Daniel Morin harcèle Charlotte d'Ornellas sans honte : conduite de porc
Daniel Morin étale de pseudo fantasmes et de vrais agressions sexuelles contre une journaliste Viol mental punitif par un porc.
je transmets aux chiennes de garde ...
et ça rigole gras sur le plateaux, bonnes femmes et bonshommes unis dans la même crasse, répugnants,
avant semble t il les fantasmes crades étaient attribués aux fascistes ... qui est facho ...
Charlotte d'Ornellas interviewe Gabrielle Cluzel, qui résume la situation du féminisme actuel.
Pour résumer l'état des débats dans le féminisme actuel dominant :
- t'as vu l'iceberg de l'islam pour les droits des femmes ?
- salope raciste, y'a pas d'iceberg, pi d'abord la charia c'est pas ça l'islam,
- lis le coran
- tu vois que tu n'es pas laïque puisque tu lis des textes religieux, pov' conne ki sais même pas que tout est interprétation, sallope nazi, tu veux envoyer les musulmans a Auschwitz, les camps sont deja prêts d'ailleurs,
et puis t'es juive, sale sioniste, on sait que les israeliens répandent le sang des enfants palestiniens pour leur impérialisme raciste, pire aue les nazis.
Bobos camés et racisme antiblanc décomplexé
septembre 2018
Paris
Une grande gare
Une femme avec un accent africain, noire, obèse, parlant avec une voix de stentor et en colère dans un grand hall, s'adresse à la foule des passants.
" l'homme blanc a fait ci ... l'homme blanc a fait ça .... et puis nos fils ils sont beaux, ils sont beaux ... "
Personne ne semble l'écouter, mais tout le monde l'entend, plus ou moins clairement.
je suis pressée, je passe aussi
Tout le monde a peur de dire à cette femme qu'elle est raciste de la pire espèce, et d'appeler la police pour l'arrêter ...
Province
Une gare d'autobus
Un chauffeur de bus parle amicalement avec un groupe de jeunes noirs minces, assis sur des bancs d'attente des bus de la ville, près de la gare
puis il rentre dans le bus et ferme la porte
je m'approche et je lui demande si il sait ce qui sont ces jeunes
il a l'air heureux de parler :
" je leur parle pour qu'ils ne pensent pas que j'ai quelque chose contre eux, ils sont là toute la journée, pour faire quoi ? vendre de la drogue sans doute ... regardez leurs chaussures de marque toutes neuves ... un jour je suis entré dans une rue, il n'y avait que des noirs, j'étais le seul blanc, j'ai vite fait demi tour "
Paris
Un jeune homme très aimable demande du travail, tout sourire, charmant.
Il vient d'Afrique.
Il a hésité entre la fac là-bas, et l'arrivée ici. Ici, il faut des ménages.
Il s'étonne :
- si vous travaillez, vous pouvez avoir une femme de ménage
- non ...
- mais alors, qui fait le ménage chez vous ?
- moi.
Il semble me croire, peut être pas tout à fait, avec son sourire gentil.
L'islam est une doctrine fasciste et ses complices le sont
L'islam a des textes sacrés faisant l'apologie de la force, des armes, du viol de guerre, de la conquête, caractérisant des peuples entiers comme pervers et iniques, ce qui équivaut au regard des connaissances de l'époque à une vision de peuples entiers comme génétiquement mauvais.
Ses défenseurs, ses partisans peuvent être d'une grande variété, puisque la doctrine interdit et paralyse la pensée donc la pensée sur l'islam lui même, et donc nombre de ses adeptes n'ont pas la possibilité psychologique, au cours de leur vie, de réagir et de se poser des questions sur cette doctrine, puisque le terrorisme de l'islam est double : terrorisme social de la répression sociale, terrorisme mental de la peur de l'enfer.
Ses complices à proprement parler, ceux qui auraient la possibilité d'agir autrement ( ceux qui ne sont pas croyants et donc pas sous l'emprise de ses textes, ceux qui ne vivent pas sous une contrainte immédiate sociale ). sont des fascistes.
Ils ont le culot de se parer du titre d'antiracistes, alors qu'ils sont colonialistes, relativistes et méprisants pour les populations vivant sous l'islam,
Ils ont le culot de se parer de l'image de la résistance au racisme et au fascisme, alors qu'ils en sont les complices.
Ils ont le culot et l'ignominie de pousser leur public à la violence envers les personnes réellement courageuses qui encourent les peines prévues par la loi islamique.
Exemple : Constantine : les pogromeurs musulmans ne supportaient pas que leurs esclaves juifs soient libres grace à la colonisation française.
une tolérance générale aux violences sexuelles de la part des dominants
Muriel Salmona dénonce « une tolérance générale aux violences sexuelles de la part des dominants. Ceux qui décident des lois, de l’argent alloué, des efforts à déployer sont principalement des hommes, pour qui la violence et la prédation sexuelle sont un attribut du masculin… voire un privilège des puissants ».(...) "Si les partis politiques sont frileux, c’est qu’ils ont tous des affaires sensibles dans les tiroirs. »
Elle a raison,
Idem pour la prostitution,
Trop d hommes estiment qu il est de leurs prérogatives d utiliser les femmes pour les foutre et se foutre de leur gueule . ces hommes sont des porcs humains. Ils jouissent de terrifier et le nient, ils jouissent d avilir à leur niveau. Ils ont le pouvoir financier qui leur permet d obtenir le silence ...
C est pourquoi le mouvement féministe est capital, pour libérer la parole des femmes, et des enfants garçons, pour sauver les victimes les plus blessées.
Pour la décence de tous.
Le non-jugisme ou la brèche vers le fascisme mathématisé.
Le non-jugisme ou
la brèche vers le fascisme mathématisé.
XXI ème siècle.
Nous renonçons à la conscience.
Nous consentons aux fascismes.
L’abolition de la responsabilité
humaine est en route. Nous serons bientôt tous des animaux vautrés dans leur
auge à sensations plaisantes, des cannibales. Jusqu’à épuisement des sources
d’énergies nécessaires à nos serviteurs mécaniques peut-être. Jusqu’à
extinction de l’espèce humaine sans doute, nous redeviendrons des animaux.
Du thème moraliste
humaniste : « La loi n’a le droit d’interdire que ce qui est nuisible
à la société » de la déclaration de 1789, notre société est passé au
« laisser faire laisser passer » intégral par la pirouette rhétorique
de la notion de « consentement »,
dévoyée par un « choisisme » intégral, par la diabolisation du
jugement.
Un dogme athée a été instauré,
l’interdit de juger, le « non-jugisme ».
Un dogme athée qui revient
directement à la conception fasciste de l’humanité.
Un dogme criminalisant la
conscience humaine.
Je considère qu’une étape majeure
en occident vers le fascisme soft de la digitalisation est le revirement
d’attitude au sujet de l’arrêt volontaire de la vie humaine d’autrui. Les
arguments ayant accompagné ce changement ont été divers, certains devaient
empêcher le désastre, d’autres lui donnent le fondement le plus solide que l’on
puisse imaginer.
J’appelle fascisme, la conception
du monde divisant les êtres humains en attribuant à certains une plus grande
valeur qu’aux autres, et le droit de vie et de mort sur les autres.
La répression pénale de
l’avortement, focalisant la question de l’enfant né de relation sexuelle, sur
l’attitude de la femme, est un outil à la fois sémantique et matériel, d’un
fascisme premier, mettant les femmes et les enfants au service du plaisir sexuel
des hommes.
Les femmes sont prisonnières de
toutes parts. Soumise au viol, soumises au viol conjugal, soumise à l’impératif
de la jouissance, réprimées si elles tentent d’échapper à la grossesse et à ses
risques mortels.
Si les hommes et les prêtres
étaient honnêtes, ils reconnaitraient que ce qui est appelée
« chasteté » conjugale, fidélité, si elle est réellement respect de
la personne des femmes et de leur corps, suffit à éviter les grossesses
difficiles. Les femmes savent quand
elles peuvent avoir des enfants dans de bonnes conditions, les hommes qui
aiment une femme ne peuvent que tenir compte de leur sentiment de future ou pas
mère. Ils doivent obéir. Leur liberté est ailleurs, leur liberté est de décider
d’aider autant qu’ils peuvent une femme à pouvoir vivre une maternité
heureusement, le plus heureusement possible, avec leur présence et leur soutien
d’homme, de père.
Eviter les avortements est très
simple : il suffit de ne pas concevoir inconsciemment. Aucune femme n’a
envie d’avorter. Le plaisir sexuel des femmes même ne nécessite aucune relation
sexuelle fécondante.
Le fascisme n’est pas une
exclusivité masculine. Certainement pas. Mais même les femmes qui n’attachent
aucune valeur à la vie humaine à ses débuts, prennent des risques de santé en
avortant. Les hommes n’en prennent aucun.
Les relations sexuelles fécondantes sont obtenues principalement par la
domination masculine, sous la pression masculine dominante, directement ou
indirectement.
Le but de la répression pénale
des femmes et des médecins pratiquant l’avortement dans des conditions
présentant le minimum de risques pour la femme, n’est pas d’éviter les
avortements, mais de mettre à mort les femmes rebelles ou rejetées après usage.
Le déni de la gravité de la
tuerie qu’est l’avortement, est une forme plus subtile du même fascisme, plus
perverse encore. Car elle dépasse l’acte de jouir de la soumission physique
d’autrui : elle obtient la destruction morale de la femme en en faisant un
bourreau, complice et servile du plaisir masculin.
L’argument pro-avortement
affirmant qu’un être humain matériellement existant et vivant, ne doit pas être
considéré comme ayant le moindre droit à la vie, tant qu’il n’est pas désiré
par un autre être humain, est de nature nazie.
La femme qui dit : « Je
suis, moi, femme adulte, plus importante que toi, être humain minuscule, et
j’ai droit de vie et mort sur toi », valide le raisonnement fasciste. Si
elle le dit au nom du droit de jouir sexuellement sans se soucier des vies
humaines conçues, elle est dans l’attitude du patriarche prenant droit de vie
et mort sur sa progéniture, dans l’attitude du despote tuant parce que tel est
son bon plaisir.
Le féminisme défend les femmes au
nom du droit des personnes humaines, des êtres humains, à l’intégrité physique. Il est incohérent,
lorsque l’on se réclame du féminisme, de défendre l’idée que l’intégrité
physique ou même la vie d’une catégorie d’êtres humains devrait être soumis au
bon plaisir d’autres humains.
Une telle idée est fasciste,
nazie.
Dans cette vision, celui qui a le
droit de choisir est celui qui a le pouvoir de choisir. Le droit est confondu
avec le pouvoir, le droit est réduit au droit du plus fort.
Le dévoiement du féminisme pour
défendre le bon plaisir absolu des femmes est la récupération de l’idée
féminisme par le patriarchisme le plus vicieux, car, évidemment, il est le
meilleur allié du bon plaisir des hommes de se servir du corps des femmes, sans
assumer leurs responsabilités envers elles et leurs enfants.
Mais ce dévoiement du féminisme
est aussi bel et bien la responsabilité des femmes qui défendent de tels droits
absolus à leur plaisir. Je baise librement, j’avorte librement, signifie :
je tue librement pour baiser librement.
Avorter est tuer.
Affirmer cette vérité biologique
est présenté comme antiféministe aujourd’hui.
Il s’agirait même d’une entrave à
l’avortement, selon certains.
Personnellement je refuse de
cautionner ce mensonge dissimulant un choix fasciste non assumé.
Avorter est tuer : cette vérité était affirmée clairement par
les médecins qui ont commencé à proclamer publiquement leur pratique de
l’avortement pour permettre aux femmes de ne pas risquer la mort lors
d’avortements clandestins.
Pour dissimuler ce choix
culpabilisant, la seule solution est de diaboliser sa contestation en
brouillant les repères.
La tendance législative est
aujourd’hui de criminaliser l’énoncé de la vérité des faits biologiques, de
criminaliser la réflexion philosophique sur les termes et notions employées
pour décrire la réalité biologique, de criminaliser la notion même de réalité
biologique.
Une tentation antidémocratique
flagrante.
La dictature pourtant ne se voit
pas.
La « liberté des
femmes » lui sert de mantra envoutant. Argument répété à l’infini, dogme
athée, sacré. Dogme global, non susceptible d’analyse et de questionnement sur
son contenu réel et précis.
L’interdit de questionner, est
une des définitions possibles du terrorisme intellectuel intégriste. Il est
intégriste dans le sens où il s’oppose à toute analyse intellectuelle d’une
donnée imposée dans sa globalité, dans son intégralité, comme valeur absolue,
première.
Avorter n’est pas une liberté.
Avorter suppose une situation de contrainte, à laquelle une femme veut
échapper, l’avortement est une issue, mais certainement pas une liberté.
La déformation majeure du
raisonnement sur le sujet capital de la vie humaine, a imposé avec une force
déterminante l’impératif nécessaire à l’instauration de la dictature
mathématique : le rejet du jugement humain.
Interdit de juger.
L’interdit majeur de notre
époque.
Le NON JUGISME est l’idéologie de
la dictature numérique en marche.
Juger est un crime contre la
liberté individuelle de choisir.
Une association homosexuelle pour
la parenté en avait fait une règle absolue de conduite, imposant l’interdit de
la critique de la pratique des contrats de mères porteuse, alors même pourtant
que la majorité des adhérent-e-s de l’association étaient des lesbiennes.
Ces lesbiennes ne montraient
aucune compréhension, aucune solidarité envers les femmes exploitées par les
contrats de mères porteuses, et la plus grande hargne contre qui voulait les
alerter. Elles tenaient avant tout à l’alliance avec des homosexuels ,
« gays », pour obtenir un rapport de force leur permettant d’obtenir
des droits pour leurs innovations sociale et anthropologiques. Sans égard pour
le prix à payer pour les femmes pauvres.
Je m’étais fait huer par
l’assemblée lorsque j’avais déclaré que la situation de mère porteuse était de
même nature que la situation de prostituée.
Je m’étais fait insulter lors
d’une réunion en affirmant mon opposition à ces contrats : « Tu ne
juges pas » m’avait-on asséné.
L’arrogance et l’impudence, la
violence verbale et financière des acheteurs de femmes et de leurs alliées,
étaient écœurantes.
Surs de leur bon droit, de leur
valeur morale, puisque leur raisonnement se bornait à prétendre que «
Juger est un crime contre la liberté d’autrui ».
Le déni du jugement de valeur
opéré, le mensonge à soi-même, le refus d’assumer nos responsabilité, nous mène
à nous défausser sur des objets.
Le transhumanisme, l’apologie de
la digitalisation, présentent les décisions des programmes comme des données
inéluctables produites par l’alliance de la raison et de la connaissance des
données.
La puissance de calcul et de
prise en compte des données par les machines informatiques seraient supérieures
à la capacité de jugement des êtres humains.
Les hommes et femmes devraient se
démettre de leur pouvoir de décider au profit de machines supposées pensantes.
Un parmi d’autres sans doute, le
livre « L’homme nu » (Marc Dugain et Christophe Labbé, Pocket 2017),
cite les propos des dirigeants des firmes numériques.
« La plupart des gens ne
souhaitent pas que Google réponde à leurs questions. Ils veulent que Google
leur dise quelle est la prochaine action qu’ils devraient faire. » Eric
Schmidt, PDG de Google, mai 2007.
« Au final les humains
feraient mieux de laisser les machines décider » disent les chercheurs,
selon cet ouvrage.
Arnaque grossière ou
auto-intoxication, de chercheurs au service des plus grosses machines à
produire du profit mondialement ?
Derrière les algorithmes, il y a
bien évidemment des choix de priorités, de valeur.
Des juristes s’alarment.
« Le code implémente un
certain nombre de valeurs. Il garantit certaines libertés, ou les empêche. Il
protège la vie privée, ou promeut la surveillance. La seule question est de
savoir si nous aurons collectivement un rôle ou si nous laisserons aux cœurs le
soin de choisir nos valeurs à notre place. » (Lawrence Lessing, professeur
de droit, Harward Magazine, janvier 2000.
Mais la jurisprudence ne fait que
confirmer sans cesse l’impératif absolu de la liberté individuelle … des plus
forts.
Au point que les juges se
masquent à eux-mêmes les choix de valeurs caractérisés, au profit des plus
forts, qu’ils font par exemple en faisant prévaloir la filiation génétiques des
hommes acheteurs de bébés sur la filiation génétiques des femmes vendeuses
d’ovule et de grossesse.
Le pouvoir consiste à présenter
le pouvoir comme naturel, incontestable, à le rendre invisible et terrifiant à
la fois.
La terreur de l’exclusion sociale
règne et impose le silence sur son règne même.
La hargne collective et
individuelle qui s’empare des humains, mâles ou femelles, lorsque l’on
questionne leur droit à la jouissance sexuelle et à l’acquisition de
progéniture est d’une sauvagerie impressionnante.
La dérive est pourtant bien
visible et grotesque, lorsqu’une association de Planning Familial locale française
en vient par exemple à défendre le port du voile comme signe de
« modestie » .
La dérive est aussi visible
lorsqu’au travers d’un deux poids deux mesures flagrant, un maire de l’Est de
la France décide de permettre les repas « hallal » « au nom de
la diversité » et d’interdire le poisson du vendredi « au nom de la
laïcité ».
Le critère du choix « libre »
favorisant une religion dont les représentations et normes sont fascistes est
bien entendu tous les avantages matériels indirects ou directs qu’en tirent ses
défenseurs.
Ce critère est tellement puissant
et attirant qu’il cachera bientôt totalement l’absurdité des propos de ces
associations et politiques.
Ainsi, il y a quelques années une
vieille militante féministe « antifasciste » c’est-à-dire
antinationaliste à fond la caisse, s’est mise à expliquer qu’il fallait
accepter les femmes voilées dans les locaux féministes, car « le voile
est une mode ».
La même n’a pas hésité ensuite à
apporter sa contribution à la délation publique d’une féministe anti-islam.
La hargne et le déchainement de
tant de féministes contre les féministes anti-islam et antiracistes relève de
la même imbécilité résultant de l’intériorisation du diktat du non-jugisme.
Il ne faut pas « juger la
religion d’autrui ».
Bien sûr, il ne faut pas revenir
aux monstruosités des inquisitions : il n’y a pas à juger la foi en soi,
la conviction en soi : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions »
dit la déclaration de 1789.
Mais elles confondent jugement
sur l’état de conviction d’une personne, sur le fait d’avoir ou pas la foi,
d’être convaincu ou pas par telle ou telle affirmation, et jugement sur les
normes contenues dans telle ou telle doctrine religieuse.
Les normes relatives aux conduites
sociales doivent être, elles, soumises au jugement de valeur et au débat démocratique,
quelle que soit leur source et quel que soit leur rapport avec des notions sur
les êtres surnaturels.
Pourquoi une confusion aussi
grossière ? A cause du refus de réfléchir à la notion de jugement, à
l’objet possible des jugements de valeur. D’où le joyeux mélange entre des
objets de jugement pourtant totalement différents par leur nature, relevant de
catégories majeures différents.
Objets ou personnes : il ne
faut plus rien juger. Rien. Même pas s’interroger sur ce qui peut être objet de
jugement.
On risquerait de « franchir
la ligne jaune ».
Un nouveau péché capital est
institué : franchir la ligne.
Quelle ligne ? Vous ne le savez
pas : c’est que vous êtes déjà coupable. Vos choix sont « hors des
bornes du débat », « hors de la République », hors des droits humains.
Comment dissimuler l’existence de
critères de valeurs, alors que ces critères existent bel et bien, y compris
dans les programmes des machines ? En tuant la notion même de critères, en
détruisant le principe de légalité, en lui substituant un devoir d’évidence, de
connaissance immédiate.
Connaissance de quoi au fait ?
Ni du bien ni du mal, ni du juste, ni surtout de la « morale » !
Non, au nom d’une notion uniquement négative :
le non fascisme, le non intégrisme, le « droit ».
Défendant une loi, une ministre s’exclamait,
en pleine assemblée, soutenue par les députés quasi à l’unanimité, que diantre
au grand jamais, elle s’agissait au nom d’une morale. Une éthique, tout au
plus. Selon que vous parlerez grec ou latin, morale ou éthique, Rome ou Athènes,
vous serez plus ou moins toléré, mais pas vraiment. L’éthique est une notion
fasciste, n’est il pas ?
Le « droit » ainsi
écrit, ainsi conçu est un objet mental d’appréhension immédiate. Aux allures de
prison mutilante, d’usine à décerveler.
Avec ses gardes chiourmes.
Un nouveau « cléricalisme athée
» nait de l’anti-jugisme. Ainsi que la mort par autophagocitation du principe
de légalité.
Il y a une loi, mais ses termes
tendant à éluder toute compréhension, tout critère clair, toute morale sous
jacente.
Ainsi en France, il y a du
racisme, mais plus de race, le mot est interdit.
Le mot femme est lui-même abusif,
le sexisme est un racisme s’il désigne des êtres humains comme femmes.
Alors qui sait le « droit »,
le juste ? Ceux qui affirment savoir.
Le cléricalisme athée est celui
des élites détentrices des savoirs « objectifs » mais indéfinis,
remplaçant la loi et ses définitions claires.
Le droit flou à l’infini tue le
droit, tue la sécurité juridique, et soumet les juges même à l’appréciation de nouveaux clercs, menaçant
leurs ouailles de l’enfer de la honte, s’ils « franchissent la ligne »,
s’ils sont « proches d’idéologies puantes ».
La notion de définition en compréhension
est effacée par des définitions en extension, dispondées au coup par coup par
des « intellectuels » ou des « communautés » irresponsables
mais eux aussi, hors de portée d’un quelconque jugement.
L’état de conscience devient par
conséquent superflu.
Le choix n’a pas besoin de
conscience.
Le choix se suffit de la réaction
à l’état actuel de plaisir ou de déplaisir.
Le porc dans son auge.
Les complices objectives du
fascisme islamiques éructant leur furie en gueulant « fasciste »
ignorent leur ridicule bassesse.
Le plaisir de la stigmatisation
leur sert d’indice de vérité. Il est des
plus réels et effectif en effet. Il est bien vrai.
Elles sont donc dans le vrai de
l’antifascisme. CQFD.
Sans la conscience, il n’existe
pas de liberté humaine.
Mais pour les choisistes, la
notion de liberté est autre.
Ce que l’on choisit ne peut être
nuisible à la société, puisque la société est l’addition des individus.
Leur parle-t-on des individus qui
en souffrent ? Ils ne les voient
pas. Car il leur déplait de les voir. Et tel est leur bon plaisir.
Les putes « aiment
ça ». Les embryons ne sont pas vivants. Les travailleurs indépendants
sifflables à merci par les « NATU » et autres start-up de service
immédiat, ne sont pas des chômeurs. Le repos dominical ou le chabbat, consacrés
à la conscience et à la famille, des crimes contre la fièvre acheteuse.
Boucle fermée.
« Beaucoup de femmes ne
voient pas dans l’embryon une vie humaine » déclarait récemment une
journaliste à un médecin qui lui disait qu’il refuse de faire des IVG, car pour
lui : « un médecin n’est pas là pour retirer des vies ».
Il avait pourtant dit qu’il travaillait
« avec ses tripes », « je me lève à toute heure de la nuit, je
fais des opérations très difficiles », il sauve des vies, et ne veut pas
en retirer …
Mais ces tripes là ne sont pas
celles du « jouir sans entrave ».
Alors « quelle
vie ? » répondent en chœurs les opposants à … son choix.
Et de se mobiliser pour demander
sa disparition sociale, pour demander sa destitution, sinon son emprisonnement
pour entrave à l’IVG.
Et de demander l’abolition
définitive de toute « clause de conscience ».
L’embryon, sa vie, puisqu’on ne
le voit pas … inutile de se demander s’il faudrait ou pas les voir.
Inutile d’interroger sa
conscience et les brouillages éventuels de la conscience.
Pour les
« choisistes », la seule conscience utile est celle du choix, de la décision
que l’on prend. Là est la justice.
Pour les
« choisistes », le désir fait loi. La justice est de faire prévaloir
le maximum de désirs exprimés, mis en actes.
Et mort aux voix du silence, aux
êtres qui n’ont pas la force d’agir, de parler haut.
Le déchainement contre les
médecins qui soignent par l’auscultation, et par les simples, est une étape de
plus dans la « mise en code » de la décision.
Les « soins »,
l’infliction de traitement ou leur refus, devront être réalisés, non pas selon
le jugement de médecins en fonction de la personne qu’il auront eux-mêmes
entendue et auscultée, mais selon des protocoles normatifs obligatoires. Protocoles décidés
sous la pression des productifs de machines et de produits chimiques
ingérables.
Pas de droit à la conscience. Les
protocoles représentent la science.
Sus au jugement du praticien. Sus
à la gratuité. On nous concocte un monde de consultation par outils
informatiques interposés, une formation médicale sans aucune connaissance
physique directe des corps.
La médecine devient uniquement un
canal de vente de produits : médicaments, machines à examen, à un public
solvable.
Le public non solvable étant
destiné à l’élimination « dans la dignité », sauf à subir la
souffrance prétendue non soignable, à commencer par la saleté permanente due au
manque de soins hygiéniques et au délaissement.
Dans le monde du code et non-jugisme,
la liberté de se distancier, de réfléchir, d’être soi en s’interrogeant sur
soi, est abolie.
La liberté humaine est réduite à
une dépouille, faite d’état pulsionnels.
Une humanité décapitée.
Une humanité réduite à une
culture de cellules manifestant son plaisir ou son déplaisir par quelques échos
lumineux, voués à s’éteindre eux-aussi inéluctablement.
Elisseievna
Septembre 2018
féminisme et capitalisme sauvage unis dans le culte du laisser faire
On ne peut pas être féministe et se taire face à la doctrine de l'islam ou face à l'exploitation du corps par le capitalisme sauvage, mais la connerie ambiante se fait une fierté de reprendre l'antienne la plus éculée du capitalisme " laisser faire ", pour en faire son dogme le plus SACRE. A ce point de bêtise là , on est mentalement mort.
Ulcérée par des représentations obscènes
Un lecteur m'a demandé si j'avais décidé de l'illustration de deux de mes articles par Riposte laique, montrant une féministe lesbienne affublée d'un nez en forme de sexe masculin.
Il s'agissait de Caroline Fourest.
La question m'a ulcérée.
Comment peut on imaginer que j'aurais décidé quelque chose d'aussi sexiste et crade ?!
Ce "quelque chose" a un nom : viol punitif, exhibitionnisme punitif, viol punitif par représentation.
Viol punitif par représentation contre une lesbienne
Il dit en clair : " T'aimes pas la b ... , on t'en fout à la gueule ".
Crade.
Caroline est caricaturée dans un roman publié par RL, avec un jeu de mot sur son nom de famille, pour insister encore sur le "foutre" comme disait Sade.
Roman rappelé par RL dans un article illustré par une sculpture montant un homme affublé d'un sexe énorme dressé.
Quoiqu'il en soit des actes de Caroline cette représentation me dégoûte aussi, elle n'est aucunement justifiée par ses actes que j'estime des plus infâmes et répugnants, cette représentation est une forme de viol mental, ni plus ni moins, bel et bien une forme de viol, dégueulasse : personne ne "mérite" cela, je met des guillemets tellement le mot même me parait incrogru, tellement imaginer cette forme de punition ( je suis contre les punitions de toute façon) est dégoûtant.
J'ai d'autres chat à fouetter que de m'occuper des illustrations de mes articles par les revues, et j'avais laissé tomber, mais la question de ce lecteur m'a ulcérée, et je ne veux qu'il y ait aucune ambiguïté : je ne suis pas d'accord du tout avec l'affichage de ces illustrations.
Culte et culture porno
L'essentiel des violences n'est pas la
"pédophilie" exterieure à la famille mais les violence contre les enfants
et adolescentes dans la famille, et aujourd'hui, la menace de la violence
sexuelle mentale institutionnelle à l'ecole sous pretexte d' education
sexuelle, et tout a la meme cause : la valorisation de la performance du soi,
diffusee par la culture pornographique en gros.
En France notre ministre du droit des femmes a a été choisie
alors qu'elle est l'auteure d'un livre donnant un conseil obscène aux
"grosses" et peut etre de livres pornos (Valeur actuelles 7 juillet
0217), porno que les féminstes radicales combattent de toute leur force (
https://youtu.be/L9j7-zZks08 ) , et elle encourage cette soit disant education
sexuelle a l'ecole. Elle tient des propos visant des médecins qui s'insurgent
avec d'autres contre ce viol institutionnel. Les défenseurs des enfants ont
toujours été en péril. https://www.mauriceberger.net : 12 septembre 2018
La réglementation de la prostitution est une catastrophe à
cet égard, car elle légitime et occulte la jouissance de la vulnerabilité des
plus faibles, qui ne doit jamais etre acceptée, jamais être occultée sous des
faux consentements, la culpabilité d'user du pouvoir de l'argent pour porter
atteinte au corps de l'autre, doit relever du pénal, toujours, elle est la
" Toeva " de la bible.
Les prédateurs se délectent des affaires sexuelles dans
l'église, pour mettre en cause son enseignement sur le respect des personnes
"corps et âme", alors que la cause est l'enseignement du mépris des
plus vulnérables, et l'apologie de la force et du bon plaisir des plus forts.
Marianne Cohn : dédicace spéciale
Dédicace spéciale à
Claudie Lesselier
Françoise Picq
Nadja Ringart
( il me parait aujourd'hui que Nadia s'est probablement fait embiboner dans les grandes largeurs par celle qui l'a convaincue de témoigner, raison de plus pour lui rappeler combien il faut dans certaines circonstances - telles que les circonstances actuelles ou l'apologie d'Hitler et la haine mortelle des juifs revient ICI -, songer aux gens qui ont besoin d'etre protégés, avant de faire confiance sans RIEN vérifier)
Catherine Deudon
Gilles Clavreuil
Bernard Schalcha
Liliane Kandel
Fiammetta Venner
Caroline Fourest
qui savent parfaitement ce qu'ils et elles font.
« Je trahirai demain »
Je trahirai demain pas aujourd’hui.
Aujourd’hui, arrachez-moi les ongles,
Je ne trahirai pas.
Aujourd’hui, arrachez-moi les ongles,
Je ne trahirai pas.
Vous ne savez pas le bout de mon courage.
Moi je sais.
Vous êtes cinq mains dures avec des bagues.
Vous avez aux pieds des chaussures
Avec des clous.
Moi je sais.
Vous êtes cinq mains dures avec des bagues.
Vous avez aux pieds des chaussures
Avec des clous.
Je trahirai demain, pas aujourd’hui,
Demain.
Il me faut la nuit pour me résoudre,
Il ne faut pas moins d’une nuit
Pour renier, pour abjurer, pour trahir.
Demain.
Il me faut la nuit pour me résoudre,
Il ne faut pas moins d’une nuit
Pour renier, pour abjurer, pour trahir.
Pour renier mes amis,
Pour abjurer le pain et le vin,
Pour trahir la vie,
Pour mourir.
Pour abjurer le pain et le vin,
Pour trahir la vie,
Pour mourir.
Je trahirai demain, pas aujourd’hui.
La lime est sous le carreau,
La lime n’est pas pour le barreau,
La lime n’est pas pour le bourreau,
La lime est pour mon poignet.
La lime est sous le carreau,
La lime n’est pas pour le barreau,
La lime n’est pas pour le bourreau,
La lime est pour mon poignet.
Aujourd’hui je n’ai rien à dire,
Je trahirai demain.
Je trahirai demain.
Marianne Cohn, « Je trahirai demain », 1943.
Repris dans Pierre Seghers, La résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris, Éditions Seghers, 1974.
© Éditions Seghers, 1974.
Repris dans Pierre Seghers, La résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris, Éditions Seghers, 1974.
© Éditions Seghers, 1974.
Gringoire
Début 2013, j'avais écrit l'article ci dessous sur Caroline Fourest et Fiammetta Venner.
Cinq après, Caroline n'a rien retiré de ses publications infectes, dignes des journaux Gringoire et "ils sont partout ", et défend toujours ses actions, infectes et contraires à l'esprit de notre droit, aux principes de notre droit, à toute moralité, et à mon avis, tombant sous le coup de la loi si l'on prend en compte les menaces actuelles pesant sur les critiques de l'islam.
Caroline s'imagine sans doute être le centre du monde, elle n'est malheureusement pas la seule à commettre de telles ignominies, d'autres ont commencé avant elle.
Sa fureur de mégalomane s'imaginant avoir le droit de tout faire - y compris des actes dont toute personne sensée comprend qu'ils mettent en danger de mort , quoi qu'elle le nie farouchement - contre moi ne fait que s'accroître, et en effet, pourquoi s'arrêterait elle, puisqu'elle se sent tellement armée pour l'assouvir.
" On ne peut pas lutter contre Caroline, elle a tous les pouvoirs avec elle " me disent plusieurs personnes qui n'en croient pas leurs yeux en voyant les soutiens et interventions en sa faveur contre eux ...
Un musicien, FN, affirme que " Caroline Fourest est reçu en tenue blanche pour donner des conférences à des franc-maçons ", ce qui serait plutôt sympathique mais peut en effet signifier quantité de soutien de personnes qui ne prennent pas trop la peine de vérifier le curriculum de personnes présentées par des frères.
Je constate pour ma part qu'elle entraîne des gens à m'attaquer à leur tour, et je pense qu'elle leur ment copieusement à mon sujet, de mensonges qu'ils ne demandent sans doute qu'à croire.
Tout ceci n'est qu'abjection.
Caroline, en s'attaquant à ceux qui critiquent l'islam sur le plan théorique ou en mettant en garde contre les conséquences des immigrations massives venant d'Etats musulmans, ne peut pas ne pas comprendre ou alors c'est qu'elle s'aveugle totalement, qu'elle donne ainsi des gages aux musulmans observant la loi islamique, qu'elle donne ainsi la preuve qu'elle défend l'islam, qu'elle en est l'avocate, et qu'elle se met ainsi à l'abri de tout risque d'attentat de la part des musulmans réellement dangereux.
Elle peut bien parader à l'ULB, armée de Fiametta et de ses prises de judo, elle peut défier un musulman du type "de gauche antiraciste" : ce type de musulman pour qui les ordres de dieu n'ont pas grande importance ne prendront pas le risque de finir en prison pour meurtre.
Compte tenu des gages qu'elle donne par ses déclarations à des meurtriers en puissance, du message qu'elle leur délivre, dont le sens est clair pour quiconque connait la loi islamique, elle se met à l'abri complètement.
Longtemps je l'ai défendue, j'ai pensé plusieurs années, qu'elle avait du courage, parce que durant ces années ce qu'elle faisait était courageux. Mais ses propos ont tourné vers pire que la compromission, vers des actes qui sont objectivement à mon sens une aide aux promoteurs de la loi islamique par le biais infâme d'attaques contre leurs opposants allant jusqu'à la mise en danger de mort. Ses postures d'héroïne relèvent depuis de la comédie, de l'imposture.
Sa folie de pouvoir, et je pense manifestement une forme de perversité, la pousse à s'en prendre à moi actuellement, notamment en me décriant auprès de diverses personnalités.
Caroline se targue de plein de qualités et décrit ceux et celles qu'elle attaque comme méritant son acrimonie.
Alors je suis obligée d'être un peu vantarde et de dire assez simplement ceci :
Je prends pour ma part des risques énormes. Je pourrais en prendre encore plus, mais lorsque l'on vous fait la guerre, le but n'est pas d'être reconnu comme héros en prenant le maximum de risques, le but est de protéger le maximum de personnes et de vaincre.
L'islam sera vaincu, et certainement pas par les armes, mais par ceux et celles qui veulent démontrer aux croyants ses infamies et absurdités morales essentielles, et qui le font, patiemment, pacifiquement.
Je suis moi, une personne qui agit face aux pires tyrans, qui a réellement pris des risques depuis des décennies, et sans transiger sur rien de ce qui me parait être la vérité, depuis mon adolescence, pour protéger des personnes, et je n'ai jamais cédé.
Je suis moi, une personne qui agit aujourd'hui avec des victimes de l'islam, qui sont à la fois victimes de l'islam et victimes de la forme de colonialisme et de racisme que représente le relativisme, soit disant neutraliste, consistant à dire l'islam ne doit pas être critiqué et remis radicalement en cause. Il faudrait se résigner à ce que des populations soient soumise à l'islam et de combattre que ce qui serait une dérive dont on est infoutu de déterminer le contenu supposé, et pour cause.
Nous défendons la même idée d'émancipation, d'égale dignité des personnes, de toutes les personnes.
J'ai toujours été révulsée par la "haine" et je n'ai jamais compris la vengeance. Je suis du côté de ceux qui disent " vous n'aurez pas ma haine " .
Il faut changer plus d'un milliard de personnes, et nous le ferons, nous pouvons le faire, et pour l'essentiel par le moyen pacifique, écologique, et quasiment gratuit qu'est la parole.
Pour l'essentiel mais pas uniquement, il faut aussi préparer la guerre pour - si possible - ne pas la faire ou plutôt faire cesser la guerre ouverte depuis Mahomet. Les paroles ne suffisent pas face à la force, en tout cas, pas si l'on veut protéger les plus faibles que soi-même, de la violence des criminels. Mais il faut utiliser la parole le plus possible. Et ceux qui s'acharnent contre les critiques de la loi théologique islamique, ont une responsable majeure, dans les crimes perpétrés en son nom.
Je suis en accord avec Wafa Sultan , je suis en accord avec Majid Oukacha, Zineb el Razhoui et tant d'autres.
Nous avons contre nous nombre d'occidentaux dans tous les pays, nous avons tous les profiteurs de guerre contre nous.
Mais nous gagnerons.
Mon article de janvier 2013 :
http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/archive/2013/01/18/l-etat-decore-une-delatrice-caroline-fourest-par-elise-eliss.html
L'Etat décore une délatrice : Caroline Fourest, par Elisseievna
Aujourd'hui, le ministère de la Culture remet une décoration à une fille qui n'est rien d'autre qu'une délatrice se vantant de sa délation, comme si c'était un modèle à suivre...: Caroline Fourest: voir http://www.culture communication.gouv.fr/Ministere/L-agenda-de-la-ministre.
Il est bien certain que cette remise de décoration, pour une fille n'ayant en tout et pour tout que quelques ouvrages plus que contestés et pour certains déjà condamnés par la justice ("les sponsors du FN », déjà des listes de noms, et la biographie de Marine le Pen), conforte les propos recueillis en "off" par un journaliste de la revue Charles, sur la peur qu'inspire cette fille en raison de son relationnel. Quand on a ce genre d'appui, on peut tout se permettre n'est ce pas ?
Caroline Fourest balance publiquement le nom d’un homme qui la critique, et se vante publiquement de ce fait, à la lire : de ce "haut fait" à placer à son actif d'investigatrice : comment qualifier cet acte en réalité : il s’agit bien d’une dénonciation intéressée ( intéressée à l'évidence puisque c'est dans une réponse à une critique de cet homme, juif, donc "quelque part" plus légitime - ou pouvant être perçu comme plus légitime par le public -qu'elle pour parler de risque de génocide pour les juifs ou d'autres menaces contre les juifs dans telle ou telle politique, qu'elle commet sa dénonciation, l'intérêt pour elle est bien évidemment de le dissuader de continuer sa critique, même si elle présente sa dénonciation comme la révélation d'une situation politique qui serait selon ses dires et sa présentation extrêmiste) c’est-à-dire d’une délation, doublée d’une apologie de la délation, et elle en est fière...
Voilà ce que cette fille qui se présente sur son blog par son oeil, tel l'oeil de la conscience du célèbre poême de Victor Hugo, présente à ses fans éblouis par sa condition de jeune lesbienne féministe et son action anti-intégriste, et soit disant féministe ( quand on signe pour la GPA comme elle le fait "pour ne pas priver ses copains gays de droit", on n'est plus qu'une féministe secondaire, c'est à dire plaçant les intérêts ou prétendus intérêts des hommes avant la défense des femmes, avec le genre de raisonnement que ces femmes qui envoient leurs hommes "aux putes" parce que ces messieurs auraient des "besoins" - merci pour la mysandrie, pour la description avilissante de la gens masculine, de tels raisonnements d'ailleurs ..), comme modèle d'action à suivre ( le "bien" selon Caroline) : une des plus répugnantes actions qui soit, dont elle tente de faire oublier l'ignominie en dépeignant sa victime sous les traits les plus noirs, alors même que cet homme était venu aider Fiammetta quelques années auparavant ...
Je vois dans une émission récente Caroline Fourest parler d’une enfant juive tuée à bout portant, et aussi se donner le ridicule de parler de 6 millions de juifs tués en France (http://ripostelaique.com/caroline-fourest-accuse-la-france-davoir-extermine-6-millions-de-juifs.html), or …
Caroline Fourest et Fiammetta Venner ont elle-mêmes, sciemment, cyniquement révélé sur internet le nom de deux juifs qui écrivaient sous pseudonyme pour critiquer la religion islamique ou l’ « islamisme », ce qui revient à désigner, à stigmatiser (dans le sens réel de ce mot qui est de désigner par un stigmate des personnes à éliminer de la société), deux juifs comme ennemi de l’islam (double stigmate selon le fiqh), et à faire d’eux et de leurs enfants, des cibles vivantes pour les exécuteurs jihadistes.
Fiammetta Venner est revenue sur sa délation uniquement après des poursuites judiciaires, des dommages ayant déjà eu lieu, mais il faut lui reconnaitre d'être revenue en arrière, et il vaut toujours mieux tard que jamais, mais que ne dit-elle à sa "complice en tout" Caroline Fourest de faire de même ?!
Caroline Fourest et Fiammetta Venner savent très bien les risques qu’elles leur font encourir, non seulement parce que tout le monde sait que Salman Rushdie ou Robert Redeker ou Theo Van Gogh et tant d’autres ont été menacé d’être assassinés ou assassinés pour de tels propos par des musulmans, ( et nombreux doivent sous protection permanente désormais), mais parce qu’elles se prétendent « spécialistes » de ces « intégristes », de ces jihadistes. Elles savent très bien depuis qu’elles sont allées à Durban et au vu des passages de leur livre Tir Croisé et de Prochoix le montre, la haine monstrueuse de certains musulmans contre les juifs, leur volonté de tuer tous les juifs et de finir le travail de Hitler, et elles savent très bien qu’il n’est même pas besoin de prononcer de fatwa.
Caroline Fourest et Fiammetta Venner savent très bien la torture morale, je dis bien la torture morale, qu’elles infligent à ces deux juifs, descendants de juifs pourchassés en France pendant la seconde guerre, des juifs qui n’ont survécu que parce qu’ils ont portés des faux noms, et parce qu’ils n’ont pas été dénoncés, mais protégés par des français (souvent très simples paysans qui les faisaient passer pour leur propre famille … au péril de leur propre famille, et à qui on ne dira jamais assez merci), ces descendants de juifs pourchassés dont Nathalie Zajdé explique très bien comment les peurs de leurs parents leur sont d’une certaine façon transmises, et les hantent eux aussi.
En 1993, Nathalie Zajde a écrit son livre « Enfants de survivants : La transmission du traumatismechez les enfants de Juifs survivants de l'extermination nazie », elle y relate des témoignages comme celui-ci : " Je fais de terribles cauchemars et j'aimerais savoir si d'autres enfants de survivants en font comme les miens. Je me dis que c'est fou de n'avoir jamais vécu la guerre et de faire des rêves aussi précis. " et se demande : « pourquoi, dans les familles juives, les enfants des rescapés de l'extermination nazie font-ils les mêmes rêves que leurs parents alors que ceux-ci ont gardé le silence sur le traumatisme qu'ils ont vécu ? ».
Alors quand je vois l’air qui se veut préoccupé de Caroline lors de cette interview, j’ai envie de vomir, mais de vomir ….
Oui elles savent tout cela très bien mais elles s’en foutent, elles qui font mine de poser en ennemis des méchants, en braves petites soldates contre l’antisémitisme, Caroline qui se targue d’être allée à 17 ans au camp de Strutthoff, sait très bien qu’elle effare, en révélant leur nom de famille, des juifs qui n’ont pas appris à 17 ans qu’il y avait des camps, mais qui l’ont appris à 5ans, 6 ans, et par la peur de leurs parents peut être encore plus tôt …
Bientôt le « Vérus Israel » elle va nous dire que c’est elle, contre ces salopards de « juifs » qui s’alarment de l’islam, qui ont le front de se demander, alors que Caroline leur martèle que l’islam n’est pas l’islamisme, si des fois par hasard il n’y aurait pas un lien entre les textes de l’islam et ces enfants juifs tués de sang-froid à bout portant, à la lame ou au fusil, ces juifs qu’elle caricature, pour mieux justifier sa révélation, en juifs « d’extreme-droite » pour l’un , en malade mental enragé pour l’autre.
Ha oui, elle aimerait bien Caroline, qui s’ennuyait dans sa province et sauta de joie, dit-elle dans cette interview où elle parle de sa visite au Strutthoff, en arrivant à Paris, à l’idée des « joutes intellectuelles », pouvoir se targuer aussi d’une ascendance de juifs persécutés, elle qui dit que son mot préféré est « combat ». On croirait entendre Mme Bovary. Mais Caroline : les juifs, eux, ont HORREUR des combats, tout ce dont ils ont peur c’est que les combats reviennent parce que c’est presque toujours contre eux en premier, tout ce dont rêvent les juifs c’est qu’il y ait au moins une génération d’entre nous, une génération de toutes les générations des juifs qui ont exposés leur vie en restant juifs au nom de l’alliance, une génération qui échappe au combat ; les juifs rêvent de mener enfin une vie « de province » paisible, tranquille, et pour autant passionnante quand on aime la vie, et pour ceux qui sont croyants quand on aime la création.
Caroline et Fiammetta se posent en alliés des juifs, Caroline se fait inviter récemment en Israel pour y expliquer la défaite des antisémites en France ... mais voilà ce qu’elles leur font, concrètement, matériellement, physiquement aux juifs, à deux juifs. Pour être plus précise, pour l’un des juifs, Caroline et Fiammetta n’ont pas retiré le nom, et pour l’autre juif, elles ne l’ont retiré qu’à la suite de poursuites judiciaires. Et je leur demande à nouveau de cesser cette infamie, immédiatement !
Pourquoi Caroline et Fiammetta font elles cela ? Simplement, parce que ces deux personnes juives se sont permises, soit pour l’un de critiquer les textes de Caroline, soit pour l’autre de critiquer ses idées (reprises par d’autres) sans même la nommer !
Il faut faire taire la critique, Caroline et Fiam peuvent pour cela mettre en danger, de mort, parce que lever la barrière du nom de plume c’est faciliter le travail des exécuteurs jihadistes, Caroline peut pour cela terroriser les juifs qui ont critiqué soit ses textes soit les idées qu’elle soutient, alors elle le fait, sans l’ombre d’un examen de conscience.
Ce que Caroline et Fiametta savent aussi très bien, et dont elles jouent cyniquement, c’est que les juifs qu’elles mettent ainsi en danger ne peuvent pas se défendre efficacement, contre l’essentiel de leurs atteintes, sans risquer d’étendre le mal, car on ne peut pas se défendre contre des révélations dangereuses (ou toute autre révélation portant atteintes à la vie privé) sans étendre le mal. Cela aussi c’est la torture morale, être exposé, ne rien pouvoir faire en fait, mais se demander quand même qu’est-ce que l’on peut faire, appeler à l’aide la justice, mais la justice ne peut rien de très efficace ou risquer d’empirer le mal, se voir reprocher de ne pas recourir à la justice par des gens qui ne mesurent pas les limites du pouvoir de la justice … et elles le savent, et elles en jouent aussi.
Elles savent très bien combien se défendre avec l’aide la justice est difficile, parce que les juges n’ont pas les moyens, pas le temps, d’enquêter, de se documenter assez ni sur les personnes, ni sur les sujets politiques, et qu’il est facile, quand on a l’audience qu’elles ont aujourd’hui, de tromper les magistrats en répandant quelques écrits habilement tournés, juste sur la limite discutée et discutable de la diffamation ou de l’omission mensongère, qui font passer leurs victimes pour coupables, pour gens méprisables, ou même, pourquoi pas, et allons y d’une couche de plus, pour ennemis des juges.
« Si vous dites vrai, alors qu’on les poursuive pour mise en danger d’autrui », comme vient de le faire Christine Boutin qui reproche à un journal de caricature français de publier des caricatures qui vont mettre en danger la vie des chrétiens d’orient. Mais ce n’est pas possible, car oui, le délit de mise en danger d’autrui existe, mais uniquement dans les cas où cette mise en danger résulte du non- respect d’une réglementation de normes de sécurité : le législateur n’a pas pensé que quelqu’un serait assez malfaisant pour mettre autrui en danger en révélant son nom, alors que cette révélation peut l’exposer à des assassins ( !), ça, le législateur français ne l’a pas imaginé … Mais Caroline et Fiam n’ont pas hésité à le faire.
Non seulement elles n’ont pas hésité, mais Caroline a même confirmé publiquement qu’elle le faisait, que c’était utile pour « situer » un des juifs : comme si pour situer quelqu’un politiquement, c’est-à-dire pour indiquer ses idées politiques, il était nécessaire de révéler son état civil … mais c’est se moquer du monde ! Elles arguent aussi qu’elles ont révélé les noms de gens qui se tapiraient sous le net pour balancer « leur rage » à l’abri de poursuites judiciaires, alors que c’est faux car ces deux juifs sont très faciles à retrouver par la police et si vraiment ces personnes méritaient d’être poursuivies, elles pouvaient très bien faire état de leurs informations à la police ou au Parquet pour l’aider à les retrouver… mais à la police seulement – la police qui, elle, s’efforce consciencieusement de protéger les personnes, et non de les mettre en danger.
Ce que nombre de magistrats peuvent croire, eux qui n’ont pour la plupart, matériellement le temps que de lire la grande presse ou quelques ouvrages médiatisés comme ceux de Caroline, et absolument pas le temps de lire des ouvrages de vrais érudits sur ces sujets, et ce que l’on m’objecte souvent, c’est que la raison de la haine que certains musulmans ont pour des juifs c’est Israel, que les seuls juifs visés par des musulmans seraient des sionistes ou des juifs racistes anti-arabe ou anti-musulmans, ou que ce serait l’effet du conflit isralo-arabe transposé ici : tout cela est fau
Si les juifs sont en danger face aux musulmans connaissant les textes de l’islam et voulant les suivre littéralement, c’est parce que les textes coraniques racontent la guerre et les assassinats que Mahomet mena contre les juifs d’Arabie, et s’il mena cette guerre sans merci contre eux, jusqu’à rendre l’Arabie « Judenrein », c’est d’une part parce qu’ils étaient à la fois faibles et donc un butin facile pour ses razzias, et parce qu’ils avaient la Bible et pouvaient décrédibiliser ses prophéties à lui, alors que face aux chrétiens, notamment au Negus, bien plus puissant, il est plus diplomate.
Ce ne sont ni les amis juifs de Caroline, ni les antisémites ou autres critiques qui nous accusent d’ « antiracisme/immigrationnisme » qui me démentiront quand je dis qu’en France, les juifs se sont retrouvés nombreux, majoritaires, acharnés contre le racisme anti-arabe, défendant les droits humains de nombreux musulmans, de Bosnie, de Tchéchénie et d’ailleurs. Ma pomme s’est retrouvée aux côté des femmes bosniaques, comme serbes et croates et tsiganes, pendant la guerre d’ex-Yougoslavie, toutes féministes contre les viols et contre le voile imposé par les « secours islamiques » qui tenaient certains camps de réfugiés ; ma pomme s’est aussi retrouvée parmi les jeûneurs contre le siège de Sarajevo, sans l’ombre d’une hésitation à cause de la considération de ce qui se passait à l’époque en Israel, où l’on espérait aussi l’arrivée de la paix
En fait, si l’on regarde leurs publications depuis les débuts de leur activité militante, Caroline et Fiammetta semblent bien souffrir d’un tropisme de l’affichage des noms et de la stigmatisation : leur premier ouvrages sur les Sponsors du FN est une liste de noms, en y incluant « ceux qui prennent des encarts publicitaires dans ses journaux », or avec cette méthode, il n’est pas évident que certains des simples commerçants mentionnés dans ce « guide » sous l’étiquette ignominieuse, pour beaucoup de gens, de soutien du FN, n’aient pas simplement pensé faire figurer une annonce dans une revue de policiers « certains chefs d'entreprise ont fort bien pu ne pas lire la littérature pour le moins engagée de Police et sécurité. Certains n'y ont passé qu'une annonce. D'autres ont avoué à L'Express ne s'être aperçus du problème... qu'à la parution du Guide. » Casteret Anne-Marie, 26/03/1998,http://www.lexpress.fr/informations/drole-de-sponsoring_628378.html . Visiblement, ce genre de questionnement scrupuleux n’a pas effleuré ou pas arrêté les auteures de Prochoix.
Ensuite elles ont milité contre les adversaires du PACS non seulement en publiant la liste de maires qui avaient pétitionné contre (http://www.prochoix.org/frameset/livre.antipacs.html http://www.prochoix.org/mairesantipacs/liste/map.html) , mais en appelant à mener des actions contre ces maires et même leur commune : si ce n’est pas user de la stigmatisation, alors qu’est ce qui en est … Voici des passages du modèle de lettres qu’elles proposaient pour cette charmante action http://www.prochoix.org/mairesantipacs/courriers/lettrestypes.htmlhttp://www.prochoix.org/mairesantipacs/consignes.maires/consignes.html : « Monsieur le Maire (ou madame la maire), À l'approche des échéances municipales, notre association est sollicitée par de nombreuses et nombreux électrices et électeurs qui s'interrogent sur l'identité des signataires de la pétition "anti-CUS" (version précédente du PACS) qui a circulé en avril 1998. Vous faites partie des maires à avoir soutenu cette pétition, dont le nom a été diffusé par le "Collectif des maires de France pour le mariage républicain" comme s’étant déclarés "soucieux de préserver la famille comme élément fondamental de toute société " et se sont opposés à "la mise en place d'un contrat de ce genre”. nous aimerions connaître, monsieur le maire, la position que vous observez vis-à-vis de cette législation et du comportement homophobe et lesbophobe de certains et certaines élu-e-s. Nous serions également soucieuses et soucieux de savoir si votre point de vue sur ce sujet a évolué et si vous signeriez aujourd'hui, à nouveau, cette pétition. Dans le cas contraire, que comptez-vous entreprendre pour les tous les citoyens de ce pays soient égaux en droit.Votre position ne manquera pas d'intéresser les électrices et électeurs qui nous demandent en nombre la position de leur candidat à la mairie. Nous mettrons bien entendu votre réponse sur internet. Durant la période estivale, elle permettra aux touristes de se faire une opinion sur l'esprit de la commune, dont vous êtes l'élu, qu'elles et ils souhaitent visiter et donc de choisir ou non de s'y rendre. En effet de nombreux lecteurs français et étrangers nous ont fait part de leur inquiétude à se rendre dans une commune ou le maire avait signé une telle pétition... »
Je milite depuis que je suis féministe pour le respect de la vie privée des femmes, notamment par leur nom et leur appellation, pour le respect de l’égalité du droit à la non révélation de leur situation de famille ou du nom de leur conjoint quand elles ne le veulent pas. Je le fais non seulement par féminisme, mais par anti-totalitarisme, parce que j’estime que la vie privée est un obstacle au totalitarisme, un aspect fondamental du respect de l’intégrité des personnes. C’est pourquoi, je suis profondément dégoutée par l’ « outing » par exemple. C’est aussi pourquoi tout en défendant le mariage gay, je me pose une question que personne ne semble se poser : mais ce futur « fichier gay-lesbiennes » entre les mains de qui peut-il tomber ?
C’est une leçon que l’on n’a pas de mal à apprendre il est vrai quand on descend comme moi à la fois de juifs pourchassés et de juifs russes qui connaissaient le totalitarisme soviétique depuis ses débuts, et même depuis sa gestation dans l’esprit de Lénine quand il courtisait les juifs pour son projet. C’est une leçon qui s’avère toujours aussi actuelle.
Elisseievna
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