Article épinglé

COVID et CRIMES

Une députée Verte pour les femmes au tapin, le boycott d'israel, le port du voile

" Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire."
Houari Boumedienne président algérien, discours à l’ONU en 1974.

Une sénatrice verte a organiser des opérations ILLEGALE de boycot des produits israeliens ( http://www.youtube.com/watch?v=y9J1Ene0iaE ), promeut l'institutionalisation de la prostitution, et le voile des femmes : Alima Boumédienne-Thiery.

Sur son site on peut lire sa question à un ministre : " http://alima-boumediene.org/spip.php?article257 ) >>Discrimination à l’égard des femmes voilées 14 novembre 2006 Auteur(e) : Alima Boumediene-Thiery « Monsieur le Premier Ministre,
Je ne souhaite pas ici m’appesantir sur l’accroissement des agressions et des discriminations exercées à l’encontre des femmes portant un foulard, foulard qualifié d’islamique, mais je veux attirer votre attention sur les discriminations exercées à l’encontre de ces femmes, par des personnes titulaires de l’autorité publique.
Même si les Verts, se sont fortement opposés à cette loi du 15 mars 2004, que je continue à considérer comme une loi d’exception, discriminante et raciste, qui s’oppose totalement à l’esprit de notre laïcité, définie par la loi de 1905, nous voulons qu’elle s’applique sans effets collatéraux..."

Cette femme qui ose qualifier une loi de la République de raciste, qui ose bafouer la loi française en organisant des invasions de supermarché pour boycotter des produits du seul petit état "pour" les juifs, organise maintenant l'institutionalisation du tapin pour les femmes, et il va de soi que ce ne sera pas celle des voilées - ou destinées à l'être ..
Autrement dit les femmes occidentales au tapin, des arabo-musulmanes voilées, les juifs persécutés : voilà "la France d'après" à la mode d'une femme qui ne mérite en rien la nationalité française et ne montre en rien une assimilation à ses valeurs.

Coordination Française
Marche Mondiale des Femmes

COMMUNIQUÉ
Non, la prostitution n'est pas un métier comme un autre !

Ce mercredi au Sénat, avec le concours actif d'une sénatrice des Verts, avaient lieu les Assises de la prostitution (4ème édition), ainsi qu'une manifestation organisée par des personnes prostitué-es pour les "Droits des travailleurs-ses du sexe".

La Coordination Française de la Marche Mondiale des Femmes tient à rappeler que la prostitution :
- Doit être reconnue comme une violence contre les femmes ;
- Qu'il s'agit là de la plus archaïque expression de la domination masculine sur les femmes ;

Tout en étant opposées à la stigmatisation des personnes prostituées, nous refusons la marchandisation du corps des femmes et toute politique règlementariste, la prostitution ne pouvant en aucun être considérée comme un métier possible.

Nous luttons et agissons pour un monde sans violence et pour l'émancipation de toutes et tous.

Coordination Française Marche Mondiale des Femmes

http://www.unals.org/

La prostitution s'invite au Sénat
Cette année encore, le Collectif Droits et prostitution et le STRASS organise les Assises de la prostitution en partenariat avec l'UNALS et le Sénat. Cette rencontre aura lieu le 24 mars 2010 au Sénat (Palais du Luxembourg) et réunira des personnes prostituées et divers acteurs du monde associatif de la santé et de l’action sociale, ainsi que des chercheurs en sciences sociales.
Inscription obligatoire à l'adresse suivante: assisesprostitution2009@gmail.com
Consultez le programme: Lire le document (... en savoir plus) http://www.unals.org/docs/Assises_de_la_Prostitution_2010.pdf
http://www.unals.org/index.php?id=113


Dans la même ligne de pensée - à part la question juive - on voit une Malika Amaouche mobiliser à la fois contre la loi sur le voile, contre les féministes qui ne militent pas pour l'algérie, et pour le reglementarisme en matière de prostitution :

Ainsi, elle appelle à manifester pour la prostitution :

MERCREDI 24 MARS - 18 H devant le Sénat Place Paul Claudel
MANIFESTATION POUR LES DROITS DES TRAVAILLEU(R)SES DU SEXE,
ProstituéEs, Seworkers, Escortes, Catins, Péripatéticiennes, Tapins,
Gigolos, Putes, CourtisanEs, ProfessionnellEs du sexe, CallGirls &
Boys, Filles et Garçons de joie, etc
Le collectif Droits et Prostitution et le Strass organisent la
quatrième édition des Assises de la prostitution au Palais de
Luxembourg sur invitation d'Alima Boumédiène-Thiery, Cette année
encore, les travailleurSES du sexe et leurs alliés s'empareront de
sujets qui les concernent comme la prostitution sur Internet, les
clients et les maisons closes/ ouvertes.Contact :
ARCAT :Miguel Ange Garzo 06 81 43 48 15
BUS DES FEMMES : Claude Boucher 06 99 82 96 15
LE PASTT : Camille Cabral 06 74 67 03 33
LE STRASS : Gilda : 06 23 06 87 01
Collectif Droits et prostitution : Malika Amaouche 06 08 00 52 91

Ainsi elle accuse le CNDF d'insulte et de racisme parce qu'il ne commemore pas un épisode de la guerre d'algérie :

Sur http://lmsi.net/spip.php?article941
Le 17 octobre prochain, le CNDF (le collectif national pour le droit des femmes) et les Femmes solidaires, avec le soutien de plus d’une cinquantaine d’associations et de partis politiques ont choisi d’organiser une manifestation nationale pour les droits des femmes. Nous, qui sommes des femmes et des lesbiennes qui avons traversé en militantes des espaces féministes, estimons que le choix de cette date est fort inapproprié, voire insultant.
Aussi pensons-nous qu’il est politiquement nécessaire de se positionner, de rappeler avec les associations et les personnes qui se souviennent que la République Française s’est bâtie sur son empire colonial, que cette date est désormais inséparable de l’année 1961.
Nous nous souvenons du 17 octobre 1961 (...)
Choisir le 17 octobre, pour organiser une manifestation sans attache ni rappel aux événements de 1961, c’est participer au déni généralisé de l’histoire de la résistance au colonialisme, c’est court-circuiter le combat de restitution de la mémoire mené par les générations issues de l’immigration coloniale et post-coloniale. Choisir cette date, c’est occulter les résistances passées et actuelles, avec la violence sourde qui caractérise les dominants.
En cela, c’est une forme de racisme.
Avec le soutien de : Amélie Delaunay, Clarisse Loyen, Chantal, Christine Chaudet, Claire Allam-Revuz, Corine Sagnane, Doriane Meurant, Emmanuelle Détienne, Flor, Florence Mattozzi, Hélène Harder, Janick Penhoat, Jamila Belaïdi, Kaissa, Kat, Loulou Valérie Morin, Malika Amaouche, Myrlie, Nasima Amazighe, Odile, Samia Leulmi, Sanaa, Sara, Sophia Jomni, Zohra Yadel, et le CFPE (Collectif des Féministes pour l’Egalité).

Ainsi, elle dénonce la loi de 2004 sur les signes religieux à l'école

http://www.narosnews.fr/spip.php?breve54
Oui à la laïcité / Non aux lois d’exception
Appel d’acteurs du système scolaire et de militants associatifs laïques et féministes contre toute loi d’exclusion des élèves portant le foulard et pour une véritable politique éducative
Il est à nouveau question, dans le débat public, d’une loi très « stricte » visant à « redéfinir » l’application du principe de laïcité à l’école. Cette loi s’apparente à une loi d’exception, construite sur mesure autour du foulard islamique. Personne n’est dupe : c’est le foulard qui est à l’origine du débat, et c’est lui qui serait seul touché par une loi, même si celle-ci se présentait comme « générale ». (...)
Elle ne peut donc être ressentie par les élèves que comme une mesure brutale et discriminatoire, venant redoubler toutes les injustices que subissent déjà, dans leurs quartiers, les jeunes des milieux populaires, notamment ceux qui sont issus de l’immigration post-coloniale.
(..) Nous refusons enfin de nous laisser enfermer dans un faux débat qui encourage toutes les divisions et tous les affrontements identitaires (entre « la France » et « les immigrés », entre « la République » et « l’Islam », ou encore entre les diverses confessions), alors que les principaux problèmes sont socio-économiques et politiques - libéralisation de l’économie, chômage de masse, précarisation des salariés, extension du contrôle social et des logiques sécuritaires, permanence des discriminations racistes et de l’inégalité sociale entre hommes et femmes...
Premiers signataires :
Malika Amaouche, militante féministe (Act Up, Femmes Publiques)
Etienne Balibar, universitaire
Françoise Gaspard, universitaire et militante féministe
Anne Souyris, militante féministe (présidente de Femmes publiques)
Pierre Tévanian, enseignant (SNES)

Ainsi, elle participe au "collectif Féministe partout ", qui n'est rien d'autre qu'un refus du féministe blanc "émancipateur" :

JEUDI 4 MARS 2010
Rassemblement féministe samedi 6 mars 2010 : pas en notre nom !
Dans le cadre de la journée internationale des luttes féministes, le collectif Féministes Partout vous invite à un rassemblement ce SAMEDI 6 MARS à la Rotonde Jaurès - Stalingrad, Paris 19e, de 15h à 17h.
La république n'est pas la liberté pour touTEs ni l'égalité entre touTEs et la fraternité ne profite qu'à certaiNEs.
La république française est raciste
Nous refusons que le féminisme soit exhibé pour discriminer et exclure - par exemple les femmes voilées ou portant la burqa de l’espace public - ou pour justifier le refus de cartes de séjour et de naturalisations.
Nous refusons que le féminisme soit brandi comme un « label de civilisation » et de modernité.
La république française est hétérosexiste, hétéropatriarcale et homophobe
Le patriarcat des blancs est bien installé, adossé à la religion catholique : le gouvernement soi-disant laïc est mené par un premier ministre catholique pratiquant qui adore rencontrer le pape, Boutin-et-sa-bible a été ministre, le président de la république se signe à tout moment… Un système violemment à l'attaque contre les gouines, trans, pédés et les putes ;
Nous refusons le féminisme universaliste blanc, bourgeois, laïcard et hétéronormé qui impose ses croyances républicaines et ses normes d’émancipation, prétexte à la déferlante haineuse et moralisatrice qui oppose les femmes.
Nous nous réclamons d'un féminisme qui ne se base pas sur une injonction à l'émancipation, qui ne dicte pas un modèle unique de libération mais qui repose sur la parole et les revendications des premières concernées.
Collectif Féministes partout – Paris, mars 2010
http://feministespartout.blogspot.com/
Sexisme partout, féministes partout !
À l’appel de :
Alternative Libertaire, Atelier de lectures féministes (CIP-IDF),Droits et Prostitution, Etudions Gayment, Femmes Publiques, collectif Langues de putes, Les mots sont importants, Mix-Cité,Les Panthères roses, Pari-T, Les Putes, le Torchon brûle toujours, les Tumultueuses

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