http://ripostelaique.com/les-nouveaux-collaborateurs-incitent-les-juges-a-punir-les-resistants-et-les-denoncent-aux-islamistes.html
En 2010, ayant eu connaissance de deux actes de délation par voie de presse, exposant cyniquement leurs victimes aux représailles d’islamistes, j’ai écrit le texte qui suit définissant les « nouveaux collaborateurs ».
Le prétexte donné à cette délation était des plus ridicule : il fallait, selon les délateurs « situer politiquement » les auteurs de textes critiques de l’islam, écrivant sous pseudonyme : pour cela, les délateurs auraient très bien pu se contenter d’indiquer quel type d’opinion lesdits auteurs auraient défendu, selon eux, sous un autre nom, quelle activité politique ils exerceraient sous cet autre nom … mais nul n’était besoin de donner précisément ce nom.
L’extradition des pires criminels vers des Etats pratiquant la peine de mort, est interdite en Europe. La délation de personnes protégées par un pseudonyme, n’est rien d’autre qu’un acte de mise en danger délibéré de la vie d’autrui, exposant leurs victimes aux tueurs islamistes. Lorsque cette délation est commise par de soi-disant héros actuels de la lutte antifasciste-antiraciste etc, contre des gens dont le seul crime … est de n’être pas du même avis qu’eux : c’est presque drôle, non ? En tout cas cela montre la vacuité de leur prétendue pensée antifasciste.
Pour actualiser mon texte, il faut préciser qu’entre temps, les juges hollandais, ayant entendu deux experts en matière de textes islamiques, le Pr Hans Jansen et la psychiâtre syrienne Wafa Sultan, ont acquitté Geert Wilders de toute accusation de racisme pour avoir affirmé que le coran est comparable à Mein Kampf. Lorsque j’ai écrit ce texte, je craignais que les juges hollandais n’agissent comme les juges belges et finlandais, c’est-à-dire en refusant d’écouter des spécialistes du droit islamique, sous prétexte que ce droit est lié à une religion, donc à un domaine irrationnel, et qu’il n’y aurait donc aucun « savoir » digne d’expertise à avoir pour juger d’affaires liées à l’islam ( Sur ces affaires, voir mon texte «l’Europe meurt de la fin des Lumières »
http://elisseievna.blogspot.fr/2009/12/leurope-meurt-de-la-fin-des-lumieres.htmlet « un philologue condamné pour « atteinte à la paix religieuse » «
http://elisseievna.blogspot.fr/2009/12/finland-un-philologue-condamne-pour.html?zx=e4a5f1944219970b)
S’il fallait un élément supplémentaire pour expliquer la comparaison que je fais comme Wilders entre islam et nazisme, entre délation face aux nazis et délation face aux islamistes, par voie de presse, je pourrais citer le réquisitoire contre Robert Brasillach :
« « Fondamentalement, conclut le Procureur Reboul, Brasillach avait l’âme d’un dénonciateur. Il avait dénoncé la Sorbonne parce qu’elle abritait des enseignants engagés dans la Résistance, il avait dénoncé des étudiants du lycée Lakanal qui avaient arraché un portrait de Pétain du mur de leur classe, il avait dénoncé un jeune homme de l’Hérault qui avait ridiculisé Pétain dans un discours du 14 Juillet.:
« Sans doute, vous n’êtes pas le dénonciateur qui va, en rasant les murs, toucher à la Gestapo le prix du sang, mais on peut aujourd’hui légitimement vous considérer comme un dénonciateur plus large, plus schématique, un dénonciateur d’une autre sorte, un dénonciateur presque officiel, car il suffit aujourd’hui à votre crime de ne pas pouvoir nous dire avec certitude si la Gestapo, après la lecture de vos articles — et elle les lisait — a négligé d’aller faire un tour en Sorbonne ou dans ce village de l’Hérault ou au lycée Lakanal. »
Brasillach fut condamné à mort : en temps de paix revenue, je suis contre la peine de mort, comme je condamne toute forme de punition d’ailleurs (mais ceci est un autre chapitre), je ne mentionne donc pas ce journaliste pour vanter sa peine, mais pour rappeler la condamnation morale dont il a fait l’objet à travers ce jugement. Ses actes étaient ignobles. Ceux des délateurs actuels le sont pareillement.
Surtout … quand ils perpétuent leurs actes de délation, ne retirent pas leurs délations par voie de presse, et dans le même temps, osent utiliser la justice pour se plaindre… du fait qu’on leur reproche cette action, ce crime qu’ils sont train de continuer ! L’ignominie et le cynisme atteignent là un comble.
Texte de 2010 :
Les nouveaux collaborateurs
Si les juges en venaient à condamner Geert Wilders, comme ils ont condamné Fanny Truchelut, comme ils auraient pu tout aussi bien condamner tous les enseignants et chefs d’établissement qui ont interdit le voile dans leur établissement, alors que la Cour Européenne explique par contre elle clairement que la religion ne peut pas justifier n’importe quel comportement, et qu’elle peut être restreinte au nom de la défense de la démocratie, alors il faudra en conclure que les juges se font les auxillaires de la justice islamique, pour laquelle en aucun cas, l’islam ne doit être critiqué ni les normes islamiques enfreintes.
Les nouveaux collaborateurs sont aussi tous ceux qui incitent les juges à punir ceux qui s’opposent à l’avancée de l’emprise de la loi islamique dans notre pays, en Europe, et tous ceux qui facilitent le travail des exécuteurs musulmans d’opposants à l’islam.
Il y a des gens comme Daniel Pipes, Paul Landau (
http://www.ripostelaique.com/Pourquoi-je-soutiens-Riposte.html ), Ivan Rioufol maintenant (
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2009/09/pourquoi-il-faut-differencier.html ), qui pensent qu’il y a une différence entre islam et islamisme, mais la différence entre eux et ceux que je qualifie de « nouveaux collaborateurs », c’est que ces trois personnes, en aucun cas, ne montent des dossiers d’accusation de racisme contre ceux qui défendent l’idée opposée.
Au contraire, Daniel Pipes soutient Anne-Marie Delcambre, Ivan Rioufol défend Louis Chagnon, et Paul Landau défend Riposte laïque.
Bien entendu sur le plan théorique, tout peut etre discuté, la question de l’éventuelle réforme de l’islam, de sa compatibilité avec la démocratie, de son éventuelle division entre un islam et un islamisme … mais
en dressant dossiers et articles contre ceux qui parlent de l’islam (avec de réelles qualifications dans ce domaine, ce qui n’est pas leur cas !)
les « nouveaux collaborateurs » ne sont pas dans le débat d’idée, mais ils jouent le rôle de procureur de la justice islamique, c’est-à-dire de complices directs des « islamistes », autrement dit, dans la collaboration active.
A force d’employer les méthodes des néo-fascistes antisémites on finit par devenir comme eux.
Je m’aperçois que certains deviennent bien devenue comme eux, comme l’antisémite et collabo notoire Henri Coston plus précisément : certains jugent bon de révéler que tel ou telle écrivant sous tel nom serait une autre personne, juive : autrement dit, ils passent de la collaboration « intellectuelle » à la dénonciation active pure et simple ! Ils dénoncent quelqu’un qui donc serait juif et anti-islamisme : que cela soit vrai ou pas, cela fait d’eux des collaborateurs et des dénonciateurs de juif et de résistant à la mode du régime de Vichy, des pétainistes dans les actes.
Et que l’on ne vienne pas me parler de travail de journaliste ou de besoin de « situer » les gens, comme si pour « situer » des gens qui écrivent, il était besoin de se référer à autre chose que leurs écrits : en d’autres temps et circonstances peut etre, mais quand on sait très bien que les opposants à l’islam sont menacaés de mort, la dénonciation devient complicité de crime et rien d’autre – et aveu d’incapacité à répondre sur le fond aux arguments de ses contradicteurs.
Selon certains, on ne pourrait pas à proprement parler collaborer avec autre chose qu’un Etat : cela est faux, la collaboration consiste à faire le jeu d’une puissance ennemie, que cette puissance soit un Etat ou un ensemble de militants et d’occupants visant à imposer sa loi oppressive dans un pays qu’il veut soumettre, jusqu’à y prendre une part importante du pouvoir ou tout le pouvoir en oppressant les habitants. Or c’est précisément ce qui se passe par phase en France, puisque la loi islamique s’impose peu à peu dans différents domaines, modifiant peu à peu le rapport de force entre les français d’origine et la démocratie d’une part, et les militants de l’islam et les normes islamiques d’autre part. Les français sont privés par la terreur de liberté d’expression, contraint d’entretenir une population nouvelle (immigration familiale ou irrégulière) qui peu à peu prend le pouvoir politique par des naturalisations non liées à une assimilation, contraint de payer pour la construction de batiments islamiques, soumis à des incendies, agressions, menaces d’agression s’ils ne se soumettent pas à l’ »ordre islamique » dont parle Izetbegovic …
Certains prétendent que ma critique de l’islam est une forme de complotisme : il est d’autant plus gonflé de me mêler à cela, que je n’arrete pas de dire qu’ il n’y a PAS de probleme de « double langage » à débusquer, ni de « complot », ni de quoi que ce soit de « caché » de la part des musulmans observants : tout est écrit et explicite … il suffit de lire leurs écrits. Si nous, nous sommes trop paresseux pour lire, ce qu’ils se tuent à expliquer, ou et trop lâches pour accepter de comprendre ce qu’ils écrivent quand nous le lisons : ce n’est là vraiment pas leur faute.
Si selon les « intellectuels officiels » d’Europe, la critique de l’islam relève du complotisme, là la boucle est vraiment bouclée, Boukovsky voit confirmer ses analyses : c’est bien que l’Europe se soviétise à fond, en employant contre les « dissidents » les mêmes accusations diffamatoires et les mêmes menaces !
Voici ce que j’ai écris moi sur la notion de complot, pour montrer la différence entre l’islam, dont les textes prônent explicitement et publiquement la conquête du monde selon les ordres de dieu, non pas par perversion, mais pour le soumettre à la loi d’ »allah », et le judaisme, à qui nul n’a pu attribuer de projet d’hégémonie qu’en inventant des faux grossiers, comme le plagiat d’un essai sur un dialogue entre Montesquieu et Machiavel :
http://elisseievna.blogspot.com/2010/02/vers-le-retour-du-califat.html
Elisseievna