Article épinglé

COVID et CRIMES

Anne Marie Delcambre sur la Fatiha

Rappel : Anne-Marie Delcambre ne voulait pas que ce qu'elle dit sur les textes de l'islam soit compris comme une accusation contre les musulmans en général, telle était sa volonté qu'elle m'a personnellement répétée.

" Moi je diabolise les textes , les hommes n'ont rien à voir "

A force de voir ses propos compris comme une attaque contre les musulmans, elle a fini par quasiment renoncer à s'exprimer.

Pour ma part, je répète que CHAQUE personne a SA relation personnelle avec les textes ; et dire le sens des textes, n'est pas dire que les personnes en relation avec ses textes, auraient une conduite et un état d'esprit qui serait - à supposer que ce soit possible - une sorte de décalque exacte de la vision et de la conduite prescrite par la loi écrite.

Un procureur a lancé une fois à une personne critiquant l'islam qu'elle critique forcément les musulmans dire que le communisme est assassin signifierait forcément que les communistes sont assassins. Double sottise : car l'islam n'est pas un parti, et que même dans un parti, si l'adhésion fut à mon sens criminel lors de la pire virulence de ces régimes, les individus ont pu croire à un "communisme à visage humain" vouloir réformer le parti etc.

TOUTES les idéologies toxiques doivent être démontées intellectuellement, expliquées au public.
Les cacher est mensonge. Prétendre qu'elles seraient trop "compliquées" et que l'on ne peut pas les comprendre est une tromperie minable de parfois érudits dévoyés, bouffis d'orgueil et pervertis par la soif de pouvoir.
LE MENSONGE est meurtrier, meurtrier de l'esprit, méprisant, il n'est qu'un outil de manipulateurs arrogants et d'escrocs.

Les pratiques pluri quotidiennes de l'islam sont un enseignement frénétique de la haine envers les non musulmans, les ouvrages et prêches qui l'expliquent clairement en français sont des plus répandus, et tous ceux qui depuis des décennies vont jusqu'à refuser de les regarder manquent à tous leurs devoirs, pour le moins.

Tous ceux qui font profession de protéger leurs concitoyens de la violence, et qui laissent se répandre l'enseignement de l'islam sans contradiction, et refusent de s'informer sur son contenu, sont complices donc coupables des assassinats, tortures et viol commis par les criminels agissant au nom de l'islam en se réclamant de ses préceptes clairs dans les textes. 



 

Aucun commentaire: