est silence radio, alors que c’est la preuve, vécue par des enseignants trop souvent masochistes et complices de leurs bourreaux, de l’islamisation de la France, et, par la violence et l’intimidation, de la mise en place insidieuse de parcelles de charia sur notre territoire.
Lors de la campagne américaine, Donald Trump faisait intervenir, à ses côtés, des citoyens victimes des faits qu’il dénonçait.
Quel candidat aura le courage, lors de cette campagne, de faire témoigner des Français, enseignants ou d’autres, pour qu’ils racontent ce qu’ils subissent, à cause de l’islam et de ses soldats, dans le quotidien.
Et quels Français sont-ils prêts à témoigner ? On prend les noms, des fois que…

Jeanne Bourdillon

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