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COVID et CRIMES

Si je ne crains pas l’Islam, alors je suis un idiot ou un ignorant : Nous devons aimer les musulmans en tant qu’êtres humains, mais pas l’islam

Mar292017


Le terme phobie vient du grec et signifie la peur:
Islamophobie = peur de l’Islam
Craindre est une position saine face à un danger. Devant une idéologie dangereuse, si vous n’avez pas un sentiment de peur, cela signifie que vous êtes soit un ignorant, soit un idiot.
Dans le cas de l’islam,
·         Tous les ministres arabes de la Justice ont adopté un Code pénal arabe unifié dans lequel ils affirment qu’un musulman qui quitte l’islam doit être tuée et qu’une personne adultère doit être lapidée à mort.
·         Un professeur égyptien, Ahmad Hamad Ahmad, a publié au Caire un livre en 1988 avec une deuxième édition en 2000, dont le titre est: Pour une loi unifiée régissant les armées islamiques نحو قانون موحد للجيوش الاسلامية. L’auteur est docteur en droit de l’Université de la Sorbonne. Il a écrit beaucoup de livres juridiques et a enseigné le droit à la Faculté de droit du Qatar. Ce projet vise à remplacer les Conventions de Genève et prévoit l’asservissement des prisonniers, hommes et femmes, comme prescrit par la loi musulmane. Cela signifie le retour de l’esclavage … et ce que fait Daesh.
Quand je vois cela et beaucoup d’autres choses, si je ne crains pas l’Islam, alors je suis un idiot ou un ignorant.
Nous devons aimer les Allemands, mais pas l’idéologie nazie
Nous devons aimer les Italiens, mais pas l’idéologie fasciste
Nous devons aimer les Espagnols, mais pas la corrida
Nous devons aimer le malade, mais pas la maladie
Nous devons aimer les musulmans en tant qu’êtres humains, mais pas l’islam
Il faut donc distinguer entre une idéologie et les personnes. Nous devons aimer les personnes, mais pas leur idéologie. Et si une personne a une idéologie dangereuse, nous devons l’exhorter à l’abandonner. C’est ce qui s’est passé avec l’idéologie nazie. Personne ne déteste les Allemands, mais les Allemands ont dû abandonner leur dangereuse idéologie.
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Dr. Sami Aldeeb, Professeur des universités
Directeur du Centre de droit arabe et musulman
Traducteur du Coran en français et en anglais, et auteur de nombreux ouvrages


Le parlement anglais se couvre de ridicule sur l'islam




Theresa May et les parlementaires anglais qui n'ont jamais étudié l'islam se font docteurs de cette matière et se couvrent de ridicule.

L'islam prône l'usage de la force pour imposer sa loi discriminatoire et éradictrice des autres cultures, y compris le meurtre et la terreur à grande échelle. Les attentats pour instaurer la loi islamique universellement et voir confier le pouvoir à des musulmans sont un bien selon la loi islamique étant donné leur but.

La comparaison faite par le parlementaire posant la question avec le christianisme est ridicule. Les modèles de Jésus et de Mahomet ne sont absolument pas les mêmes, l'un guérit et ressuscite et l'autre tue et torture.

Avec de tels leaders, l'occident et le monde libre sont foutus.


Les propos HONTEUX de Theresa May sur l'islam



" L'islam est une grande foi " dit elle.

Infect mensonge.

L'islam est une plaie de l'humanité depuis sa survenance, elle est une idéologie immonde, des plus barbares jamais inventée.
Soit Théresa May et les parlementaires l'ignorent et ils sont incompétents, soit ils se moquent de le savoir parce que cela les dérange et ce sont des traîtres à l'humanité.

Légitimer l'islam est un crime contre l'humanité.

Historiquement l'islam frappe d'abord les opposants et opposantes à l'islam, les juifs, puis les femmes de toutes confessions, puis tout le monde, musulmans compris. C'est pourquoi le légitimer est un crime contre l'humanité. 

Que le sang de chaque victime de l'islam retombe sur ces politiciens criminels.


Macron / Le Pen




http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/macron-donne-de-la-voix-pour-que-son-programme-soit-porte-par-ses-soutiens-893671.html



Présentation du programme | Emmanuel Macron










Conférence présidentielle n°4 : « La citoyenneté »




Conférence présidentielle : « Le rôle de l'Etat dans l'économie »






Conférence présidentielle n°2 : « La politique internationale de la France »





Conférence présidentielle 1

Anne Sinclair -

le magazine culturel présenté par Léa Salamé. Lundi à 23h10 sur France 2 http://france2.fr/stupefiant Anne Sinclair sans filtre - C à vous - 28/02/2017 L'interview de Anne Sinclair

Double jeu de nos politiciens ... ignares volontaires au minimum



Montage trouvé sur le site de Riposte laique et qui résume l'attitude de Ségolène Royale en 2008 envers Ayaan Hirsi Ali, apostate de l'islam.



Comment Ségolène Royale, après s'est servie d'Ayaan Hirsi Ali pour se donner une image de défenseuse des droits humains, ose t elle la décrire comme une demeurée mentale et une personne perturbée ? Même si cela avait été vrai cela aurait été honteux.
 Comment Ségolène Royale peut elle se permettre de juger ce que dit Ayaan Hirsi Ali sur l'islam sur le ton de l'évidence indiscutable alors qu'elle n'avance aucun argument de fond, sur le motif de l'argument d'autorité, comme si elle Ségolène Royale, ministre, énarque, connaissait à l'évidence qu'une réfugiée somalienne, fut elle elle même députée, ne connaissait pas de sa propre culture ...?

L'attitude de Ségolène Royale est un exemple du parfait cynisme de nos hommes et femmes politiques : leur métier n'est pas de rendre service à la France, leur métier est l'art de se servir, l'art de garder et d'atteindre de plus hauts postes très bien rémunérés.

Peu leur importe dans cet objectif là de savoir ce qu'est vraiment l'islam, fort peu leur importe d'étudier l'islam, tout ce qui leur importe est de trouver " ce qu'il faut en dire " pour gagner en popularité et en soutiens financiers nécessaires pour garder leurs postes, et ce qui leur importe de trouver les plumes serviles qui répéteront en écho ou ont déjà formuler ces propos qui peuvent les servir.

Voilà pourquoi eux et les grands médias soutenus par des groupes commerciaux n'ont que faire des véritables professeurs qui ont consacré leur vie à l'étude de l'islam. Ceux ne les interessent nullement. Ils ne cherchent nullement leur conseil. Ils ne contactent que des écriveurs qui ont semblent capables d'avoir un message compréhensible et pas trop angoissant pour l'électorat.

Dans une Europe où tant de personnes veulent étudier jusqu'à 25 ans, travailler au grand maximum 40 ans, puis avoir encore trente ans d'espérance de vie, en ayant des rejetons cadres supérieurs ou pas de rejetons du tout, il est efficace de faire peur aux gens en leur expliquant que sans immigration, pas de retraites, et que seuls les fachos trouveraient à redire à l'islam ...Les Européens veulent des enfants élevés en batterie pour les servir. Leurs politiciens leur servent la soupe qui leur donne bonne conscience, pour continuer à profiter de la misère engendrée par la morale prédatrice et impérialiste de l'islam.

L'extrême droite réelle qui fait peser tous ces vices sur les juifs en les accusant d'un grand complot est peut être le plus ridicule, mais parce qu'il est grotesque, il n'est pas le plus ignoble, le pire est l'apparence bien propre sur soi des vrais manipulateurs, des petits futés aux pouvoirs politique et économique.

Tous les journalistes et "intellectuels", chercheurs, qui répètent " pas touche à l'islam " sont choisis par ces politiciens là, soutenus par eux, et par les groupes d'affaires qui les soutiennent financièrement - et réciproquement - LE fric avant et contre l'honneur, coups dégueulasses ou pire contre les vrais héros de notre temps : prostitution du haut en bas.

Tout ceci ne serait pas possible si nous, citoyens, citoyennes étions réellement inquiets pour "notre prochain", réellement mobilisés suffisamment, les sornettes ne passeraient pas ...

Karajan : Dvorjak

Francis Blanche et Pierre Dac, "Le Parti d'en rire".









 L'extraordinaire est que rien ne semble avoir changé : la haine à l'oeuvre dans l'esprit d'un intellectuel qui désire pouvoir voir du mal dans le juif,
et les propos de Pierre Dac  : " qui pouvait et n'a pas résisté, je le méprise profondément ".


Défense et illustration de la France française




APPEL AU PEUPLE FRANÇAIS :
LA QUESTION N’EST PAS L’IDENTITE DE LA FRANCE MAIS SA DEFENSE

La France et l'Europe, tout le monde libre, est aujourd'hui menacé, malgré les qualités et la bonne volonté de nombreux immigrés et leurs raisons bien compréhensibles d'immigrer, par l'arrivée de nombreux immigrants venus d'une culture islamique dont la doctrine prône la guerre contre les non musulmans.
Est il juste ou injuste que ces populations viennent en Europe rechercher un meilleur mode de vie, est il juste ou injuste qu'une grande part de ces populations soient aujourd'hui assistées par les Européens : on peut en discuter.
Ce qui cependant n'est pas discutable, c'est que quel qu'aient pu être ou soient les liens économiques passés ou présents, on se serve du prétexte d'une supposée ou réelle injustice économique pour s'en prendre aux libertés fondamentales et à la sécurité des Français et Européens d'origine.
De même d'ailleurs, les USA et l'Europe doivent admettre que leur responsabilité dans l'attaque militaire de pays musulmans pour bénéficier de leurs ressources pétrolières soit mise en cause.

Les meneurs des immigrés venus d'Afrique et des pays islamiques, avec la complicité de profiteurs européens, les poussent à venir de plus en plus nombreux en Europe et à y avoir un comportement conforme à la loi islamique, c'est à dire ayant les caractéristiques de la colonisation-invasion et du fascisme.
Aujourd'hui, certains pseudos intellos, tentent de briser toute résistance au fascisme mahométan et à l'invasion provenant d'Afrique et des pays islamique, en tentant de faire croire que s'y opposer serait une manifestation d'intolérance ou de racisme : ils ne sont que des collaborateurs de ce fascisme et de ce colonialisme.
Les Français doivent défendre leur liberté face aux meneurs des populations immigrées venues des pays musulmans. Non seulement les Français ont le droit de défendre leur liberté, par la force publique, mais ils en ont le devoir envers leurs enfants.
En défendant leur liberté, y compris par la force et éventuellement la guerre, les Français, les Européens, non seulement font un acte de justice envers eux-mêmes, mais ils pousseront les Africains et les peuples des pays aujourd'hui musulmans, à mieux gérer leurs pays et à mieux se développer économiquement et moralement eux-mêmes.

Dans ce combat pour la défense de la liberté, il est crucial de comprendre ceci : tant que les Etats européens ne voudront pas tenir compte du contenu spécifique de la doctrine islamique, de ses caractéristiques impérialistes et fasciste, et prendre des dispositions spécifiques contre tout ce qui renforce la force des meneurs islamiques, toutes les dispositions que ces Etats prendront pour un maintien de l'ordre, toutes les restrictions des libertés générales qui seront ainsi instituées, seront bientôt retournées contre les Français et Européens, pour instaurer une dictature islamique en Europe.
La distinction, par la législation, - distinction non abusive, non "discriminatoire", mais distinction venant du discernement et de la prise en compte des faits - , entre les populations, pratiques, constructions, droits, selon qu'ils sont en rapport ou pas avec l'application de la loi islamique, est indispensable pour défendre nos libertés et non vies, face aux meneurs qui veulent l'instauration de l'ordre islamique dont parlait Izebégovic.

Par exemple de même que la publication de "mon combat" "mein Kampf" de Hitler n'est autorisée en France que si chaque volume contient un avertissement sur les actes de barbaries commis au nom de ce livre, de même chaque volume du coran et des recueils de la sunna, devrait contenir un avertissement sur les mêmes points.
Il ne s’agit pas d’interdire un livre, au contraire, car de même aussi que les Européens auraient dû lire Mein Kampf dans les années 20 et 30, les Européens d'aujourd'hui devraient lire le coran et les ouvrages de vrais islamologues européens et critiques de l'islam, afin d'en savoir autant sur la doctrine islamique, que les meneurs tels Izetbegovic en savent sur notre philosophie et notre droit.

Les Français doivent au quotidien se mobiliser pour défendre les victimes et défendre la loi : se mobiliser pour soutenir toutes les victimes d'actes d'agression ou de menaces, qu'elles soient physiques ou morales ( insultes ...), protester contre les poursuites contre les personnes qui se défendent contre des agressions, protester contre les poursuites et agressions contre les personnes qui critiquent l'islam, protester contre les élus qui bafouent la loi de 1905 pour financer des lieux de culte ...
Les Français doivent savoir que les condamnations de telle ou telle critique de l'islam au nom d'un prétendu risque de nouvelle "Shoah" contre les musulmans d'Europe sont dénuées de fondement, même si ce sont les juifs les plus sincères qui les énoncent : non seulement invoquer la Shoah contre les critiques de l'islam est mal fondé, mais il faut savoir que c'est au contraire l'absence de mise en garde contre les textes de l'islam et les menées des militants de l'islam, qui prépare la prochaine "Shoah" contre les non musulmans en général, et les juifs en particulier.

Le débat à avoir aujourd’hui n’est pas l’identité française. Tout le monde sait bien ce qu’est l’identité française : "Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs". " C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. » Charles de Gaulle.
Le débat à avoir aujourd’hui est de savoir si oui ou non, les Français veulent se défendre. Si oui ou non ils veulent défendre la culture française, la population française d’origine et ses enfants, ou s’ils acceptent la domination de populations d’origine étrangère sous la loi islamique, pourvu qu’ils aient un semblant de paix pendant encore quelques années ... Tel est la question. LA question que nous devons nous poser est simple : acceptons nous, oui ou non, l'éventualité que nos enfants ou petits-enfants soient soumis à la loi islamique ? Corolaire : acceptons nous oui ou non qu’ils soient minoritaires dans de plus en plus nombreuses parties de notre territoire ?

La solution n’est jamais de désigner des coupables, mais … de trouver des solutions. Les révolutions scientifiques des décennies précédentes ont bouleversé l’économie et la démographie, les institutions politiques ne sont plus adaptées pour défendre l’intérêt général face à la puissance des intérêts particuliers, nous sommes tous, humains de toute la planète, pris dans cette tourmente et pour la plupart dépassés par l’ampleur des problèmes.
L’essentiel à savoir est pourtant simple et ne doit pas être perdu de vue.
L’essentiel à savoir est que notre civilisation « occidentale », a en son cœur l’attachement à l’amour et la liberté, ou la liberté et l’amour, comme on voudra, et que jamais « liberté et amour », n’ont pu être préservés sans le « cœur », le courage, la conscience et l’emploi de la force à bon escient, c'est-à-dire avec le discernement basé sur le savoir et la rigueur intellectuelle.
L’essentiel à savoir est que jamais une population n’a conservé longtemps sa liberté en laissant lâchement les plus faibles d’entre elle se faire tabasser et persécuter.
L’essentiel à savoir est que tous ceux qui prêchent l’interdiction de toute distinction, et l’interdiction de tout recours à la force, sous prétexte de tolérance, font en fait le jeu des plus forts et des plus injustes en empêchant toute résistance contre leurs intolérances et violences.
L’essentiel à savoir est que jamais un texte qui dit « tuez les infidèles, soyez durs avec eux, humiliez les » n’a pu être réinterprété comme voulant dire « aimez vous les uns les autres, et pardonnez vous comme je vous ai pardonné » : dire qu’une telle réinterprétation est possible sous prétexte qu’il s’agirait d’un texte religieux, n’est pas vrai, aussi intelligents, diplômés et arrogants que soient les menteurs qui veulent le faire croire.

J’en appelle donc au peuple français : vos libertés, vos vies et celles de vos enfants ne sont plus assurées, réveillez vous, réagissez …Rodrigue : as-tu du cœur ?

Rose, islam, nazisme

Voir les ressemblances :

http://elisseievna.blogspot.com/2008/05/islam-gale-idologie-nazie.html

- comme le nazisme, l'islam prône l'écrasement des peuples inférieurs, les non-musulmans, leur asservissement,
- en attendant leur extermination, ou éventuellement leur absorption par la conversion, mais les chefs musulmans ont plusieurs fois interdit la conversion pour pouvoir continuer leur exploitation des dhimmis ....
- comme le nazisme, l'islam prone pour le salut du monde, l'extermination des juifs.


La seule différence entre la situation sous la botte nazie et la situation actuelle, ce n'est pas l'occupation de territoires perdus de la République, c'est que l'Allemagne n'avait pas imposé sa loi en Europe avant d'y avoir installé ses armées et ses chars. Alors que les pouvoirs islamiques, sous la menace entre autres d'émeutes par la technique "du faible au fort", c'est à dire par du harcèlement mêlé à une propagande victimaire, parviennent de plus en plus à imposer leur loi aux pays européens, en particulier l'interdit de critiquer l'islam sous peine de mort, alors même que les autorités souveraines ne sont pas actuellement islamiques.

Comme sous le nazisme, il y a des tas de gens du peuple qui ne veulent ni la guerre, ni des actes monstrueux, et qui ne voient pas le rapport entre le soutien à l'islam ou à Hitler et de telles actions qui les choquent ... et il n'empêche pourtant que ce soutien là aboutit et aboutira à ce résultat là, à savoir, de faire ce que les textes  de Hitler ou de Mahomet ont prôné. Il est donc nécessaire de faire appel à leur conscience, à leur sens des responsabilités, de leur faire prendre conscience de ces réalités, sans la moindre haine ni même désir de blesser, mais sans lâcheté non plus devant leur éventuelle colère.

Pour le reste, tout est identique sinon dans les "détails", du moins dans les objectifs et les grandes lignes, y compris les appels faux culs à l'apaisement et à la collaboration.

Ceux qui contribuent à l'asservissement de la France à une loi tyrannique venue principalement de puissances étrangères, de la destruction des libertés publique au profit de ces puissances, sont coupables d'intelligence avec un ennemi, de trahison, et de collaboration.

Abandonnés



jeux, prostitution, tourisme, animaux ...

êtres humains abandonnés ...ici

ailleurs, ces personnes servent de boucliers humains

cherchez l'erreur


Derrière la jolie trisomique Mélanie, des milliers de handicapés abandonnés par la France
Publié le 15 mars 2017 par laconnectrice

Mélanie Ségard, jeune et gracieuse trisomique (mongolienne) de 21 ans est devenue l’égérie de l’UNAPEI et a pu ce soir réaliser son rêve de présenter la météo. Bravo à Mélanie et à toutes les personnes qui l’ont aidée à réaliser son rêve.http://www.francetvinfo.fr/sante/handicap/video-regardez-la-meteo-presentee-par-melanie-segard-une-jeune-femme-trisomique_2097115.html
Mélanie a de la chance car elle est relativement peu affectée par sa maladie génétique. Malheureusement, la majorité des handicapés mentaux sont beaucoup plus affectés par cette anomalie chromosomique, ont de graves difficultés à se contrôler, à communiquer, à apprendre et à être autonomes. Leur apparence n’est pas aussi télégénique que celle de Mélanie qui est vraiment très mignonne, ce qui explique que, parfois les malades mentaux soient exclus de piscines ou de lieux publics. Il semblerait d’ailleurs que les adultes soient plus intolérants que les enfants aux anormalités.
Les autistes Asperger sont une minorité parmi les handicapés mentaux, la plupart des autistes étant débiles mentaux.  D’autres enfants sont à la fois handicapés moteurs et cérébraux, difficiles à regarder au regard de ce qui peut apparaître comme une grande souffrance.
Ces enfants handicapés restent à la charge de leur famille, obligeant la maman à abandonner son activité professionnelle pour s’occuper à plein temps de l’enfant dépendant. Cette charge peut détruire le couple tellement elle est lourde. Je me souviens d’un camarade de mes enfants, myopathe en chaise roulante. Tous les matins, je voyais les deux parents conduire leur enfant à l’école, sortir le fauteuil roulant de la voiture, le déplier et y porter leur garçon qui était par ailleurs excellent élève. Quelques années plus tard, je rencontrais la maman seule avec son enfant handicapé, toujours seule, toujours triste et ça me fendait le cœur.
Au nom de l’inclusion, il arrive que des parents puissent inscrire leur enfant autiste à l’école, à condition de trouver une assistante de vie personnelle. Pour les parents c’est un chemin de croix et c’est souvent la maman qui abandonne tout pour se consacrer aux démarches, trouver les financements, l’assistance et l’école qui accueillera l’enfant.. Pour l’institutrice qui reçoit l’enfant dans sa classe, c’est une épreuve car, même si l’enfant est bien accepté dans le groupe, il peut avoir un comportement agressif et perturbant pour l’enseignement.
J’ai connu une autre maman d’un infirme moteur cérébral, un enfant qui rampait au lieu de marcher, qui poussait des hurlements incapable d’articuler et d’apprendre à parler, impuissant à contrôler son corps et devant porter des couches qu’il s’acharnait à enlever. La maman avait arrêté de travailler et noyait sa frustration et sa douleur dans l’alcool. Pendant la semaine, l’enfant était accueilli en hôpital de jour, ce qui laissait à peine à sa mère le temps de nettoyer, laver le linge souillé, s’occuper de ses deux autres enfants et cuisiner. Cette famille modeste ne partait jamais en vacances et s’inquiétait de savoir ce que deviendrait leur fils à sa majorité sachant qu’en France, il n’existe pas de structures pour les adultes handicapés mentaux. Il faut avoir les moyens d’aller en Belgique, c’est ce que font les parents qui peuvent payer une structure spécialisée et compétente. Il arrive en effet que des enfants soient négligés et maltraités dans ces structures payantes.
Les actuels candidats à la présidence de la République n’abordent pas ce sujet douloureux. En son temps, pendant sa campagne, Ségolène Royal avait abordé le sujet en rendant hommage à toutes ces femmes, mères, grand-mères, sœurs, cousines, nièces, filles qui prenaient en charge enfants et parents handicapés. En effet, en dehors d’un emploi rémunéré d’infirmier ou aide-soignant, il est rare que des hommes sacrifient leur vie et leur profession pour s’occuper de proches handicapés. Il n’est donc pas surprenant que nos hommes politiques n’abordent pas ce sujet douloureux en proposant des solutions viables et décentes.
Ces candidats dont certains voudraient limiter le droit à l’IVG en rendant son accès encore plus difficile qu’il ne l’est actuellement, seraient-ils prêt à se sacrifier pour consacrer leur vie à un enfant trisomique ou autrement malade mental ? Il existe des handicaps et des maladies mentales encore plus graves qui peuvent être décelées au cours d’examens prénatals. Adolescente j’avais effectué une visite pédagogique aux asiles John Bost à La Force. J’y avais vu un enfant  handicapé mental dont les membres étaient démesurément longs, fins et inutilisables ; un autre qui avait des dents de loup, le visage déformé par les rugissements qu’il ne cessait de pousser; un autre qui ne cessait de tourner sur lui-même comme un derviche tourneur ; etc. Aujourd’hui, on leur administrerait sans doute un sédatif et ils passeraient leur existence dans un état cataleptique abandonnés aux soins d’une administration dépourvue de moyens décents.Est-ce le genre de vie que nous souhaitons pour nos enfants ? Il est urgent de prévenir le handicap et de prendre en charge correctement les êtres humains qui en sont victimes.
La Connectrice
Pour en savoir plus
·         le site de l’UNAPEI L’Unapei est la première fédération d’associations française de représentation et de défense des intérêts des personnes handicapées mentales et de leurs familles. Créée en 1960, elle rassemble 550 associations de bénévoles, parents et amis, qui agissent pour que toute personne déficiente intellectuelle dispose d’une solution d’accueil et d’accompagnement et soit le plus intégrée possible dans la société.
·         Facebook https://www.facebook.com/pageUnapei
·         Le coût de l’exil en Belgique pour la sécurité sociale et les conseils départementaux 400 millions d’euros https://informations.handicap.fr/art-hebergement-belgique-853-9449.php
·         Rapport du sénat décembre 2016
Prise en charge de personnes handicapées dans des établissements situés en dehors du territoire national http://www.senat.fr/rap/r16-218/r16-218.html




Cardinal Van Galen - 1941



Sermon de l'évêque et Cardinal de Münster, Clemens August comte von Galen

le dimanche 3 août 1941 dans l'église de St Lambert, à Münster.


A mon regret je dois vous informer que pendant la semaine passée la Gestapo a continué sa campagne d'annihilation contre les ordres catholiques.  Mercredi 30 juillet, ils ont occupé le centre administratif de la province des soeurs de Notre-Dame à Mühlhausen dans le district de Kempen, qui a autrefois appartenu au diocèse de Münster, et ils ont déclaré que le couvent devait être dissous.  La plupart des soeurs, dont beaucoup viennent de notre diocèse, ont été expulsées et elles ont reçu l’ordre de quitter le district le même jour.  Jeudi, selon des sources fiables, le monastère des frères missionnaires de Hiltrup à Hamm a été également occupé et confisqué par le Gestapo et les religieux ont été expulsés.  Déjà le 13 juillet, à propos de l'expulsion des Jésuites et des soeurs missionnaires de Sainte Claire de Münster, j'ai publiquement déclaré dans cette même église:  Aucun des occupants de ces couvents n'est accusé de quelqu’offense ou de crime, aucun n’a été amené devant un tribunal, aucun n’a été reconnu coupable.  J'entends que des rumeurs sont maintenant répandues dans Münster qu’ après tout, ces religieux, en particulier les Jésuites, ont été accusés, ou même convaincus d’actes criminelles, et même de trahison.  Je déclare ceci : 

Ce sont de basses calomnies de citoyens allemands, nos frères et nos soeurs, que nous ne tolérerons pas.  J'ai déjà déposé une plainte pénale auprès du procureur en chef contre un individu qui est allé si loin qu’il a fait de telles allégations devant des témoins.  J'exprime l'espoir que l'homme sera amené rapidement à  rendre compte et que nos Tribunaux auront toujours le courage de punir les calomniateurs qui cherchent à détruire l'honneur de citoyens allemands innocents dont la propriété a été déjà enlevée.  J'invite tous mes auditeurs, oui, tous mes respectables concitoyens, qui à l'avenir entendront des accusations faites contre les religieux expulsé de Münster de donner le nom et l'adresse de la personne portant ces accusations et de tous les témoins.  J'espère qu'il y a toujours des hommes à  Münster qui ont le courage de faire leur devoir en demandant la mise en examen judiciaire contre de telles accusations qui empoisonnent la communauté nationale, en s’engageant par leur personne, leur nom et au besoin leur témoignage.  Je leur demande, si de telles accusations contre les religieux sont faites en leur présence, de les rapporter immédiatement à leur curé ou au Vicaire général et de les faire enregistrer.  Je demande pour l'honneur de nos ordres religieux, pour l'honneur de notre église catholique et également pour l'honneur de nos compatriotes allemands et de notre ville de Münster de rapporter de tels cas au service de poursuite de l'État de sorte que les faits puissent être établis par un tribunal et les calomnies contre nos religieux punies. 

(Après la lecture de l’Evangile pour le 9ème dimanche après la Pentecôte :  "et quand il fut proche (de Jérusalem) , à la vue de la ville, il pleura sur elle...",  Luc 19,41- 47): 

Mes chers diocésains!  C'est un événement profondément émouvant que nous lisons dans l’évangile d’aujourd'hui.  Jésus pleure!  Le fils de Dieu pleure!  Un homme qui pleure souffre d’une peine – une peine du corps ou du coeur.  Jésus n'a pas souffert dans son corps,  mais il a pleuré.  Combien grande a été la douleur de son âme, la souffrance du cœur du plus courageux des hommes pour qu’il pleure!  Pourquoi a-t-il pleuré?  Il a pleuré sur Jérusalem, sur la ville sainte de Dieu qui lui était si chère, la capitale de son Peuple.  Il a pleuré sur ses habitants, ses concitoyens, parce qu'ils ont refusé de reconnaître la seule chose qui pourrait éviter le jugement qu’il connaissait par son omniscience et qui était déterminé à l'avance par le divin juge:  "Si en ce jour tu avais reconnu, ... le message de paix !"  Pourquoi les habitants de Jérusalem ne le reconnaissent-ils pas?  Peu de temps avant, Jésus l’avait apostrophée :  "O Jérusalem, Jérusalem... combien de fois, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants à la manière dont une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et tu n’as pas voulu!"  (Luc 13.34). 

Tu n’as pas voulu !  Moi, ton roi, ton Dieu, je le voulais ! Mais tu n’as pas voulu !  Combien elle est en sécurité, comme elle est protégée la couvée des poussins sous l'aile de la poule:  elle la réchauffe, elle la nourrit, elle la défend.  De la même manière j'ai désiré vous protéger, pour vous garder, pour vous défendre contre  tout mal.  Je le voulais , mais vous ne le vouliez pas !  C'est pourquoi Jésus pleure;  c'est pourquoi cet homme fort pleure;  c'est pourquoi Dieu pleure…  Sur la folie, l'injustice, le crime de  ceux qui ne veulent pas…  Et sur le mal auquel cela donne lieu - que son omniscience voit venir, que sa justice doit imposer -  si l'homme pose son refus contre les ordres de Dieu, en opposition aux remontrances de la conscience, et à toutes les invitations affectueuses de l'ami divin, le meilleur des pères:

 " Si tu avais donc reconnu , encore aujourd’hui, en ce jour ce qui sert à la paix ! Mais tu n’as pas voulu !"  C’est quelque chose de terrible, quelque chose d’incroyablement faux et fatal, quand l'homme met sa volonté en opposition à la volonté de Dieu.  Je voulais  ! Mais tu n’as pas voulu !  C'est pourquoi Jésus pleure sur Jérusalem. 


Chrétiens chèrement aimés!  La lettre pastorale commune des évêques allemands, qui a été lue dans toutes les églises catholiques en Allemagne le 26 juin 1941, dit entre autres :  " Il est vrai que, dans l'éthique catholique, il y ait certains commandements positifs qui n’obligent plus si leur observance provoquait des difficultés excessivement grandes ;  mais il y a également des engagements sacrés dont en conscience personne ne peut nous libérer, que nous devons accomplir même s’il nous en coûte notre vie. Jamais, en aucune circonstance, un homme ne peut , sauf en cas de guerre ou de légitime défense, mettre à mort une personne innocente." 

J'ai eu l'occasion, le 6 juillet, d’ajouter les commentaires suivants à ce passage de la lettre pastorale commune:  "Depuis quelques mois nous entendons  des rapports selon lesquels des personnes internées dans  des établissements pour le soin des maladies mentales, qui ont été malades pendant une longue période et semblent peut-être incurables, ont été de force enlevées de ces établissements sur des ordres de Berlin.  Régulièrement, les parents reçoivent, peu après un avis selon lequel le patient est mort, que son corps  a été incinéré et qu'ils peuvent recevoir ses  cendres. 

Il y a un soupçon général, confinant à la certitude,  selon lequel ces nombreux décès inattendus de malades mentaux ne se produisent pas naturellement, mais sont intentionnellement provoqués, en accord avec la doctrine selon laquelle il est légitime de détruire une soi-disant " vie sans valeur" - en d'autres termes de tuer des hommes et des femmes innocents, si on pense que leurs vies sont sans  valeur future au peuple et à l'état.  Une doctrine terrible qui cherche à justifier le meurtre des personnes innocentes, qui légitimise le massacre violent des personnes handicapées qui ne sont plus capables de travailler, des estropiés, des incurables des personnes âgées et des infirmes!" 

Comme j’en ai été bien informé, dans les hôpitaux et les hospices de la province de Westphalie  sont préparés des listes de pensionnaires qui sont classés en tant que "membres improductifs de la communauté nationale" et doivent être enlevé de ces établissements et être ensuite tués rapidement.  La première partie des patients est partie de l'hôpital de malades mentaux de Marienthal, près de Münster, au cours de cette semaine.  Des hommes et des femmes allemands! 

L'article 211 du code pénal allemand est toujours en vigueur, et dit en ces termes:   "Qui intentionnellement tue un homme, en ayant l’intention de donner la mort, sera puni de mort pour meurtre". 

Il n’y a aucun doute : afin de protéger ceux qui tuent intentionnellement ces pauvres hommes et femmes, membres de nos familles, de cette punition établie par la loi, les patients qui ont été choisis pour le massacre sont déplacés de leur environnement vers quelque endroit éloigné.  Quelque maladie ou autre est alors donnée comme cause de la mort.  Puisque le corps est immédiatement incinéré, les parents et la police criminelle ne peuvent pas établir si le patient en fait avait été malade ou ce qu'était réellement la cause de la mort.  J'ai été assuré, cependant, qu'au ministère de l'intérieur et au Service de l'officier médical en chef du Reich, le Dr Conti, qu’aucun secret n’est fait du fait qu'en effet un grand nombre de personnes mentalement malades en Allemagne ont été déjà tuées intentionnellement et que ceci continuera. 

L'article 139 du code pénal prévoit que  "quiconque a la connaissance d'une intention de commettre un crime contre la vie de toute personne... et n'informe pas les autorités ou la personne dont la vie est menacée, en temps voulu...  commet une faute punissable ". 

Quand j'ai eu connaissance de l'intention d'enlever des patients de Marienthal,  j'ai déposé le 28 juillet une plainte  chez le procureur de Münster,  au tribunal du Land à  Münster, et à Monsieur le président de la Police par lettre recommandée ayant la teneur suivante  :

 "Selon l'information que j'ai reçue il est projeté au cours de cette semaine (la date a été mentionnée comme étant celle du 31 juillet) de déplacer un grand nombre de patients internés de l'hôpital provincial de Marienthal, classés comme 'membres improductifs de la communauté nationale ', à l'hôpital psychiatrique d’Eichberg, où ils doivent être intentionnellement tué comme on croit généralement que  cela s’est produit  dans le cas de patients enlevés d'autres établissements. 

Puisqu'une telle action est non seulement contraire à la loi morale divine et naturelle mais est qualifiée à l'article 211 du code pénal allemand comme meurtre et entraîne la peine de mort, je rapporte par la présente ce fait en accord avec mon obligation de l'article 139 du code pénal et demande que des mesures soient  immédiatement être prises pour protéger les patients concernés par des démarches contre les autorités projetant leur déplacement et leur meurtre, et que je puisse être  informé de la mesure prise ". 

D’information au sujet de ma démarche, aucune ne m’est venue en retour que ce soit du procureur ou de la police.  J'avais déjà écrit le 26 juillet aux autorités de la Province de Westphalie qui sont responsables du fonctionnement de l'hôpital psychiatrique et des patients confiés à eux pour veiller sur eux et pour les soigner, protestant dans les termes les plus forts.  Cela n'a eu aucun effet.  Le premier transport des victimes innocentes sous sentence de mort a quitté Marienthal.  Et  de l'hôpital de Warstein, ce sont, comme je l’ai entendu,  800 patients qui ont été déjà enlevés. 

Nous devons nous attendre, donc, à ce que les pauvres patients sans défense  soient, tôt ou tard, tué.  Pourquoi?  Non pas parce qu'ils ont commis quelque offense que ce soit justifiant leur mort;  non pas parce que, par exemple, ils ont attaqué une infirmière ou un préposé à leur surveillance, qui seraient autorisés pour cause de légitime défense à répondre avec violence à la violence.  En ce cas l'utilisation de la violence menant à la mort est permise et peut être invoquée, comme dans le cas où l’on tue un ennemi armé.  Non :  ces malheureux patients doivent mourir, non pas pour quelque raison semblable mais parce que par le jugement d'un certain organisme officiel, sur la décision d'un certain comité, ils sont devenus "indignes de vivre," parce qu'ils sont classés en tant que "membres improductifs de la communauté nationale".  Le jugement est qu'ils ne peuvent plus produire aucun bien :  Ils sont comme une vielle machine qui ne fonctionne plus, comme un vieux cheval qui est devenu boiteux de manière incurable, comme une vache qui ne donne plus de lait.  Qu'arrive-t-il à une  vielle machine ?  Elle est mise à la ferraille.  Qu'arrive à un cheval boiteux, à une vache improductive? 

Non ! Je ne pousserai pas la comparaison jusqu’au bout -  si affreuse est sa convenance et son pouvoir d’illumination. 

Mais nous ne sommes pas concernés ici par de vielles machines,  nous n'avons pas affaire à des chevaux et à des vaches, dont l’unique fonction est de servir l'humanité, de produire des biens pour l'humanité.  Elles peuvent être détruites, ils peuvent être abattus quand ils ne remplissent plus cette fonction.  Non:  ici il s’agit d’hommes et des femmes, nos prochains, nos frères et soeurs!  De pauvres êtres humains, des êtres humains malades. Ils sont improductifs, si vous voulez...  Mais cela signifie-t-il qu'ils ont perdu le droit de vivre?  As-tu, ai-je le droit de vivre seulement aussi longtemps que nous sommes productifs, aussi longtemps que nous sommes reconnus par d'autres comme productifs? 

Si l’on pose et met en pratique le principe selon lequel les hommes sont autorisés à tuer leur prochain improductif, alors malheur à nous tous, car nous deviendrons vieux et séniles !  S'il est légitime de tuer les membres improductifs de la communauté, alors  malheur aux invalides qui ont sacrifié et perdu dans le processus de production leur santé ou leurs membres !

        Si l’on peut se débarrasser des hommes et des femmes improductifs par des moyens violents, alors malheur à nos courageux soldats qui reviennent au pays  gravement atteints par des blessures de guerre,  estropiés et invalides !

        Si on l'admet, une fois, que les hommes ont le droit de tuer  leurs prochains "improductifs" – quoique cela  soit actuellement appliqué seulement à des patients pauvres et sans défenses, atteints de maladies - alors la voie est ouverte au meurtre de tous les hommes et femmes improductifs:  le malade incurable, les handicapés qui ne peuvent pas travailler, les invalides de l’industrie et de la guerre.  La voie est ouverte, en effet, pour le meurtre de nous tous, quand nous devenons vieux et infirmes et donc improductifs.  Alors on aura besoin seulement qu’un ordre secret soit donné pour que le procédé, qui a été expérimenté et éprouvé avec les malades  mentaux, soit étendu à d'autres personnes "improductives", qu’il soit également appliqué à ceux qui souffrent de tuberculose incurable, qui sont âgés et  infirmes, aux personnes handicapées de  l'industrie, aux soldats souffrant de graves blessures de guerre ! 

Alors aucun homme ne sera en sûreté :  n’importe quelle commission pourra le mettre sur la liste des personnes "improductives", qui dans leur jugement sont devenues "indignes de vivre".  Et il n'y aura aucune police pour le protéger lui, aucun tribunal pour venger son meurtre et pour amener ses meurtriers à la justice.  Qui pourra alors avoir une quelconque confiance dans un médecin?  Il pourrait signaler un patient comme improductif et pourraient être alors données des instructions pour le tuer! 

On ne peut s’imaginer, la dépravation morale, la méfiance universelle qui s'étendra au coeur même de la famille, si cette doctrine terrible est tolérée, admise et mise en pratique.  Malheur aux hommes, malheur au peuple allemand quand le saint commandement de Dieu : "Tu ne tueras pas ! ", que le seigneur a donné au Sinaï dans le tonnerre et les éclairs, que Dieu notre créateur a écrit  dans la conscience de l'homme au commencement, si ce commandement n'est pas simplement violé mais sa violation est tolérée et exercée impunément !

Je vous donnerai un exemple de ce qui se produit.  Un des patients de Marienthal était un homme de 55 ans, un fermier d'une paroisse de campagne dans la région de Münster - je pourrais vous donner son nom - . Il a souffert pendant quelques années de perturbation mentale et a été donc admis à l'hôpital de Marienthal.  Il n'était pas mentalement malade dans le plein sens du terme:  il pouvait recevoir des visites et était toujours heureux, quand sa parenté venait le voir.  Il y a seulement une quinzaine, lui rendirent visite son épouse et un de ses fils, un soldat qui se trouvait stationné au front et avait un congé à la maison. Le fils est très attaché à son père malade, aussi la séparation fut difficile… Qui sait si le soldat reviendra, s’il reverra son père, car il peut tomber au combat pour son pays.

Le fils, le soldat, ne reverra sans doute sûrement pas son père sur la terre car il a été depuis mis sur la liste des "improductifs".

Un parent, qui a voulu rendre visite au père cette semaine à Marienthal, s’en est retourné avec l'information que le patient avait été transféré ailleurs sur les instructions du Conseil des ministres pour la défense nationale.  Aucune information ne pourrait être fournie sur le lieu où il avait été envoyé, mais les parents seraient mis au courant d’ici quelques jours.  Quelle sera cette information?  La même que dans d'autres cas semblables?  Que l'homme est mort, que son corps a été incinéré, que les cendres seront remises contre paiement d’honoraires?  Car le soldat, risquant sa vie au champ d’honneur pour ses compatriotes, ne reverra pas son père sur terre, parce que des compatriotes à la maison l'ont tué.  Les faits que j'ai énoncés sont bien établis.  Je puis donner les noms du patient, de son épouse et de son fils le soldat, et de l'endroit où ils vivent.  " Tu ne tueras pas !"  Dieu a écrit ce commandement dans la conscience de l'homme longtemps avant que n'importe quel code pénal ait établi de pénalité pour le meurtre, longtemps avant qu’il n’y ait n'importe quel procureur ou n'importe quelle cour pour instruire et punir un meurtre.  Caïn, qui a tué son frère Abel, était un meurtrier longtemps avant qu'il n’y ait eu d’États ou de tribunaux.  Et il avouait sa faute, pressé par sa conscience qui l’accusait :  " Mon méfait est trop grand pour que je puisse trouver le pardon ... le premier venu qui me trouvera me tuera" (Genèse 4.13-14).  "

" Tu ne tueras pas !"  Ce commandement de Dieu, qui seul a le pouvoir de décider de la vie ou de la mort, a été écrit dans le coeur des hommes au commencement, longtemps avant que Dieu ait donné aux enfants de l'Israël sur la montagne du Sinaï sa loi fondamentale dans ces phrases lapidaires inscrites sur la pierre, qui sont écrites pour nous dans l’Écriture Sainte et que comme enfants nous avons apprises par coeur au catéchisme.

" Je suis le Seigneur ton Dieu ! "  Ainsi commence cette loi immuable. " Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi ! "  Dieu – le seul Dieu, transcendant, tout-puissant, omniscient, infiniment saint et juste, notre créateur et juge à venir - nous a donné ces commandements.  En raison de son amour pour nous il a écrit ces commandements dans notre coeur et les a proclamés.  Car ils correspondent au besoin de notre nature créée par le Dieu; ce sont les normes indispensables de tout vie raisonnable, pieuse, salutaire  et sainte individuelle et communautaire.

Avec ces commandements, Dieu notre père, veut nous rassembler, nous ses enfants, comme la poule rassemble ses poussins.  Si nous suivons ces commandements, ces invitations, cet appel de Dieu, nous serons gardés et protégés et préservés du mal, défendus contre la mort et la destruction menaçantes comme les poussins sous les ailes de la poule. 

"O Jérusalem, Jérusalem... combien de fois, combien de foi j’ai voulu rassembler tes enfants à la manière dont une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et tu n’as pas voulu!" Est-ce que cela va de nouveau arriver à notre pays, à l'Allemagne, à notre province de Westphalie, à notre ville de Münster? Qu’en est-il de l’obéissance aux commandements divins, en Allemagne, ici chez nous ?

Le huitième commandement:  "Tu ne donneras pas de faux témoignage, tu ne mentiras pas ! "
Combien de fois il est violé sans scrupule et publiquement!

Le septième commandement:  " Tu ne voleras pas !"
La propriété de qui est-elle encore sûre après l'expropriation arbitraire et sans égards de celle de nos frères et de sœurs qui font partie d'ordres religieux catholiques ? La propriété de qui est-elle protégée si cette propriété saisie illégalement n'est pas restituée ?

Le sixième commandement:  "Tu ne commettras pas d’adultère." 
Pensez aux instructions et aux assurances de rapports sexuels libres et de maternité sans mariage, dans la lettre ouverte notoire de Rudolf Hess, qui a disparu depuis. Cette lettre a été éditée dans tous les journaux.  Et combien de conduites dévergondées et déshonorantes de cette sorte  avons-nous lu et observé… Nous en avons constaté l’existence dans notre ville de Münster! A quel manque de pudeur dans l’habillement nos jeunes ont-t-il été forcés de s’accoutumer. C’est la préparation pour le futur adultère!  La modestie, le rempart de la chasteté, est sur le point d'être détruit. 

Et maintenant le cinquième commandement:  " Tu ne tueras pas !", est mis de côté et est violé sous les yeux des autorités dont la fonction devrait être de protéger la règle de la loi et la vie humaine, quand les hommes prévoient de tuer des innocents intentionnellement, simplement parce qu'ils sont "improductifs", parce qu'ils ne peuvent plus produire aucune marchandise.

Et qu’en est-il aussi de l'observance du quatrième commandement, qui nous enjoint d’honorer nos parents et ceux qui ont autorité sur nous et de leur obéir?  Le statut de l'autorité des parents est déjà bien ébranlé et est de plus en plus mis à mal par tous les engagements imposés aux enfants contre la volonté de leurs parents.  Qui donc peut croire que le respect sincère et l’obéissance consciencieuse aux autorités de l'État peut être maintenu quand les hommes continuent à violer les commandements de l'autorité suprême, les commandements de Dieu, quand ils combattent même et cherchent à rejeter la foi au seul véritable Dieu transcendant, Seigneur de ciel et de terre? 

L'observance des trois premiers commandements a en réalité pendant de nombreuses années été en grande partie suspendue dans la vie publique en Allemagne et à Münster.  Par combien de personnes le dimanche et les jours de fêtes sont-ils profanés et soustraits au service de Dieu!  Combien le nom de Dieu est profané, déshonoré et blasphémé! 

Et le premier commandement:  " Tu n’auras pas d’autres dieux devant moi ! "  Au lieu du seul et véritable Dieu éternel, les hommes installent leurs propres idoles qu’ils servent et adorent:  la nature, ou l'état, ou le peuple, ou la race.  Et combien sont ceux dont le Dieu, selon le mot de Paul, "est leur ventre" (Philippiens3.19) - leur propre bien-être - auquel ils sacrifient tout, leur honneur même et leur conscience - les plaisirs des sens, la convoitise de l'argent, la convoitise de la puissance! Ensuite on veut aussi essayer de s’arroger à soi-même les attributs divins, pour se faire des seigneurs au-dessus de la vie et de la mort de leurs prochains.  Quand Jésus est venu près à Jérusalem et vit la ville il pleura sur elle  disant :  "Ah! si en ce jour tu avais compris, toi aussi, le message de paix! Mais non, il est demeuré caché à tes yeux. Oui, des jours viendront sur toi, où tes ennemis t'environneront de retranchements, t'investiront, te presseront de toute part. Ils t'écraseront sur le sol, toi et tes enfants au milieu de toi, et ils ne laisseront pas en toi pierre sur pierre, parce que tu n'as pas reconnu le temps où tu fus visitée!"

Regardant avec ses yeux de chair, Jésus a vu seulement les murs et les tours de la ville de Jérusalem, mais l'omniscience divine a vu plus profondément et connaît ce qui se passe dans le ville et ce qu’il en est de ses habitants : "O Jérusalem, Jérusalem... combien de fois, combien de foi j’ai voulu rassembler tes enfants à la manière dont une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et tu n’as pas voulu!" C'est la grande douleur qui oppresse le coeur de Jésus, qui fait monter des larmes à ses yeux.  J'ai voulu ton bien mais tu ne veux pas !

        Jésus a vu combien coupable, terrible, criminel, désastreux est ce refus .  Ce petit homme, cette créature frêle, oppose sa volonté créée à la volonté de Dieu!  Jérusalem et ses habitants, son Peuple choisi et favorisé oppose sa volonté à celle de Dieu !  De manière folle et criminelle, ils défient la volonté de Dieu!  C’est pourquoi Jésus pleure sur le péché horrible et la punition inévitable. On ne se moque pas de Dieu! 
Chrétiens de Münster!  Est-ce que le fils de Dieu dans son omniscience, en ce jour, a vu seulement Jérusalem et ses habitants?  A-t-il pleuré seulement sur Jérusalem?  Est-ce que le peuple d'Israël est le seul peuple que Dieu a entouré, qu’il a  protégé avec le soin d'un père et l’amour d’une mère, qu’il a aimé ?  Est-ce le seul peuple qui ne voulait pas?  Le seul qui a abandonné la vérité de Dieu, qui a rejeté la loi de Dieu et ainsi s'est condamné à la ruine?  Jésus, Dieu omniscient, a-t-il également vu en ce jour notre peuple allemand, notre pays de  Westphalie, notre région de Münster, la Rhénanie inférieure?  A-t-il également pleuré sur nous?  Pleuré sur Münster ?  Pendant mille ans, il a instruit, il nous a instruit nous et nos ancêtres dans sa vérité, il nous a guidés par sa loi, nourris, nous, de sa grâce, rassemblés comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes.  Le fils omniscient de Dieu a-t-il vu  en ce jour, qu’en notre temps, il doit également prononcer ce jugement sur nous:  "Tu n’as pas voulu ! Voici que votre maison va vous être laissée !"  Comme ce serait terrible ! 

Chers fidèles du Christ ! J'espère qu'il est toujours temps… Mais alors il est  grand temps !  Reconnaissons encore aujourd’hui ce temps qui nous apporte la paix, qui seul peut nous sauver du tribunal de Dieu : Acceptons sans retour en arrière et sans réserve, nous, la vérité évidente de Dieu et reconnaissons-le par notre vie. Faisons des commandements divins une ligne directrice de notre vie et prenons au sérieux l’expression  : plutôt la mort que le péché !

Dans la prière et le pénitence sincère prions pour que la rémission et la pitié de Dieu puissent descendre sur nous, sur notre ville, notre pays et notre chère peuple allemand.  Mais avec ceux qui continuent à provoquer le jugement de Dieu, qui blasphèment notre foi, qui dédaignent les commandements de Dieu, qui font cause commune avec ceux qui aliènent nos jeunes au christianisme, qui volent et bannissent nos religieux, qui provoquent la mort d’hommes et de femmes innocents, nos frères et sœurs, avec tous ceux-là nous éviterons n'importe quel rapport confidentiel, nous nous maintiendrons, nous et nos familles hors de portée de leur influence, de peur que nous soyons infectés de leurs manières athées de penser et d’agir, de peur que nous devenions des complices de leurs fautes et soyons ainsi exposé au jugement que le Dieu juste doit rendre et infliger à tous ceux qui,  comme la ville ingrate de Jérusalem, ne veulent pas ce que Dieu veut.  O Dieu fais nous reconnaître à tous aujourd’hui avant qu’il soit trop tard ce qui nous apporte la paix !  O  très sacré coeur de Jésus, affligé de larmes à cause de l’aveuglement et des iniquités des hommes, aide-nous par ta grâce  que nous aspirions toujours à ce qui te plaît et renoncions à ce qui te déplaît, pour que nous demeurions dans ton amour et que nous trouvions la paix de nos âmes ! Amen.


Denise Domenach-Lallich

Marguerite Gonon




Colloque Femmes résistantes

Résistantes

Yvonne Abbas

Résistant du Haut Var

La Résistance et le Débarquement en Normandie

Résistance des Cheminots

Roger Gaget

Andrée Fischer

Ida Grinspan





Odette Spingarn

Milo Adoner

Ruth Fayon

Hélène Broda

Simone Veil, interviewée par Malka Markovich

Paul Sobol

Ginette KOLINKA

Henri Borlant

Karajan Beethoven 9

La haine folle de Caroline .. 4eme partie : deux textes signés Caroline Fourest : cherchez l'erreur ...

Suite de la partie 3 : http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest_13.html



La haine folle de Caroline envers moi, se manifeste au combien envers d'autres, et fait exploser ses repères mentaux, ses "convictions profondes" ne sont manifestement pas les mêmes, selon qu'elle contient ou pas sa "rage" envers les personnes. 
De quoi est faite au juste cette "rage" ? Surtout d'"enrager" de ne pouvoir réfuter les arguments  d'autrui dans un vrai débat, comme le montre le "zéro pointé" que lui donnait Anne-Marie Delcambre. http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest.html

Comparez ces deux textes :
2005 : http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2005/05/25/510-ayaan-hirsi-ali-linsoumise-par-caroline-fourest
"Van Gogh veut porter ce texte à l'écran, mais Ayaan le met en garde : « C'est dangereux ». Elle ne veut pas avoir sur la conscience la mort d'actrices que les islamistes pourraient reconnaître. Le réalisateur lui propose de filmer de façon à garantir leur anonymat et donc leur sécurité. Et eux ? Elle-même accepte de mettre son nom, mais elle prévient de nouveau Van Gogh : « tu es fou de signer. C'est dangereux. Tu as des enfants. Tu ne peux pas faire ça. » Il ne veut rien entendre : « Si je fais un film en Hollande en 2004 sur lequel je ne peux pas mettre mon nom sans mourir, cela veut dire que nous vivons en pleine barbarie »...
Théo Van Gogh est mort le 2 novembre 2004, assassiné d'un coup de couteau en pleine rue par un militant appartenant à un réseau islamiste.Sous le couteau, un papier rappelait la menace de mort à l'encontre de Hirsi Ali, obligée de partir de cacher dans une base militaire."
2010 : 
à propos de l'auteur juif d'un livre sur les Frères musulmans et l'islam :
C. F. :  je signale le vrai nom de P [ ...] [...]  dans ma réponse à son attaque. 

C. W. : D’ailleurs, pourquoi l’avoir indiqué ? 

C. F. : Parce qu’on ne peut pas comprendre d’où vient pareil délire si on ne comprend pas l’intention de son auteur. Or [ ...]  écrit sous le pseudonyme de P [...] pour ne pas assumer d’où il parle. C’est un avocat israélien très à droite. Même s’il s’en défend, il a été très proche de la Ligue de défense juive, une organisation à côté de qui le Bétar fait figure d’organisation gauchiste… Cela situe. Tariq Ramadan non plus n’aime pas assumer d’où il parle. Mon travail est de montrer les enjeux idéologiques qui agitent le débat d’idées, pas de laisser croire qu’il s’agit d’un complot ou d’une guerre de personnes. Par ailleurs, je crois profondément que l’anonymat nuit à ce débat d’idées sur internet. Tout le monde connaît mon visage et mes convictions. Je ne cache rien. Par contre, ceux qui m’insultent et diffament à longueur de journée se masquent pour parler. C’est leur liberté. Mais j’ai quand même le droit de signaler que cela ne contribue pas vraiment à élever le niveau du débat. 


Commentaire : 
Lorsqu'il s'agit pour Caroline de se valoriser en montrant son soutien à Hirsi Ali, elle s'applique à expliquer que la conscience de celle ci lui dicte de recommander instamment l'anonymat aux personnes critiquant l'islam. Alors que quand il s'agit de s'attaquer à un auteur qui a osé la critiquer, tout à coup " sa conviction profonde" serait que l'anonymat nuit au débat ... De qui se moque-t-elle ! 
On peut très comprendre d'ou viennent les critiques d'une personne en lisant ses articles où il explique ses idées, et Caroline pouvait se contenter d'expliquer ses idées selon elle, ce prétexte ne tient pas debout.
en 2013, Caroline Fourest révèlera dans " Le Monde " son identité d'Etat civil, jusqu'alors elle écrivait exclusivement, invoquant sa sécurité, sous un nom que l'usage français ne lui permettait pas d'utiliser, c'est à dire sous un pseudonyme, elle ne pouvait donc pas dire qu'elle "ne cachait rien". Mais à la différence de Ayaan Hirsi Ali, Caroline Fourest est selon les termes de Sadri Khiari "une avocate de l'islam", une avocate déterminée, affirmant que la critique de l'islam et non de l'islamisme est du racisme, elle n'a donc rien à craindre de ses partisans.

Entretemps, Caroline avait elle aussi été victime d'une dénonciation répugnante de la part du journal Minute, qui avait révélé son nom de famille. Le fait qu'elle ait ensuite décidée en 2013 de le dire elle même ne change rien à l'ignominie de la dénonciation par ce journal. Elle sait donc parfaitement " le mal que fait " ... la délation, du moins, elle en sait une partie, puisque comme elle le dit elle même dans ce texte de 2005, elle n'est pas aussi exposée qu'une Ayaan Hirsi Ali qui, elle, critique l'islam. Elle n'est pas non plus aussi exposée qu'un auteur juif, puisqu'elle n'est pas juive.
Caroline a des "convictions profondes" à géométrie variable, selon qu'il s'agit de se valoriser en se présentant aux côtés d'une vraie héroïne, ou selon qu'il s'agit de s'en prendre à un homme qui a commis le "crime" de la critiquer ...
Ayaan Hirsi Ali a une conscience qui lui dicte de ne pas briser l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître. Caroline invente n'importe quoi pour ne pas entendre la sienne, quand elle brise l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître. 
Et maintenant elle ose porter plainte ... parce que j'ai écrit contre la révélation de noms, sans désigner personne, exactement ce qu'elle écrivait en 2005 (!) ...