la haine folle de Caroline Fourest contre moi et contre les Femen fondatrices et d'autres ....
Personne ne conteste que les musulmans sont victimes de "musulmanophobie", terme que nous avons utilisé avant bien d'autres dans notre revue du CERF contre les obscurantismes,
mais il ne suffit pas de se poser en "antiraciste" pour être irréprochable, ce prétexte ne tient pas longtemps lorsque l'on a des attitudes relevant de la haine pure, et que cela finit par se voir.
Je n'avais jamais écrit pour critiquer les écrits de Caroline Fourest avant qu'elle affiche des textes mettant des personnes en danger de mort, textes qu'elle n'a jamais retirés, tout en se posant en donneuse de leçons de morale (!). Depuis 2009 , quelques semaines avant, elle s'est mise à me poursuivre de sa furie délirante.
qui je crois date du moment où je ne me suis plus intéressée à son "militantisme", et a décuplé à cause de l'affaire qui l'a opposée à l'islamologue Anne-Marie Delcambre, puis a cause d'articles d'auteurs de Riposte laique, dont je ne faisais pas partie.
Le livre d'Olivier Goujon montre que d'autres que moi ont été scandalisés par des actes qu'elle a commis et soit publiquement défendu, soit commis devant plusieurs témoins, et qui ont, selon ceux qui connaissent ces situations, la meme conséquence, font courir le meme danger.
Voir extrait de ce livre dans l'article précédent et ci dessous.
La haine de CAroline , dont je montre ci dessous une des causes, ne s'exerce pas seulement vis à vis de moi :
Pierre Tévanian, rédacteur dans Prochoix puis en conflit avec Caroline Fourest écrit, après avoir expliqué que pour le chasser d'une salle, Caroline lui avait reversé du jus d'orange sur son sac tandis que Fiammetta lui faisait un croche pied :
" Je retourne donc près du buffet retrouver une amie, élue écologiste à Paris, et discuter avec elle en attendant que le débat commence. La discussion ne dure pas longtemps puisque je suis vite coupé par un tonitruant "Oh, pardon ! " qui me fait me retourner. Je me trouve face à face avec la Fourest, qui surjoue la bécasse en me répétant "Je suis désolé, je n’ai vraiment, vraiment pas fait exprès !". Comme elle tient à la main un verre vide et qu’autour de moi les regards convergent vers mon dos, je finis par comprendre qu’elle vient de vider, délibérément, son verre de jus d’orange sur mon sac.
Pour confirmer cette intuition je me retourne vers ma camarade écologiste, qui me faisait face et qui a donc vu la scène, elle opine et me dit "surtout ne t’énerve pas, elle n’attend que ça", ce qui me paraît tellement frappé au coin du bon sens que je me contrôle sans difficulté et que je m’en vais chercher du Sopalin au buffet. Une fois terminée l’opération Sopalin, je retourne au buffet pour boire un, puis deux, puis trois verres de jus d’orange, avant de revenir enfin reprendre ma discussion avec ma camarade écologiste, mais badaboum ! Me voilà le cul par terre. Je me retourne et je croise le regard hostile de la patibulaire Fiammetta, un regard qui me dit en substance ceci : "Oui salopard, c’est moi qui t’ai mis une balayette, et ça ne fait que commencer ! " Je me tourne à nouveau vers la copine-témoin, qui une fois de plus opine tristement en guise de "Ben oui, elle a mis son pied !".
Le cul toujours par terre, une terre heureusement déjudorangisée par mes soins, je lève les yeux vers la judoka. Hilare cette fois-ci, tellement c’est gros, je lui demande, en me cognant méthodiquement l’index sur la tempe : "Mais ça va pas la tête ?" Le regard qui vient en réponse, je ne l’oublierai jamais ! Car personne, ni avant ni après, ne m’a jamais signifié, par les yeux ou par la bouche, autant de haine."
Olivier Goujon écrit dans : Femen : Histoire d’une trahison. Max Milo Editions 2017
- Caroline, qui est si prompte à déposer des plaintes en diffamation ou en insulte, n'a rien intenté à ce jour à ma connaissance contre ce livre ... -
« Un mensonge, selon Joseph Paris, le mensonge le plus grave de Caroline Fourest. » Un mensonge, c’est plus que plausible, pour le compte d’Inna, sinon à sa demande expresse. « Par ce mensonge, affirme Joseph, elle a mis en danger la vie de Sacha et d’Oxana, elle ne pouvait pas l’ignorer. »
« Fin septembre, alors même que le « départ-éviction » de Safia Lebdi n’est pas encore officiel, Caroline Fourest est déjà « seule à bord avec Inna ». Quelques jours plus tard, elle fait part de sa déception à Sacha et Oxana : « Elle nous a dit que seule Inna pourrait obtenir le statut de réfugié politique, pas nous, la France se refusant à accueillir quatre réfugiées ukrainiennes d’un seul coup. » Fin de l’histoire concernant le nombre des accueils et la distribution des rôles : début octobre 2012, les deux amies doivent rentrer en Ukraine pour une année d’enfer.
En août 2013, épuisées par les souffrances, les arrestations, les tortures, les poursuites pour terrorisme, Sacha écrit elle-même, sur l’insistance de Joseph Paris, au délégué des droits de l’homme, François Zimeray. Elle lui confie leur désespoir, raconte brièvement l’enlèvement, les violences, le petit chien assassiné… et bien sûr réitère sa demande d’asile politique pour elle, Anna et Oxana. François Zimeray répond à Sacha, « dans la demi-heure », que l’asile politique est tout à fait envisageable et qu’il suffit qu’elles introduisent une demande officielle, officielle, « comme il l’avait déjà dit l’année précédente ».
François Zimeray « tenait » donc, dès 2012, un accord pour quatre accueils, et non un seul comme l’avait dit Caroline Fourest.
« En résumé, et selon le témoignage de Joseph Paris, qu’il me confirmera pas écrit : « Fin 2012, Caroline Fourest avait en main un accord de principe de la part de François Zimeray pour lancer les procédures d’acceuil d’Inna, Sacha, Oxana et Anna. Mais elle dit au groupe que cet accord de principe ne concerne qu’Inna ; cela clôt le débat sur l’éventuelle installation, dès septembre 2012, à Paris, de tout le mouvement. Oxana et Sacha rentrent en Ukraine où elles manqueront succomber sous la violence du gouvernement et des services secrets russes. Il s’agit clairement d’une mise en danger de la vie de Sacha et d’Oxana, en leur mentant ouvertement sur la possibilité d’obtenir l’asile politique en France. »
A
l’origine de la haine folle de Caroline Fourest contre moi …
Visiblement, Caroline Fourest me hait et me harcèle
depuis des années.
D’où vient, s’il faut une raison à la haine chez
certaines personnes, cette haine, haine dont je n’ai d’ailleurs pas le monopole, comme le
montre le tout récent numéro de la Revue du Crieur. https://www.revueducrieur.fr/
J’avais une « professeur » virtuelle d’islam,
Anne-Marie Delcambre, qui est devenue ensuite une amie.
Anne-Marie Delcambre est née en 1943, docteuren études islamiques1, docteur d’Etat en droit, agrégée
d’arabe classique,
Anne-Marie Delcambre a été professeur
d'arabe au lycée Louis-le-Grand, auteure entre autres des ouvrages suivants :
Méthode
d'arabe Linguaphone,
Linguaphone Institute, 1979
Mahomet, la
parole d'Allah, Gallimard,
coll. « Découvertes », 1987
Elle est aussi co-auteure avec Pierre-André Taguieff
d’un livre contre le racisme ( « Face au racisme , les moyens d’agir
» Editions la Découverte 1991 chapitre
12).
Voici quelques propos de Anne-Marie Delcambre en défense des juifs :
Sur le site
Libertyvox :
" Et l’amour des Juifs (?) transparaît clairement dans cette même
sourate 5, verset 64/ou 69: «Et les Juifs disent: «La main d’Allah est fermée».
Que leurs propres mains soient fermées et maudits soient-ils pour l’avoir dit.
Au contraire, ses deux mains sont largement ouvertes. Il distribue ses dons
comme il veut. Et certes, ce qui a été descendu vers toi de la part de ton
Seigneur va faire beaucoup croître parmi eux la rébellion et la mécréance. NOUS
AVONS JETE PARMI EUX L’INIMITIE ET LA HAINE JUSQU’AU JOUR DE LA RESURRECTION.
TOUTES LES FOIS QU’ILS ALLUMENT UN FEU POUR LA GUERRE, ALLAH L’ETEINT. ET ILS
S’EFFORCENT DE SEMER LE DESORDRE SUR LA TERRE ALORS QU’ALLAH N’AIME PAS LES
SEMEURS DE DESORDRE».
Loin d’être
abrogé ce verset a été cité, mais habilement tronqué, pour appuyer une fatwa de
l’UOIF, destinée aux musulmans, lors des émeutes des banlieues. D’ailleurs la
sourate 5, la table servie, est la dernière révélée dans l’ordre de la
révélation. Comme les versets de la sourate 9, ses versets ne sont pas abrogés.
Or, c’est le contraire qu’on veut nous faire croire, dans le plus total mépris
de toute la littérature traditionnelle musulmane (depuis le commentaire de
Tabari au 9ème siècle jusqu’à celui de Sayyid Qutb, le maître à penser du
mouvement des Frères musulmans, pendu sur l’ordre de Nasser, en 1966. Les
commentaires sont extrêmement répétitifs et ne vont jamais dans le sens d’un
adoucissement). "
Anne Marie
Delcambre " L'Islam n'a pas deux visages " 25/6/2006
" Il y a pour la
communauté juive un danger immense
contre lequel je me bats depuis 5 ans. Surtout çà cause du
problème d’ Israel. Les gens qui combattent contre les israeliens ne sont pas
des gens du XXième siècle : ce sont des gens qui se rappellent qu’il a été
dit «
qu’au jour du jugement dernier les juifs se cacheront derrière une pierre,
derrière un arbres, et que les pierres elles mêmes diront : «
il y a un juif derrière : tue
le ! ». Alors comment laisser … il y a non assistance à un peuple
en danger ! Alors je dirai : l’islam n’est pas ce que l’on vous dit,
l’islam est dangereux parce que dans l’islam il n’y a pas d’égalité, pas de
liberté, pas de fraternité, pas de possibilité de s’en sortir. »
Et je rappelle, à la mémoire d’Anne-Marie Delcambre,
qu’elle m’a confié dans ses dernières années, refuser désormais d’ajouter des
propos sur l’islam après tous ses livres, car ceux-ci avaient été repris de
manière déformée, pour servir contre les musulmans, ce qu’elle ne voulait en
aucun cas. Anne-Marie Delcambre s’est toujours battue, malgré les risques et
les représailles physiques effectives qu’elle a subi et dont elle n’a pas pu
parler, contre tous les racismes et toutes les haines envers des personnes.
En 2006, elle écrivait sur le site créé par un juif
américain :
17/10/2006
: « Caroline Fourest. Un fil mérite d’être ouvert pour mettre en
garde contre les écrits d’une personne dont les connaissances en islam sont
inexistantes. J’étais morte de honte, hier soir, que cette jeune femme puisse
dire autant de bêtises en un minimum de temps. Je pensais au jugement des
musulmans, concernant ses propos. C’est une honte que quelqu’un sans
connaissance de la matière puisse se poser en spécialiste, alors qu’on ignore
des gens comme les époux Urvoy qui sont des puits de science. …
[ citant un texte où Xavier Ternisien
reprochait à Caroline Fourest des accusations fausses selon lui ] Franchement
je ne croyais pas avant ce que disaient les « ennemis » de Caroline
Fourest, mais ce que je puis dire, après l’avoir écoutée hier soir, c’est
qu’elle dit n’importe quoi et que c’est extrêmement grave. …
Quand on attaque la réputation des gens, il
faut avoir de solides connaissances. Caroline Fourest parle de ce qu’elle ne
connait pas bien. Je le répète, hier soir son exposé sur l’islam n’était pas
juste. Alors les féministes comme cela, moi je m’en passerais bien.
Heureusement qu’il y a notre chère Elisseievna, féministologue distinguée, pour
rattraper cela dans mon esprit. Mais je suis ultra choquée. »
…
Comme
j’intervenais sur le forum pour défendre un peu Caroline, Anne Marie Delcambre
répondait : « Ah moi elisseievna, je
suis effondrée, car c’est impossible d’avoir étudié cinq ans les textes et de
dire ce qu’elle a dit. Mais elle n’a jamais ouvert un coran ? Qu’a-t-elle
lu ? Les livres de Malek Chebel ou quelqu’un de ce genre ! Ce n’est
pas possible autrement. Et ce qui m’étonnera toujours c’est l’indulgence de ces
journalistes … féministes pour l’islam ! Seulement on la croit !! »
«
elisseievna et les autres en savent un
milliard de fois plus que .. Caroline Fourest .. Si EN CINQ ANS elle a retenu
que l’islam n’était pas violent, elle aurait mieux fait de dormir ou de
s’occuper de la migration des autruches. »
J’ai alors
pris la défense de Caroline en disant notamment le 31/10/2006 :
« ... Il n’est pas question de ce
livre là, mais d’un autre parmi les nombreux qu’elle et Fiammetta Venner a écrit,
et de la thèse du distingo islam/islamisme, qu’elle défend depuis dans ses
interventions. .. Je trouve les
critiques de Anne Marie Delcambre justifiées, mais cela n’empêche pas d’estimer
la démarche de Caroline Fourest très courageuse. « Critiquer » ce
n’est pas attaquer. Cette thèse de distinguer islam/islamisme n’est qu’un
aspect du débat, sur le reste : la défense de la laïcité, des droits des
femmes, de nos libertés … elle dit des choses très justes. »
Puis j’ai tenté de réconcilier Anne-Marie Delcambre et
Caroline. J’ai appelé Anne-Marie Delcambre pour lui demander si elle acceptait
d’aider Caroline à apprendre l’islam, je leur ai écrit à toutes deux en ce sens
aussi. Anne-Marie Delcambre m’a dit : «
J’accepte bien sur, mais vous verrez que Caroline Fourest n’acceptera pas ».
J’ai téléphoné à Caroline, qui m’a presque raccroché à la figure. Quelques mois
après, elle publiait dans sa revue un article honteux contre Anne-Marie
Delcambre.
Anne-Marie Delcambre avait répliqué sur Libertyvox,
dans l’article « Salir une islamologue » le 12 /6/2007 en disant
entre autres : « Il est pour moi hors
de doute que Madame Brancher a voulu faire plaisir à tous ceux qui rêvaient de
me voir discréditée… C’est d’autant plus drôle que Madame Caroline Brancher a
rédigé un article pour défendre Redeker, intitulé«Salir un philosophe». Elle
s’insurge contre une certaine gauche qui n’a pas hésité à traîner Redeker dans
la boue. Je me suis amusée à remplacer le nom de Redeker
par le mien et j’ai imaginé que Madame Caroline Brancher écrivait un article
pour me défendre, intitulé«Salir
une islamologue». Seulement, pour les propos concernant Rachida Dati,
Madame Caroline Brancher a confondu allègrement, ce que dénonce brillamment la
féministe antitotalitaire, Elisseievna, à savoir islam et musulman... Mais, de
toute façon, dans son esprit, j’étais condamnée d’avance. Pour ce genre de
journalistes, n’être pas de gauche est un vice rédhibitoire ».http://www.libertyvox.com/article.php?id=255
En lisant cela, Caroline s’est étouffée. Zéro plus que
pointé pour elle. Bon point répété pour moi.
Dans la Revue Charles n°1 Marc Endeweld du 7 mars 2012
Pierre-André
Taguieff explique, parlant de Caroline Fourest : « Le seul problème, c’est qu’elle ne connait pas grand-chose
à l’islam. Ses analyses sont à l’évidence de seconde main. Elle cite beaucoup
mais d’une manière ambigue. Elle peut s’inspirer très largement de livres déjà
publiés, mais ses références sont presque toujours révérencieuses ou
polémiques. Des islamologues qui ne sont pas forcément mes amis ont reconnu les
limites de son discours ainsi que ses erreurs factuelles. »
Et Marc Endeweld déclare que certaines des personnes qu'il a interviewées au sujet de Caroline : « Certains d’entre eux nous ont même confié – off the
record bien sûr – la craindre. Car « Madame Caroline Fourest » comme
la nomme, au détour d’une phrase, la féministe Liliane Kandel, s’est faite une
place de choix dans l’univers politico-médiatique. Dans notre République
gérontocratique, sa jeunesse est écoutée. Son avis importe, et pèse désormais. »
Un bon carnet d'adresse, l'oreille de Valls et de Hollande, selon " La Revue du Crieur" de février 2017 : voilà qui aide bien sûr à attaquer les autres ... ou plutôt, c'est la capacité d'attaquer les autres qui est justement ce que Caroline Fourest peut d'une certaine façon "vendre" à ses amis politiques : Riposte Laique vous embête ? Fiez vous à moi, je sais comment les démolir. " Elle n'est pas dans le débat, elle est dans la pression" comme dit Caroline de Haas citée dans cette revue.
Encore une fois, je suis loin d'être la seule cible : ainsi on peut lire dans la revue Charles :
"Ancien jounaliste de Témoignage chrétien, Stéphane Lavignotte,
aujourd’hui pasteur à Paris : « ce qui est effrayant chez elle c’est
que son courage contre l’extrême droite s’est retourné contre l’extrême gauche.
Toute son énergie s’est retournée contre son propre camp »."
Ainsi donc Caroline Fourest se plaint de ce que je parle de collaboration avec les militants pro-charia. Bouh, je serais coupable d'avoir voulu l'insulter ... alors que je ne nomme ni ne désigne personne de reconnaissable par le public. Caroline m'accuse. Alors que la seule victime c'est moi et la seule agresseuse, c'est elle. Nième manipulation des faits par Caroline ... Mais ce ne serait pas le plus dégoutant. Non, le plus dégoutant concerne le sujet de la délation.
autre exemple de sa manipulation de l'histoire à des fins de propagande, Caroline publiait dans sa revue ce texte :
Heureusement que la loi sur le délit d'entrave numérique ne s'applique pas dans tous les domaines à toutes les " diffusion ou transmission d’allégations ou d’indications de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur ...en exerçant des pressions morales et psychologiques, des menaces ou tout acte d’intimidation à l’encontre des personnes cherchant à s’informer sur ..."
par exemple dans le but de dissuader d'utiliser un terme, d'organiser son "bannissement symbolique" ou de salir ses utilisateurs.
Car oui le mot "islamophobie a une histoire, qui date de l'époque coloniale, quand déjà, il s'agissait d'oublier le contenu de l'islam pour imposer une colonisation sans évangélisation. ( ex : Alain Quellien, La politique musulmane dans l’Afrique occidentale française, Paris, Émile Larose, 1910, p. 133. : « L’islamophobie – Il y a toujours eu, et il y a encore, un préjugé contre l’Islam répandu chez les peuples de civilisation occidentale et chrétienne. Pour d’aucuns, le musulman est l’ennemi naturel et irréconciliable du chrétien et de l’Européen, l’islamisme est la négation de la civilisation, et la barbarie, la mauvaise foi et la cruauté sont tout ce qu’on peut attendre de mieux des mohamétans.»
Mais le plus abject est ceci :
Caroline devrait m'approuver et condamner les délateurs au lieu de cela, elle me dénonce à la Justice pour avoir critiqué dans un texte de 2015 où je ne citais aucun nom mais seulement des types de conduites de collaboration objective ou volontaire avec les militants de l'islam, dont la délation :
elle devrait me soutenir puisqu'elle sait parfaitement le danger mortel de signer des textes critiques de l'islam ...
la preuve : elle explique elle-même ce danger mortel et la réalité du caractère mortel dans ce texte de 2005 sur Ayaan Hirsi Ali ...
Sa plainte contre moi est une abjection, produit de sa haine folle contre moi.
La
députée hollandaise d'origine somalienne, Ayaan Hirsi Ali, vit sous protection
policière depuis qu'elle a osé se proclamer athée et critiquer l'archaïsme de
la religion musulmane. Les meurtriers de Théo Van Gogh veulent la tuer pour son
film « Soumission ». Elle se réaffirme « Insoumise » dans
un livre qui vient de paraître en français*. Caroline Fourest l'a rencontrée.
La
première que j'ai rencontré Ayaan, nous devions intervenir ensemble à un
colloque sur les victimes de l'islamisme à Genève. Elle a parlé en premier et
elle m'a demandé : « As-tu reçu des menaces pour ton livre sur Tariq
Ramadan ? ». La scène avait quelque chose d'assez surréaliste. Car de
tous les participants à ce colloque — une Iranienne torturée sous les mollahs,
un ancien esclave chrétien soudanais, moi et d'autres — Ayaan Hirsi Ali était
de loin la plus menacée d'entre nous... Nous nous sommes revues à Paris pour
son livre,Insoumise. Jamais
titre n'a trouvé meilleure ambassadrice. Pas seulement parce qu'Ayaan est une
femme magnifique, mais parce qu'elle incarne mieux que personne la résistance à
l'intégrisme.
« Le
multiculturalisme est un système raciste »
Moins
d'une semaine plus tard, son histoire la rattrape et la percute en même temps
que les Twin Towers. Horrifiée par les crimes commis une fois de plus au nom de
l'islam, elle intervient dans le débat public. Elle se proclame
« athée » et dénonce l'« archaïsme » de la religion au nom
de laquelle on a toujours voulu la dresser. Les menaces fusent de partout, de
son clan, de la communauté musulmane qui ne lui pardonne pas cette
« trahison ». Depuis Londres, son père lui reproche de « souiller »
l'islam. On craint pour sa vie. Elle est désormais placée sous haute
surveillance et ne peut plus se déplacer sans ses gardes du corps, fournis par
l'etat Hollandais. Mais ce n'est pas le pire. Son droit à l'inventaire n'est
pas seulement refusé par les fanatiques. Les relativistes, pleins de bonnes
intentions paternalistes à l'égard des minorités, se disent gênés. Surtout au
sein de son parti. « Au début, ils étaient contents que je parle. Mais ils
ne voulaient pas que je critique l'islam en tant que religion. Ils mettaient
tout sur le compte de la pauvreté ou de la colonisation. Mais j'ai grandi avec
l'islam, j'ai appris le monde à travers ses yeux. C'est au nom de cette
religion qu'on m'a appris à haïr les non musulmans : les Juifs, les
homosexuels, les athées... »
Rien
ne l'agace plus que cette façon de tuer l'esprit critique envers la religion au
nom du respect quasi folklorique des cultures : « L'enfer est pavé de
bonnes intentions... » Elle s'explique : « Le multiculturalisme
aujourd'hui signifie réguler les gens en fonction de leur communauté, de leur
religion et de leur culture. Très bien. Mais que fait-on des individus ?
Les gays, les femmes, les enfants ? Ceux qui ne veulent pas suivre les
lois de la communauté ? Ce système est un cauchemar pour les femmes comme
moi qui se sont enfuis de pays où le système les subordonne aux hommes et qui
viennent dans cette société pour être égales. Soudainement, les
multicuturalistes vous rappellent à l'ordre et vous disent non pas vous !
Vous, vous devez rester avec votre communauté et écoutez votre père, votre
frère, votre mari. On ne vous aidera pas... C'est ça l'égalité ? Quand on
y réfléchit, le multiculturalisme est un système purement raciste ».
Depuis
janvier 2003, date de son entrée au Parlement, elle se bat pour faire voter des
amendements contre les mutilations sexuelles et les mariages forcés.
Inlassablement. Elle désespère du parti travailliste Hollandais. En tant que
défenseur du système multiculturel, donc communautaire, la gauche dépend du
vote musulman : une communauté d'un million de votants dont beaucoup
votent sur consignes pour le parti travailliste... Privée de sa liberté de
parole à gauche, elle a donc choisi de continuer à se battre depuis le parti
libéral, centre droit mais plus soucieux des libertés individuelles :
« le parti auquel j'appartiens désormais ne raisonne pas en termes de
communautés mais d'individus et pour moi c'est une question centrale ». Et
pourtant, même là, on lui demande mettre en sourdine ses griefs contre l'islam.
L'avant-propos de son livre, par exemple, celui où elle raconte avoir été
élevée dans la haine des non musulmans au nom de la religion ne figure que dans
les versions hors Hollande. Trop subversif.
Le
meutre de Van Gogh
En
assassinant Théo Van Gogh, les islamistes ont commis une grave erreur : on
commence enfin à l'écouter. Le meurtre de Van Gogh ou la désillusion
multiculturaliste Elle a fait la connaissance du réalisateur maudit en 2003,
par le biais de journalistes qui voulaient faire un film sur elle. Quelque
temps plus tard, Van Gogh s'est vu refusé d'animer un débat au dernier moment
sur pression d'un islamiste belge venu l'intimider avec son clan. Une
humiliation publique, à laquelle ont pris part plusieurs élus socialistes, et
qu'il n'a pas supporté. « Il était mortifié, il n'arrêtait pas de
m'appeler ». À peine rentrée de New-York, la députée tente de le
calmer : « Pourquoi es-tu si en colère ? Tu es réalisateur,
non ? Fait un film là-dessus au lieu de te mettre en colère ? »
Le réalisateur accepte... à condition qu'elle lui écrive le script.
Ce
seraSoumission, un texte qu'ayaan Hirsi Ali
a écrit à l'origine pour une pièce de théâtre. Quatre femmes victimes de la
religion, du voile, du viol et des châtiments corporels, avec pour seule
consolation des versets du Coran tatoués sur leurs corps. Une pièce hantée par
son histoire mais aussi par les récits qu'ayan devait traduire du temps où elle
faisait l'interprète pour les réfugiés, de 1995 à 2001. Comme ce jour où elle a
dû apprendre à une femme que son mari lui avait transmis le Sida. Son mari, qui
la trompait avec des prostituées, n'arrêtait pas de répéter : « C'est
impossible. Je suis musulman ». Van Gogh veut porter ce texte à l'écran,
mais Ayaan le met en garde : « C'est dangereux ». Elle ne veut
pas avoir sur la conscience la mort d'actrices que les islamistes pourraient
reconnaître. Le réalisateur lui propose de filmer de façon à garantir leur
anonymat et donc leur sécurité. Et eux ? Elle-même accepte de mettre son
nom, mais elle prévient de nouveau Van Gogh : « tu es fou de signer.
C'est dangereux. Tu as des enfants. Tu ne peux pas faire ça. » Il ne veut
rien entendre : « Si je fais un film en Hollande en 2004 sur lequel
je ne peux pas mettre mon nom sans mourir, cela veut dire que nous vivons en
pleine barbarie »...
Théo
Van Gogh est mort le 2 novembre 2004, assassiné d'un coup de couteau en pleine
rue par un militant appartenant à un réseau islamiste.Sous le couteau, un
papier rappelait la menace de mort à l'encontre de Hirsi Ali, obligée de partir
de cacher dans une base militaire. Elle et Van Gogh avaient tenté d'imaginer
d'où viendrait la menace : « Quand cela va-t-il arriver ?
Comment ? Est-ce que ce sera avec un couteau ou avec une bombe ?
Est-ce que ce sera un homme ou une femme ? » Cette question a trouvé
une réponse. Reste à savoir où va maintenant le modèle néerlandais,
passablement ébranlé ? « Nous avons des francophiles qui veulent
suivre l'exemple français, à l'image de la loi sur les signes religieux. Et
nous avons des anglophiles qui veulent rester au modèle communautaire ».
Ayaan Hirsi Ali, qui a appris les langues comme autant de passeport vers la
liberté, va peut-être se mettre au Français : « Je ne sais dire qu'un
seul mot en Français, mais c'est mon mot préféré... Laïcité ».
La haine folle de Caroline envers moi, se manifeste au combien envers d'autres, et fait exploser ses repères mentaux, ses "convictions profondes" ne sont manifestement pas les mêmes, selon qu'elle contient ou pas sa "rage" envers les personnes. De quoi est faite au juste cette "rage" ? Surtout d'"enrager" de ne pouvoir réfuter les arguments d'autrui dans un vrai débat, comme le montre le "zéro pointé" que lui donnait Anne-Marie Delcambre. http://elisseievna.blogspot.fr/2017/03/la-haine-folle-de-caroline-fourest.html
"Van Gogh veut porter ce texte à l'écran, mais Ayaan le met en garde : « C'est dangereux ». Elle ne veut pas avoir sur la conscience la mort d'actrices que les islamistes pourraient reconnaître. Le réalisateur lui propose de filmer de façon à garantir leur anonymat et donc leur sécurité. Et eux ? Elle-même accepte de mettre son nom, mais elle prévient de nouveau Van Gogh : « tu es fou de signer. C'est dangereux. Tu as des enfants. Tu ne peux pas faire ça. » Il ne veut rien entendre : « Si je fais un film en Hollande en 2004 sur lequel je ne peux pas mettre mon nom sans mourir, cela veut dire que nous vivons en pleine barbarie »...
Théo Van Gogh est mort le 2 novembre 2004, assassiné d'un coup de couteau en pleine rue par un militant appartenant à un réseau islamiste.Sous le couteau, un papier rappelait la menace de mort à l'encontre de Hirsi Ali, obligée de partir de cacher dans une base militaire."
2010 : à propos de l'auteur juif d'un livre sur les Frères musulmans et l'islam :
C. F. : je signale le vrai nom de P [ ...] [...] dans ma réponse à son attaque.
C. W. : D’ailleurs, pourquoi l’avoir indiqué ?
C. F. : Parce qu’on ne peut pas comprendre d’où vient pareil délire si on ne comprend pas l’intention de son auteur. Or [ ...] écrit sous le pseudonyme de P [...] pour ne pas assumer d’où il parle. C’est un avocat israélien très à droite. Même s’il s’en défend, il a été très proche de la Ligue de défense juive, une organisation à côté de qui le Bétar fait figure d’organisation gauchiste… Cela situe. Tariq Ramadan non plus n’aime pas assumer d’où il parle. Mon travail est de montrer les enjeux idéologiques qui agitent le débat d’idées, pas de laisser croire qu’il s’agit d’un complot ou d’une guerre de personnes. Par ailleurs, je crois profondément que l’anonymat nuit à ce débat d’idées sur internet. Tout le monde connaît mon visage et mes convictions. Je ne cache rien. Par contre, ceux qui m’insultent et diffament à longueur de journée se masquent pour parler. C’est leur liberté. Mais j’ai quand même le droit de signaler que cela ne contribue pas vraiment à élever le niveau du débat.
Commentaire :
Lorsqu'il s'agit pour Caroline de se valoriser en montrant son soutien à Hirsi Ali, elle s'applique à expliquer que la conscience de celle ci lui dicte de recommander instamment l'anonymat aux personnes critiquant l'islam. Alors que quand il s'agit de s'attaquer à un auteur qui a osé la critiquer, tout à coup " sa conviction profonde" serait que l'anonymat nuit au débat ... De qui se moque-t-elle !
On peut très comprendre d'ou viennent les critiques d'une personne en lisant ses articles où il explique ses idées, et Caroline pouvait se contenter d'expliquer ses idées selon elle, ce prétexte ne tient pas debout.
en 2013, Caroline Fourest révèlera dans " Le Monde " son identité d'Etat civil, jusqu'alors elle écrivait exclusivement, invoquant sa sécurité, sous un nom que l'usage français ne lui permettait pas d'utiliser, c'est à dire sous un pseudonyme, elle ne pouvait donc pas dire qu'elle "ne cachait rien". Mais à la différence de Ayaan Hirsi Ali, Caroline Fourest est selon les termes de Sadri Khiari "une avocate de l'islam", une avocate déterminée, affirmant que la critique de l'islam et non de l'islamisme est du racisme, elle n'a donc rien à craindre de ses partisans. Entretemps, Caroline avait elle aussi été victime d'une dénonciation répugnante de la part du journal Minute, qui avait révélé son nom de famille. Le fait qu'elle ait ensuite décidée en 2013 de le dire elle même ne change rien à l'ignominie de la dénonciation par ce journal. Elle sait donc parfaitement " le mal que fait " ... la délation, du moins, elle en sait une partie, puisque comme elle le dit elle même dans ce texte de 2005, elle n'est pas aussi exposée qu'une Ayaan Hirsi Ali qui, elle, critique l'islam. Elle n'est pas non plus aussi exposée qu'un auteur juif, puisqu'elle n'est pas juive.
Caroline a des "convictions profondes" à géométrie variable, selon qu'il s'agit de se valoriser en se présentant aux côtés d'une vraie héroïne, ou selon qu'il s'agit de s'en prendre à un homme qui a commis le "crime" de la critiquer ...
Ayaan Hirsi Ali a une conscience qui lui dicte de ne pas briser l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître. Caroline invente n'importe quoi pour ne pas entendre la sienne, quand elle brise l'anonymat de personnes que les islamistes pourraient reconnaître.
Je suis une militante bénévole, indépendante. Mon job n’a rien à voir directement avec le féminisme et je n’ai jamais brigué de poste d’intellectuel fonctionnarisé ou salarié ni de poste politique, je ne dépend pas non plus d’un lectorat. D’où ma stricte indépendance, à la différence de la quasi-totalité des militantes actuelles.
Il est de tradition dans le mouvement féministe d’agir dans l’anonymat et collectivement, ce qui me convient et me plait tout à fait – voir l’interview toute récente de Phyllis Chesler à ce propos sur cette pratique aux USA, en France il en est de même. Même la gloiriole de militante ne m’interesse pas. Je participe à des mouvements collectifs ou j’écris pour contribuer à mes idées, qu’elles soient conformes ou non aux désidératas des divers sponsors et soutiens politiques du mouvement féministe actuel.
J’avais des idées féministes depuis longtemps. J’ai commencé à militer dans le mouvement féministe lors de la guerre d’ex-Yougoslavie. Nous soutenions les femmes victimes de violences de tous les pays d’ex-Yougoslavie. J’ai milité alors avec les principales leader du mouvement féministe universaliste : Maya Surduts, Monique Dental, Françoise d'Eaubonne, Michèle Dayras, Sylvie Jan, Suzy Rojtman, Vivianne Monnier, Franky, Josette Trat, Christine Delphy, Françoise Picq, et cette chère et regrettée Akramossadat Mirhosseini …
Puis j’ai participé aux Assises pour les Droits des Femmes, au collectif pour les droits des femmes et au Cercle d’étude de réformes féministes.
Je suis Universaliste – et cela a à voir avec le judaisme -, mais j’ai tout de suite été choquée par les oppositions virulentes entre tendances dans le mouvement alors que pour ma part j’aurais préféré moins de divisions -. Je suis évidemment pour le « droit des femmes à disposer de leur corps », pour que la décision d’avorter ou pas leur appartienne, mais je n’ai jamais considéré l’avortement comme un acte banal et indifférent – et je ne suis pas du tout la seule féministe à penser ainsi, voir les réflexions de Nadja Ringart par exemple. J’ai milité avec le CERF pour des crèches, pour une prise en charge du risque de « parentalité » par mutualisation, pour une réforme des noms des femmes, pour la pénalisation de l’achat de prostitution ou de contrat de mère porteuse, contre une constitution européenne non démocratique, contre le port du voile etc.
Christine Delphy a été brouillée avec moi plus tard à cause de manipulations de la bande de Prochoix, elle a cru sans doute que je l’accusais d’antisémitisme, ce qui n’est pas du tout le cas, mais de toute façon, une grande part d’entre elles m’ont ensuite trahie en trahissant également le mouvement, par un déchainement de haine totalement irrationnelle et stupide contre la critique de des lois de l’islam, alors que cette loi est la base d’une oppression féroce des femmes et de massacres notamment antisémites.
Antoinette Fouque avait obtenu mon téléphone par une de ses militante que j’apprécie, et elle a tenté de me recruter, m’a invitée dans sa demeure du 7eme, pour me présenter à Taslima Nasreen, puis s’en est violemment prise à moi lorsque je lui ai demandé de défendre Robert Redecker ...
Car en effet à partir du 11 septembre, j’ai recherché les origines idéologiques de cet attentat, et j’ai commencé à critiquer la loi du coran, loi JURIDIQUE donc politique, comme d’autres religions d’ailleurs, à critiquer les personnages du dieu du coran qui est pour moi une représentation du diable et du messager Mahomet, dont les biographies rapportent des actes de criminel de guerre et de criminel tout court, et de ce que certaines ont nommé récemment, des porcs, tout en expliquant sans cesse, que les personnes musulmanes sont nos « frères et sœurs humain-e-s » et qu’il serait totalement faux de les juger par confusion avec ces textes anciens, que rien ne justifie la musulmanophobie.
A partir de ce moment là, la presse féministe, qui publiait mes articles depuis 1993, a de moins en moins accepté de les publier. Prochoix en avait publié certains en refusant que je les signe de mon nom, pour ensuite faire courir la calomnie que j’utiliserai plusieurs pseudonymes, pour des raisons obscures. J’ai alors adressé mes articles à publications variées, dont Riposte laique lorsqu’elle a été fondée entre autres par des militantes féministes ayant milité avec Simone de Beauvoir, je viens de rompre à la suite de la trahison des dirigeants de cette revue, qui aujourd’hui mettent en danger des militants et leur entourage de manière délibérée et odieuse.
Le mouvement féministe est tombé dans le relativisme ou l’indifférence coupable en refusant de considérer les LOIS JURIDIQUES DE L’ISLAM pour s’y opposer afin de lutter efficacement contre les violences qu’elles instituent et prônent. Il s’agit clairement d’une trahison de la cause des femmes.
Je suis laïque et agnostique, j’avais bien sur tue sur mon origine à la plupart des militantes, parce que simplement le sujet de nos conversations n’avait rien à voir, puis j’ai parlé de mes origines juives lors que, vers 2000, une vague d’antisémitisme a surgi avec une intifada. J’ai alors relevé des propos d’un antisémitisme crasse chez des féministes et j’ai répondu publiquement, en indiquant alors « d’où je parlais ». Depuis quelques années, je m’oppose aussi à une « russophobie /ukrainophobie » de plus en plus virulente, délirante et allant jusqu’au racisme crasse. Car comme la plupart des juifs russes, j’adore la Russie, toutes Russies.
Mise au point sur la collaboration actuelle avec le fascisme.
J’appelle fascisme le fait de considérer que des êtres humains auraient une valeur inférieure à d’autres et mériteraient de voir leur vie dépendre du bon vouloir des êtres se considérant comme supérieurs.
Le fascisme est une tendance universellle en tant que concrétisation des tendances à l’égoisme et à l’arrogance des êtres incarnés que nous sommes, mais cette tendance est soit contrée, soit encouragée par des théories qui le légitiment ou le déconsidèrent.
Nier le contenu de théories fascistes, dénigrer, faire des procès d’intention à ceux qui s’opposent à un fascisme, c’est se faire l’allié, le complice du fascisme, nier le contenu fasciste de théorie sans même enprendre connaissance est non seulement d’une imbécilité affiligeante, mais c’est se faire l’allié, le complice du fascisme.
L’islam est une version arabe du fascisme, comme le nazisme est sa version allemande, comme les massacreurs mongols antiques des chinois furent des fascistes en acte, comme les massacreurs du rwanda le furent.
Les féministes qui osent dénigrer d’autres féministes alors qu’elles même ne se donnent même pas la peine d’écouter les personnes issues de pays musulmans qui critiquent l’islam, ne se donnent même pas la peine d’étudier par elles mêmes, sont objectivement des complices du fascisme islamique et auront à en répondre.
Les antiféministes et autres petits bonshommes minables qui reprochent spécifiquement aux féministes de ne pas contester ce qu’ils nomment islamisme, alors qu’eux-mêmes ne s’y opposent que pour des raisons identitaires ou en prenant bien soin de donner des gages aux tueurs en utilisant une terminologie qui signifie qu’ils ne critiquent pas la doctrine de l’islam, sont des complices du fascisme et des minables.
Ceux qui mettent en danger d’autres personnes en lutte contre un fascisme voulant imposer une loi non démocratique et extérieure, se rendent coupables de collaboration avec un fascisme, d’intelligence avec l’ennemi, de mise en danger d’autrui, de menaces, d’atteinte à des libertés fondamentales, et le cas échéant de corruption.
Je renvoie ceux et celles qui me critiquent ou me menacent ainsi à la considération de votre propre dégueulasserie intégrale. Je suis contre la peine de mort, mais je ne pleure pas sur le sort des Brasillac et autres fumiers liquidés à la Libération car ils étaient eux-mêmes des TUEURS conscients de ce qu’ils faisaient, ou pouvant parfaitement en prendre conscience.
Le déni de l’égale valeur des êtres humains se produit aussi de même moins apparente. La réduction des femmes à des êtres destinées à servir aux « droits sexuels et reproductifs » des hommes, est une des formes de déni de leur égale valeur. L’oubli ou la négation du corps des femmes dans la maternité légitime à l’évidence cette réduction. Mais il faut faire attention aux arguments employés pour défendre le corps des femmes, car dire que les adultes auraient un droit de jouir de leur corps en créant une vie qui impliquerait de nier cette vie tout en donnant le droit de la supprimer, revient aussi à donner à certains humains vivants ( ce que nous sommes tous dès la première cellule) moins de valeur qu’à d’autres. Cette affirmation ne peut que se retourner contre les femmes les plus vulnérables.
site russophile
La Russie est représentée aujourd'hui comme un Etat quasi nazi, prêt à envahir l'Occident. La Russie et la compassion de Valaam sont en réalité encerclés par les adorateurs de l'argent, militairement, et médiatiquement. Je suis pour la Russie et l'essentiel des idées orthodoxes. En espérant que l'orthodoxie se défasse de ses scories sexistes et homophobes.
"Ce n'est pas l'homme qui exige de Dieu sa liberté, mais Dieu qui exige de l'homme qu'il soit libre car cette liberté est le signe de la dignité de l'homme, créé à l'image de Dieu."
La liberté selon Dostoievsky, "L'idée russe" Nicolas Berdaiev.
âme, pardon et judaisme
"Le judaisme a créé le "prochain" et avec lui la conception de l'humanité dans son vrai sens celui de l'estime pour la dignité humaine et la révérence du Divin pour tout ce qui porte visage humain" Rabbin Leo Baeck
" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21
Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe
Féministe
Love is a basic human right
We're millions. We're everywhere. We're the #ExMuslims
Sibérie : camp
Margarethe II du Danemark
Margareth II, reine du Danemark
«Nous avons laissé la question de l’islam flotter trop longtemps, car nous sommes tolérants et bien paresseux. Il faut, de temps à autre, courir le risque de se voir coller une étiquette moins flatteuse, car il y a certaines choses pour lesquelles on ne doit pas montrer de tolérance.»
pour la vie ...
Eternal flame
Концерт Детского хора России в Мариинском
Hirsi Ali 2008
et le commentaire pitoyable ...
Débat entre deux personnes civilisées : Wafa Sultan et Daniel Pipes
Geert Wilders
Let us raise a flag of truth and liberation by Geert Wilders
Nine years ago this month, in November 2004, policemen wearing bullet proof vests and carrying machine guns picked me up at my home and drove me to a safe place. This happened two days after the filmmaker and Islam-critic Theo van Gogh was murdered by an Islamic assassin in broad daylight on an Amsterdam street. The police brought me to safety because Islamic criminals had threatened to kill me, too. Because I, too, spoke the truth about Islam, the biggest threat to our freedom and our civilization. Since that ominous date, nine years ago, I have been forced to live under constant police protection. I have lived in army barracks, prisons and safe houses. The threats continue to this day and have deprived me of my privacy and my freedom. But I will continue to speak. The flag of Saudi Arabia proudly proclaims the Shahada or the Islamic declaration of faith: “There is no god but Allah and Muhammad is the messenger of Allah.” In remembrance of the past nine years, in remembrance of the thousands of victims who were murdered in that period by Islamic assassins, in London, in Moscow, in Mumbai, in Nairobi, and in countless other places, and in remembrance of the millions of people — women, apostates, non-Muslims — who daily suffer discrimination and humiliation from the evil ideology of Islam and oppressive Islamic Sharia law, I offer the Islamic world a new flag — a flag with a declaration of truth and liberation: “Islam is a lie, Muhammad a criminal, the Koran is poison.” Only when the Islamic world comes to realize this truth, will it be able to free itself from evil, making the world a better and safer place for all human beings. Only when the free world comes to realize that Islam is predominantly a totalitarian ideology rather than a religion, will it be able to defend its liberties and values. November 2013
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