Premieres signatures de l'appel en faveur de l'université de Toulouse III
2009/4/14 bonjour!
je suis bien sûre, tout à fait d'accord pour signer cette pétition
bonne journée
Philiberte
***
Le 14 avril 2009:
Bonjour Elisseievna,
J’apporte mon soutien total à la décision prise par l’Université de ne pas accepter qu’une enseignante porte en cours un symbole de l’oppression de la femme et de la volonté d’imposer une idéologie déclarant que les hommes ne sont pas égaux. Nadia
***
Le 14 avril 2009 09
Bien évidemment, je soutiens la décision de l'Université de Tolouse III. Il n'est pas admissible qu'un enseignant, fût-il en université, fasse du proslytisme religieux et porte une marque de discrimination sexuelle.
Christine Tasin
***
Le 14 avril 2009 14:57,
Je soutiens avec les vraies femmes qui n'ont pas honte de l'être, la
décision de l'université de Toulouse de ne pas accepter une femme qui se
cache sous des chiffons.
Maud Tabachnik, écrivaine.
PS. À quand la même tolérance pour les non musulmanes dans les les pays qui
le sont ?
***
Mardi, 14 Avril 2009
Je soutiens sans aucune réserve l'université de Toulouse III
dans ce licenciement. Ce n'est pas à la France de s'adapter
à l'islam mais à l'islam de s'adapter à la France.
Robert Redeker
www.robertredeker.fr
***
Bravo ! Je suis scandalisée par cette situation et soutiens totalement l’Université !
Annie Sugier
Présidente de la Ligue du Droit International des Femmes
***
JE soutiens l’Université de Toulouse III, qui a appliqué la loi de la République laique en licenciant une étudiante voilée. Le port du voile, symbole de l’apartheid des femmes, porte atteinte gravement à l’égalité des sexes et à la laïcité, fondement de la République.
Anne Zelensky, présidente de la Ligue du droit des femmes, co fondé avec Simone de Beauvoir en 1974.
***
Le 14 avril 2009
Chère Elisseievna,
Bien sûr je soutiens l'université dont rien ne dit d'ailleurs qu'il soit vrai qu'elle ait licencié cette personne en raison du port du voile.
Le voile est une protection contre le viol. Une femme non voilée peut être violée sans fautre du violeur, selon la chariah. Donc le voile islamique est agressif à l'encontre des femmes non voilées. Comme langage antisocial, il doit être interdit.
Respectueusement.
Denis Merlin
http://denismerlin.blogspot.com/
***
Je soutiens la décision de l’Université Toulouse III d’avoir licencié une étudiante universitaire en raison de son prosélytisme musulman mis en évidence par le port du voile islamique troublant ainsi l’ordre laïque républicain et portant atteinte à la liberté de conscience de ses collègues.
Le voile musulman est loin d’être un simple morceau de tissu que les femmes musulmanes portent sur la tête, c’est « un code de vie » qui induit les autres règles de l’islam : la polygamie, la supériorité de l’homme sur la femme, l’inégalité devant la succession entre les hommes et les femmes, la femme en l’islam ne valant que la moitié d’un homme. Le voile est là pour interdire ce que les oulémas appellent le « nudisme » qui concerne principalement les femmes car elles sont réputées être les instruments de Satan en voulant séduire les hommes par l’exposition de leurs appâts. Les musulmans entendent par « nudisme » l’exposition publique des chevelures, bras, jambes, poitrines, cous ou oreilles des femmes ! Le voile n’étant obligatoire qu’à partir du moment où une jeune fille a ses règles, le voile indique qu’elle est prête à être mariée, puisqu’elle est en âge d’avoir des enfants. Le voile la place ainsi sur le marché matrimonial musulman ; voile qui indique aux non-musulmans que ces femmes leur sont interdites puisque l’islam interdit à une musulmane de se marier avec un non-musulman.
Le voile est donc un signe d’auto-discrimination.
Par ces considérations, le voile islamique est incompatible avec les principes républicains d’égalité entre les hommes et les femmes, il est par conséquent tout à fait logique que les institutions issues de cette République l’interdisent.
Louis CHAGNON
Historien
***
Je vous soutiens du fond du coeur !
Les entorchonnées n'ont pas leur place à l'Université en France. Qu'elles aillent doctorer à Alger, à Téhéran ou à...Kaboul ! Elles verront bien comment elles seront acceptées.
Tout ce qui peut barrer la route à l'Islam et à l'expression de l'Islam est bon.
A 80 ans, je peux comparer ce qu'est l'invasion des barbus et des barbares aujourd'hui à ce que fut l'invasion des hordes fascistes : le danger est cent fois plus grand parce que plus sournois.
Il faut écraser ces fanatiques de la charia, du sang et de la mort avant qu'ils ne nous tuent. Leur sale guerre commence par le torchon-voile de leurs femmes et se terminera par le linceul de nos enfants si l'on n'y prend garde.
L'Islam est la plus grande calamité de tous les temps. Le tolérer est déjà une grande faute. Le combattre est un devoir absolu qui ne nécessite même pas un instant de réflexion.
L'Islam, c'est la mort. "Il est des morts qu'il faut qu'on tue" (Fernand Desnoyers).
Bernard, 80 ans, agnostique.
je suis bien sûre, tout à fait d'accord pour signer cette pétition
bonne journée
Philiberte
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Le 14 avril 2009:
Bonjour Elisseievna,
J’apporte mon soutien total à la décision prise par l’Université de ne pas accepter qu’une enseignante porte en cours un symbole de l’oppression de la femme et de la volonté d’imposer une idéologie déclarant que les hommes ne sont pas égaux. Nadia
***
Le 14 avril 2009 09
Bien évidemment, je soutiens la décision de l'Université de Tolouse III. Il n'est pas admissible qu'un enseignant, fût-il en université, fasse du proslytisme religieux et porte une marque de discrimination sexuelle.
Christine Tasin
***
Le 14 avril 2009 14:57,
Je soutiens avec les vraies femmes qui n'ont pas honte de l'être, la
décision de l'université de Toulouse de ne pas accepter une femme qui se
cache sous des chiffons.
Maud Tabachnik, écrivaine.
PS. À quand la même tolérance pour les non musulmanes dans les les pays qui
le sont ?
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Mardi, 14 Avril 2009
Je soutiens sans aucune réserve l'université de Toulouse III
dans ce licenciement. Ce n'est pas à la France de s'adapter
à l'islam mais à l'islam de s'adapter à la France.
Robert Redeker
www.robertredeker.fr
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Bravo ! Je suis scandalisée par cette situation et soutiens totalement l’Université !
Annie Sugier
Présidente de la Ligue du Droit International des Femmes
***
JE soutiens l’Université de Toulouse III, qui a appliqué la loi de la République laique en licenciant une étudiante voilée. Le port du voile, symbole de l’apartheid des femmes, porte atteinte gravement à l’égalité des sexes et à la laïcité, fondement de la République.
Anne Zelensky, présidente de la Ligue du droit des femmes, co fondé avec Simone de Beauvoir en 1974.
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Le 14 avril 2009
Chère Elisseievna,
Bien sûr je soutiens l'université dont rien ne dit d'ailleurs qu'il soit vrai qu'elle ait licencié cette personne en raison du port du voile.
Le voile est une protection contre le viol. Une femme non voilée peut être violée sans fautre du violeur, selon la chariah. Donc le voile islamique est agressif à l'encontre des femmes non voilées. Comme langage antisocial, il doit être interdit.
Respectueusement.
Denis Merlin
http://denismerlin.blogspot.com/
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Je soutiens la décision de l’Université Toulouse III d’avoir licencié une étudiante universitaire en raison de son prosélytisme musulman mis en évidence par le port du voile islamique troublant ainsi l’ordre laïque républicain et portant atteinte à la liberté de conscience de ses collègues.
Le voile musulman est loin d’être un simple morceau de tissu que les femmes musulmanes portent sur la tête, c’est « un code de vie » qui induit les autres règles de l’islam : la polygamie, la supériorité de l’homme sur la femme, l’inégalité devant la succession entre les hommes et les femmes, la femme en l’islam ne valant que la moitié d’un homme. Le voile est là pour interdire ce que les oulémas appellent le « nudisme » qui concerne principalement les femmes car elles sont réputées être les instruments de Satan en voulant séduire les hommes par l’exposition de leurs appâts. Les musulmans entendent par « nudisme » l’exposition publique des chevelures, bras, jambes, poitrines, cous ou oreilles des femmes ! Le voile n’étant obligatoire qu’à partir du moment où une jeune fille a ses règles, le voile indique qu’elle est prête à être mariée, puisqu’elle est en âge d’avoir des enfants. Le voile la place ainsi sur le marché matrimonial musulman ; voile qui indique aux non-musulmans que ces femmes leur sont interdites puisque l’islam interdit à une musulmane de se marier avec un non-musulman.
Le voile est donc un signe d’auto-discrimination.
Par ces considérations, le voile islamique est incompatible avec les principes républicains d’égalité entre les hommes et les femmes, il est par conséquent tout à fait logique que les institutions issues de cette République l’interdisent.
Louis CHAGNON
Historien
***
Je vous soutiens du fond du coeur !
Les entorchonnées n'ont pas leur place à l'Université en France. Qu'elles aillent doctorer à Alger, à Téhéran ou à...Kaboul ! Elles verront bien comment elles seront acceptées.
Tout ce qui peut barrer la route à l'Islam et à l'expression de l'Islam est bon.
A 80 ans, je peux comparer ce qu'est l'invasion des barbus et des barbares aujourd'hui à ce que fut l'invasion des hordes fascistes : le danger est cent fois plus grand parce que plus sournois.
Il faut écraser ces fanatiques de la charia, du sang et de la mort avant qu'ils ne nous tuent. Leur sale guerre commence par le torchon-voile de leurs femmes et se terminera par le linceul de nos enfants si l'on n'y prend garde.
L'Islam est la plus grande calamité de tous les temps. Le tolérer est déjà une grande faute. Le combattre est un devoir absolu qui ne nécessite même pas un instant de réflexion.
L'Islam, c'est la mort. "Il est des morts qu'il faut qu'on tue" (Fernand Desnoyers).
Bernard, 80 ans, agnostique.