Article épinglé

COVID et CRIMES

Les Juifs par Sebastien Jallamion - vu sur Twitter

 

https://x.com/SJallamion


🇫🇷 LES JUIFS : Je ne vais pas vous parler de religion, ni vous parler du conflit israélo-palestinien. Je ne vais même pas évoquer l’Histoire, ni énumérer les multiples attentats dont ils ont été victimes depuis les 35 dernières années sur notre territoire. Je vais juste vous rappeler qu’il y a, parmi nos compatriotes, des gens de confession juive, qu’ils sont français, sécularisés, qu’il y en a qui méritent d’être qualifiés de fieffés connards (essentiellement à gauche), d’autres qui sont au contraire des gens merveilleux, qu’il y en a des riches, des pauvres, des médiocres et des brillants, des simples, des prétentieux, des honnêtes, des malhonnêtes, des croyants, des non croyants… En somme qu’ils n’ont rien de différent de nous. Qu’ils soient solidaires ne fait pas d’eux un lobby qui dirige le monde. C’est au contraire ce qui manque aux français de toutes confessions. Mais déjà j’éprouve un malaise à l’idée de continuer à parler ainsi, comme s’il y avait « eux » et « nous », alors même qu’il n’y a que nous, eux inclu. C’est pourquoi j’en appelle à tous mes compatriotes, à ceux qui partagent mes analyses sur la situation de la France, à ceux dont je partage les leur, pour prendre quelques instants de réflexion, quelques instants seulement, pour réfléchir à la gravité de ce qui se passe actuellement dans notre pays. Ne voyez-vous pas que des individus hostiles ont décidé que la « chasse aux juifs » était ouverte ? Ne voyez-vous pas que ces individus issus de l’immigration, galvanisés par des complices d’extrême-gauche « bien de chez nous », agressent, insultent, menacent, avec une violence accrue, ceux qu’ils considèrent comme appartenant à « l’entité sioniste », en employant le champs lexical d’une propagande que l’on croyait appartenir à un autre siècle ? N’entendez-vous pas les discours de haine se répandre, comme l’étaient ceux tenus sur les ondes de Radio-Mille Collines au Rwanda avant que ne débute le massacre des Tutsis ? Pas un jour ne se passe sans que des slogans hostiles, sous couvert de critiquer la politique d’un gouvernement étranger, n’incitent à cibler les francais de confession juive, nécessairement « complices », nécessairement « coupables », d’un prétendu « génocide », à tel point que quiconque prendrait leur défense en serait la cible à son tour. Et bien moi je la prends. Je la prends et j’invite tous ceux qui ont pour la France le même amour que celui que je lui porte à en faire de même. Je vous invite à faire barrage à ces chasseurs de juifs, partout où ils se trouvent, à les traquer, à les identifier et à les dénoncer aux autorités judiciaires, en utilisant la plateforme Pharos s’il s’agit de propos tenus sur internet, en appelant les secours si vous assistez à une agression, en intervenant pour ceux qui le peuvent. Jamais nous ne laisserons la France tomber sous le contrôle de ceux qui importent l’antisémitisme des pays musulmans sur son territoire. Agissons ! Sébastien Jallamion #Resistance

Le rabbin David Daniel Cohen explique sa phrase sur le président de la république

 



Dire et mettre en garde contre la suite que dieu, et non pas aucun individu, donne à des actes, ce n'est en aucune façon menacer de l'action d'un être humain contre un autre être humain.



POGROM 1934 à Constantine Algérie

 


Article de Pr Joëlle Allouche-Benayoun


POGROM 1934 à Constantine Algérie 


Par Joëlle Allouche Benayoun 

professeur d’université chercheuse spécialiste du judaisme de France et d’Algérie    .

Article parue dans « l’Arche » numéro spécial sur les juifs d’Algérie 


Le  5 août 1934, un pogrom exécuté par une foule musulmane fanatisée, déferle sur le quartier juif de Constantine, alors chef-lieu d’un département français. La foule égorge, pille impunément pendant toute une journée. 

On dénombrera 27 morts, dont 25 citoyens français de religion juive : : parmi eux 5 enfants (âgés de quelques mois à 10 ans), 6 femmes, 14  hommes.Que s’est-il passé ?

 

Le 3 août des rumeurs incontrôlables mettent en cause un soldat juif ivre qui aurait uriné contre une mosquée, et diffusent la nouvelle de l’assassinat d’un chef nationaliste arabe par des juifs :

 Le chef en question, 

le Dr Bendjelloul était en fait absent de la ville, mais bel et bien vivant….

Entre le 3 et le 5 août, une foule d’émeutiers arabes, venus des environs de Constantine, déferlent sur le quartier juif de la ville, pillent un grand nombre de magasins, cambriolent des logements, assiègent et égorgent dans leur maison des familles juives et blessent à l’arme blanche des dizaines de juifs qui tentent d’échapper au massacre.


Pendant tout le temps de l’émeute, l’administration française n’intervient pas, ou peu.

Soldats et officiers, en nombre plus faible que d’habitude (beaucoup étaient en permission) munis d’armes dépourvues de cartouches, jouèrent les spectateurs…

L’officier le plus gradé pendant la durée de l’émeute, est un sous-officier, qui ne peut donner l’ordre de tirer, cela relevant, dans l’armée française, du pouvoir des seuls officiers. 

Le maire, Émile Morinaud, était fort opportunément absent de la ville, ainsi que le commissaire principal. 

Le carnage ne s’arrêta qu’après le retour du maire et la reprise en main de la siuation par l’armée.

 L’administration mit en cause des “provocations juives” (des groupes d’autodéfense juifs avaient tenté de s’interposer entre les émeutiers et la population), 

le gouverneur général de l’Algérie n’assista pas aux obsèques des victimes (dont plusieurs enfants en bas âge), le pouvoir colonial ordonna à la population juive de “s’abstenir de toute provocation et de montrer moins de morgue”.

Très rapidement, dès le lendemain du 5 août, quelques notables musulmans condamnèrent vigoureusement ce qui venait de se passer, désapprouvant publiquement le pogrom. Avec des notables juifs, ils unirent leurs efforts pour éviter de nouveaux affrontements. Au plus fort de l’émeute, nombre de juifs furent sauvés par des arabes, qui les cachèrent.

Cette émeute a profondément marqué les juifs d’Algérie.

 À Constantine, pendant plusieurs mois, les relations entre les juifs et les arabes restèrent tendues. 

Pourtant, en 1940, lorsque les dirigeants pétainistes appliquèrent avec un zèle tout particulier les lois raciales liées “au statut des juifs” en Algérie : abrogation du Décret Crémieux (les juifs d’Algérie redevenaient “indigènes”), renvoi des élèves et des enseignants juifs des établissements publics, mise sous tutelle des biens juifs, 

ils ne rencontrèrent pas l’enthousiasme attendu des populations musulmanes.

On aura compris l’ambiguïté des relations entre juifs et arabes en Algérie : 

Non seulement en raison du passé au cours duquel des périodes de coexistence, inégalitaire mais sans affrontement, ont alterné avec des périodes d’affrontements violents, mais encore à cause de la situation coloniale. 

Aux yeux du colonisateur, juifs et arabes sont des “indigènes” : 

Ils parlent quasiment la même langue, portent des vêtements de même type, partagent une même cuisine, ont des comportements et des coutumes proches. Mais sur le plan juridique, 

le décret Crémieux délivrera les juifs de leur statut d’indigène, qui plus est dhimmi, pas de la haine, “qui conduisit une population musulmane exaspérée par la sujétion coloniale à succomber à l’intoxication anti-juive”.


Pour l’Algérie, ce pogrom n’est en rien fortuit.

 Il est le résultat de l’histoire de l’Algérie, avant et après la conquête : 


La conquête arabe avec sa religion triomphante, a relégué le juif dans une position subalterne, non exempte de violence. La France, du moins dans sa projection outre-mer,n’a pu empêcher les communautés juives d’être en butte à l’hostilité et à la discrimination”. .


Joëlle Allouche-Benayoun professeur d’université

Disphoria

 

 

I am a feminist. 

In principle I am against any intervention on the body that is not strictly necessary, with the right for adults to research what is the less difficult for oneself and to get ALL the informattion available about the possibility to help in case of disphoria.

And I am absolutely against the volontary lies about biological knowable realities, including that domains where there is not any knowledge yet.

And I am absolutely too against any pression against person to oblige them to feel or see what they do not feel or see. 

So I am against some trans activist who want to be treated totally as if they were totally woman, and I am glad to see that some trans have the courage to oppose the enormous campaign to impose a false ideology pretending to represent all the disphoric or trans persons, and labbelling those who have an other conception. 

They are two sexs, and persons with no typical biology or no typical feelings, and those realities must be understand for what they are, with all theyr particularity, and with the particular reality of each individual.

 There is absolutely no need for lies, and no need for negation of the human capacity of perception of the material reality, in order to recognize the complexity of biological and mental individual realities, and to be really "inclusive" for every person.