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COVID et CRIMES

L'Europe, comme envoutée ...

" Si ton ennemi a faim, donne-lui à manger, s'il a soif donne-lui à boire" Proverbes 25:21

Pardonner l'impardonnable ? " Quand je vois quelqu'un se montrer mauvais envers quelqu'un ou devant Dieu, comment puis-je l'aimer ? "" ne sais tu pas répond le rabbin, que l'âme orginelle étant d'essence divine, l'âme de tout être humain fait partie de Dieu ? Alors se peut-il que tu n'aies pas pitié de cet être, quand tu vois cette divine étincelle s'égarer et près de s'éteindre ?" cité par rabbin Pauline Bebe

Depuis que j'ai écrit " L'Europe meurt de la fin des Lumières", l'Europe continue de haïr ceux qui tentent de l'empêcher de se livrer aux assassins fanatiques, ceux parmi les musulmans qui sont jihadistes, de haîr ceux qui veulent l'empêcher de crever " Les yeux grands fermés", pour reprendre le titre du livre de Michèle Tribalat.



Laisser faire le mal est  une complicité, laisser tuer des innocents faute de prendre les armes contre les assassins est criminel, empêcher les crimes ne signifie pas haïr les criminels. 

L'Europe se hait au point de laisser tuer et violer quantité de ses pauvres, femmes et enfants, paralysée qu'elle est par la peur irrationnelle de tomber dans la haine. C'est de la démence, pure et simple, en cela l'Europe se fait collaboratrice du fascisme actuel, assassin elle-même, et sans doute plus coupable que les fanatiques musulmans eux-mêmes, puisqu'elle a tous les outils intellectuels, philosophiques, toutes les normes pour savoir ce qu'elle commet sur les plus vulnérables : non assistance à populations en danger. L'Europe est comme envoûtée. 

Les hauts dignitaires de l'Eglise qui devraient la réveiller, en lui rappelant ses devoirs de protection, en lui rappelant sa capacité de ne pas haïr, de toujours avoir à l'esprit le devoir et la volonté de trouver comment protéger le maximum de vies, même celles des fanatiques, ces hauts dignitaires sont trop nombreux à MENTIR honteusement, eux-mêmes comme envoûtés.

Je crois que nous sommes pris dans un phénomène étrange .... : 

la plupart des gens qui ne s'autorisent même pas à regarder l'islam, ne sont ni vendus au Qatar, ni indifférents au sort de leurs enfants : 

je pense qu'ils sont paralysés par la peur de ne pas pouvoir s'empêcher de haïr, par la certitude qu'ils tomberont dans la haine ou que la masse tombera inéluctablement dans la haine, et que même le simple fait de penser à s'informer cache un désir coupable en eux,

(d'où la réaction élitiste d'un "mensongisme" : l'idée qu'il faudrait mentir aux masses car la critique de l'islam serait "inaudible" et les jetteraient dans la fureur les uns contre les autres, que mentir serait la seule solution)
si bien qu'ils se l'interdisent et haissent ceux qui pourraient les pousser à faire ce mal, 

et si bien que le bien qu'il faudrait faire, le seul bien qui permettrait d'échapper à la violence : la connaissance de la loi islamique pour la discuter, pour pouvoir convaincre des croyants sincères de son absurdité, ce bien là : ils se l'interdisent,ils se l'interdisent absolument, alors qu' ils préfèrent croire uniquement ceux qui leur ordonnent ... de haïr les "terroristes" et de semer la mort dans leurs pays,

ils sont convaincus qu'ils ne peuvent pas échapper au mal et cette terreur là, cette horreur d'eux-mêmes, les dissuade de protéger les faibles et de faire un bien qui, sans verser une goutte de sang, nous sauveraient tous,

je ne sais pas ce qu'il faut faire pour pour détruire cette sidération absurde là, mais je la constate tout le temps et à mon avis, le Pape en est fortement atteint.


Voici deux histoires de personnes portant l'étiquette de "musulmane" : un monstre qui croit que dieu lui ordonne de tuer les enfants non musulmans, et une femme qui se met en en danger pour nous réveiller, et voici la "dernière" de ce clergé aveuglé.

Coran et la Sunna, livre légitimant l'assassinat sous prétexte de combat pour dieu ...
Les règles du jihad peuvent prêter à interprétation, le coran et la sunna n'ordonnent pas littéralement de décapiter des enfants, mais il fulmine de tant d'appel à combattre les mécréants, à les terroriser et à baiser des gosses (Aicha, les esclaves ...), qu'il n'est pas étonnant qu'une femme agisse ainsi, comme ses compagnons ont agit à Beslan, dans une école d'enfants chrétiens en Ossétie, en torturant trois cent enfants par la soif pendant des jours, en vue de les faire mourir de soif sous les yeux de leurs parents, jusqu'à ce que les troupes russes lancent l'assaut ...http://elisseievnatome2.blogspot.fr/2012/04/islam-nazisme-beslan.html

Beslan :



Nourrice de Moscou qui décapite l'enfant de 4 ans dont elle avait la charge et se promène dans Moscou en hurlant et brandissant la tête de l'enfant :


" Je lis le coran, je suis très croyante, j'ai voulu me venger de Poutine " affirme-t-elle.










France: une travailleuse sociale menacée pour un livre sur les banlieues

CHRISTOPHE LAMFALUSSY Publié le mercredi 16 mars 2016 
INTERNATIONAL
On a beaucoup écrit sur les banlieues françaises, sur lesquelles se sont penchés criminologues, sociologues, islamologues… Mais on entend rarement la voix des banlieues.
Nadia Remadna, une travailleuse sociale de 53 ans, vit à Sevran dans une commune dirigée par un ancien communiste passé dans les rangs écolos. Cette mère d’origine algérienne a élevé seule ses quatre enfants. Elle a fondé en 2014 la Brigades des Mères, une association qui tente de résoudre les situations d’urgence (élèves exclus de l’école, femmes battues, jeunes en voie de radicalisation islamiste). 
Dans un ouvrage qui vient de paraître chez Calmann-Lévy, elle pousse un grand coup de gueule contre la victimisation et le clientélisme dans les banlieues. A-t-elle frappé trop juste ? Lundi soir, un coup de téléphone anonyme menaçant de s’en prendre à ses enfants lui a reproché d’ "aider les mécréants" . "La Libre" l’avait rencontrée il y a quelques jours.
Nadia Remadna, vous vivez à Sevran, dans la banlieue parisienne…
C’est une ville du 93 où il y a beaucoup de chômage, de jeunes, de trafics de drogue et de radicalisation. Elle a aussi de la solidarité. Les gens essaient de se prendre en mains. Ils sont tellement pudiques qu’ils font en sorte que les problèmes ne se voient pas. C’est comme les couples où on a l’impression que tout va bien alors qu’en fait, ils se déchirent nuit et jour.
Que dénoncez-vous dans votre livre ?
La politique de la ville. Les banlieues votent toujours à gauche. Nos quartiers sont comme des prisons à ciel ouvert. On a utilisé nos blessures pour faire de la politique. Pour moi, la blessure était la guerre d’Algérie. Aujourd'hui, on nous parle de discrimination, de racisme et d’islamophobie. On veut nous maintenir dans nos traditions et notre culture.
(...)
Pour en sortir, il faut sortir des banlieues ?
A la Brigades des Mères, nous avons créé ce qu’on appelle des "ponts de la connaissance" avec des mamans des beaux quartiers de Paris. Pour s’évader, pour combattre les préjugés et pour dire que la banlieue c’est aussi la France et pas un pays exotique où les ONG viennent s’installer. Nous voulons reconstruire la République et ramener la culture française dans ces quartiers. Faire en sorte qu’il y ait une seule France.
(...)
Quel rôle les mères peuvent jouer ?
Les mères, c’est sacré. Même un dealer respecte sa mère. Elles ont un rôle important à jouer face à la radicalisation dans les quartiers et dans la transmission des idées. Si les parents disent à la maison que tous les Français sont des mécréants, le jeune voudra zigouiller tout le monde en sortant. Le religieux domine la banlieue. Il fait les devoirs, l’informatique, amène les enfants en vacances. On lui a donné une place trop importante. Avant, le prêtre catholique était appelé pour régler les conflits; aujourd’hui, c’est l’imam. Le politique négocie avec le religieux et le religieux négocie avec le politique.

"Avant on craignait que nos enfants tombent dans la délinquance. Maintenant on a peur qu’ils deviennent des terroristes", par Nadia Remadna, avec l’aide de Daniel Bernard, grand reporter à Marianne. Editions Calmann-Lévy, 255 pp, Paris, décembre 2015.




La prière antisémite et anti-chrétienne du Primat des Gaules

Un Cardinal fait entendre à ses ouailles pendant la messe une prière musulmane antisémite et anti-chrétienne. Un chant de pure haine vomit par la nasalité résonne dans la nef de la cathédrale. Le Dieu-qui-hait loué dans l’Eglise du Dieu censé aimer. Farce. « Sacrilège ».
Et pas n’importe quel jour : la fête de l’Annonciation. On engrosse Marie d’un verbe de vocifération. Jouir de voir traiter la fille d’Anne de sœur des singes et des porcs, ricaner de déclarer ouvertement à l’assemblée réunie ce qu’elle est en effet : égarée.

La messe est annoncée par l’agenda de la Conférence des Evèques de France : «  A l’occasion de la fête de l’Annonciation, des catholiques et des musulmans (…) veulent (…) rendre hommage à la Vierge Marie, dans le respect de la tradition de chacun. »
 « Rendre hommage à Marie » : tous les sèmes requis du vocabulaire de la galanterie sont bien là, avec leur dénégation intrinsèque incluse. Que c’est drôle.

L’idée vient du Liban, comme l’explique le site « ensembleavecmarie.org » : « Au Liban, Chrétiens et Musulmans de toutes sensibilités, conscients de leur amour commun pour la Vierge Marie, mère de Jésus, fêtent ensemble l’Annonciation depuis le 25 mars 2007. L’enjeu pour l’unité du pays a été perçu si fortement par les autorités que depuis, le gouvernement libanais a fait de la journée du 25 mars un jour chômé : fête nationale islamo-chrétienne. Une première dans l’histoire ».

Ainsi, ce lundi 4 avril, avec Philippe Barbarin, étaient présents : Vincent Feroldi, directeur du Service national pour les relations avec les musulmans, Anouar Kbibech, président du Conseil français du culte musulman, Kamel Kabtane, le recteur de la Grande Mosquée de Lyon, Monseigneur Maroun Nasser Gemayel.
400 chrétiens et musulmans ont prié. Notre Père. La Fatiha. On peut entendre un moment sur twitter, hashtag « Ensembleavecmarie ».

La Fatiha : soit les paroles de la première sourate du coran, dont les derniers paragraphes sont : «  Conduis nous dans la Voie droite. La voie de ceux à qui tu as donné tes bienfaits , qui ne sont ni l’objet de ton courroux, ni les Egarés ».
Le père de l’actuel recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, écrivait dans son commentaire du coran, que quasiment tous les commentateurs s’accordent pour dire que les égarés sont les chrétiens et ceux qui ont encouru la colère de Dieu sont les juifs.
Les commentateurs rapprochent en effet la Fatiha de ces autres versets coraniques : "Dieu a transformé en singes et en porcs ceux qu’Il a maudits, ceux contre lesquels Il est courroucé." 5/60 « Le Messie, fils de Marie n’était qu’un apôtre »(5/75) « Dis : O détenteurs de l’Ecritures ! (…) ne suivez point les opinions pernicieuses de gens qui, antérieurement, ont été égarés, qui en ont égaré beaucoup et qui se sont égarés loin du Chemin Uni ».

Pour l’islam, le «  Chemin Uni » exige la Soumission. Voilà ce que veulent cacher les collaborateurs intellectuels du jihad.
Comment procèdent-ils ?  En utilisant un mot pour un autre : « Identité » pour « sens ».
« La rencontre « Ensemble avec Marie » est avant tout spirituelle. Nous partons de ce qui nous unit pour nous ouvrir les uns aux autres, dans le respect de l’identité et de la foi de chacun. »
Il suffit donc de s’en tenir à l’existence de signes d’ « identité » communs sans regarder leur « sens », pour se réunir. Mais une fois réunis, il faudra laisser chacun exprimer sa foi selon son « identité ».
La tromperie consiste à occulter le « sens » de ces signes apparemment « identiques », et celui des autres manifestations de la foi de chacun, qui sont alors imposées comme condition de la paix civile.

PUBLIÉ PAR FRANÇOIS SWEYDAN LE 20 AVRIL 2016

Le 3 avril 2016, dimanche de la Miséricorde, s’est déroulé en la cathédrale St-Jean de Lyon une messe présidée par le cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon et Primat des Gaules.

La cathédrale était archi comble des différentes communautés de réfugiés, notamment syriennes et irakiennes chrétiennes de Lyon, conviées en tant que « migrants » afin de « partager un temps de prière commune ».

Le diocèse de Lyon explique dans un communiqué :
« Cet événement veut témoigner de l’engagement du diocèse pour l’accueil et l’accompagnement des familles contraintes de fuir leur pays, un témoignage d’espérance dans notre contexte socio-politique ».
Dès les débuts de son homélie, et au nom du sempiternel dialogue interreligieux, le cardinal fit bien entendu comme régulièrement depuis des années référence au coran, à cette notion de miséricorde dans l’islam et au verset introductif de la quasi totalité des sourates « Au nom d’Allah, le tout miséricordieux, le très miséricordieux », pour nous convaincre que la religion islamique est « doublement miséricordieuse » (ses mots dans l’homélie). 
(..)
Après son homélie, plusieurs témoignages émouvants de réfugiés furent prononcés. Dans la foulée, une jeune femme voilée, lyonnaise musulmane, a récité la Fatiha au micro, au sein de la cathédrale (lire : La Fatiha et la culture de la haine).
Il y eut ça et là dans la foule, des applaudissements, essentiellement des Français de “souche” qui n’avaient rien compris à ce qu’on peut qualifier de sacrilège.
Des murmures et une légère clameur de mécontentement et de réprobation se firent cependant entendre dans toute la cathédrale.
Un Irakien en colère s’est même indigné à haute voix en agitant le bras. On l’a sommé de se taire. Des Irakiens et des Syriens (chaldéens, syriaques, melkites…) scandalisés ont quitté les lieux pour se réunir sur le parvis.
Étant présent en tant qu’observateur, je suis sorti aussitôt pour discuter avec plusieurs groupes formés d’Irakiens et de Syriens contrariés, outrés et blessés par cette Fatiha « insultante » récitée par cette voilée dans un lieu saint et chrétiennement consacré.
J’ai entendu l’un en colère me dire :
« c’est quoi cette mascarade ? On a quitté la barbarie de l’islam en Irak et en Syrie pour nous faire insulter avec cette Fatiha au sein d’une cathédrale, en plus ! »

Un second manifestement dépité s’exclame :
« Si je savais que c’était ça la France catholique, je ne serais pas venu pour me réfugier ici ! »
Un troisième enchaine :
« Ils [les Français] ne savent pas ce qu’ils racontent ces ignorants irresponsables ! Ils vont le payer très cher. C’est lamentable qu’un cardinal agisse ainsi et au nom de la miséricorde. »
Tout est dit ou presque (je censure les paroles encore plus dures et insultantes !..), surtout qu’un quatrième ironique et moqueur ajoute interrogateur « la miséricorde de l’islam ? » en mimant le geste de l’égorgement avec l’index porté au cou. Celui qui s’était indigné à haute voix dans la cathédrale s’est précipité vers moi pour me dire : « il faut que quelqu’un dénonce cette ignominie ! »


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