Certains me font clairement comprendre le message suivant : tais toi ou tu vivras comme Zineb El Rhazoui.
Effectivement je partage ses idées, que j'énonce depuis plus de dix ans. Comme elle le demande d'ailleurs, disant qu'il faut que nous soyons nombreux à dénoncer "l'islam", mot entendu comme la doctrine de l'islam et non comme désignant les populations sous loi islamique.
Je gène : je suis défenseuse des droits humains fondamentaux des personnes quelles que puissent être leurs opinions ou origine, je suis féministe, je suis athée, je suis juive et métèque russkof pur sucre. Il faudrait que les seuls dénonciateurs de "l'islam en soi", puissent être désignés comme racistes fascistes ou musulmanes excisées perturbées par les persécutions ou musulmans détraqués racistes envers eux mêmes...
Comme Zineb El Rhazoui (certes moins qu'elle), j'ai étudié l'islam en lisant à la source les textes et ouvrages classiques d'enseignement du droit islamique.
D'autres féministes originaires de pays conquis par l'islam, d'autres hommes d'autres femmes venus de ces pays, pensent depuis des décennies comme Zineb El Rhazoui et me demandent de ne pas les abandonner en me taisant.
Aquila de France, Zohra Needamal, Nonie Darwish, et d'autres hommes et femmes qui n'osent pas parler en public.
Je crois comme Wafa Sultan et Aquila de France qu'il faut agir pour un "monde sans islam",
je crois qu'il n'y a pas plus grossière "essentialisation" des personnes des pays conquis par l'islam que celle qui consiste à dire qu'ils ne pourraient pas changer d'opinion, qu'ils "seraient" "intrinsèquement" et non pas seulement historiquement, et intellectuellement pour certains, "musulmans",
or l'islam est une opinion, ni plus ni moins, une opinion récente relativement, un fascisme comme un autre, comme notre Europe a su si bien en inventer également, comme il y en a eu et il y en aura ailleurs et d'autres, tant que l'"humain" sera "humain" ..
et je crois au contraire qu'il serait bénéfique pour tout le monde que les personnes dites ou se disant "musulmanes"cessent d'être soumis de force à l'islam ou cessent de croire que le message du coran et de la sunna de "Muhammad" serait divin, sans quoi la violence venue des textes, certes peut être tempérée par moment, mais elle perdurera,
je pense en tout état de cause, que si l'existence de réformes profondes de l'islam peut éventuellement être envisagée, elles passent d'abord par la reconnaissance précisément de la liberté de critiquer l'islam sans le payer de sa vie, liberté consubstancielle à une religion ou une idéologie pacifique.
Zineb El Rhazoui : la
femme la plus protégée de France
ParChloé Aeberhardt Publié le
Article
et entretien datant de janvier 2016
Il y a un an, le 7 janvier
2015, la journaliste de « Charlie Hebdo » Zineb El Rhazoui, en
vacances, échappait à la tuerie. Quelques jours après les attentats de Paris,
nous avons demandé à celle que les islamistes ont menacée de mort sa réaction
et le récit de sa vie sous contrôle.
(...)
. «
Pouvez-vous m'envoyer un message deux jours avant notre rendez-vous pour
préciser l'endroit ? Je dois le dire à l'avance à l'équipe de protection »,
nous demandait-elle par texto. Elle préfère que nous nous voyions ailleurs que
chez elle. Son domicile est un « bunker » dont elle ne tient pas à communiquer
l'adresse. Longtemps restée discrète dans les médias français, Zineb a repris
la parole après lesattentats du 13 novembre. « Je me suis décidée à m'exprimer
quand j'ai commencé à entendre des aberrations, explique-t-elle. Comme s'il
suffisait de bombarder Raqqa pour éradiquer le terrorisme en France. » (...)
« L'engagement de Zineb est né au lycée
public, croit savoir son amie. C'était dans une petite ville plutôt
défavorisée. Les cours obligatoires d'éducation religieuse ont agi sur elle
comme un déclencheur. Il ne faut pas se voiler la face, on y enseignait la
haine et la misogynie. »
(...)
Depuis, Zineb n'en finit pas d'ouvrir sa
grande gueule, au sein de Mali, puis à Ni Putes Ni Soumises et à « Charlie
Hebdo ». Après l'année noire qu'a été 2015, on ne s'étonnera pas qu'elle ait
beaucoup de choses à dire. Et ce ne sont pas les fous d'Allah qui l'empêcheront
de parler.
Marie Claire : Vous avez
accepté cette interview pour réagir aux « aberrations » que vous entendez
dans les médias depuis le 13 novembre. De quelles aberrations
s'agit-il ?
Zineb El Rhazoui : Je ne supporte plus ces
gens qui passent leur temps à dédouaner les vrais coupables. Il y a ceux qui
justifient les actes des terroristes en les présentant comme des victimes de la
crise économique. Au sein de l'extrême gauche, notamment, on prétend que les
attentats de novembre sont une conséquence de la politique extérieure de la
France. En janvier 2015, les mêmes nous expliquaient qu'en dessinant le
Prophète, la rédaction de « Charlie Hebdo » l'avait bien cherché… Pour ces
gens-là, les terroristes ont toujours une excuse.
D'où vient le problème,
alors ? Tous les musulmans ne sont pas des
terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans. Cette idéologie de la
mort trouve son origine dans l'islam, dans le rapport qu'on entretient avec ses
textes.(...)
Vos détracteurs vous
accusent d'islamophobie. Ils n'ont donc pas tort ?
Je suis contre l'islam, car l'islam est
contre moi. En tant que femme, je suis considérée comme un être inférieur au
regard de la loi. Au Maroc, où l'islam est religion d'État, l'héritage auquel
peuvent prétendre les femmes correspond à la moitié de celui des hommes.
Pourquoi voulez-vous que je respecte l'islam ? Je respecte les individus et les
idées que j'estime dignes de respect. Le drame, c'est qu'en France, si vous
critiquez l'islam, vous passez immédiatement pour un raciste. Pourtant, ce ne
sont pas leurs origines qu'on reproche aux radicaux, mais leur bêtise. Si être
islamophobe c'est être raciste, alors je suis raciste contre qui, contre moi-même
?
(...)
En février 2015, vous
avez été victime d'une campagne de menaces de mort sur les réseaux
sociaux. Il était question de vous « broyer le crâne avec des grosses
pierres » et de vous « trancher la gorge ». Pourquoi les islamistes en
ont-ils autant après vous ?
Parce que je suis une femme d'origine
musulmane qui, à leurs yeux, devrait être une épouse docile, occupée à préparer
le tajine. Pour ne rien arranger, je parle parfaitement l'arabe et je connais
mieux le Coran que les frères Kouachi, qui ont dû lire « L'islam pour les nuls
» sur le tard. Lorsque je critique leur religion, je la critique en
connaissance de cause, et cela leur est insupportable.
Cela fait presque un an
que vous êtes protégée en permanence. N'êtes-vous jamais seule ?
Si, quand je dors ! Je ne peux pas vous
dire combien de personnes me protègent, ni quelle est la nature exacte du
dispositif, ce serait mâcher le travail des types qui veulent ma mort.
Zineb se tourne en direction du chef de
groupe. « Quelqu'un m'a dit hier que j'étais la femme la plus protégée de
France, c'est vrai ou ce n'est pas vrai ? Il doit y avoir des ministres plus
protégés que moi, non ? » Il réfléchit. Non, il n'y en a pas.
Y a-t-il des choses que,
depuis que vous vivez sous protection, vous ne pouvez plus faire ?
J'ai la chance d'habiter en France où,
contrairement aux Etats-Unis, les gardes du corps ne soustraient pas la
personne qu'ils protègent au monde. Je vis dans une prison, mais c'est une
prison mobile. Réaliser des reportages reste compliqué, mais j'ai le droit
de sortir avec mes copines. Cet été, on a bu des coups en terrasse, au
Carillon, justement.
L'espace d'une seconde, la flamme dans sa
voix vacille. Puis elle se reprend et plaisante avec un des policiers qui la
protègent : « Voilà pourquoi tu nous engueules quand on reste trop longtemps en
terrasse. Trois verres, tu dis OK. Trois bouteilles, c'est non. » Le chef de
groupe sourit. « Nous non plus on ne veut pas mourir, confie-t-il. Alors quand
elle nous met en danger, on le lui dit. »
Je suis une militante bénévole, indépendante. Mon job n’a rien à voir directement avec le féminisme et je n’ai jamais brigué de poste d’intellectuel fonctionnarisé ou salarié ni de poste politique, je ne dépend pas non plus d’un lectorat. D’où ma stricte indépendance, à la différence de la quasi-totalité des militantes actuelles.
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.
Mise au point sur la collaboration actuelle avec le fascisme.
J’appelle fascisme le fait de considérer que des êtres humains auraient une valeur inférieure à d’autres et mériteraient de voir leur vie dépendre du bon vouloir des êtres se considérant comme supérieurs.
Le fascisme est une tendance universellle en tant que concrétisation des tendances à l’égoisme et à l’arrogance des êtres incarnés que nous sommes, mais cette tendance est soit contrée, soit encouragée par des théories qui le légitiment ou le déconsidèrent.
Nier le contenu de théories fascistes, dénigrer, faire des procès d’intention à ceux qui s’opposent à un fascisme, c’est se faire l’allié, le complice du fascisme, nier le contenu fasciste de théorie sans même enprendre connaissance est non seulement d’une imbécilité affiligeante, mais c’est se faire l’allié, le complice du fascisme.
L’islam est une version arabe du fascisme, comme le nazisme est sa version allemande, comme les massacreurs mongols antiques des chinois furent des fascistes en acte, comme les massacreurs du rwanda le furent.
Les féministes qui osent dénigrer d’autres féministes alors qu’elles même ne se donnent même pas la peine d’écouter les personnes issues de pays musulmans qui critiquent l’islam, ne se donnent même pas la peine d’étudier par elles mêmes, sont objectivement des complices du fascisme islamique et auront à en répondre.
Les antiféministes et autres petits bonshommes minables qui reprochent spécifiquement aux féministes de ne pas contester ce qu’ils nomment islamisme, alors qu’eux-mêmes ne s’y opposent que pour des raisons identitaires ou en prenant bien soin de donner des gages aux tueurs en utilisant une terminologie qui signifie qu’ils ne critiquent pas la doctrine de l’islam, sont des complices du fascisme et des minables.
Ceux qui mettent en danger d’autres personnes en lutte contre un fascisme voulant imposer une loi non démocratique et extérieure, se rendent coupables de collaboration avec un fascisme, d’intelligence avec l’ennemi, de mise en danger d’autrui, de menaces, d’atteinte à des libertés fondamentales, et le cas échéant de corruption.
Je renvoie ceux et celles qui me critiquent ou me menacent ainsi à la considération de votre propre dégueulasserie intégrale. Je suis contre la peine de mort, mais je ne pleure pas sur le sort des Brasillac et autres fumiers liquidés à la Libération car ils étaient eux-mêmes des TUEURS conscients de ce qu’ils faisaient, ou pouvant parfaitement en prendre conscience.
Le déni de l’égale valeur des êtres humains se produit aussi de même moins apparente. La réduction des femmes à des êtres destinées à servir aux « droits sexuels et reproductifs » des hommes, est une des formes de déni de leur égale valeur. L’oubli ou la négation du corps des femmes dans la maternité légitime à l’évidence cette réduction. Mais il faut faire attention aux arguments employés pour défendre le corps des femmes, car dire que les adultes auraient un droit de jouir de leur corps en créant une vie qui impliquerait de nier cette vie tout en donnant le droit de la supprimer, revient aussi à donner à certains humains vivants ( ce que nous sommes tous dès la première cellule) moins de valeur qu’à d’autres. Cette affirmation ne peut que se retourner contre les femmes les plus vulnérables.
site russophile
La Russie est représentée aujourd'hui comme un Etat quasi nazi, prêt à envahir l'Occident. La Russie et la compassion de Valaam sont en réalité encerclés par les adorateurs de l'argent, militairement, et médiatiquement. Je suis pour la Russie et l'essentiel des idées orthodoxes. En espérant que l'orthodoxie se défasse de ses scories sexistes et homophobes.
"Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu."
La liberté selon Dostoievsky, "L'idée russe" Nicolas Berdaiev.
âme, pardon et judaisme
"Le judaisme a créé le "prochain" et avec lui la conception de l'humanité dans son vrai sens celui de l'estime pour la dignité humaine et la révérence du Divin pour tout ce qui porte visage humain" Rabbin Leo Baeck
" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21
Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe
Féministe
Love is a basic human right
We're millions. We're everywhere. We're the #ExMuslims
Sibérie : camp
Margarethe II du Danemark
Margareth II, reine du Danemark
«Nous avons laissé la question de l’islam flotter trop longtemps, car nous sommes tolérants et bien paresseux. Il faut, de temps à autre, courir le risque de se voir coller une étiquette moins flatteuse, car il y a certaines choses pour lesquelles on ne doit pas montrer de tolérance.»
pour la vie ...
Eternal flame
Концерт Детского хора России в Мариинском
Hirsi Ali 2008
et le commentaire pitoyable ...
Débat entre deux personnes civilisées : Wafa Sultan et Daniel Pipes
Geert Wilders
Let us raise a flag of truth and liberation by Geert Wilders
Nine years ago this month, in November 2004, policemen wearing bullet proof vests and carrying machine guns picked me up at my home and drove me to a safe place. This happened two days after the filmmaker and Islam-critic Theo van Gogh was murdered by an Islamic assassin in broad daylight on an Amsterdam street. The police brought me to safety because Islamic criminals had threatened to kill me, too. Because I, too, spoke the truth about Islam, the biggest threat to our freedom and our civilization. Since that ominous date, nine years ago, I have been forced to live under constant police protection. I have lived in army barracks, prisons and safe houses. The threats continue to this day and have deprived me of my privacy and my freedom. But I will continue to speak. The flag of Saudi Arabia proudly proclaims the Shahada or the Islamic declaration of faith: “There is no god but Allah and Muhammad is the messenger of Allah.” In remembrance of the past nine years, in remembrance of the thousands of victims who were murdered in that period by Islamic assassins, in London, in Moscow, in Mumbai, in Nairobi, and in countless other places, and in remembrance of the millions of people — women, apostates, non-Muslims — who daily suffer discrimination and humiliation from the evil ideology of Islam and oppressive Islamic Sharia law, I offer the Islamic world a new flag — a flag with a declaration of truth and liberation: “Islam is a lie, Muhammad a criminal, the Koran is poison.” Only when the Islamic world comes to realize this truth, will it be able to free itself from evil, making the world a better and safer place for all human beings. Only when the free world comes to realize that Islam is predominantly a totalitarian ideology rather than a religion, will it be able to defend its liberties and values. November 2013
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire