La France ne sera jamais soumise à la loi islamique
Ni dans des zones, ni sur l'ensemble du territoire, la France ne sera ou ne restera soumise à la loi islamique.
Ni nos concitoyens originaires de pays musulmans, ni nos concitoyens que je qualifierais de "propriétaires ancestraux" de la terre de France, ne doivent être soumis par contrainte à cette loi.
Tenter d'y soumettre les autres est contraire à nos lois car contraire à nos principes fondamentaux.
Nos principes fondamentaux impliquent :
la liberté de croyance, donc la liberté d'être athée et de changer de croyance, - liberté dont l'exercice est puni de mort par l'islam,
la laicité, c'est à dire, la souveraineté du peuple sans droit de regard d'un clergé au nom d'une religion ou d'un dieu législateur.
Il faut donc appliquer nos lois, nos principes fondamentaux contre tous ceux qui tentent de renverser la démocratie,
qui le tentent en commençant par intimider ou terroriser ceux qui défendent nos principes ( par des actes de délinquance ou par des manifestations de force en exigeant l'application de telle ou telle disposition de la loi islamique)
ou en menaçant ou en attaquant ceux qui s'opposent à l'arrivée massive de personnes provenant de pays où la loi islamique est prévalante, parce que la population le souhaite.
Comme l'a dit Pierre Cassen, il s'agit d'agir de la même manière qu'il a été fait contre le nazisme. Il s'agit d'interdire les manifestations publiques de soutien à un programme politique contraire à la démocratie et aux droits fondamentaux, la formation de groupements et de pouvoirs capables d'imposer ce programme contre la démocratie et contre nos droits fondamentaux.
Il faut donc en l'état interdire expressement tous ces actes visant à l'imposition de la loi islamique en France, et réprimer pénalement la violation de ces interdits. Tous ceux qui l'auront tentés doivent être déchus de la nationalité française, y compris les français d'origine ancestrale, principe d'égalité.
Comme le dit encore à juste titre Pierre Cassen, ceux des musulmans vivant en France qui préfèrent vivre sous les lois françaises, sans la contraire de la loi islamique, ne pourront que profiter de l'application effectives de nos lois actuelles grâce à ces mesures contre ceux qui bafouent les principes du droit français.
L'interdit des tentatives d'instaurer ces actes d'imposition de l'islam ne concerne absolument pas le for intérieur, la foi des personnes. La foi est libre, et chacun est libre de prier chez lui, ou n'importe où par oraison.
Les enclaves qui se constituent actuellement, " territoires perdus de la République" doivent être réduites par nos forces publiques. Les délinquants fauteurs de troubles sont connus. Il suffit de les arrêter. Dans certains quartiers, ils seront soutenus par les habitants, dans d'autres ils ne seront pas soutenus. Tous les complices doivent être arrêtés, au besoin par la force, et expulsés.
Les policiers doivent être réellement présumés en légitime défense quand ils tirent y compris sur le plan disciplinaire.
Si nous procédons ainsi aujourd'hui en arrêtant l'immigration nouvelle, il n'y aura pas d'amplification de la guerre civile actuelle.
Si nous défendons les critiques de l'islam, nombre de personnes aujourd'hui musulmanes peuvent cesser de l'être. L'idée de Joseph Fadelle selon laquelle l'immigration est une "chance" de convertir les musulmans au christianisme - dit-il - je dirais à nos principes de droits humains qui en découlent - me parait juste. Et ultra pacifique.
Quant aux dirigeants corrompus par l'argent des pays musulmans, peine de prison à perpétuité pour haute trahison.
Le respect de la loi nécessite aujourd'hui la solidarité entre les personnes victimes de bafouement de leurs droits par les autorités françaises elles-mêmes.
Pierre Cassen a raison de bien préciser qu'il parle d'une logique pénale individuelle, c'est à dire que les expulsions dont il parle seraient prévues pour les personnes qui ont commis ces actes de tentative d'imposition de la loi islamique, et certainement pas pour n'importe quelle personne "musulmane" ou considérée comme telle.
Majid Ouchaka répond à un intervenant qu'il n'aime pas qu'il y ait des victimes collatérales, qu'il n'aime pas sortir de la logique pénale individuelle, et que c'est pour cela qu'il n'aime pas la guerre et la logique de guerre.
Malheureusement Majid Ouchaka, nous sommes face à des personnes qui, elles, sont dans une logique de guerre, où l'ennemi de Dieu selon elles, ne mérite que le mépris ou la mort.
Et quand Majid Ouchaka demande à un intervenant ce qu'il penserait si un musulman, à la suite de mesures dures, s'en prenait au hasard à n'importe quel non musulman, à l'enfant de cet intervenant, il oublie qu'il parle à des gens qui ont déjà vécu la guerre de 39, puis vu avec épouvante les attentats de Toulouse. En 39-45, oui, les combattants risquaient la vie de leurs enfants pour combattre pour la Patrie, et même pour une Patrie qui n'était pas la leur mais seulement leur patrie d'accueil.
Majid Oukacha vient d'un pays vaincu par l'islam, vaincu par l'esprit de soumission allié à l'esprit de vengeance, un esprit de réalisme en somme. Il semble "bloqué" dans cette logique de soumission et de réalisme, qui est aussi celle du matérialisme ambiant dans la France actuelle, et propose, très honnêtement, une solution correspondante.
Mais la France est restée libre parce qu'elle a préféré l'esprit de témoignage, au prix du risque pour sa vie, et le refus de la vengeance, la France est restée libre parce qu'elle a préféré l'idéalisme, elle a préféré l'espérance.
Voilà la France que défend Pierre.
Ce qui a été omis dans ce débat est la politique de la France dans le domaine internationale et économique : là aussi il y a aurait des possibilités d'action pacifique.
Mais rien ne pourra être fait, ni ici ni ailleurs si nous n'imposons pas, en France, la liberté de ne pas être soumis à la loi islamique, (dont son interdit de critiquer la loi islamique).
Pour résumer le problème : rien ne pourra être résolu sur le plan économique dans une grande partie du monde, si la France ne défend pas son idéal et n'aide pas intellectuellement, moralement, par cette action sur son territoire, les pays islamisés à se sortir des effets destructeurs de la doctrine de l'islam.
Désislamisation-Remigration : Débat choc entre Pierre Cassen et Majid Oukacha
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