Le pus et le malade
Un malade qui a un abcès ouvert, un malade qui a les intestins ouverts pour les déboucher, est répugnants, l'odeur qui en émane est vomitive, l'aspect du malade lui-même est hideuse.
Un malade dont l'abcès est fermé, dont le ventre est juste gonflé, n'a aucune apparence repoussante.
Mais si on le laisse ainsi il meurt. Si on n'ouvre pas l'abcès pour nettoyer le corps du malade de ses immondices, il meurt. Si on ne s'inflige pas la vue de l'infection, le port d'un masque pour se protéger des particules infectées transmettant l'odeur, alors on ne peut pas sauver le malade. Si on ne parle pas de l'infection, on donne du malade une image agréable, aux spectateurs, mais on le laisser crever.
L'islam est l'infection qui s'est abattue sur les populations des pays conquis par ses fondateurs. L'infection qui les tue à petit feu et parfois à grand feu. Ceux qui ne veulent pas laisser voir ce qu'est l'islam, laissent les musulmans en crever.
Alors de ceux et celles qui disent le contenu réel de cette idéologie, ou de ceux qui la déforment pour la rendre présentable : qui aime et qui TUE ?
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